L'Arkounisme est sous soins intensifs mais n'est pas mort ! El Watan prends en charge la noble mission de ressusciter l'œuvre de l'islamologue M.Arkoun grâce à un rendez-vous littéraire réunissant des fervents admirateurs du défunt. Des article en date du 20.12.2010 (Lien et Lien), mijotés par Nadjia Bouaricha et Madjid Makedi, chroniqueurs habituellement chargés respectivement :
-des affaires de viol et de harassement sexuel,
-et spécialiste de l'intox anti algérienne (constater sa perfidie littéraire au Lien, dans lequel il compare l'Algérie à la Côte D'Ivoire ). Deux orientalistes en herbe qui dissimulent modestement un savoir encyclopédique sur le coran et les sciences islamiques. L'orientalisme moribond sous perfusion doit sa survie au vacarme que tentent de propager les média traditionnellement laïcs.
-Annoncera-t-on une conversion massive à l'Islam de ces suppôts impies ?
-Question facilement élucidée : peu probable.
-Pourquoi ? Parce que trop arrogants et impliqués dans une propagande islamophobe virulente. Ces ennemis de l'Islam ont revêtu l'apparat de philosophe pour corrompre les convictions des musulmans en espérant semer le doute et l'incertitude dans leur esprit, par le pédantisme et des connaissances superficielles vides de spiritualité, gangrénées par l'illusion de la rationalité. La révolte contre Dieu, pour se justifier, s'orne de justificatifs. La "raison" étant la principale, les autres sont les arguments dissimulés dans le scientisme. Comme les Rabbins, ils ne croiront en Dieu que lorsqu'Il se sera révélé à leurs yeux, pas par la révélation de Sa Parole et la venue de ses Prophètes et Messagers !
Symptomatique de l'arrogance, "chutzpah" |
Parmi les "érudits" au rendez-vous mensuel des débats d’El Watan la présence de Yadh Ben Achour, invité non fortuit du cheval de Troie Rotschildien El Watan, ce frère Tunisien, en réalité un crypto-juif, qui déclaré à l'Institut Pontifical d'Etudes Arabes Islamiques :"la ré-interprétation de tout le corpus savant élaboré au cours de l'histoire islamique".... et " pour adapter l'Islam à la philosophie des Droits de l'homme". Rien que ça ! Voir vidéo au Lien . Ce spécialiste de politique, religion et droit dans le monde arabe s'est positionné à l'intérieur de l'agitation intellectuelle stérile de l'islamologie qui tente de démontrer la nécessité de "moderniser" l'Islam et les Musulmans, en optant pour une ouverture sur la "modernité" chimérique.
Lisons quelques extraits des commentaires qui ont jailli de ce brouhaha de sourds et d'aveugles atteints de fantasmes inconscients qui confondent "Islam religion divine de la foi" et les spéculations philosophiques propagées par le laïcisme, couvoir de la négation de Dieu. La confusion régnant dans l'esprit de ces hypocrites provient du fait qu'il combattent ce qui leur déplait, l'Islam, en tentant de l'ensevelir dans la décharge d'ordures de la laïcité après l'avoir emballé dans l'abstraction utopique de la "modernité, mais Dieu l'interdisant, ils râlent leur désarroi dans des débats stériles.
L'orientation du débat est subtilement modulée dés l'ouverture par Mohammed Hachemaoui , de l’Institut d’Etudes Politiques de Paris (ses critiques acerbes de Bouteflika fabriquées dans la capitale française sont réunies dans un recueil de commérages enrobés de verbiage socio-politique intitulé « Clientélisme et corruption dans le système politique algérien (1999/2004) » )
-«Pourquoi la pensée «arkounienne» rencontre-t-elle une farouche opposition en Algérie et dans la majorité des pays arabes ? Pourquoi ses ouvrages ne sont pas disponibles en Algérie ? L’Islam et le Coran sont-ils incompatibles avec les idées réformatrices ?»
-«Il faut dire que les exposés des deux conférenciers ont suscité de nombreuses questions. C’est en particulier l’intervention critique de M. Benkheira à l’égard de l’œuvre de Mohammed Arkoun qui a provoqué le plus d’interrogations. Son jugement négatif de la contribution de l’enfant de Taourirt Mimoun (Tizi Ouzou) aux études islamiques a soulevé des réactions à la limite de l’indignation (Sacrilège ?).»
Benkheira, un cheveu dans la soupe arkounienne :
-«Je connaissais bien Arkoun et j’ai fait ma thèse sous sa direction. Mais j’ai essayé de faire une évaluation critique de sa contribution aux études islamiques»
Viennent la provocation et l'insulte, et qui mieux pour les professer que le représentant des "maitres de l'intrigue" :
-«Intervenant dans ce sens, Yadh Ben Achour consolide cette idée : «Je défie quiconque de me donner un verset coranique clair (!!!). Mohamed Arkoun a raison de dire que le texte coranique est ouvert. Donnez-moi un seul texte coranique qu’on puisse utiliser comme un texte législatif.»
-«Pour donner corps à cette œuvre «arkounienne» faite de longues années de recherche et de lutte contre l’obscurantisme, M. Ben Achour s’est livré à un exercice didactique en vue de dire que Mohammed Arkoun était un défenseur de l’Islam.» (Islam "rajeuni" ?)
-«Depuis presque un siècle, la réforme du monde musulman est à l’ordre du jour. Quels que soient les auteurs ou leurs tendances, tous sont d’accord à reconnaître qu’il y a crise, et ce, parce que la pensée de l’Islam se trouve ankylosée par la passion dogmatique», souligne M. Benachour au début de son intervention, qui a capté l’attention de l’assistance.»(sous hypnose ?)
Puis le leurre sournois et historiquement frauduleux du fameux "retard" justifiant une reforme de l'Islam :
-«Le conférencier explique que si la crise du monde musulman est à scinder en deux facteurs – d’abord matériel : retards accumulés dans les domaines économique, technologique ; l’aspect philosophique : retard notable accusé dans les domaines de la culture, l’art, le droit, la littérature et la théologie.»
Savourant la crédulité de son audience, le fils de Satan (un loup introduit par Belhouchet dans la bergerie de l’hôtel Es-Safir d’Alger) continue :
-«Arkoun a adopté une autre méthode qui tend à déterminer les mécanismes par lesquels s’est institué le savoir musulman et le rapport à la direction sociale. En d’autres termes, il a proposé de déconstruire la constitution classique liée à une alliance entre le pouvoir politique et le religieux. Il s’est donc attaqué à l’orthodoxie pour faire émerger l’image d’un Islam rajeuni (par un lifting ?), une religion tolérante, de paix, et non pas une religion sclérosée et de violence».
Note l’invité du perfide et complice El Watan, vrai entremetteur de l'agression culturelle et religieuse montée en terre d'Islam même !
Et plus loin :
-«Pour ce qui est du constat de la crise, Arkoun estime qu’à partir du VIe siècle de l’hégire, il y a une corrélation étroite entre régression des sociétés musulmanes et ascension de l’Europe. Mais pas seulement, car quelque chose s’est produite entre les IVe et VIe siècles. La régression a été encouragée par l’institution des écoles théologiques via l’’achâarisme’ qui a favorisé la servilité intellectuelle, les disciples n’apportaient plus la contradiction à leurs maîtres.»
Devant le parterre d'ânes et de moutons (appellation réservée aux Goyim dans le Talmud, manuel éducatif des coreligionnaires de notre Yadh !) c'est le défoulement sans retenue et la diffamation qui accompagnent le plaisir sadique de l'effronté crypto-juif :
-«La lapidation, précisent-ils par exemple, n’a aucune existence dans le Coran. (Faux)
De même pour la polygamie qui est très codifiée dans le texte sacré. »
«Il y a un système de pensée installé par nos ancêtres
( Faux ! Installé par les nôtres ) et qui est fait pour durer. C’est ce système que Mohammed Arkoun a essayé de boxer pour le faire tomber»(Hélas il est tombé le premier !).
Peine perdue, il est là pour durer, malgré vos vaines tentatives de corruption. Ceci est dit dans le Coran, Coran que vous ne pouvez ni lire, ni comprendre, aveuglés par vos conceptions et convictions fausses.
Une autre abomination est vomie par Yadh, qui dévoile sa malveillance diabolique et l'objectif réel de son exposé, partager et compromettre ceux qui partageraient son blasphème congénital :
-«M. Ben Achour a conclu son exposé en disant qu’Arkoun défendait les droits de l’homme, le dialogue entre les religions, la démocratie, soit un Islam conforme à son message spirituel où l’homme est ami et non pas esclave de Dieu.»
Cette transgression au fondement de l'Islam, la soumission absolue à Allah, a du soulever la désapprobation de quelques participants, mais les deux journalistes ne le mentionnent pas. Par un jeu de mots en apparence anodine, Yadh décrète que l'homme est lui même une divinité égale à Dieu. C'est la marque de l'arrogance rabbinique défiant l'autorité divine qui est frauduleusement introduite dans le débat et ratifiée, avec le consentement tacite de l'audience.
Essentiel et fondamental le désir "d'être esclave d'Allah", l'état suprême de l'authenticité de la foi, un rang que le musulman convoite ardemment par sa soumission totale à la Volonté Divine, par ses actes, sa pensée et ses convictions.
L'hôtel Ess-Safir retentit depuis du sarcasme de Yadh Ben Achour pour l'affront qu'il a lancé à la face de l'audience, sous les applaudissements nourris d'hypocrites prédisposés à fêter ce genre d'infamie pour leur appartenance laïque, leur vraie et unique dénomination religieuse.