La ZAOUIA est devenue visée par El Watan, (quotidien de Rothschild et de judéo-maçonnerie-jésuiterie en Algérie), qui en fait un projection de ses propres intrigues, à savoir un lieu de conspiration et d'intrigue politique, de corruption, de blanchiment d'argent, un cercle d'opportunistes, un bureau de change, etc... Ceci est visible, sans besoin d'élaborer une analyse critique détaillée, dans ses articles et les caricatures de HIC, artiste spécialisé dans la raillerie de l'Islam, du Président Bouteflika, et dernièrement de la Zaouia !
 El Watan, ou pour les initiés "El WATicAN",  étale rarement ses louanges, ses éloges, son admiration pour l'Algérie ni pour ses valeurs. Seuls, l'Église et ses associations, Rebrab le capitaine pirate, et les généraux condamnés (tous supervisés par Toufik) n'ont autant étaient l'objet de plaidoiries, révélant ses réelles affinités et engagements politiques et religieux.
Constatons à travers un article sa fascination et amour du catholicisme et de son Saint Augustin.
"EL WATicAN" : Lalla Bouna en fête pour Saint Augustin
  
 
SON CATÉCHISME : 
«Aujourd’hui, un millier de personnes sont attendues à la basilique de 
Annaba pour fêter saint Augustin décédé, il y a plus de 1500 ans, le 28 
août 430. L’occasion de revenir sur une des figures de l’Eglise 
catholique et sur le site d’Hippone, toujours en attente d’inscription 
au patrimoine mondial de l’Unesco.»
   
 «C’est aujourd’hui que les fidèles de Lalla Bouna pourraient renouer 
avec les notes de l’organiste devant accompagner la grande messe y étant
 prévue.
 L’occasion ? Faire mémoire à saint Augustin, de sa prédication, ce 
vendredi 28 août, jour anniversaire de la mort du sauveur de l’Eglise 
catholique.»
 «En effet, à la basilique de Annaba, érigée il y a plus d’un siècle au 
sommet des vestiges antiques d’Hippone, devrait, pour cette circonstance
 où se mêleront émotion et solennité, se retrouver, après les 
distractions et dispersions estivales, plus d’un millier de personnes, 
entre fidèles -des Algériens chrétiens, des expatriés européens et des 
migrants subsahariens, syriens, pèlerins, archéologues, chercheurs ou 
simples curieux.»
 «Et ce n’est pas seulement dans sa ville épiscopale qui l’a vu 
s’éteindre en 430, ou à Taghaste où il vu le jour un 13 novembre 354, 
que sera célébré l’illustre docteur et l’un des quatre Pères de l’Eglise
 occidentale qui a consacré toute son existence, dans une quête 
inlassable de la vérité, à la recherche passionnée de Dieu (qui n'a hélas rien trouvén sauf instituer la trinité).»
 «A toute la communauté catholique, plus d’un milliard de personnes dans 
le monde, à sa tête l’Ordre de saint Augustin (OSA), fondé en 1244 et 
représenté par plus de 3000 pères augustins et plusieurs dizaines de 
milliers de membres répartis dans 34 pays d’Europe, d’Asie, des 
Amériques et d’Afrique, dont l’Algérie et la Tunisie, sera offerte 
l’occasion de se remémorer le parcours existentiel, spirituel et 
intellectuel du célèbre théologien.»
 5 millions d’euros
 «Mais aussi de rendre son hommage-lige à Aurelius Augustinus, précurseur
 de la philosophie moderne, pour les valeurs transmises et les écrits 
légués, basés sur la doctrine, dont Dieu et la destinée de l’homme sont 
les piliers.»
Cubitus
 «Tout ce parcours exceptionnel et tout ce riche patrimoine cultuel et 
culturel, capitaux dans l’histoire de la pensée chrétienne, voire de 
toute l’humanité, de par le rapport de conjonction entre «l’intelligence
 du platonisme et la foi du dogme chrétien» que le théologien-philosophe
 cherchait à établir, n’ont, semble-t-il, pas pu convaincre suffisamment
 les décideurs, les plus influents, siégeant à la prestigieuse 
Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la 
culture (Unesco).
 
 Mieux, l’Algérie, qui a fini par reconnaître, bien des années plus tard
 -2000- Augustin le Berbère, comme l’un de ses fils, revendique toujours
 le rapatriement de l’ensemble de ses reliques, que ce soit à Soukh 
Ahras, sa ville natale ou à Annaba où il vécut et décéda.
 Une campagne mondiale a été même lancée dans ce sens -années 1990- par 
des adeptes de l’augustinisme d’Europe et des intellectuels algériens, 
dont des Soukahrasiens notamment établis dans l’Hexagone. Mais ce fut 
peine perdue.»
CARTHAGE
«A l’époque, ébruitée par nos soins, l’initiative des «amis» d’Augustin 
suscita la colère du Vatican. Mais ce dernier, a-t-il bougé, lui qui 
peut peser de tout son poids sur la décision de l’Unesco aux fins de 
l’inscription des ruines d’Hippone ou de la cathédrale saint Augustin 
sur le répertoire du patrimoine universel, sous la protection de 
l’Organe onusien ? Car des tentatives dans ce sens, il y en a eu. 
Peut-être citée, à titre d’exemple, celle initiée, début 1999, par 
l’historien Saïd Dahmani et qui concernait le site d’Hippone.»
«Mieux, la construction du site d’Hippone a précédé de deux siècles 
celle de Carthage (Tunisie), déjà inscrit à l’Unesco, avait tranché 
l’archéologue européen. Toujours à ce propos, on s’accorde à dire que la
 non-inscription du site d’Hippone serait motivée par des 
arrière-pensées purement religieuses, notamment du côté des Grecs. Ces 
derniers confineraient le site dans le matérialisme qui aurait animé, de
 son vivant, saint Augustin.»
«Leur argument, mis en avant, est que Hippone fut la ville épiscopale de
 saint Augustin», nous déclarait-il lorsqu’il officiait à la basilique 
saint Augustin. Et de préciser : «Les demandes algériennes ne pourront 
jamais aboutir : les Grecs ont l’impression que saint Augustin est la 
base du matérialisme et de la destruction de l’Occident. Le matérialisme
 est une conception philosophique qui soutient que la seule chose 
pouvant être considérée comme existante est la matière».
Or, renchérissait ce membre des 40 Augustins dans le monde : «La foi 
chrétienne est un don de Dieu et saint Augustin fut le premier grand 
théologien à le dire. En somme, tout ce qui a trait à lui est 
systématiquement rejeté par les Grecs. Les Orientaux et les orthodoxes 
ont développé beaucoup plus une théologie mystique».
PATRIMOINE MONDIAL
«Le Père Lucien Borg, faut-il le souligner, à l’instar de Mgr Farhat du 
Liban et d’un ancien ambassadeur italien, fut également membre d’une 
association qui avait inlassablement œuvré pour la restauration de la 
basilique de Annaba. Où en est le dossier d’inscription des ruines 
d’Hippone  ? Contacté par mail, 1er puis le 4 août, le Centre du 
patrimoine mondial de l’Unesco n’a pas répondu à nos questions.»
Naima Benouaret