CIA-MOSSAD-MI6 : Activité combinée Des Agences d'espionnage en Syrie.(english.pravda.ru)
De Damas, Webster Tarpley dénonce la CIA, le Mossad et M16 agissant ensemble en Syrie.
Les pays occidentaux font tout leur possible pour perturber la paix civile en Syrie, a dénoncé l'écrivain et journaliste américain, Webster Tarpley (Vermelho,. Voltaire) à Damas, la capitale syrienne à la télévision RT (Russia Today). Selon lui, les civils syriens ont à traiter quotidiennement avec des escadrons de la mort et le terrorisme aveugle, ce qui est typique des actions secrètes de sabotage et de déstabilisation utilisée par la CIA. A l'origine de cette stratégie de déstabilisation on retrouve l'ambassadeur américain Ford, un "spécialiste" talmude du monde arabe.
Les pays occidentaux font tout leur possible pour perturber la paix civile en Syrie, a dénoncé l'écrivain et journaliste américain, Webster Tarpley (Vermelho,. Voltaire) à Damas, la capitale syrienne à la télévision RT (Russia Today). Selon lui, les civils syriens ont à traiter quotidiennement avec des escadrons de la mort et le terrorisme aveugle, ce qui est typique des actions secrètes de sabotage et de déstabilisation utilisée par la CIA. A l'origine de cette stratégie de déstabilisation on retrouve l'ambassadeur américain Ford, un "spécialiste" talmude du monde arabe.
L'ex-ambassadeur américain en Syrie, Robert S. Ford * ( à droite), est, selon des sources fiables **, le fonctionnaire clé du Département d’État américain,et a été responsable du recrutement de terroristes arabes pour créer des «escadrons de la mort», généralement avec des militants d'Al-Qaïda (l'organisme financé par la CIA) pour ces mêmes unités comme en Afghanistan, en Irak, au Yémen et en Tchétchénie, pour lutter maintenant contre l'armée syrienne et la police en Syrie et à créer une guerre civile dans ce pays.
Pour comprendre et apprendre l'Histoire en se servant de son bon sens, pas des manuels scolaires "fabriqués" par la Kosher Nostra, re-lisons les écrits d'observateurs neutres (Lien).Une traduction publiée par Silviacattori.net :
Un Talmudipède, ennemi de l'humanité.
Wayne Madsen
a été informé par des sources fiables que l’ambassadeur américain en
Syrie, Robert S. Ford, est le fonctionnaire clé du Département d’État
responsable du recrutement d’ « escadrons de la mort »
arabes auprès des unités affiliées à Al-Qaïda en Afghanistan, en Irak,
au Yémen, et en Tchétchénie, pour lutter contre l’armée et les forces de
police syriennes dans la Syrie assiégée. Ford a servi comme « Political Officer »
à l’ambassade des États-Unis à Bagdad de 2004 à 2006 sous l’ambassadeur
John Negroponte qui fut ambassadeur des États-Unis au Honduras de 1981 à
1985. Negroponte a été un personnage clé dans le programme secret des
États-Unis pour armer les Contras du Nicaragua et dans le soutien aux
unités paramilitaires criminelles au Salvador et au Honduras qui lui a
valu le surnom de « Mr. Death Squad » (« Monsieur Escadron de la Mort ») .
Negroponte a chargé Ford de mettre en œuvre l ’« option El Salvador »
en Irak, par l’utilisation de milices chiites irakiennes et de
Pechmergas kurdes pour assassiner, enlever, et torturer des dirigeants
irakiens de l’insurrection, en Irak et à travers la frontière avec la
Syrie. L’opération a été baptisée d’après les opérations d’Escadrons de
la Mort de Negroponte en Amérique centrale dans les années 1980.
Ford est devenu le pivot du recrutement
d’Arabes et de musulmans du Moyen-Orient et d’ailleurs pour mener la
guerre contre les forces de sécurité loyales au président syrien Bachar
al-Assad. Les terroristes soutenus par les États-Unis ont non seulement
mené des attaques contre les forces de sécurité syriennes, mais ont
aussi massacré des civils dans des opérations sous « faux drapeau » attribuées par la suite aux forces du gouvernement syrien. WMR a été informé que les opérations de Ford en Syrie étaient menées avec l’aide du Mossad israélien.
_________________________
(*) ne vous fiez pas au patronyme anglais, l'agent criminel du gouvernement US est un pure pédigrée talmude. Un modèle version américaine du Juif-français BH.Levi, affecté au monde arabe, avec comme couverture la fonction d'ambassadeur et au service uniquement du sionisme-talmudisme !
(**) Suggère les liens suivants (Lien, Lien, Lien) pour confirmation du type d'activité ces diplomates américains exercent : la subversion directe nivelant le terrain à l'agression militaire. Toutes les règles traditionnelles régissant les relations et accords internationaux sont bafoués en ces temps
où la justice est piétinée sous les bottes des armées du Nouvel Ordre Mondial Juif. ____________________________
Pendant
son séjour en Algérie, Ford trouva des collabos (harkis) prêt à lui
offrir leur service. Dans les média, El Watan et ses acolytes des média indépendants, et un nombre d'autres personnalités politiques dont j'en citerai le plus en vue alors, Said
Saadi le copain à BHL.
El Watan remplissant le rôle de porte parole de Ford et publiant en grands titres les déclarations malveillantes que ce criminel de guerre annonçait (18 Déc 2010) : «.M. Ford estime que ses interlocuteurs ont dépeint une image "d’un régime
algérien fragile comme il ne l’a jamais été par le passé, en proie à un
manque de vision atteignant des niveaux de corruption sans précédent
et à des rumeurs sur des divisions au sein de l’armée". Qualifiant ses
contacts algériens de "souvent grincheux", l’ambassadeur souligne qu’il
arrive, aujourd’hui plus qu’avant, de les voir parler de "l’incapacité
du gouvernement à faire face aux problèmes politiques, économiques et
sécuritaires". M. Ford, dans son mémo datant du 19 décembre 2007, soit
quelques jours après le double attentat du 11 décembre à Alger, souligne
: "L’image d’un Président isolé – un processus de réformes stagnant et
une approche incertaine contre le terrorisme – vient à un moment où des
efforts sont déployés par le gouvernement pour faire passer l’option du
troisième mandat." Et de dire : "Nous n’avons pas l’impression qu’il
sera question d’une explosion à venir tout de suite. Mais nous voyons un
gouvernement à la dérive, qui tâtonne à aller de l’avant."
...«Le 3 décembre 2007, Ford reçoit le président du Rassemblement pour la
culture et la démocratie (RCD), Saïd Sadi, qui dit avoir présenté un
aperçu sombre du régime qu’il accuse de manquer de vision et de
capacité. Sadi aurait dit à Ford que "le contexte actuel fait état de
stagnation dans les domaines économique et politique, les institutions
de l’Etat souffrent de corrosion de l’intérieur et perdent beaucoup de
leurs meilleurs cadres".»
..«Le même X se dit d’accord avec l’analyse de Saïd Sadi comparant le
gouvernement à «la secte de Tikrit et dans laquelle un nombre
disproportionné de ministres et de généraux provient de la région de
l’Ouest et de Tlemcen comme le président Bouteflika». Saïd Sadi, note
Ford, aurait mis en garde les Etats-Unis contre le silence sur la
détérioration de l’état de la démocratie en Algérie. Le président du
RCD, indique M. Ford, voit un soutien de l’extérieur comme essentiel à
la survie de la démocratie. "Si les Etats-Unis sont complices du
changement de la Constitution et pour permettre à Bouteflika un
troisième mandat, ils risquent de perdre les jeunes qui sont la force de
l’avenir", met en garde Saïd Sadi.»
...«Ford a rappelé à Sadi les multiples efforts fournis pour maintenir
ouvert le bureau du National Democratic Institut (NDI) et avoir soulevé à
plusieurs reprises les problèmes du processus électoral et sa
crédibilité. L’ambassadeur a exhorté le RCD – et d’autres partis
politiques qui demandent un soutien américain – à faire mieux entendre
leurs voix : "La démarche américaine pour demander la levée des
obstacles à la démocratie ne serait crédible que si les partis
politiques algériens élevaient eux-mêmes la voix." Lors d’un dîner, le
18 décembre, l’ancien ministre et magistrat, Leïla Aslaoui, a estimé
qu’il y a une démobilisation de la part d’une partie de la société
algérienne sur la lutte contre le terrorisme.
Elle a confié à M. Ford que le gouvernement lui a avait demandé
d’organiser une marche pour dénoncer le terrorisme après ces attentats
et elle a refusé car, a-t-elle dit, «si c’était dans les années 1990
elle n’aurait pas hésité à le faire, mais maintenant elle dit avec
amertume ne rien vouloir faire pour aider l’approche sécuritaire du
gouvernement»