Introduction
L’origine du pouvoir mondial occulte gravite autour de la nébuleuse crypto-juive (lien 1, lien 2,), d’origine marrane (Espagne) contrôlant toutes les organisations internationales, les royautés, les gouvernements, la franc-maçonnerie, les églises, les sectes, etc…
Définitions
a- « Le Crypto-judaïsme est l’adhésion secrète au judaïsme tandis que l’on adhère publiquement à une autre foi ; ceux qui pratiquent le crypto-judaïsme sont généralement appelés « crypto-Juifs. Le terme s’applique également à des descendants de Juifs qui maintiennent (le plus souvent secrètement) des coutumes et pratiques juives tout en professant publiquement une autre foi « .
b- « Marranisme désigne le phénomène religieux propre aux marranes, terme utilisé à partir du XVe siècle pour désigner les Juifs de la péninsule Ibérique (Portugal, Espagne) convertis au catholicisme qui continuaient à pratiquer le judaïsme en secret. Cette appellation originellement péjorative est aujourd’hui souvent remplacée par celle de crypto-juifs. »
Les juifs eux mêmes reconnaissent leur existence (lien 1, lien 2) sans dévoiler leur mission, et dans le but de les récupérer et gonfler leurs rangs sionistes. Ils ont infiltré l’Église à partir de l’Espagne et se sont répandus sur toute la planète.
Un site juif (Lien) en donne les noms, et les fonctions, dont celle d’inquisiteurs catholiques qui pour être totalement acceptés sacrifièrent nombre de leur propre communauté ! (Liste)
Le processus d’infiltration et de prise de contrôle des pays et institutions ciblées a pris au moins cinq siècles, criard dès le 15 em siècle, comme le prouve la date des portraits exhibés dans l’article exposant le signe de reconnaissance, ou « griffe Triad » (doigts de la main, majeur et annulaire collés).
Note : n’oublions pas que Satan est à l’oeuvre depuis la descente d’Adam sur Terre, et différentes étapes de la marche de l’humanité est marquée de son empreinte.
Ce pouvoir satanique est centré dans une institution, le Vatican. Pour ce qui nous concerne l’intérêt qu’on lui porte est dû à la présence et influence de ses troupes d’élite, les jésuites, en Algérie.
Comment s’est effectuée cette incursion ?
Incursion suivie d’une présence effective et d’une vaste et profonde influence au sein du strate social éduqué, des intellectuels (écoles, universités, loges maçonniques, des administrateurs autochtones, l’armée) et le lancement de son travail de sape et de destruction. Parmi ses œuvres celui de la création du dilemme amazigh et ses retombées, sous forme de l’apparition d’une frange d’Algériens se réclamant de la berbérité et haïssant l’arabité et même l’Islam, et incitant à des polémiques linguistiques/historiques stériles, et à des frictions régionales et communautaires artificielles, fictives, injustifiées, sans fondement historique, ethnique, ou social.
1- les tentatives militaires successives, espagnoles en particulier, avaient échoué, les jésuites dressèrent alors une autre stratégie déployée dans l’étude et l’analyse de l’Algérie par l’envoi de missionnaires et d’explorateurs , remplissant le rôle d’éclaireurs pour collecter toutes les informations disponibles permettant de connaitre l’ennemi, et éventuellement préparer l’invasion militaire de 1830. Cette étape est documentée, je la signale dans un article ancien (2 mai 2010) et cite de Foucauld et Mardochée Aby Serour, mais de nombreux autres sont recensés, pas uniquement en Algérie, également au Maroc. Tous, majoritairement, axant leurs travaux sur le volet berbère de l’Histoire et la composition sociale-ethnique-linguistique des populations. Ceci confortant la technique du « diviser pour régner » qui s’appuie sur les disparités régionales, religieuses, ou ethniques des pays ciblés. Ce plan a nécessité la mobilisations de ressources humaines qualifiées, expertes dans différents domaines des sciences humaines et de la nature dans le but de bâtir et consolider ce paradigme berbère et surtout d’un patrimoine identitaire.
2- La genèse du mythe de « la civilisation berbère ».
La fabrication de ce patrimoine nécessitait l’édification de ses différents composantes (sciences humaines et de la nature), dont l’archéologie, la linguistique, l’historiographie, la religion et les croyances, l’ethnie, la culture, et tous les caractéristiques identitaires nécessaires pour créer ce personnage historique, le « berbère ». Personnage historique perché sur un mythe sans fondement ni empreinte civilisationnels. L’objectif ultérieur étant de le confronter à ses autres concitoyens, et provoquer une collision entre langues, cultures, Histoires, et religions.
Chaque composante de ce « patrimoine national berbère » a nécessité la création et affectation de centres de recherche et des ressources humaines expertes, tous dédiés au modelage de cette identité/patrimoine, et… La société de géographie, l’Alliance Israélite (Isaac-Jacob Adolphe Crémieux), des départements d’université, les grandes écoles, et les célèbres Sorbonne et universités de Paris, ont été (et sont toujours) mobilisés pour disséquer, linguistique, archéologie, anthropologie, ethnologie, Histoire, religion, société, moeurs et coutumes, économie, politique, etc … dans leurs moindres recoins et spécificités.
3- les compartiments ou composantes de ce patrimoine.
L’Histoire et l’historiographie. La linguistique et donc les dialectes berbères. La géographie, l’étude des populations et leur composition. Les cultures et leurs différentes expressions. Les coutumes et les mœurs. Tous les paramètres référents de la religion. L’Architecture et l’archéologie. Les ethnies. Les civilisations anciennes et leur interaction avec les autres peuples. etc, etc…
4- Premier constat et conclusion initiale.
A été réunie une collection colossale de données sur la région, permettant d’affirmer que les Jésuites CONNAISSENT LA RÉGION ET leur peuple, mieux que quiconque intéressé de près ou de loin, ou concerné par elle, en tant que chercheur individuel, organismes spécialisés, universités ou écoles, institutions ou gouvernements.
Les jésuites connaissent l’Afrique du Nord mieux que ses peuples, détiennent plus d’informations les concernant, que tous les experts et les érudits de la planète réunis.
Mais l’utilisation de ces données n’est pas sincèrement motivée par la soif de savoir et l’analyse scientifique objective, mais principalement comme arme tournée contre l’unité, la solidarité, le bien être et la prospérité des peuples, peuples dont la foi musulmane a été un obstacle à l’hégémonie de ce pouvoir mondial d’essence satanique. La réalisation de ses objectifs sulfureux est revêtue nécessairement par le mensonge, la falsification-orientation-déformation-manipulation des données sensibles, stratégiques, pertinentes, relatives à la culture, la religion, l’ethnicité, la langue, l’Histoire, et toutes les caractéristiques identitaires propres à cette grande nation.
L’origine du pouvoir mondial occulte gravite autour de la nébuleuse crypto-juive (lien 1, lien 2,), d’origine marrane (Espagne) contrôlant toutes les organisations internationales, les royautés, les gouvernements, la franc-maçonnerie, les églises, les sectes, etc…
Définitions
a- « Le Crypto-judaïsme est l’adhésion secrète au judaïsme tandis que l’on adhère publiquement à une autre foi ; ceux qui pratiquent le crypto-judaïsme sont généralement appelés « crypto-Juifs. Le terme s’applique également à des descendants de Juifs qui maintiennent (le plus souvent secrètement) des coutumes et pratiques juives tout en professant publiquement une autre foi « .
b- « Marranisme désigne le phénomène religieux propre aux marranes, terme utilisé à partir du XVe siècle pour désigner les Juifs de la péninsule Ibérique (Portugal, Espagne) convertis au catholicisme qui continuaient à pratiquer le judaïsme en secret. Cette appellation originellement péjorative est aujourd’hui souvent remplacée par celle de crypto-juifs. »
Les juifs eux mêmes reconnaissent leur existence (lien 1, lien 2) sans dévoiler leur mission, et dans le but de les récupérer et gonfler leurs rangs sionistes. Ils ont infiltré l’Église à partir de l’Espagne et se sont répandus sur toute la planète.
Un site juif (Lien) en donne les noms, et les fonctions, dont celle d’inquisiteurs catholiques qui pour être totalement acceptés sacrifièrent nombre de leur propre communauté ! (Liste)
Le processus d’infiltration et de prise de contrôle des pays et institutions ciblées a pris au moins cinq siècles, criard dès le 15 em siècle, comme le prouve la date des portraits exhibés dans l’article exposant le signe de reconnaissance, ou « griffe Triad » (doigts de la main, majeur et annulaire collés).
Note : n’oublions pas que Satan est à l’oeuvre depuis la descente d’Adam sur Terre, et différentes étapes de la marche de l’humanité est marquée de son empreinte.
Ce pouvoir satanique est centré dans une institution, le Vatican. Pour ce qui nous concerne l’intérêt qu’on lui porte est dû à la présence et influence de ses troupes d’élite, les jésuites, en Algérie.
Comment s’est effectuée cette incursion ?
Incursion suivie d’une présence effective et d’une vaste et profonde influence au sein du strate social éduqué, des intellectuels (écoles, universités, loges maçonniques, des administrateurs autochtones, l’armée) et le lancement de son travail de sape et de destruction. Parmi ses œuvres celui de la création du dilemme amazigh et ses retombées, sous forme de l’apparition d’une frange d’Algériens se réclamant de la berbérité et haïssant l’arabité et même l’Islam, et incitant à des polémiques linguistiques/historiques stériles, et à des frictions régionales et communautaires artificielles, fictives, injustifiées, sans fondement historique, ethnique, ou social.
1- les tentatives militaires successives, espagnoles en particulier, avaient échoué, les jésuites dressèrent alors une autre stratégie déployée dans l’étude et l’analyse de l’Algérie par l’envoi de missionnaires et d’explorateurs , remplissant le rôle d’éclaireurs pour collecter toutes les informations disponibles permettant de connaitre l’ennemi, et éventuellement préparer l’invasion militaire de 1830. Cette étape est documentée, je la signale dans un article ancien (2 mai 2010) et cite de Foucauld et Mardochée Aby Serour, mais de nombreux autres sont recensés, pas uniquement en Algérie, également au Maroc. Tous, majoritairement, axant leurs travaux sur le volet berbère de l’Histoire et la composition sociale-ethnique-linguistique des populations. Ceci confortant la technique du « diviser pour régner » qui s’appuie sur les disparités régionales, religieuses, ou ethniques des pays ciblés. Ce plan a nécessité la mobilisations de ressources humaines qualifiées, expertes dans différents domaines des sciences humaines et de la nature dans le but de bâtir et consolider ce paradigme berbère et surtout d’un patrimoine identitaire.
2- La genèse du mythe de « la civilisation berbère ».
La fabrication de ce patrimoine nécessitait l’édification de ses différents composantes (sciences humaines et de la nature), dont l’archéologie, la linguistique, l’historiographie, la religion et les croyances, l’ethnie, la culture, et tous les caractéristiques identitaires nécessaires pour créer ce personnage historique, le « berbère ». Personnage historique perché sur un mythe sans fondement ni empreinte civilisationnels. L’objectif ultérieur étant de le confronter à ses autres concitoyens, et provoquer une collision entre langues, cultures, Histoires, et religions.
Chaque composante de ce « patrimoine national berbère » a nécessité la création et affectation de centres de recherche et des ressources humaines expertes, tous dédiés au modelage de cette identité/patrimoine, et… La société de géographie, l’Alliance Israélite (Isaac-Jacob Adolphe Crémieux), des départements d’université, les grandes écoles, et les célèbres Sorbonne et universités de Paris, ont été (et sont toujours) mobilisés pour disséquer, linguistique, archéologie, anthropologie, ethnologie, Histoire, religion, société, moeurs et coutumes, économie, politique, etc … dans leurs moindres recoins et spécificités.
3- les compartiments ou composantes de ce patrimoine.
L’Histoire et l’historiographie. La linguistique et donc les dialectes berbères. La géographie, l’étude des populations et leur composition. Les cultures et leurs différentes expressions. Les coutumes et les mœurs. Tous les paramètres référents de la religion. L’Architecture et l’archéologie. Les ethnies. Les civilisations anciennes et leur interaction avec les autres peuples. etc, etc…
4- Premier constat et conclusion initiale.
A été réunie une collection colossale de données sur la région, permettant d’affirmer que les Jésuites CONNAISSENT LA RÉGION ET leur peuple, mieux que quiconque intéressé de près ou de loin, ou concerné par elle, en tant que chercheur individuel, organismes spécialisés, universités ou écoles, institutions ou gouvernements.
Les jésuites connaissent l’Afrique du Nord mieux que ses peuples, détiennent plus d’informations les concernant, que tous les experts et les érudits de la planète réunis.
Mais l’utilisation de ces données n’est pas sincèrement motivée par la soif de savoir et l’analyse scientifique objective, mais principalement comme arme tournée contre l’unité, la solidarité, le bien être et la prospérité des peuples, peuples dont la foi musulmane a été un obstacle à l’hégémonie de ce pouvoir mondial d’essence satanique. La réalisation de ses objectifs sulfureux est revêtue nécessairement par le mensonge, la falsification-orientation-déformation-manipulation des données sensibles, stratégiques, pertinentes, relatives à la culture, la religion, l’ethnicité, la langue, l’Histoire, et toutes les caractéristiques identitaires propres à cette grande nation.