En mission à Paris, chez l'UNESCO (ses anciens employeurs), Benghabrit découvre ...la Chine. N'en avait-elle jamais entendu parler ou ignorait-elle ce grand pays et allié de l'Algérie, en passe de devenir LA puissance mondiale toutes activités comprises. Comment celà s'est produit ? Après la rencontre avec le ministre chinois. Où ?
On ne sait pas si c'est faute d'un ascenseur bloqué, que les deux ministres, face à face, ont trouvé le temps de discuter de l'introduction de la langue chinois dans nos écoles ? Toujours est-il qu'il était temps, car partout ailleurs les étudiants accourent à Beijing et Shanghai pour s'initier à l'idiome local et des facultés dans toutes les universités et collèges DU MONDE ouvrent de nouveaux départements dédiés à l'apprentissage et maitrise du chinois accompagnés de sections spéciales réservées à l'étude de la culture-littérature-archéologie-arts-anthropologie-histoire-économie-politique-finance....enfin presque tout du pays.
Notre madame Benghabrit, en bonne élève et ex-employée de l'UNESCO a des options différentes, ses chevaux de bataille sont avant tout le dialecte amazigh (sa mutation uniformisée nationale en langue n'est pas achevée), les langues française et italienne, Yennayer, et ...Daridja !
Les captures suivantes illustrent la politique benghabritienne de l'apprentissage des langues et des priorités qu'elle s'est fixée d'introduire.
Qu'Allah protège l'Algérie des intrigues de ceux qui feignent d'ignorer les vrais enjeux, et les intérêts du pays des chouhadas.
Cette mercenaire de l'UNESCO est un danger civilisationnel, ce qui n'empêchent pas nos média, mêmes les chaines publiques nationales, d'intoxiquer notre vue de ses mouvements quotidiens, et nous défier par ses déclarations mensongères.