Toujours à cheval sur ses crédos, le mythe de la "rente nocive" et la capacité du privé à "créer de la richesse" !
1- même son de cloche alarmiste sur la nocivité de la rente, repris en choeur par Benbitour ( agent du FMI, membre de la nébuleuse des ONG euro-méditerrnéenne)! Quand va-t-on réfuter cette imposture économique s'apparentant au blasphème par son mépris des bénédictions divines accordées à l'Algérie ! Leurs cris d'alarme, leurs lamentations sur la "crise qui menace", dans des délais incroyablement courts, est la preuve de leur total réclusion et éloignement des réalités économiques et de la situation financière et économique du pays ! Leur appartenance aux cercles de l'opposition est preuve du dogmatisme de leurs analyses vernis de verbiage servant de propagande et non d'exposé académique. La rente est un bienfait, une faveur sur laquelle il faut bâtir un avenir prospère anticipé, à un moindre coût humain, et pas une malédiction, comme le suggèrent ces imposteurs.
2- le "privé crée de la richesse" est un euphémisme pour "exploitation capitaliste" de ressources humaines et matérielles pour .....un maximum de profit, la règle managériale principale, souveraine sur toutes les décisions de gestion des entrepreneurs qui se ressourcent et s'inspirent du marketing pas de la charité. Créer des richesses est une tromperie ! Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme ! "Créer des emplois" un autre leurre ! Que le secteur privé commence par s'intégrer dans l'environnement économique dominant fondé sur les choix primordiaux inaliénables du modèle social de gouvernance, pas du capitalisme sauvage ! Devant le refus du secteur privé à se soumettre à ce principe que la société prime sur toute autre considération, le secteur public doit relever le défi d'assurer tous les services et besoins de la population! Il en a les moyens et les ressources, et sa pesante administration n'est pas des moindres ! Administration qui doit devenir efficace et proprement gérée, débarrassée des réflexes bureaucratiques hérités du "socialisme spécifique" parasitaire.