Un branle bas de combat semble mobiliser les média (presse écrite et internet ) de manière singulière, et ce depuis le 14 Septembre 2010 autour du décès de M.Arkoun le "Franco-Algérien" qualifié par le cheval de Troie Rothschildien "El Watan" de «monstre sacré de l'islamologie».
Même le virulent pro-sioniste Conseil Représentatif des Institutions Juives de France s'est joint au cortège :
«Le CRIF attristé par la disparition de Mohammed Arkoun»
«Le CRIF a appris avec beaucoup de tristesse le décès du professeur Mohammed Arkoun survenu à Paris à l’âge de 82 ans.»«Le CRIF gardera le souvenir d’une grande figure humaniste et d’un érudit qui avait enseigné la pensée islamique à plusieurs générations d’étudiants et développé l’islamologie appliquée.»
«Le CRIF rend un hommage particulier à Mohammed Arkoun, cet homme d’ouverture qui a consacré une grande partie de sa vie au dialogue inter religieux.»
Les Juifs de France attristés ? Les prédateurs affectionnent de lécher leurs proies avant de les dévorer. Ont-ils pour autant de l'affection pour elles ? Ils sont derrière toutes les campagnes d'islamophobie qui agitent l'opinion et animent l'actualité, et leur
compassion est un sarcasme, un ricanement d'hyène.
Un vrai tsunami médiatique cette mobilisation !
Subitement tout le monde se rappel M.Arkoun et son "oeuvre". Dans la foulée les média, El Watan en tête, se défoulent sur les autorités algériennes en les vilipendant pour avoir privé l'humanité d'une cérémonie digne de l'homme et de sa carrière "scientifique". Son enterrement au Maroc (pays qu'il avait choisi de son vivant), est jugé blasphématoire, le saint aurait du être embaumé en Kabylie. Quoique notre Kabylie sacrée est suffisamment dotée de mausolées d'Algériens ayant servi l'Islam et l'Algérie, et peut se passer de celui dont le service fut dédié à l'orientialisme, à la spéculation philosophique et à sa gloire personnelle, jamais à celui d'Allah ni des Musulmans! Sans cesse critiquant les musulmans, les savants arabes, les autorités religieuses pour n'avoir pas adopté le "scientisme" européen et le rationalisme de Kant. Les autorités algériennes n'ont pas agi sagement en ignorant cet événement, il aurait pu au besoin kidnappé la dépouille pour la ramené au pays !
En rappel aux nombreux articles qui parsèment ce blog, sachez, qu'El-Watan, le Matin, Liberté et autres complices de la nébuleuse des média, de dénomination indépendante et d'agenda néo-con, sont de véritables chevaux de Troie du judéo-talmudisme et les agents à la solde des banquiers Rothschild (BNP) qui les financent ! Le pouvoir suprême derrière le Nouvel Ordre Mondial a depuis des siècles, des visées hégémoniques, par l'intermédiaire de la branche française de la finance juive (ils sont parmi nous, les BNP, Crédit Lyonnais et les usuriers du diable, méfiez-vous en, ils essayent (à perte) de réoccuper le terrain !) Pour établir un contrôle occulte de l'Afrique du Nord, ils ont géré les guerres coloniales meurtrières, les génocides de population, l'instauration de régimes politiques corrompus. Les régimes dirigés par les renégats installés au commandes des pays ont l'appui et le soutien inconditionnel des "gestionnaires" de l'Europe colonisée. Les banquiers juifs sont les organisateurs de la colonisation de l'Algérie et les prédateurs qui le pillaient jusqu'au sursaut du 1er Novembre 1954, et leur expulsion en 1962. Dans cet ordre d'idées, les plans machiavéliques dressés dans les coulisses de ce pouvoir occulte canalisèrent leurs actions dans des organisations à façade scientifique, mais à vocation subversive. Dans un article plus ancien, le 19 Mai 2010 (Lien) j'avais exposé les méfaits de la Société de géographie de Paris et quelques uns de ses agents, dont Charles de Foucauld. Dans la lignée de ces agents du pouvoir occulte, Louis Massignon est un autre personnage d'importance.
Dans son livre "Les Espions de l’or noir", Gilles Munier dévoile le fait suivant : «Massignon fut aussi, au cours d’une vie d’une extraordinaire densité, un agent d’influence du Quai d’Orsay, rival direct de Lawrence d’Arabie, plus tard un intellectuel engagé dans toutes les batailles du Moyen-Orient et de l’Afrique du Nord : création de l’état d’Israël, Maroc, Syrie, indépendance de l’Algérie.»( Lien et Résumé au même Lien sous le titre "Louis Massignon et les dessous de l’orientalisme français" )
«Parmi les grandes amitiés qui jalonnent son existence, il y a le père de Foucauld, qui l’avait choisi comme successeur à Tamanrasset, Paul Claudel, Jacques Maritain ; mais le lecteur peut aussi découvrir dans ces pages la présence, plus furtive, de Gide, Cocteau ou Jean Genet.» (Lien)
Selon les biographes Christian Destremau et Jean Moncelon, «Celui qui est entré à Jérusalem avec le Colonel Lawrence, ( Le fameux Lawrence d'Arabie !)en 1917, deviendra, plus tard, un des premiers disciples français de Gandhi. Le professeur au Collège de France visitait les prisonniers. Le Français, admirateur de Jeanne d’Arc, avouera que sa patrie spirituelle était le monde arabe. Le père de famille se fera ordonné prêtre dans le rite melkite. L’ami de 30 ans d’un Jacques Maritain, d’un Paul Claudel n’hésitera pas à se brouiller avec eux sur la question palestinienne…»
«Personnage complexe, Louis Massignon demeure une des plus fascinantes personnalités du 20e dont l’influence occulte (!!) sur la politique française en direction du monde arabo-musulman et dans l’Église du concile Vatican II, mérite d’être connue tout de même que son expérience spirituelle hors du commun.»
Pourquoi mentionner Massignon ?
«M. Arkoun est né en 1928 à Taourirt-Mimoun (Ath Yenni), un village kabyle du nord de l’Algérie, dans l’actuelle wilaya de Tizi-Ouzou, il vit dans une famille nombreuse et très pauvre. Il fait ses études primaires dans son village natal, puis secondaire à Oran. Grâce à ses capacités et à sa volonté, il est l’un des rares élèves musulmans de son temps à pouvoir fréquenter une école française. Il fait ses études secondaires chez les Pères Blancs, auxquels il a gardé toute sa vie une immense reconnaissance. Il étudie ensuite la philosophie à la Faculté de littérature de l’université d’Alger, puis à la Sorbonne à Paris. Il y est agrégé en langue et en littérature arabes en 1956 et docteur en philosophie en 1968.
Grâce à l’intervention du Professeur Louis Massignon, il prépare l’agrégation en langue et littérature arabes à l’Université de la Sorbonne. Sa curiosité d’esprit le pousse à s’intéresser à l’humanisme arabe du Xème siècle, particulièrement à l’historien et philosophe perse, Ibn Miskawayh, du courant humaniste musulman, notamment en traduisant son Tahdhib al-Ahlaq wa Tathir al-Araq en Traité d’éthique. Il en fait son sujet de thèse. Il enseigne ensuite dans plusieurs universités.»
Les chasseurs d'âmes, "enfants de Jésus", qui sillonnent les régions déshéritées à la recherche de proies qu'ils ciblent et "braquent" par leur prosélytisme subtile et déguisé, méprisent leur propres concitoyens (le monde occidental et son milliard et demi d'habitants que la déchéance morale et religieuse a totalement détruits) et se découvrent une vocation d'humanistes passionnés au service de musulmans confortés par leur croyance authentique en la vraie religion d'Abraham!
Quelle hypocrisie !
Dans ce contexte historique M.Arkoun est visiblement une victime de ce stratagème de corruption religieuse et s'est livré poings et pieds liés aux manigances des conspirateurs ennemis de l'Islam et des Musulmans, dans l'antre du diable même, le cercle de prédilection de la franc-maçonnerie: la Sorbonne.
Perdu dans ses spéculations et ses interprétations personnelles de l'Histoire, l'islamologue a été modelé et manipulé de manière à servir la cause des cercles connus qui tentent sans succès de régler des comptes avec l'Islam, la religion universelle de soumission à Allah. Religion qui se distinguent des autres, car basée sur une révélation inaltérée et surtout sur une pratique quotidienne de respect et d'obligation envers le Créateur que les autres confessions ont égarées à la suite des multiples innovations et "reformes" que leur clergé-rabbinat ont fait subir aux textes et commandements divins originaux. Certainement initié à la franc-maçonnerie, il n'est cependant pas mon intention de juger les convictions du défunt ni sa foi ou de son sort dans l'au-delà. Mais quand à son œuvre, symbolisée par l'invention de "l'islamologie appliquée", une dérive de ce philosophe dans sa recherche de la rationalisation de l'Islam, il est clair que sa démarche arrogante de tentative d'interprétation du miracle coranique par la raison uniquement, est une hérésie déplorable, car elle s'oppose au commandement divin qui préconise d'abord la croyance en Allah, ses Anges , Ses prophètes, Ses livres saints, le jour du Jugement dernier, en totale soumission, sans négociation ou exigences préalables formulées par l'esprit et l'entendement, la raison, la logique (cartésienne), etc... La recherche et l'étude du message pour la compréhension du sens du texte sont nécessaires, sous la direction et le conseil des érudits qui se sont imprégnés des sources innombrables des sciences de l'Islam, pas de philosophie et de spéculations de l'esprit. Le succès et la réussite de ce travail dans la quête d'Allah sont des grâces divines pouvant être consenties mais également déniées, selon Sa volonté.
Un exemple de l'égarement du personnage imbu de sa gloire littéraire intentionnellement amplifiée par les applaudissements de la galerie des démons de la franc-maçonnerie et du talmudisme : l'insanité des fantasmes de l'auteur et son islamologie appliquée, promue au rang de science pour perpétuer son aveuglement et qui doit avoir secrètement provoqué la risée des cercles occultes qui eux s'évertuaient à pourchasser les musulmans aux quatre coins de la Terre, en Irak, en Palestine, en Afghanistan, au Liban, en France (le voile islamique), aux USA, etc... Le prolifique philosophe lui, s'égosillait à chanter la tolérance inter- religieuse et la compassion chrétienne, ne dénonçant jamais la violence gratuite, systématique, orchestrée contre la Umma par ses "très chers frères" des autres confessions. Reportant toujours le tort sur les djihadistes, un épithète qu'il collait à l'ensemble des Musulmans, qu'il dénigrait comme pauvres retardés du monde civilisé et qui refusaient de s'adapter au modernisme de l'occident en reniant leur particularismes religieux.
Musulman de culture oui (Pour avoir parcouru quelque pages de l'inépuisable littérature musulmane), mais l'était-il de conviction ? La réponse est ambigue et n'a pas besoin d'être formulée pour la suite de l'analyse.
Des orientalistes, bien avant lui, avaient fait le même parcours sans pour autant abandonner leur engagement au prés du Quai d'Orsay, et des services de Sa Majesté. Regrettable et loin d'être honorable, le rôle qu'a joué Arkoun, (tacitement pour sur, volontairement ou inconsciemment, Allah Seul le sait) en affutant les armes de l'ennemi contre ses anciens coreligionnaires et sa religion d'origine, deux "sujets-cobayes" objets de ses "expériences" en sciences humaines.
Le Cheikh d'El Azhar, El Ghozali (dont les déconvenues politiques avec la tyrannie étatique égyptienne lui avaient imposé l'exil) ne lui avait-il pas recommandé de prononcer à nouveau la "chahada" (la profession de foi musulmane), pour s'authentifier à nouveau devant les participants à une conférence internationale sur l'Iqslam ? Qui des deux est mieux placé pour séparer le licite de l'illicite ? A chacun de nous d'en décider.Des orientalistes, bien avant lui, avaient fait le même parcours sans pour autant abandonner leur engagement au prés du Quai d'Orsay, et des services de Sa Majesté. Regrettable et loin d'être honorable, le rôle qu'a joué Arkoun, (tacitement pour sur, volontairement ou inconsciemment, Allah Seul le sait) en affutant les armes de l'ennemi contre ses anciens coreligionnaires et sa religion d'origine, deux "sujets-cobayes" objets de ses "expériences" en sciences humaines.
Question: la violence est-elle consubstantielle à l'islam ? (Lien)
Réponse : Poser ainsi la question est choquant. C'est isoler l'islam de toute la problématique anthropologique de la violence. Bien avant l'intervention de ce qu'on nomme l'islam, il y avait dans toutes les sociétés primitives des rites sacrificiels, des actes de violence guerrière. Et cela continue dans nos sociétés dites modernes. Or comment expliquer que, depuis la fin de la seconde guerre mondiale, les affrontements soient presque tous mis d'abord en relation avec le djihad islamique, ce qui a construit l'idée tenace que la guerre sainte est consubstantielle à l'islam ? Comme on parlait de banque islamique, de commerce islamique, d'architecture islamique. A-t-on jamais observé ce phénomène avec le christianisme ou le judaïsme ?
Les guerres d'indépendance en sont-elles un exemple ? Les assimiler à des "actes de violence guerrière" est une qualification péjorative, erronée et mensongère. Le comble, peut-on comparativement absoudre le Christianisme et le Judaïsme pour leurs crimes disproportionnés?
Arkoun garde le silence, mais d'un seul coup de "brosse", il continue de manière irresponsable et avec une complaisance révoltante, à faire l'éloge de la barbarie coloniale et de ses crimes :
«Une colonisation qui apporte des fragments d'une modernité vivante, dynamique, émancipatrice, mais des fragments seulement, et que des élites arabes, très étroites, vont accueillir avec reconnaissance.»
Arkoun garde le silence, mais d'un seul coup de "brosse", il continue de manière irresponsable et avec une complaisance révoltante, à faire l'éloge de la barbarie coloniale et de ses crimes :
«Une colonisation qui apporte des fragments d'une modernité vivante, dynamique, émancipatrice, mais des fragments seulement, et que des élites arabes, très étroites, vont accueillir avec reconnaissance.»
Les erreurs d'analyse et les contre vérités historiques relevées dans le discours de notre défunt philosophe sont incalculables, et il serait trop envahissant dans un article de ce blog d'en faire l'inventaire.
« A la prise de Jérusalem par les Arabes, la construction du dôme du Rocher avait été un acte politique, mais surtout un acte de prise de possession du capital symbolique de cette ville hors du commun.»
Notez l'imprécision "Arabes", et non "Musulmans" qui est le terme exact utilisé dans le Coran tout au long des versets.
Un "acte politique" laisse penser que l'Islam se résume à quelque idéologie prêchée par quelques Arabes partis à la poursuite de conquêtes territoriales et assoir leur pouvoir politique, pouvoir sans lequel il n'y aurait pas "d'acte politique". La mission sacrée de divulgation du dernier message divin à toute l'humanité et du renouveau de la religion d'Abraham (et de tous les prophètes) est totalement occultée et, pire, transposée dans l'esprit d'Arkoun en aventure impériale !
Extorquant de l'expansion de l'Islam son essence première la mission prophétique commandée par Allah de faire connaitre Son Message, rétablir Son règne et dicter Sa vraie loi, avec une attention particulière pour la "libération" des "Peuples du Livre" qui étaient pris en otages par leur clergé-rabbinat.
Conclusion :
Laissons le sort du défunt livré à la volonté d'Allah qui jugera de manière infaillible ses faits et ses dires, par Son discernement infaillible de la vérité et de la fraude.
L'Islam, religion de la soumission à Dieu par l'acte et par la foi, et non par la parole uniquement, fondée sur le Coran et la tradition du Prophète s'acquitte de sa mission divine en dépit des controverses et des diatribes aux origines suspectes ou clairement offensives. Les Musulmans méritent certains reproches, certes, mais "jeter le nourrisson avec l'eau de la baignoire"(une opération que feu Arkoun a pratiquement mis à exécution), c'est agir gravement et suicidairement !
Les "penseurs" de l'islamologie peuvent eux continuer à penser, pour éviter que leurs neurones dépérissent, mais n'espérons pas de leurs spéculations une inspiration motivante sur le chemin de la bénédiction.
« A la prise de Jérusalem par les Arabes, la construction du dôme du Rocher avait été un acte politique, mais surtout un acte de prise de possession du capital symbolique de cette ville hors du commun.»
Notez l'imprécision "Arabes", et non "Musulmans" qui est le terme exact utilisé dans le Coran tout au long des versets.
Un "acte politique" laisse penser que l'Islam se résume à quelque idéologie prêchée par quelques Arabes partis à la poursuite de conquêtes territoriales et assoir leur pouvoir politique, pouvoir sans lequel il n'y aurait pas "d'acte politique". La mission sacrée de divulgation du dernier message divin à toute l'humanité et du renouveau de la religion d'Abraham (et de tous les prophètes) est totalement occultée et, pire, transposée dans l'esprit d'Arkoun en aventure impériale !
Extorquant de l'expansion de l'Islam son essence première la mission prophétique commandée par Allah de faire connaitre Son Message, rétablir Son règne et dicter Sa vraie loi, avec une attention particulière pour la "libération" des "Peuples du Livre" qui étaient pris en otages par leur clergé-rabbinat.
Conclusion :
Laissons le sort du défunt livré à la volonté d'Allah qui jugera de manière infaillible ses faits et ses dires, par Son discernement infaillible de la vérité et de la fraude.
L'Islam, religion de la soumission à Dieu par l'acte et par la foi, et non par la parole uniquement, fondée sur le Coran et la tradition du Prophète s'acquitte de sa mission divine en dépit des controverses et des diatribes aux origines suspectes ou clairement offensives. Les Musulmans méritent certains reproches, certes, mais "jeter le nourrisson avec l'eau de la baignoire"(une opération que feu Arkoun a pratiquement mis à exécution), c'est agir gravement et suicidairement !
Les "penseurs" de l'islamologie peuvent eux continuer à penser, pour éviter que leurs neurones dépérissent, mais n'espérons pas de leurs spéculations une inspiration motivante sur le chemin de la bénédiction.
Quand à la frénésie verbale d'El Watan et de ses acolytes "indépendants", orchestrant une hystérie funèbre après le décès de l'homme, gardons nous d'y voir autre chose qu'une nouvelle campagne de propagande, avec cible l'Algérie. Même les morts ne sont pas épargnés dans leur manipulation des faits. Toujours coordonnée avec le reste du monde (à travers le diktat médiatique juif), l'activité d'intox périodique et chronique du "cheval de Troie Rothschildien" est devenue familière et tout le monde saura y déceler une tentative de déception de l'opinion. La campagne publicitaire mensongère en faveur du vaccin contre la grippe porcine est une parfaite illustration de la malhonnêteté criminelle et de la perfidie effrontée du quotidien.