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17 févr. 2012

Média Et Mensonge :L’Algérie Soumise Au Pressing De la Nébuleuse Subversive (2ème Partie)(complétée)

La venue du juge Marc Trividic est annoncée à coup de trompette, Buffalo Bill sur sa monture médiatique.
Les films western d'antan et les BD des années 50-60 firent du caractère mythique de la conquête de l'ouest un célèbre héros  (lire un criminel, participant au génocide des Amérindiens glorifié par Holly-Yahude) .
Ce rôle convient à merveille à la star des tribunaux. Car ne déclarait-t-il pas : (Lien )  :«Je suis un juge cow-boy qui s'intéresse aux Indiens... Pas uniquement pour les avoir dans la ligne de mire, mais aussi pour comprendre comment ils évoluent, comment on devient Indien, qu'est-ce qu'on a dans la tête quand on est Indien 
Et pour préciser (lien) : «Il y a de plus en plus d'Indiens, chez nous, dans nos sociétés. Des jeunes, souvent ce sont des convertis, qui se laissent abuser plus facilement par l'Islam radical. Parce qu'il y a Internet, parce que c'est aguicheur : le Djihad, l'Irak, l'Afghanistan. Ailleurs, ça ne change pas, il y a autant d'Indiens. »
Au Lien il répond :
-«Pourtant vous vous déclarez en faveur du maintien des soldats occidentaux en Afghanistan...»
-«Ce n'est pas très politiquement correct de dire ça car la France n'a pas vocation à s'y implanter durablement. Mais partir aujourd'hui, c'est la garantie du retour des talibans et d'Al-Qaeda à la tête du pays.»
Le profil du juge se dessine au fur et à mesure qu'il se prononce. Il suffit de garder l'écoute sur les agitations médiatiques que lui réserve la talmuderie des ondes et de la presse pour constater son engagement militant dans le "clash des civilisations" et toutes les aberrations qu'il diffuse sournoisement. L'une d'elle démontre l'adoption du juge de l'imposture de la "menace d'Al Qaida", une organisation contrôlée et dirigée par les CIA-MOSSAD. Le mensonge, apparat du magistrat, expose sa mauvaise foi et son parti pris en faveur de la doctrine génocidaire du Nouvel Ordre Mondial juif illustré par la  destruction en cours de pays entiers, la Libye, L'Irak, L'Afghanistan, le Liban, la palestine, etc...
Il se spécialise dans la chasse aux musulmans qu'il calque sur le stéréotype du terroriste islamique diabolisé par une intense propagande, et même mystifié par Holly-Yahood,  argument de l'alibi de la guerre déclarée par le criminel de guerre Bush et ses commanditaires Néo-con, prolongée par Obama. Pêle-mêle, l'Irak, l'Afghanistan, la Palestine, le Liban sont sur sa liste de centres de formation à surveiller. Il vomit son préjudice flagrant contre ces pays, confirmant son rôle d'agent provocateur au service des éternels prédateurs. Le terrorisme israélien n'occupe aucune place dans ses dossiers. Les assassinats et crimes commis par le MOSSAD ne l'intéressent pas. En bref, notre juge d'instruction est programmé par la talmuderie de France pour chasser les indiens basanés qui constituent la menace fictive que le NOM  a montée de toute pièce pour justifier son occupation et colonisation des pays actuellement sous l'emprise de l'OTAN. Pour lui accorder un peu plus de crédit, on lui a taillé sur mesure un prestige de juge indépendant, qui "dérange le système", un leurre médiatique pour étoffer encore plus une réputation surfaite.
«Marc Trévidic a toujours été un bon élève. Fin juriste, gros bosseur et discipliné lorsqu'il était au parquet antiterroriste. Mais, depuis qu'il a pris la suite du cabinet d'instruction de Jean-Louis Bruguière, il est devenu le juge le plus détesté de la classe politique. Lucide, indépendant et tenace.» (Lien-Rue 89)
Il est impossible que ce pieds nickelé de la justice ait pu se dresser contre son géniteur la toute puissante kosher nostra qui contrôle l'institution judiciaire de France, depuis la révolution française, et qui a enfanté un ministre de la justice talmudipède de la stature et de la malveillance d'Isaac Moïse Adolphe Crémieux.
Crémieux-Trevidic, dans la longue tradition de la  fraude historique  talmude .
Rue 89, quadrillée par les  élus de Yahweh.

De l'éloge distillée par David Servenay de Rue 89, notre  personnage de film western, serait donc un redresseur de tort au service de la Vérité. En réalité, son palmarès témoigne  en faveur du rôle de gardien d'enceinte, un personnage utile aux politiciens criminels du pouvoir talmude de l'ombre, qui s'en servent pour orienter les enquêtes et mystifier l'opinion, loin des faits qui dérangeraient leur oligarchie. Rien de révélateur ne transpire du travail volumineux du juge, dont les sorties médiatisées et sa verve littéraire rendent ce personnage à fortiori suspect. Preuve de sa mauvaise foi et duplicité professionnelle, les affaires se succèdent sur son bureau (rue Copernic = Mossad; Ruanda; terrorisme islam-mimique; Karachi, etc...) mais la vérité elle, n'a jamais levé son voile pudique et s'avère aussi élusive que le souhaitent les principaux responsables des délits examinés.
Ruanda : étude de faisabilité du génocide fratricide; désinformation; omerta et confusion planifiée.  
C'est un autre classique de l'étude critique des événements historiques contemporains sous l'optique de la recherche des vrais acteurs (occultes et de l'ombre) et de leurs motivations. Ceci selon le modèle pertinent  applicable aux cas des génocides perpétrés depuis l'ère de la colonisation et de l'esclavage et plus spécialement durant le 20-ème siècle. Une fois nettoyés du fard officiel, la révolution bolchevique, les 2 guerres mondiales, la multitude de conflits menés par proxy interposé (sous la conduite des éternels prédateurs shylocks), pointent un doigt accusateur vers les éternels prédateurs, maitres de la manigance et du mensonge.  
Sortons des chemins battus de la propagande officielle et survolons l'internet et sa myriade de sites éducatifs, tel celui à l'adresse  "bitin.fr" et examinons les vues de parties qui se sont penchées sur le massacre à grande échelle qui a lieu en 1994. L'un d'eux (Lien), où est diffusé un film de TéléLiberté , enregistrement de la conférence du journaliste d'enquête J-F Dupaquier, où il présente le résultat de son investigation et analyse du génocide ruandais qu'il publie dans son livre 
"L’agenda du génocide. Le témoignage de Richard Mugenzi ex-espion rwandais".
Dans la présentation de l'auteur et de son livre, nous lisons :
«L’agenda du génocide" est un ouvrage important.
Il rappelle le rôle déterminant de la France au début des années 90 dans la mise en place de l’entreprise génocidaire au Rwanda mais il apporte aussi de nouvelles preuves de la planification rigoureuse du génocide reposant sur un système sophistiqué, préparé de longue date et qui se révéla d’une efficacité terrifiante. Ce travail est salutaire au moment où l’évidence historique de l’extermination des Tutsi du Rwanda en 1994 est de plus en plus contestée par des auteurs négationnistes et des responsables politiques ou militaires qui tentent ainsi de minimiser leur implication.»
Un point important décortiqué au début de l'exposé par le journaliste démontre le rôle des média dans le conditionnement et la préparation des différentes parties impliquées dans le drame, à les faire participer au génocide, drame culminant dans l'implication d'enfants qui exécutèrent d'autres enfants, des religieux-religieuses qui aidèrent dans l’incendie de bâtiments abritant des civils, etc...  !!
 
Dans la "Nuit Rwandaise" (Lien), on apprend qu'une commission rwandaise indépendante a publié un rapport (Rapport Mucyo) :«La livraison de la cinquième édition de La Nuit rwandaise est un numéro spécial consacré à la publication du Rapport Mucyo sur les responsabilités françaises dans le génocide des Tutsi du Rwanda en 1994.»
Une information capitale est révélée dans un rapport (Lien) : «Origine de l’idéologie génocidaire:
L’idéologie diffusée avant et pendant le génocide s’inspire du mythe hamitique selon lequel les Tutsi sont une race à part, venue d’Éthiopie, qui a envahi le Rwanda. Cette croyance a été enseignée par les missionnaires catholiques, les Pères blancs en particulier, avec d’autant plus de force que c’est eux qui ont inventé la forme écrite de la langue parlée par tous, le kinyarwanda, modelant ainsi les esprits des éduqués suivant leurs théories. Ils ont d’abord suggéré aux colonisateurs européens que les Tutsi étaient une race supérieure qu’il fallait utiliser pour administrer le pays, percevoir les impôts, rendre la justice et convertir la population à la foi chrétienne. Mais lorsque, dans les années 1950, cette élite tutsi se mit à revendiquer l’indépendance du pays et à contester le monopole de l’Église sur l’enseignement, une nouvelle génération de missionnaires, voulant sauver ce royaume chrétien du péril communiste, se mit à dénoncer dans les Tutsi des féodaux aristocrates qui opprimaient les Hutu et les réduisaient en esclavage. Ils persuadèrent les Hutu qu’ils devaient se débarrasser du « joug féodal » des Tutsi.
Ils allèrent même jusqu’à dénoncer les Tutsi comme des colonisateurs, s’octroyant à eux-mêmes et aux Belges le rôle d’émancipateurs des Hutu.»
Un petit pays africain ose mettre en accusation une grande puissance. Le rapport de la Commission nationale indépendante rwandaise, chargée de rassembler les preuves montrant l’implication des talmudipèdes-représentants de l’État français dans le génocide perpétré au Rwanda en 1994, est à bien des égards un document exceptionnel.
A travers les documents consultés, on arrive à percevoir les raisons de la vaste opération médiatique enclenchée autour du génocide et les faits que les centres du pouvoir occulte en France tentent d'offusquer. Le plus révoltant est la découverte du rôle assigné aux pantins qui s'agitent sous les mains de la talmuderie française, à l'image de ce juge cow boy. Ces agents ne sont au service ni de la France, dont ils tenteraient de sauver la renommée ou l'honneur, ni de la vérité qu'ils ne peuvent en aucune manière rendre publique car ils seraient liquidés physiquement. Leur véritable rôle lorsqu'ils sont dépêchés est de "brouiller" les pistes, détourner les recherches vers des faits insignifiants, et au besoin, détruire tout indice révélateur et gênant .
Leur objectif est de dissimuler les vrais protagonistes et principaux coupables, et éventuellement, d'innocenter les complices accusés "par erreur" du génocide. Les principaux suspects : les personnalités politiques d'alors, dont nombreux aujourd'hui demeurent en activité et au devant de la scène politique.
 Mitterrand, accompagné des nombreux talmudipèdes de son gouvernement "socialiste" (une idéologie héritée génétiquement de l'émanation diabolique du bolshevisme des Marx, Lénine,Trotsky et compagnie). On y retrouve Baladur, Juppé, Sarkosy, en bref, les "cousins " qui gouvernent la France. Kouchner le grand humaniste y récolte des orphelins. Frappant, mais interdit de toute citation, le génocide est occulté, car la loi Gayssot est promulguée en 1994 (interdisant la négation de la shoah-banana). Diversion du public, mais aussi parce qu'il n'y a pas de place pour le génocide Ruandais dans le coeur de l'opinion (qu'on manipule), les sanglots sont réservés exclusivement au peuple auto-élu !
Des tonnes de documents sont disponibles,(Lien), (Lien), (Lien), (Lien) qui  dénoncent la complicité, sinon l'entière responsabilité des cousins de France et le silence de l'ONU (comme coutume). Le génocide n'est pas un accident de l'histoire, c'est un évènement organisé et planifié, de la main des enfants de Satan, virtuoses de ce genre de destruction massive de la vie humaine, une offrande à leur "petit architecte". Ironiquement , celle-ci est officiellement à inscrire dans les annales des "œuvres civilisatrices de la colonisation" (Sarko-sionisation de l'histoire). Pages d'histoire écrites sous l'autorité de décrets présidentiels et approuvées par les les idiots utiles de l'assemblée nationale.   Omerta sur le massacre de 800 000 Ruandais : oeuvre des experts de la manipulation et de leurs agents locaux. Les criminels et génocidaires talmudipèdes présents dans tous les drames stigmatisant les peuples victimes de ces sacrifices humains. Le peuple " choisi " ne saurait être " élu " sans  posséder une licence kosher pour ce genre de besogne. Au fait une tribu aussi élitiste ne saurait admettre qu'on la dépossède du monopole de la compassion (aveugle) populaire, surtout pendant les temps qui courent où le mythe de la Shoah bat son plein en France ( pour avoir transporter des juifs vers l'Allemagne, les locomotives et leurs conducteurs, sont l'objet d'une vendetta institutionnalisée et sont trainés devant les tribunaux de sanhédrins - ( Lien et Lien important)
  Dans le rayon "désinformation", un autre gardien 
d'enceinte, le perfide "JeuneAfrique". Cette fois sans pudeur et avec désinvolture, le magazine prêche l'oubli et l'amnistie-amnésie générale, ainsi que l'indulgence envers les criminels. Insidieusement, tentant de décevoir et tromper les victimes. La désinformation en pleine action, "l'arme silencieuse pour guerre tranquille".  JA continue dans la lancée :
«Tout indique donc que l'instruction ouverte par le juge Bruguière puis manifestement contredite par ses successeurs depuis 2008 s'achèvera à terme sur un non-lieu général. Un nouveau chapitre, enfin positif, s'ouvrira alors entre Paris et Kigali, même si rien ne sera plus jamais comme avant 1994. Il restera alors à la France et à tous ceux, ministres et officiers généraux, qui eurent à connaître du génocide rwandais, à exorciser les démons du passé. Après tout, l'autocritique n'a jamais été synonyme de déshonneur, bien au contraire.»
Et la justice dans tout celà ? Trop luxueuse pour les misérables Africains ?
Dépêché sur les lieux du crime, notre Buffalo Bill ne fait aucune allusion à l'implication de la France, détournant l'attention de l'opinion et noyant le poisson, il dirige les débats vers un casse tête d'analyse balistico-chimique qui sert à brouiller les pistes, objet de sa mission.
Le juge est accompagné de Fabienne Pous. A propos de la doyenne des juges d'instruction de Paris, lire une lettre qui lui a été adressée par un plaignant Michel Dakar(Lien) qui dévoile le parti pris pro-sioniste de la magistrature, et donne un aperçu du quadrillage institutionnalisé de la justice française par la Kosher Nostra. Cette dénonciation lui a valu, violence et répression sioniste le poursuivant quotidiennement,  l'obligation de passer un examen psychiatrique !
  Extrait de la lettre :
« Par contre, il est clair que ma requête dérange la Cour européenne des droits de l’homme, car elle met en évidence que la justice française est totalement inféodée aux sionistes, qui commandent ses magistrats, tant ceux du siège que ceux du parquet, qu’au le ministre de la justice, ce qui implique directement que le gouvernement français est inféodé aux sionistes, et que les sionistes utilisent l’appareil judiciaire français pour étouffer toute dénonciation de leur génocide sur la population palestinienne.
Ainsi, la doyenne des juges d’instruction de Paris, Mme Fabienne POUS, innove dans sa fonction, en ignorant totalement ma plainte contre le CRIF et M. Roger CUKIERMAN. En effet, au mépris du code de procédure pénale qu’elle a pourtant l’obligation de respecter, elle ne constate même pas l’existence de cette plainte, alors qu’elle doit, en respect de ce code, émettre dès la réception d’une plainte, une ordonnance de constat en attestant l’existence.
L’une concernera le Procureur général près la Cour d’appel de Paris, M. Yves BOT, pour faux en écriture publique, et le juge du siège de la 17ème chambre du Tribunal de grande instance de Paris, M. Nicolas BONNAL, pour complicité de faux en écriture publique dans cette même affaire. Ces faux ont permis de me condamner à 5000 euros d’amende et à 1 mois de prison avec sursis, cela dans le but de me faire abandonner mes dénonciations judiciaires du génocide des Palestiniens par les juifs sionistes. Ma plainte contre le CRIF, qui a organisé ces faux, a été déposée devant la doyenne des juges d’instruction de Paris, Mme Fabienne POUS. Cette plainte a été contrecarrée par Mme POUS, par l’émission d’une ordonnance de consignation de 6000 euros que j’aurais dû verser si j’avais voulu que cette plainte soit étudiée en apparence. »
 Une tradition chez le n°1 de la lutte contre le terrorisme, est de faire des déclarations fracassantes, tout en fixant  des bornes qu'il ne saurait transgresser, car inviolables et sacrées; exemple : oser murmurer le nom des talmudipèdes impliqués dans les opérations de prédation financière, des magouilles politiques, des abus de pouvoir, de désinformation, de manipulation sociale. Il ne peut pas, même s'il le souhaitait. Le rapport de force est trop déséquilibré. Des hommes intègres ont essayé et fini, soit dans le fourgon mortuaire, le déshonneur, ou totalement désavoués par l'opinion sous le coup de diffamations et de mensonges montés par les média à la solde de la Kosher Nostra.        
Pour son enquête sur le meurtre des Moines de Tibhirine, l'objectif est autre. Buffalo Bill se met au service d'une opération d'intox qui se prépare, nivellant le terrain pour l'ingérence du NOM dans les affaires intérieures de l'Algérie.
L'ouverture des tombes des Moines décapités risque-t-elle de dévoiler l'existence de quelque armes de destruction massive que les Moines auraient peut être découvertes ? Ce qui aurait précipité leur exécution ? Un scénario idéal pour le prétexte d'une campagne de culpabilisation contre l'Algérie.
Au stade où le mensonge officiel gravite, dans les milieux de la subversion internationale, l'imagination ne manque pas pour démontrer la justesse de la logique
du criminel :  "lorsqu'on veut noyer son chat...",
ou celle du loup : "si ce n'est pas toi, c'est ton frère !"
Le plus répugnant et nauséabond dans ce stratagème de Satan et de sa progéniture, est le ralliement des média indépendants locaux à la campagne d'intox.
Nos démoncrates d'El Watan, d'El Khabar, de TSA et de la myriade de chevaux de Troie du talmudisme belliqueux, nous dévoilent dans quel camp ils se positionnent, via leur participation au vacarme audio visuel entourant l'autopsie archéologique post-mortem lancée de Paris-Seine, ou spirituellement parlant Paris-Aviv (capitale de la France colonisée).
L'objectif est de régler des comptes avec le pays des Martyrs, sous couvert de "combat pour la liberté et la démocratie", un vernis du travail de sape sociale, un masque de leur sournoiserie, au rythme des largesses de BNP Paribas, leur sponsor et financier.  
Viendra le moment opportun pour les juger. Pendant ce temps, qu'on se souvienne de leur choix, délibéré et malveillant, car la trahison est leur profession. 
La TRAHISON parmi nous, qui dure depuis 20 ans !
 
                                A Suivre....