Le chroniqueur d'Oran multiplie ses actes de provocation contre 35 millions de paisibles algériens qui refusent de s'impliquer dans la révolution suspecte et la campagne de déstabilisation qui affectent les pays arabes et que les maitres de l'intrigue ont encensés de l'oxymore "printemps". Les malheurs qui affligent les nombreux pays arabes ciblés par les proxies du sionisme (OTAN-EU) deviennent de plus en plus instinctivement perceptibles par la majorité des citoyens de cette région traversée par le "Tsunami" que Webster H. Tarpley avait prévu le 16 janvier 2011 (Lien). Le déroulement des opérations lancées par la CIA-MI6 (lire "filiales du MOSSAD") contre les pays arabes est chronologiquement et minutieusement documenté sur le site de l'écrivain-historien, dont la renommée n'est plus à démontrer par son engagement militant d'avocat de la vérité". La déontologie chez ce reporter d'investigation n'est pas un vain mot, car faire du reportage et publier des informations, présume une visite des lieux et l'observation des faits réels d'un œil critique, débarrassé des préjudices et positionnement politique ou idéologique (Lien de la vidéo). Après un constat physique et le recensement des témoignages, les analyses synthétisent toutes ces données en ignorant les modèles et thèses dressés dans les manuels de l'histoire "officielle". Le pouvoir occulte de l'oligarchie juive par son monopole des média dominants et le tripotage de la communication et de l'éducation , falsifie le contenu et la description à la fois, de l'actualité et du passé historique. Le lecteur reste ébahi devant l'incroyable corruption de l'Histoire et l'aliénation de l'opinion qui en résulte, lorsqu'il découvre les "dessous" d'événement majeurs déclenchés par les intrigues des banquiers juifs. Ils sont les instigateurs des plus grandes tragédies que l'humanité ait enduré, la colonisation, l'esclavage, les conflits majeurs causes de génocides de dizaine de millions de victimes auxquelles leur manuel de la perversion, le Talmude, réfère à "Goyim" ou encore "ânes et d'excrément".
Nul lecteur avisé, soucieux de s'informer honnêtement et utilement, ne devrait se priver de la consultation des écrits publiées par Tarpley, particulièrement celles à caractère historique (Lien pour l'accès à quelques documents pertinents) et site-Lien (articles en plusieurs langues). De manière générale ses analyses rejoignent celles de Thierry Meyssan (Voltaire.org) fondateur du réseau qui dispose de reporters sur tous les continents mais qui a la particularité d'offrir des informations sur le Moyen Orient à contre courant de celles diffusées par les média dominants d'allégeance sioniste, directement contrôlées par l'oligarchie judéo-talmude et harmonieusement synchronisées avec leurs agents arabes regroupés autour d'El-Jazira, El-arabia, les quotidiens et chroniqueurs mondialistes (El Watan, Echourouk, le déculotté Kamel DÔud, et la horde subversive d'un grand nombre de journalistes "indépendants").
La présence sur le terrain est rendue difficile par les restrictions propres à chaque état et des conditions sécuritaires souvent complexes. Exemple éclatant, Israël où est interdit aux journalistes le moindre commentaire contredisant les thèses de l'entité sioniste, et où la vérification des déclarations des criminels de guerre juifs est prohibée. L'antisémitisme est un autre garde fou érigé, élevant la propagande suprématiste juive au rang de révélation divine sacrée. Les quelques journalistes présents en Palestine occupée, à l'image de ceux assignés par El Jazira, jouent le rôle de caisse de résonance-enregistrement de l'intox juive. Par contre ceux présents dans les pays en conflit avec Israël (Iran, Liban, Syrie ) bénéficient de plus de liberté contrairement à ce que veut nous faire croire la machine à mensonge occidentale. Nombreux sont les gens de l'information qui y trouvent refuge et airent leur opinion contestataire au Nouvel Ordre Mondial.
Le Nouvel Ordre œuvre à l'instauration de la suprématie du peuple "élu" sur le reste des Goyims . Fait déjà établi mais à qui il manque l'aura occulte du Dajjal (Anti christ) que les juifs sionistes et leur hiérarchie "illuminati" présagent pour sceller leur tyrannie.
L'engagement de Meyssan pour dénoncer les méfaits du Nouvel Ordre Mondial lui ont valu plusieurs tentatives d'assassinat et d'enlèvement et l'ont contraint à un exode forcé au Moyen Orient. Ses derniers témoignages de Tripoli sont la carte de visite de son engagement contre la tyrannie du NOM. Ses révélations et ceux de Tarpley sont réconfortantes autant ils argumentent la défense morale des pays ciblés par les actes de guerre de l'OTAN-EU-USA et offrent une perspective différente de celle véhiculée par les média dominants et les organisations complaisantes (ONU, ONG). La guerre illégale est tolérée aussi longtemps qu'il s'agit de crimes contre les civils Arabes et Musulmans, une tradition bien ancrée dans la bonne conscience des élites et des troupeaux de mouton se réclamant de "l'axe du bien". Pour leurs intérêts et les objectifs impérialistes qu'ils se sont fixés, les membres de "l'axe" agissent selon une logique propre, criminelle et égocentrique, sans scrupules ni clémence, que la raison désapprouve et le droit international réprouve. Le paradoxe illisible et inconcevable est celui de l'adhésion à l'idéologie mensongère véhiculée par le NOM de groupes et d'individus résidents des pays visés par la vague impérialiste de l'OTAN-EU-USA. Les pires d'entre eux affiliés à El Watan, rejoints par les islamistes de façade, nouveaux alliés du NOM après l'accord scellé entre la CIA et El-Qaida et la coopération effective qui se concrétise ouvertement dans les opérations militaires et la subversion sociale. Ces agents médiatiques font office d'outils de propagande occupant le double rôle de diversion et d'endoctrinement. Le 1er rôle consiste à confondre l'opinion sur la nature de l'intervention militaire dépeinte comme "humanitaire", mais à caractère réel, hégémonique et impérialiste. Le 2nd rôle ou mission, consiste à glorifier l'agression en espérant provoquer un mouvement de contestation local et déclencher des troubles sociaux préparant une intervention étrangère. Dans les deux cas, le travail effectué s'apparente à de la haute trahison, à de l'action subversive déguisée, apanage de "l'ennemi parmi nous" qui ne dissimule plus ses affinités et ses obligations envers la hiérarchie maçonnique suprême, l'élite mondialiste juive.
Des agents sont activés et s'engagent ouvertement dans le travail de sape psychologique pour lequel ils ont démontré leur servitude et leurs talents. Un exemple typique est celui
du chroniqueur Kamel DaÔud qui a complétement renoncer à son bouillon de culture infect pour mijoter des plats
intoxiqués dans la marmite de la politique et de la géo-stratégie. Le thème diffère mais le venin du mensonge est identique. Quelque extraits du poison distillé dernièrement dans des articles tendancieux condamnables par toutes règles déontologiques, notez son usage abusif de la liberté d'expression, sa haine et mépris de l'arabe et du musulman, les créneaux de sa prédilection littéraire :
(L'article est publié au Lien. Ne vous imaginez pas lire Benjamin Netanyahu, premier ministre israélien et criminel de guerre ! L'auteur le surpasse, on croirait entendre le porte parole non officiel en Algérie de Shimon Péres.
L'Ôrdure Kamel DaÔud chroniqueur au Quotidien d'Oran, fait un pied de nez à 1500 millions de musulmans et à au moins 200 d'Arabes. Appréciez sa pure chutzpah talmude ! Cynique ! )
«Comprendre : Saladin va revenir ou est revenu, va libérer la Palestine, inventer la roue et nous rétablir dans notre droit d'anciens propriétaires du monde, avant la chute de Grenade. Un mythe profond, enraciné comme une dent, tenace et nourri avec du vent et des poèmes. Saladin a été un peu Saddam avant que l'on découvre que c'est un rat caché dans un trou à Tikrit, armé d'une poignée de sable et capable de tuer les siens, pas les ennemis de son pays. Puis Saladin a été, secrètement, le Ben Laden, avant que l'on comprenne que c'est un tueur des siens par les autres, un voleur d'âme, et une fiction ravageuse. Puis Saladin a été la poésie, le chant, le cri, les images et la cause palestinienne. Saladin a été présenté comme étant Arafat puis, en dernier sur la liste, sous la forme de Nasrollah, le chef du Hezbollah. Un moment, un long moment, les enfants de la génération du chroniqueur y ont vu le vainqueur par zéro à zéro d'Israël et sa légendaire armée, le bouclier, le dernier, contre l'invasion, le nez des Arabes, le seul parti qui vaut dix Etats. Puis ce fut la fin.»
«Les sectes genre Hezbollah démontrent aujourd'hui qu'elles se soucient peu de vos libertés et de vos martyrs. Ce n'est pas faire le jeu de l'Occident que d'en parler, mais assumer la lucidité : nous sommes seuls et ces gens-là, tous ces gens dits de Dieu ou de la décolonisation, sont nos ennemis et, surtout, les ennemis de nos enfants à venir. Hezbollah n'est pas Saladin, mais un parti armé qui sert les intérêts de ses maîtres. C'est la définition la plus exacte du terrorisme. La Syrie de Bachar est un nid de rats qui commencent à s'inquiéter face à la Syrie du peuple.»
«Comprendre : Saladin va revenir ou est revenu, va libérer la Palestine, inventer la roue et nous rétablir dans notre droit d'anciens propriétaires du monde, avant la chute de Grenade. Un mythe profond, enraciné comme une dent, tenace et nourri avec du vent et des poèmes. Saladin a été un peu Saddam avant que l'on découvre que c'est un rat caché dans un trou à Tikrit, armé d'une poignée de sable et capable de tuer les siens, pas les ennemis de son pays. Puis Saladin a été, secrètement, le Ben Laden, avant que l'on comprenne que c'est un tueur des siens par les autres, un voleur d'âme, et une fiction ravageuse. Puis Saladin a été la poésie, le chant, le cri, les images et la cause palestinienne. Saladin a été présenté comme étant Arafat puis, en dernier sur la liste, sous la forme de Nasrollah, le chef du Hezbollah. Un moment, un long moment, les enfants de la génération du chroniqueur y ont vu le vainqueur par zéro à zéro d'Israël et sa légendaire armée, le bouclier, le dernier, contre l'invasion, le nez des Arabes, le seul parti qui vaut dix Etats. Puis ce fut la fin.»
«Les sectes genre Hezbollah démontrent aujourd'hui qu'elles se soucient peu de vos libertés et de vos martyrs. Ce n'est pas faire le jeu de l'Occident que d'en parler, mais assumer la lucidité : nous sommes seuls et ces gens-là, tous ces gens dits de Dieu ou de la décolonisation, sont nos ennemis et, surtout, les ennemis de nos enfants à venir. Hezbollah n'est pas Saladin, mais un parti armé qui sert les intérêts de ses maîtres. C'est la définition la plus exacte du terrorisme. La Syrie de Bachar est un nid de rats qui commencent à s'inquiéter face à la Syrie du peuple.»
N'est-ce pas du délire, ces théorie de la conspiration ?
Réponse à anonyme:
«L'énergie ne manquant pas, investissons la, par civisme, dans les campagnes de...DÉRATISATION.
La fosse septique n'étant pas un remède radical, car ils s'y multiplient naturellement et une fois dehors sèment la peste. La lecture des commentaires (s'ils s'avèrent authentiques) de lecteurs naïfs ou sous l'emprise de ce djinn, est alarmante tant elle signale les dommages que ce malveillant inflige aux abonnés du Quotidien d'Oran (entre autre). Malfait que toute personne intègre aurait tort de sous estimer. Vous devriez jeter un coup d’œil à la rubrique de ce pestiféré, peut être que vous rejoindrez mes efforts pour dénoncer le travail de sape social que cet agent subversif opère, dans les média, à l'instigation de forces occultes en guerre contre la nation.
Reste que vos appréciations sont encourageantes dans la mesure où elles réconfortent mes conclusions et mon analyse personnelle. Ce que je tente de partager avec le plus grand nombre de personnes averties.
Assalam aalikoum.»