Introduction (illustration).
Mécanismes sociologiques et psychologiques similaires :
«Relation entre le dictateur et son peuple : le dictateur finit par devenir l'objet d'admiration et d'idolâtrie que l'on s'interdit de critiquer ou de détester»
Comment et pourquoi les tyrans conservent-ils longtemps l'affection des victimes de leurs sévices et des abus de leur dictature ?
La question relève de la psychologie, et ceux qui souhaitent se soigner..... de la psychiatrie !
Comment expliquer que les gens s'adaptent à leur esclavage et finissent par adorer leurs maitres-esclavagistes ?
La réponse m'a été donné par un ami que je ne citerai pas, et l'explication se situe dans le phénomène que les psychologues appellent le syndrome de Stockholm !
Étonnante la définition et combien pertinente !
«Le syndrome de Stockholm désigne un trouble psychique qui affecte des personnes prises en otage et qui, au cours de leur captivité, tissent des liens d'empathie, voir d'amitié, avec leurs ravisseurs. Les otages, une fois libérés, refusent de témoigner contre leurs ravisseurs.»
Mécanismes sociologiques et psychologiques similaires :
«Relation entre le dictateur et son peuple : le dictateur finit par devenir l'objet d'admiration et d'idolâtrie que l'on s'interdit de critiquer ou de détester»
Comment et pourquoi les tyrans conservent-ils longtemps l'affection des victimes de leurs sévices et des abus de leur dictature ?
La question relève de la psychologie, et ceux qui souhaitent se soigner..... de la psychiatrie !
Comment expliquer que les gens s'adaptent à leur esclavage et finissent par adorer leurs maitres-esclavagistes ?
La réponse m'a été donné par un ami que je ne citerai pas, et l'explication se situe dans le phénomène que les psychologues appellent le syndrome de Stockholm !
Étonnante la définition et combien pertinente !
«Le syndrome de Stockholm désigne un trouble psychique qui affecte des personnes prises en otage et qui, au cours de leur captivité, tissent des liens d'empathie, voir d'amitié, avec leurs ravisseurs. Les otages, une fois libérés, refusent de témoigner contre leurs ravisseurs.»
La nocivité des vaccins n'est plus à démontrer. Leurs méfaits durent parfois à long terme. |