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17 janv. 2020

Alerte : L'agriculture est menacée ! Les lois des finances l'ont ruinée et paupérisée !

Alerte : L'agriculture est menacée !
Alors que " L’agriculture est encore le moteur des économies de la plupart des pays en développement et dans les pays industrialisés" (FAO), l'agriculteur/fellah compose la classe sociale la plus opprimée par la loi, les institutions, l'administration, les partis, les média, et par le ministère des finances.

Rappel : l'agriculture a été presque complètement détruite durant l'ère du socialisme et sa politique suicidaire de révolution agraire combinée à la nationalisation des terres.
Conséquence : d'exportateur l'Algérie s'était transformée en importatrice des produits agricoles de base (traditionnellement d'origine locale) soient les pomme de terre-tomate-oignon-ail, agrumes-céréales.

Des décennies passèrent jusqu'à 2008-13 (Rachid Benaissa, de Boussaada, vétérinaire, fonctionnaire du ministère de l'agriculture 1981-2013). Les décisions du ministre créèrent une organisation rationnelle de la production/commercialisation de ces produits de base. S'en suivit l'autosuffisance en pommes de terre-ail-oignons et une réduction consistante de l'importation de céréales.
Le gain/économie en devise se chiffre en $ milliards. Quelle récompense au fellah ? Wallou, ! Rien !
Bien au contraire et hélas trahi le Fellah crie son désarroi : malgré son apport à l'économie, il est ignoré et marginalisé par les gouvernants et pénalisé (pour pas dire saigné) par les lois des finances, depuis des décennies.
C'est la pratique courante de l'incompétence et du sabotage (subtile) dans le pays consistant à démobiliser et ruiner le citoyen producteur, rentable pour l'économie.
Le problème majeur : les prix des entrants et les taxes qu'il leur sont appliquées (TVA actuelle de 19 % !!!). Les prix sont fixés par les importateurs issabistes qui répercutent sur le fellah tous leurs coûts-impôts-profits exorbitants) ! Le fellah est ruiné, et nombreux ceux qui abandonnent la profession, et définitivement aucuns jeunes ne les remplacent !
Le ministère des finances est un assassin de l'agriculture ! L'actuel ministre Raouia est un incompétent fiscaliste que personne ne corrige ni critique, qui en est à sa 3em loi des finances et qui se montre, en ex-agent/employé du FMI, comme un Terminator de l'agriculture, activité clamée par les politichiens de la démagogie comme "l'avenir du pays".
===> http://www.fao.org/3/a0015f/a0015f03.htm

25 avr. 2015

Là où Sellal devrait se rendre pour demander conseil : Pékin ! Pas Paris !



 

LA CHINE EST PRESSENTIE EXIGER DES USA LE PAIEMENT URGENT DE SES DETTES ( plus $ trillon ) ! PAS EN MONEY DE SINGE QUE LA FED IMPRIME À PARTIR DE COURANTS D'AIR (LE DOLLAR), MAIS EN VALEURS PHYSIQUES RÉELLES, TERRES VIABLES ET DE BONNES QUALITÉS, ENTRE PRISES PERFORMANTES, ETC !
PAS DU PÉRISSABLE OU DU RABAIS ! ET IL N'EST PAS EXCLU QUE SI LE GOUVERNEMENT SIONISÉ DES USA REFUSE LES CHINOIS VONT SE SERVIR EUX-MÊMES !
http://tinyurl.com/q56oona
«Selon le plan, la Chine SAISIRAIT des entreprises américaines PERFORMANTES, DES SEGMENTS de l'infrastructure des États-Unis (ROUTES, transport), et des terres de haute valeur, le tout avec une garantie du gouvernement américain contre toute perte.
Yu Qiao, professeur d'économie à l'École de politique publique et de gestion à l'Université Tsighua à Pékin, a proposé en 2009 un plan pour le gouvernement américain de garantir les investissements étrangers aux États-Unis.
WND dispose d'informations fiables que la Banque de Chine, la banque centrale de la Chine, continue de faire avancer le plan pour convertir les avoirs de la Chine sur la dette américaine en actions détenues par la Chine aux États-Unis»

Là où Sellal devrait se rendre pour demander conseil : Pékin ! Pas Paris !




















2 août 2012

L'économie moderne repose presque entièrement sur ​​des mythes (corrigé)

Sciences économiques : Dés le premier abord on constate que le terme de "science" est controversé car non reconnu unanimement par les académiciens et les théoriciens qui abordent le sujet de la définition de cette branche du savoir ravagé par les controverses et les polémiques. Des écoles et des courants de pensée divergent sur le contenu, la méthode, l'empirisme ou l'approche cartésienne, la logique ou l'aléatoire, l'épistémologie, la scientificité, etc....
Dans www.scienceseconomiques.com la question est posée :              "L'économie est-elle une science ?"
      (Lien) «Les critères de scientificité en économie sont difficiles à trouver car sur de nombreux points l’économie ne fonctionne pas comme une science (grandes fractures idéologiques, écoles rivales) mais, malgré ces réserves, il est indispensable de les recenser.» 
Au même Lien :
     «L'épistémologie économique :
    "... Conclusion : L’économique est en avance sur les autres sciences sociales mais est en prise à de nombreux obstacles.
- La connaissance des fins économiques est la science d’un objet essentiellement changeant, les faits se définissant dans des contextes sociaux soumis aux aléas de l’histoire.
- Elle ne peut viser que des faits et non des évènements, ce qui limite sa capacité de prévision.
- Elle est inévitablement mêlée à l’idéologie.»
Différentes définitions effleurent la nature de cette "science", qu'on souhaite "une" parmi les sciences sociales, mais qui est y enchevêtrée.
 Wikipedia : «En réalité, il n'existe pas une seule définition de l'économie, mais plusieurs définitions, chaque définition renvoyant à des réalités sous-jacentes différentes. En effet, la science économique peut s'appliquer à de nombreux domaines (économie financière, internationale, politique, industrielle, du travail et des ressources humaines, publique, de la santé, de l'environnement, de l'éducation, etc.) être appliquée de différentes manières (méthode économétrique, microéconomique, macroéconomique, etc.) et y rechercher des objectifs différents (efficience, égalité, etc.).»
 La littérature qui traite de cet enchevêtrement de divers domaines du savoir a toujours été prolifique et elle succombe sous le poids des querelles qui règnent au sein des institutions académiques, dans les centres d'expertise, dans les organisations internationales, et dans la jungle des média, qui se spécialisent dans l'analyse et la prévision des indicateurs, l'évaluation de la performance des choix et décisions politiques initiatrices et  guides de l'activité économique.
Ce bref survol des "sciences économiques" dégage l'impression vague mais persistante de la présence, d'insuffisances,  d'inexactitudes dans le contenu, les méthodes, les objectifs, les programmes de l'enseignement, et en général dans la littérature qui traite du sujet. La leçon primordiale à retenir de cette prospection du monde controversé de l'économie nous dicte les règles d'or suivantes : la nécessité d'approcher tout texte qui s'en réclame avec prudence et surtout exiger des personnes qui s'y impliquent beaucoup de modestie, d'humilité  et de réserve. Ces règles d'or, que toute personne impliquée dans le débat et l'analyse économique devrait élever au rang d'axiome, ne sont hélas que rarement observées. Les déclarations des "économistes" sont souvent avancées comme vérités absolues, justifiées uniquement par la potion alambiquée de la persuasion, du verbiage, d'une logique boitillante, et une vision troublée par le brouillard de l'idéologie .
De l'examen formel de la littérature traitant des sciences économiques il ressort un constat hélas amer qui accable la majorité des professionnels et dévoile une tare collective :  l'impudence et le manque de retenue qui accablent leurs exposés. Tous dissertent avec la conviction de partager des vérités absolues et de présenter des arguments irréfutables. L'expérience démontre au contraire leurs défauts, leur approximation, leur médiocrité, leurs erreurs et la grossièreté de leur pensée.  L'anarchie et la panique qui règne dans le monde économique et financier suite aux crises endémiques qui sévissent depuis des décennies, sont la preuve de l’inadaptation des connaissances des experts et des conseillers en tout genre qui gèrent/administrent le chaos économique actuel.  La cause principale de cette avarie dans le fonctionnement de ce corps de la pensée se situe dans la manifestation de l'instinct de survie d'une profession qui abuse de ses prérogatives et enfreint les règles de la déontologie.  Qui de chercheur (qui n'a rien trouvé) ou d'enseignant arborant des diplômes honorifiques infructueux et inconsistants, tous s'accrochent au mythe de leur activité intellectuelle stérile, flétrie par la carence de fausse scientificité et de subjectivisme de la pensée.
En un mot ils plaident uniquement pour la sauvegarde de leur gagne pain !
 Pratique maudite de l'usurerie : Mal personnifié et source de toutes les misères  :
C'est le cancer qui ronge l'activité humaine supposée oeuvrer au bien être économique. Une vérité que la majorité de nos experts /universitaires/professionnels éludent, évitent de discuter en se dérobant devant un tabou suprême, celui de la critique ou la dénonciation de cette perfidie que les enfants de Satan ont introduite dans tous les mécanismes de la machine économique/financière.
Présente directement ou indirectement dans tous les recoins de l'activité économique, dans la monnaie, l'investissement, et par prolongement dans l'industrie/production, dans les secteurs commerciaux, dans les programmes d'enseignement, dans la culture et les loisirs (sport, arts), dans l'habitat, etc...
Les injustices majeures enregistrées à l'échelle planétaire, les souffrances de populations entières suite à l'endettement, les guerres financées sous label "d'aide militaire", l'exploitation incontrôlée des ressources et les retombées négatives (pollution, corruption, pillage) sont quelques conséquences des décisions "économiques" dictées par les puissantes sphères du pouvoir mondial qui contrôlent la planète. Existeraient-ils différents modes de gouvernance économique, ajustables selon les intérêts des uns et des autres ? Les sciences économiques seraient-elles modulables en fonction de la cupidité de ceux qui la fignolent à leur avantage ? Cette science n'est-elle qu'un outil ou une arme que ses concepteurs brandissent selon les circonstances pour atteindre leurs objectifs ?
Pour illustrer ce dilemme l'exemple de l'activité des banques, au passage toutes juives et présentes partout, qui inondent le marché de leurs produits financiers dans le but de piéger les clients (états, compagnies, individus) et les accoutumer à l'opium du crédit.  Les opérations financières commerciales sont sournoisement présentées comme "aide" (sic), "investissement", "soutien au développement", "coopération", "faveur", "assistance", "partenariat", ou sous de nombreuses oxymores que le public perçoit comme "aumône", "charité", "bienfaisance". Il s'avère hélas que la tentation de nombreux clients à bénéficier de prêts et "d'aide" tournent au cauchemar et leur situation déjà précaire se transforme en catastrophe humaine et en faillite économique, sous le poids de la dette ! Des théorie et des traités volumineux sont publiés pour vanter les bienfaits de l'investissement, mythe qu'on maquille pernicieusement pour dissimuler sa nature sous-jacente où sommeille le monstre shylock, maitre de la prédation usurière ! 
Recommandation primordiale:
Indépendamment du niveau de connaissance des mécanismes commerciaux, financiers, et des règles de gestion, une principe essentiel à respecter dans toute décision ou choix économique est celle qui consiste à s'isoler de l'emprise des banques. L'expert et le décideur se doivent de tracer un plan ou une stratégie, en minimisant l'influence des banques dans tout processus d'élaboration d'un projet économique de nature industrielle, commerciale, sociale, à destination locale ou internationale. Le financement par le biais de l'emprunt gangréné par le taux d'intérêt est la peste qu'il faut éviter par tous les moyens et astuces  imaginables. L'appel à la participation via une intégration du partage des risques ou des bénéfices, est une forme envisageable sous la forme préconisée par le système dit de financement islamique dans lequel banques et entreprises s'associent dans un projet et agissent en partenaires.
Théorie et réalité économiques : deux mondes distincts irréconciliables.    
Sous l'angle "théorie" et celui de "réalité" l'économie possède deux faces distinctes qui font penser au personnage célèbre de Dr. Jekyll and Mr. Hyde.
Le jour, le scientifique contrôle la situation et règne en maitre dans un univers aseptisé et idéal où il côtoie des techniciens, analystes, statisticiens, et chercheurs exhibant leur savoir dans un vaste éventail de connaissances académiques.
La nuit, le personnage se métamorphose en loup garou qui sillonne les rues; incontrôlable, imprévisible, impitoyable et sournois envers ses victimes. Durant ses randonnées nocturnes son passage résulte en un bain de sang dans les banques, les centres financiers, les bourses, les divers marchés.
                                                            A Suivre...

16 juil. 2012

Guerre Tranquille Et Armes Silencieuses : Éducation Détournée Et Pillage Organisé.

Mr Chitour aborde certes le thème de la déliquescence de l'éducation en observateur critique et en professionnel averti (Lien). Ses propositions sont instructives et pertinentes concernant la revalorisation des matières scientifiques Maths + Physique, et des formations ingénieurs et techniciens. Mais il esquive très diplomatiquement la confrontation avec la hiérarchie en ignorant les vraies causes et solutions au problème. Car c'est au sein de sa structure qu'il pourrait aider à dénicher les responsables de la destruction programmée et planifiée de l'éducation. Ceci n'est pas particulier à l'Algérie, des militants engagés, de part le monde, dénoncent le NOM juif et démontrent que cette opération de dévalorisation du contenu des programmes et de dépréciation du système éducatif n'est ni fortuite, ni accidentelle, ni aléatoire, mais relève d'un agenda dicté par la Juiverie/Franc Maçonnerie en guerre contre le reste de la population des tubes digestifs de la planète. 
Pourquoi Mr Chitour hésite-il à débattre des questions de fond en se limitant aux apparences et aux spéculations, là où son expérience et son ancienneté lui permettent d'en élucider les vrais causes ? 
Il le dit de manière claire en faisant allusion dans un article de "Liberté" à ajouter à son crédit de pédagogue, peut être à son intégrité morale et professionnelle, “Nous formons pour la France” :
«Or, avec la mise en place de la sélection par ordinateur, on a eu tendance à faire croire aux jeunes bacheliers qu’il peuvent choisir en toute liberté. Je pense que le recours à cette méthode est une erreur.»
L'orientation par ordinateur est un désastre sur tous les plans et une dilapidation de ressources et de talents.
J'ajouterais : l'ordinateur est un paravent à la malveillance des forces occultes qui contrôlent la bureaucratie de l'enseignement. La situation est bien plus grave, on fait face à des criminels qui se sont introduits avec ou sans la connivence de ministres souvent incompétents ou complices. L'administration qui dirige de facto s'est déchargée de ses responsabilités et obligations d'éducateurs en se dissimulant derrière l'outil informatique et faire croire que le travail d'orientation se fait équitablement et objectivement. 
-Parce que la "machine n'a pas de parti pris et ne ment pas". 
-Faux ! La machine ne produit que ce que le programmeur exige d'elle ! Or les paramètres et données choisis par ces délateurs sont partiels et partiaux, arbitraires, et illégitimes ! On ne peut scientifiquement et objectivement évaluer les performances d'une scolarité couvrant 12 ans d'étude en se basant sur un examen et les notes accolées à 6-10 matières, lorsqu'on sait les conditions particulières traumatisantes résultat du conditionnement excessif et de la pression psychologique sociétale, qui relève de la démence  ou du sadisme, exercée sur les candidats avant le baccalauréat
Le baccalauréat est un test parmi une multitude imaginable d'autres outils d'évaluation. La colonisation nous a légué un Frankenstein qui n'existe nulle part ailleurs ! (voir Wikipedia, Lien et Lien)     
Étape suivante de cette cabale est le gâchis opéré une fois obtenu l’accès à l'université où l'étudiant est soumis à un barrage d’agressions multiples et d'obstacles souvent insurmontables. Il endure des injustices indéfendables et des pratiques inqualifiables! La fin justifiant les moyens, le diplôme est un démon a qui il faut tendre des offrandes et faire des concessions :
Copinage, favoritisme, régionalisme, paternalisme/mandarinat administrateurs/enseignants siégeant en tyrans implacables, sans conscience car nombreux ces enseignants qui ont troqué leur âme à l'idole de la science/connaissance. 
Le paternalisme et l'abus d'autorité brutalisent ces jeunes innocents et les poussent vers des choix extrêmes aux conséquences imprévisibles :
-le reniement total de leur citoyenneté et la préparation pour le départ en exil.     
-l'engagement impulsif dans le nihilisme politique ou l'anarchisme, ou l'adhésion à des idéologies sectaires, arabophobie/islamophobie (MIK-MAK), le djihad/Wahhabisme (dont les agents sillonnent les cités universitaires), le marxisme révolutionnaire illusoire, etc..
-les stigmates indélébiles marqueront des générations de jeunes algériens dont la rancune est le gage de leur démobilisation de tout projet social et de leur désengagement civique.   
-la corruption morale qui se répand  est l'incitation à la débauche d'innocentes victimes leurrées par la façade brillante de l'université que la vermine humaine infiltrée en son sein a pourrie. 
-Dépravation de l'institution (universités et écoles supérieures)est pointée du doigt dans les articles (Lien, Lien) de ce blog, y ai fait allusion et en révélant la présence de la Franc Maçonnerie satanique à Tlemcen, dans le cercle VIP de nos chantres de la littérature (Lien et Lien) 
Traumatisés et trahis, les jeunes étudiants sont poussés au bord du désespoir et voient leurs ambitions dégénérés en cauchemar !
Un exemple édifiant :
L'explosion de gaz à l'université de Tlemcen, qui a tourné en drame, avec le décès d'une douzaine d'étudiants. La réaction des ministères, des services publiques concernés et de ceux touchés par la tragédie a été exemplaire. Les déclarations de Hachemi Djiar rassurantes : « cet accident, qui a coûté la vie de nos enfants ne passera  pas sans punition ».
-Wait and see ! Ou disons "Chiche"  !
Présent sur les lieux quelques heures après l'incident, j'étais en mesure de constater la grande motivation des autorités à réparer cette catastrophe, avec compassion et un sens élevé du devoir d'entre-aide et de la solidarité. Les commentaires des hauts responsables, les moyens gigantesques mobilisés, signalent la mise en pratique de nouvelles mœurs de gestion qui les honorent. 
Mais suivra l'enquête et apparaitra sur scène le pouvoir occulte liant la magistrature et le corps universitaire (Rotary, Maçonnerie), un précédent est signalé sur le web à propos de "l'Affaire Maison de la culture Mohamed Dib. (Lien
Le cas d'El Khalifa en est un autre; ici en Algérie, et en Angleterre où Abdoulmoumen s'est refugié, la "fraternité" le couvre, son père en était membre, fonctionnaire à la présidence de la République !
Constat personnel à Tlemcen:
Des échanges de vue avec quelques étudiants ont été édifiants.
Ils dévoilèrent des aberrations dans la gestion de l'université inacceptables dans les prémices de ce temple de la pensée et des sciences et traduisent un fait alarmant : l'université a été détournée par des forces malveillantes parasitaires qui s'attachent à la détruire et à démobiliser les étudiants qu'elle devait servir.
 Deux catégories d'étudiants échappent à cette règle : les enfants privilégiés et ceux de la "fraternité".  Peut être quelques génies à la carapace de tortue qui surmontent les obstacles dressés devant eux et décrochent un diplôme !
-les premiers sont inscrits en majorité à "l'École préparatoire en sciences économiques, commerciales et sciences de gestion", une porte sur le marketing (kabala juive), pour assurer la relève dans le business et la gouvernance économique en Algérie, en prévision de l'instauration intégrale du NOM;
-les seconds, diplômés sont un capital humain pisté et signalé aux universités étrangères et vendu au plus offrant ! Un marché parallèle rentable d'esclaves que les recruteurs locaux (siégeant dans les directions de faculté) négocient en échange de "friandises" en espèces versées à l'étranger sous formes de services.  Manière sûre de vider le pays de ses ressources humaines et éliminer toute concurrence aux "enfants à papa" de l'élite maçonnique qui seront parachutés au bon poste, convaincus de leur bon droit à gouverner le monde !
 Ceci pendant que nos jeunes diplômes sont leurrés par l'Éldorado occidental et cajolés pour rejoindre les loges françaises et canadiennes de la caste des enfants de Satan !
Quelques faits alarmants :
-Le stress vécu par des jeunes adultes (âgés de 18 à 20 ans) cause fréquemment des défaillances physiques certaines : le diabète, l'hypertension, les risques cardiaques aigus. Drainant des nouveaux inscrits à la sécurité sociale, bénéficiaires d'une carte "Chiffa" d'invalides souffrant de maladie chronique ! Les statistiques médicales disponibles sont choquantes. 
-l'injustice infligée aux bacheliers algériens, ceux dont la note moyenne au bac dépasse les 14/20 et qui ont suivi au lycée des cours principalement en Arabe et une moindre maitrise du Français, sont subitement, sans préavis, confrontés à un cursus entièrement francophone ! Aucune aide ne leur est offerte pour les assister à opérer cette mutation linguistique brutale. Froidement et sans remords, ils rayés des effectifs. Ceux qui ont eu la "chance" de maitriser la langue ou ont opté pour ce choix par conviction culturelle ou politique (les égarés de l'amazighité) survolent plus facilement les épreuves.
Remarque :
Les "chers frères" qui ont conçu ce schéma crapuleux doivent se réjouirent de leur habilité à confondre le commun des moutons. Avertis ils ont eux rodé leurs enfants à la pratique du français, grâce à la "fraternité", l'entre-aide internationale, les échanges culturels et l'accueil à l'étranger.
Conséquence immédiate, durant les 1ère-2ème-et-3ème année le niveau de la déperdition et l'abandon des cours est alarmant, une situation qui ne semble mouvoir ni les responsables directs de l'administration, ni la tutelle.
Les moyens/ressources colossaux dédiés à assurer l'avenir de la nation sont dilapidés.
Dés l'annonce de l'accident l'anarchie au sein de l'administration universitaire qui suivit est révélatrice de l'insouciance qui y régnait, vu que les fuites de gaz dans le resto avait été signalées sans effet et aucune mesure ne fut prise pour éviter le pire. L'égoïsme d'autres  responsables furent exposé au grand jour, abusant carrément des budgets d'étude, pratique qui entache la gestion du staff en charge, à l'image du Pr Benhabib directeur de l'école qui sollicité pour avis urgent était introuvable, plus précisément à Boston (USA) ! Et ceci en plein phase d'examens de fin d'année ! S'initiait-il à quelque formule incantatoire de la Kabale talmudique qui aller révolutionner la science du management à l'école ?  Le crypto-juif s'initiait-il à un nouveau degré de la "hiérarchie" ? 
Certaines carences sont indéfendables.
 Exemple de ce professeur de " comptabilité " en 1ère année d'économie/commerce/gestion, qui lors d'une révision des corrigés d'exercices abordés durant les Travaux Dirigés de toute l'année 2011-2012, s’aperçut que les solutions remises aux étudiants par l'assistant en charge étaient TOUTES fausses. À trois jours de l'examen !
Le professeur repris les exercices, tache qu'il aurai dû accomplir régulièrement durant l'année, pas tardivement au mois de Juin. Il colmata le navire en détresse avec quelques heures supplémentaires pour la correction ! Ceci ne peut pas réparer  l'infamie première du recrutement de l'assistant, sans aucun doute quelque fils à papa ("cher frère") recruté par téléphone ! 
Les étudiants déroutés étaient incapables de redresser la barre à cause du peu de temps disponible, et ils ne reçurent même pas des excuses ! Loin d'eux l'espoir que ce Ramsés II de la comptabilité aille les rassurer et leur jeter une bouée de sauvetage, sous forme d'un réaménagement de l'emploi du temps ou carrément d'un report de l'examen ! L'échec dans la matière "comptabilité" les vouant à l'exclusion de cette débauchée d'institution qu'on surnomme "Haute école" ! Tans pis pour eux ! Qu'ils sauvent l'année ou qu'ils se noient, il n'est pas dans les prérogatives de ce pharaon de faire de l'humanitaire, ou même de la pédagogie.
Imaginez l'état de ces jeunes filles et jeunes garçons juste sortis de l'adolescence, qu'on a  trimbalés d'un bout à l'autre du pays, la majorité sont issus de wilayas éloignées et ont enduré les supplices du voyage  (600 à 2200 km parcourus,  6 et même 12 fois en une année) ceci au nom de réformes pseudo-élitistes soufflées par quelque talmudipède de Boston dans l'oreille de nos Terminators de l'enseignement. Dans notre exemple ci-dessus, nos étudiants poussés au désespoir par faute d'un assistant incompétent et d'un professeur négligeant, trouveront-ils un moyen de défense légitime contre le système d'éducation qui les broient  !
Autre déconvenue : les bourses d'étude n'ont été versées qu'au mois de Mai ! 
C'est dans cette atmosphère de violence et d'agression psychologique, et après un parcours de commando, que survivront quelques rescapés de l'épreuve finale.  Meurtris dans leur chair et chargés de rancune envers "le système", système qu'ils confondent avec "gouvernement", "pays", "Bouteflika", etc...
Le travail de sape conduit adroitement par l'ennemi de l'intérieur aura atteint ses objectifs. Le diplômé/survivant est alors psychologiquement "cuit à point" pour subir une dernière manœuvre pernicieuse : son transfert vers l'étranger dans la joie et la délivrance. Comptons combien de nos jeunes pleins d'enthousiasme à l'idée d'étudier et de réussir, ont subi ce travail de sape programmé, organisé, et planifié ! Ils sont des centaines de milliers, et celà dure depuis des décennies !
-Les causes ?
-Les loges et obédiences tiennent les rênes du pays, et de l'éducation !
Mr Chitour fait peut être, de manière très diplomatique et sans le précisé, allusion à ce travail subversif de destruction lorsqu'il lance son cri de détresse : «Nous formons pour la France» (Lien). Si c'est le cas, cet article devrait lui valoir une décoration pour mérite professionnel et patriotisme si seulement son message parvenait à sa tutelle ou à quelqu'un en haut lieu venait à l'écouter. Mais son appel ne trouvera aucun écho chez les mêmes responsables, qui tous ou en grande partie, sont engagés dans l'agenda maçonnique de subversion/ guerre secrète contre le pays!
Conclusion :
Je conteste certes quelques pensées/idées du professeur sur d'autres sujets qu'il reprend dans ses publications ou ses déclarations médiatiques qui meublent son parcours littéraire mais  sa dénonciation des carences du système éducatif, pièce maitresse de l'édifice national, est louable.
En réalité, les outils de sabotage,  "oxymorés" et présentés sous l'appellation de "méthodes scientifiques de classement et d'orientation", s'avèrent être un fléau.
Les Harkis illettrés qui s'engagèrent dans l'armée française font figure d'enfants de chœur en comparaison à ces mercenaires au service de la franc maçonnerie internationale !  
Répétons-le : les difficultés lors de l'orientation deviennent insurmontables et sont cause d'un gaspillage indescriptible et d'une injustice monstrueuse. Présentées par les tenants de la politique du mandarinat et de l'élitisme/suprématisme comme un tamis de sélection conçue pour élever le niveau et la qualité de l'enseignement supérieur il est en fait la source première de déperdition, d'exclusion sociale, de démobilisation, et de la plus ruineuse gestion de ressources humaines. L'éloignement résidentiel pénible, les désagréments physiques et moraux, la fatigue et le stress, ruinent les capacités d'adaptation du candidat et l'éloignent de son objectif. Ceci s'ajoute à la frustration d'une vocation rêvée non achevée par faute d'un logiciel non performant et de critères d'évaluation arbitraires. 
Conséquence immédiate est l'exil de nos plus brillants étudiants, et la déperdition de ceux aussi brillants qui ne parviennent pas à surmonter le barrage de la bureaucratie et du harcèlement pédagogique.  Une hémorragie causant à notre économie des pertes nettes d'un montant exorbitant.
Pointons du doigt la complaisance tacite des responsables de l'administration devant la fuite des cerveaux. Des licenciés et ingénieurs talentueux au potentiel exceptionnel sont livrés aux universités européennes et américaines, à la recherche et à l'industrie des pays développés. Ce pillage s'opère souvent en connivence avec les chargés d'étude, vrais "chasseurs de têtes" rétribués pour les "grosses prises" par le versement de commissions diverses, des invitations aux conférences, des voyages d'étude, et même des rançons en banque ! Et j'assume ce que je déclare, pas uniquement au niveau des universités, mais également au niveau d'institutions privées liées aux fondations américaines et européennes. Voir pour confirmation un échantillon de ce maraudage/pillage avec la complicité de MDI-Business School à l'article dédié à la manigance du marketing/management (Lien /article suivant) 
Le pillage à ciel ouvert !
Un Avant-goût de l'attention humanitaire réservée à nos futures managers. Un trafic humain pratiqué au vu et su de tous, avec la complicité de nos média, dont le plus perfide "El Watan" publie un article intitulé " Un émigré sur deux est une femme ", de la plume de Nordine Grim (Lien). Le criminel déclare: «L’insécurité, qui avait prévalu en Algérie durant les années 1990, et la mauvaise gouvernance du pays, qui en avait suivi durant la décennie 2000, feront exploser le taux de féminisation de l’émigration qui passera d’environ 36% en 1982 à 51% aujourd’hui, selon ce même institut. Le même phénomène serait perceptible au Québec, selon la sociologue Myriam Hachimi Alaoui, qui a publié à ce sujet une intéressante étude dans la revue NAQD (n°28). Selon l’auteure qui y a effectué des investigations très poussées, le Québec est devenu une terre d’asile pour des milliers d’Algériennes pour la plupart hautement diplômées et politiquement impliquées dans divers processus de lutte, fuyant seules ou en famille les persécutions des islamistes et, dans certains cas, des services de sécurité algériens»
Islamistes ? Services de sécurité ?
La vérité est que le trafic est opéré dans un cadre organisé, un réseau maffieux  inscrit aux oeuvres charitables d'organisations caritatives ou éducatives. La preuve de nocivité du harki Grim est qu'il est membre professionnel de MIDI-Business School !! 
(Photo ci dessus)
Liste de bienfaiteurs qui militent pour l'excellence !  Ferhat M'Henni, un membre compromettant, et visiblement compromis, a été exclu de la liste.

Photo ci-dessus :
Les liens étrangement et exclusivement étrangers, sont listés en référence ci dessus. Cadre indigène s'abstenir !

Les cerveaux appâtés par le leurre des bourses, des échanges scientifiques, des stages de perfectionnement, des emplois dans la recherche, etc..., fuient la fournaise en rejoignant des cieux meilleurs sous lesquels les maquignons des sciences et de la technologie les guettent pour les étriller. Les offres d'emploi à MDI-Business proviennent de partenaires.  Lesquels ? Jugez vous même (photo)
   
Comment ne pas s'interroger de l'attitude équivoque de l'administration et du ministère devant l’hémorragie des compétences, de la mauvaise gestion des infrastructures sociales,
de l'arbitraire et du despotisme incontrôlé caractérisant nombre d'enseignants qui violent impunément toutes les règles pédagogiques élémentaires et font souvent de la querelle personnelle leur vertu, et des représailles leur vendetta ?
 Pourquoi aucune mesure préventive n'est envisagée pour mettre un terme à ce pillage et protéger nos jeunes de la souricière tendue par la franc maçonnerie internationale qui les embrigade dans leurs rangs et les détourne de la participation au progrès national ?
La destruction programmée de l'école et de l'université est un acte de guerre contre la nation. N'est-ce pas là un sujet de dissertation enrichissant que Pr Chitour pourrait développer et publier chez "mondialisation.ca", au risque de déranger le sérail et les "compagnons"  ?
   
                                                                       (A Suivre)....
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29 juin 2010

Une Fatalité Historique Algérienne: Chaque Génération Produit Son Lot De Harkis Et Rénégats.


Déniché sur le Net un article révélateur en prélude à mon article suivant, plus détaillé.(lien)

« : Le bloc note de Yazid Haddar »

(Mercredi 2 juin 2010.)

Monologue du fana de Zemmour


 Je viens de lire cette article, avec une semaine de retard, mais..! je le trouve très intéressant, car il aborde une question de l’immigration d'une manière manqueuse et réflexive..à vous de jugerPar Paris : Akram B.(dans le quotidien d'oran )  


 haddar yazid:
«Oui, c'est à  vous que je parle puisque vous me regardez de travers. Ça vous plait pas ? Je dis ce que je veux. Je suis chez moi ! On est chez nous ! Y'en a marre de nous complexer. Ça fait une demi-heure que j'attends le bus et vous savez pourquoi il n'en arrive pas ? Parce qu'ils sont tous en RTT et qu'ils prennent leurs congés alors qu'ils savent que les gens sont en vacances et qu'ils ont des trains à prendre. J'ai essayé d'arrêter trois taxis, vous l'avez bien vu, hein ? Vous savez ce qu'il m'a dit le dernier ? J'prends pas les clients avec des chiens. Il voyait bien que c'était un petit caniche et qu'en plus il était dans sa cage. Mais, non ! Il m'a dit, c'est à cause de l'odeur, ça incommode les clients. Tu parles ! Le chien on le lave tous les mois ! »
(Note:  Bizarre, l'hommelette avec son caniche dans les rues de Paris, il risque de se faire embarqué! )

«C'est pas la première fois que ça nous arrive. Et je vais vous dire pourquoi. Dans ce pays, les chauffeurs de taxi sont tous musulmans ou presque. C'est connu que les musulmans n'aiment pas les chiens. En plus, mon clebs est noir, alors ça, pour les Arabes, ça peut pas marcher. Résultat, on va rater notre train. C'est pas vrai que les Français ne veulent pas faire le taxi. Y'en a plein qui aimeraient bien mais on leur fait comprendre que c'est pas pour eux et ils finissent par revendre leur licence. Je le sais, j'ai un beau-frère qui travaille à la préfecture. Et c'est la même chose pour d'autres jobs. Les Noirs et les Arabes les contrôlent et empêchent les Français de les avoir. Ça vous plait pas ce que je dis ? Tant mieux. Si tout le monde avait le courage de parler comme moi, on n'en serait pas là !»

  «Ah, elle est belle la France ! Vous verrez. Demain, tous les chauffeurs de bus seront barbus et il y aura des speakerines voilées à la télé. Et nous, on n'aura plus qu'à prendre le maquis ou à aller vivre ailleurs. On n'a rien demandé. Ils ont voulu leur indépendance et maintenant, ils viennent travailler chez nous. On a construit leur pays, on a ouvert des routes, on les a sorti de la misère mais ensuite ils nous ont dit merci, c'est bon, maintenant vous pouvez partir. On aurait dû tout détruire avant de se barrer. Remarque ça leur a tellement bien réussi leur indépendance qu'ils se mettent à nous envahir.»

  «Ils deviennent Français pour les allocations familiales, tout le monde le sait. Ils chanteront jamais la Marseillaise mais ils disent pas non au fric. Dans leurs pays, y peuvent pas être polygames, ça coûte trop cher. Mais ici, y'a de l'argent puisque c'est nous qu'on paye. Le gars de Nantes, quatre femmes grâce à l'argent du contribuable, c'est pas en Algérie qu'il pourrait se le permettre. Y'a des fois où j'ai vraiment envie de foutre le camp. J'irai chez les Flamands. Chez eux, ça se passe pas comme ici. Le propriétaire du pays, il sait se faire respecter. Il fait pas semblant d'aimer le rap et toutes ces conneries d'art africain que personne ne comprend.»

  «Non ! Non, je ne suis pas raciste ! Je respecte les gens, moi monsieur. J'ai jamais dis que le Français il est supérieur aux autres. J'dis simplement que chacun doit rester chez soi. Moi j'ai pas envie d'aller vivre au Maghreb. Je vois pas pourquoi les Maghrébiens (sic) viendraient chez nous. Ou alors, il faut qu'ils deviennent comme nous. Il a raison monsieur Zemmour. Pourquoi est-ce qu'ils prennent pas des prénoms français ? Et pourquoi est-ce qu'ils deviennent pas chrétiens comme nous ? Ils veulent être Français, alors il faut qu'ils acceptent de changer. Sinon, qu'ils restent chez eux. Ça devrait être dans la loi. Tant que ce sera pas comme ça, on sera envahis.»

  «Zemmour, j'en suis fana. C'est le meilleur des journalistes. C'est pas une chiffe molle comme tous les autres avec leurs brushings. Il dit les choses que personne n'ose dire. Moi, je lui serrerais bien la main pour le remercier. Quand je l'entends parler à la télé le samedi soir, il me fait du bien. Je vais me coucher en m'disant qu'il y a de l'espoir. Que c'est pas encore foutu. On devrait virer tous ceux qui ne sont pas d'accord avec lui. La dictature, j'chui pas contre tant que c'est bien pour le pays. Ça sert à quoi la République, si elle devient islamiste ? Faudrait un bon coup dans la fourmilière. Ca réveillerait tout le monde.»

« Tiens regardez ce taxi, là. Il me nargue. Ça fait deux fois qu'il passe. Il sait que je suis pressé mais y veut pas de mon chien. Si ma femme portait le voile, il s'arrêterait ! La dernière fois, on a pris un taxi à la Gare du Nord. Le gars écoutait une radio arabe. Je lui ai demandé de changer de chaîne parce qu'il n'avait pas à m'obliger à écouter du charabia. Il a fait semblant de ne pas entendre. J'ai gueulé. Vous savez ce qu'il a fait ? Il m'a dit : « maintenant, tu descends ». Y'a dix ans, jamais un chauffeur de taxi arabe n'aurait fait ça. Maintenant, ils n'ont peur de rien. Normal : ils sont chez eux, non ? »

  «Un jour, on va se réveiller et il n'y aura plus de nation française. Y'aura des burqas partout et on pourra plus manger de cochon. Moi, les burqas, j'hésiterais pas. La bonne femme qui se balade avec, je le lui enlève dans la rue, devant tout le monde. Et s'il le faut, je la fout à poil, comme ça elle s'en souviendra et elle recommencera plus. C'est que comme ça qu'on se fera respecter. En plus, il paraît qu'il y a plein de mecs qui se baladent sous la burqa. Des clandestins, des gens qui ont des trucs à se reprocher et que la police n'arrive pas à repérer. C'est ça, haussez les épaules. Allez, tirez-vous, va ! Je suis chez moi. Je dis ce que je veux. Je suis chez moi ! » 
                      
  Par Haddar Yazid.

11 juin 2010

Après La Malédiction des Hydrocarbures, Celle de La Pluviométrie ? "ASK" Benbitour!

Consécutivement à la théorie de la" malédiction des hydrocarbures " (sic) qui a défrayé les chroniques et que l'oracle et penseur révisionniste, le Dr benbitour, avait publiée dans tous les média qui lui offraient gracieusement une promotion (disproportionnée) et un appui tacite (complice et douteux), une nouvelle polémique s'annonce concernant l'exportation de céréales vers l'Europe.
Lire El Watan, un autre annonciateur de malheurs en perspective et semeur de pessimisme chronique , qui avec réticence et à contre cœur annonce :«Première opération d’exportation d’orge depuis 43 ans : 100 000 quintaux achetés par un trader français». (espérons que ce ne soit pas un descendant de Bakri-Busnach)
La production record est perçue par la majorité des média (exemples : Lien, Lien, Lien ) comme résultant uniquement "d'une bonne pluviométrie", occultant les efforts individuels des producteurs et ceux du gouvernement. A croire que le ciel a délivré une autre malédiction, celle du blé et de l'orge, après celle de la "pomme de terre" ! Notre oracle et visionnaire prépare une mise à jour de sa thèse révolutionnaire de "l'exportation de la richesse et importation de la pauvreté", qui devrait dénoncer les malversations de l'État Algérien et sa responsabilité dans le génocide en préparation,  dû à la famine qu'il prédira pour la décennie à venir ! Une affaire donc à suivre. Et n'oubliez surtout pas votre parapluie ! Au cas où il pleuverait des carottes et des navets !

5 juin 2010

Benbitour : Nouvelle Utopie, La Dictature De L'intelligencia.


Une campagne médiatique de grande ampleur a été déclenchée, véhiculée par les média  internet inclus, à propos de la découverte, ou devrais-je dire plus exactement l'invention, par le doctor Benbitour d'une théorie politico-économique novatrice et révolutionnaire, qui permet l'élaboration d'un programme politique et économique qui préconise un remède à tous les maux de l'Algérie. Il est important de souligner le fait que Dr Benbitour a reçu  dés sa "démission"du gouvernement (2000) une attention particulière de la nébuleuse "démocratique" (*) qui était à court d'arguments et  manquait d'une figure de proue comme porteur du flambeau de la contestation et du combat contre le "système". Alimentant la diatribe contre Boutéflika, le programme est donc essentiellement basé sur la dénonciation du système de gouvernance actuel et la proposition d'un changement radical de l'organisation politique, économique et social du pays, et par conséquence de ses dirigeants. Il est injuste de réduire ce programme à une simple tentative d'élaboration d'une idéologie tant elle se distance de tout engagement partisan traditionnel, voir gauche-droite, capitaliste-socialiste, etc..  Ce changement a pour but, selon Dr Benbitour, de transformer homme et société, en préservant les valeurs et repères traditionnels. Elle se ressource dans les sciences sans verser dans le matérialisme. Une doctrine donc ? Pas uniquement ! Car elle vise à transformer l'homme sur le plan moral, professionnel, religieux, métaphysique, social, économique et civilisationnel, donc plus profonde et plus vaste. Elle englobe donc les prérogatives de l'idéologie, de la doctrine et même du dogme, mais les purge de leurs déconvenues. Seul un homme de l'envergure de Mr Benbitour, rallié par les compétences de ses collaborateurs ( tous intellectuels de haut niveau,) pouvait entreprendre une telle œuvre, sans peur de faillir devant les énormités et les ambitions d'un tel programme. Les tentatives historiques de transformation du Monde (fraude du communisme, mythe du libéralisme, les religions, les systèmes de pensée, le Big-Bang, etc) gisent moribonds aux pieds du benbitourisme. C'est la révolution humaine du 21 eme siècle !
Quelles sont les grandes lignes de ce projet benbitourien ?  Nous pouvons affirmer  qu'il prend naissance dans le réveil d'un homme exceptionnel, qui après tant d'années d'observation scientifiques détaillées du "système", a découvert l'élixir du bonheur et de la prospérité. Au lieu de breveter cette formule et assurer son accession au classement du magazine Forbes des plus grandes fortunes du monde, il a par compassion avec le peuple algérien décidé de lui en réserver la consommation bénévole et exclusive. Son introduction dans le laboratoire des rentiers s'est faite discrètement, selon les méthodes et les techniques du renseignements que le légendaire et fictionnel Agent-007 lui envierait. Une fois dans le sérail, notre taupe a pu observer toutes les malversations qui s'opéraient à notre insu, les détournements, les trahisons, les complots, les razzias lancées avec la complicité du FMI et de la Banque Mondiale (ses employeurs), le pouvoir de l'ombre, et les crimes perpétrés par la classe militaro-politique. Patiemment et durant près de 25 ans de sacrifice, d'abnégation, de souffrance morales et physiques, de frustration et de remords (sa complicité tacite liée à ses responsabilités et le parrainage du système) il sort enfin indemne.  Suprême,noble et fier d'avoir d'accompli sa mission secrète et dangereuse il échappe à ce milieu hasardeux et dans un élan de générosité et de sacrifice, nous livre enfin le fruit de son labeur exténuant et de ses observations pertinentes. Sous les applaudissements des démocrates du monde, il s'avance vers ses admirateurs et dévoile les conclusions de ses recherches, ciblant convenablement mais sans rancune, la décennie 2000-2010 ( avertissement pour ceux pas très familiers avec Platon et sa "République",  consultez Wikipedia pour une introduction à la philosophie grecque, Lien) :
  -1- la richesse du pays et la bonne santé de l'économie est un mythe fabriqué par le système. Une illusion, un mirage !
  -2- l'Algérie exporte de la richesse (hydrocarbures) pour importer la pauvreté (sic) non quantifiable mais perceptible à travers le chômage, le niveau de vie décroissant, l'instabilité politique, la corruption généralisée, la bureaucratie, en un mot, tous les maux et les malheurs hérités depuis la nuit des temps, mêmes s'ils sont imaginaires ou fictifs !
   -3- sous le slogan «Ensemble, rien ne nous sera impossible!», (notez les convictions métaphysiques de notre homme), il prêche un changement radical par la voie pacifique, et souligne l'urgence de l'opération "sauvetage de l'Algérie" pour éviter l'apocalypse, sous sa direction bénévole et l'étendard du ralliement de l'aristocratie (matière grise et compétences)
   -4- la première étape est la mobilisation d'instruments 
(démocrates commodes ?). Pas n'importe lesquels ! Uniquement ceux disposant de qualifications et qualités adéquates (Voir Lien pour la liste exhaustive des critères d'éligibilité aux cercles .)
NB :Une certitude est que le recrutement adresse des individus d'au moins la stature de Benbitour : technocrate, scientifique, saint d'esprit, intègre, visionnaire, etc..  ( Vu le niveau requis, Prophètes et Messagers d'Allah idéalement présents parmi nous, ne rempliraient pas les critères pour passer l'examen d'entrée !).
  -5- démontrant sa vocation pour les sciences, notre guide préconise une organisation particulière de ces instruments, pas dans des "loges", associations, groupes, rotary club ou autres dénominations "fraternelles", il choisit "cercles", vue la perfection de la figure géométrique et son extension occulte potentielle. N'en aurait-il pas les capacités ? C'est sous estimé notre guide et ses facultés hermétiques puisées dans ses fréquentations des milieux bancaires et financiers de New York. 
Note :Pour corriger toute omission de ma part ou l'interprétation erronée des déclarations de notre génie de la pensée et des sciences, référez-vous à son site "www.cicc-dz.net" pour mieux apprécier les dimensions de ce géant de la pensée. Armez-vous d'une encyclopédie, car la profondeur des....énormités et des idées utopiennes benbitouriennes n'est pas accessible au commun des mortels, encore moins aux illettrés et à ceux souffrant d'une carence de neurones. Vous y découvrirez un événement médiatique rarissime dans lequel notre génie intellectuel interview son double dans une allégorie, à travers un monologue "questions-réponses" avec lui même, digne de Platon ou Socrate !  
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Résumé : Croyant avoir conclu ma visite aux utopies qui tentent de se faufiler dans l'opinion, par les portes dérobées de la contestation, des droits humains fictifs et de l'opposition "pacifique", j'avoue hélas mon inaptitude à appréhender totalement celle de Dr Benbitour, aussi me suis-je promis d'y retourner dans les articles suivants afin de m'immerger dans la pensée de l'auteur et contempler plus longuement son message.
Espérant que cet aperçu vous aura fait découvrir la révolution silencieuse qu'initie le Dr Benbitour, je vous dis à bientôt.   
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(*) toute la nébuleuse de l'opposition aveugle, et de la vendetta féroce s'y est ralliée :
-El Watan, Le Matin d'Algérie, Le Soir d'Algérie, les sites internet "démocratiques", les autonomistes et les indépendantistes, les revenants du FIS, les avocats de Belhadj, le sulfureux Quotidiendalgérie, les droits de l'homme, etc, etc...
Jamais un thème, une controverse,  n'aura réuni et coordonné autant de tendances politiques, religieuses, sociales et économiques. Les hyènes se regroupent pour lancer leur offensive contre le roi, le lion s'est accaparé de tous les pouvoirs, il faut s'en débarrasser.  
"L'exportation de la richesse-importation de la pauvreté" et la nouvelle "dictature de l'intelligenCIA" (par opposition aux délires de celle des pauvres "prolétaires"), ont lancé une vraie "révolution culturelle", dont le défunt Mao Tsetung serait fier. Quoique culturel est un vain mot, il est plus approprié de parler de "renaissance civilisationnelle",  menée par (extraits de l'article du Dr Benbitour, Lien)
-«Un leadership collectif, capable de donner un sens au changement, de réaliser le consensus et de mener rapidement l’Algérie vers la prospérité. Il ne pourra être constitué que de compétences nationales de très haut niveau, avec à leur tête un groupe de personnalités respectées, réfléchies, visionnaires et au dessus des partis, des clans et des intérêts privés.» 
-«Un certain nombre de personnalités d’appui ayant une présence de caution au sein de la société et disposant d’une respectabilité pour soutenir le leader et la stratégie d’implantation du changement.»
Note :En ces temps de "bulles" financières boursières, il semblerait que l'arène de l'opposition politique algérienne ait adopté les techniques de manipulation des mass-media occidentaux en gonflant les utopies, en répétant le mensonge jusqu'à en faire une vérité virtuelle absolue (talmude). 

4 juin 2010

« La récolte sera aussi bonne que l’année dernière »
Dans cet entretien, le directeur général de l’OAIC affirme que la récolte céréalière prochaine sera, notamment pour le blé dur et le blé tendre, conforme à la saison dernière, soit à un niveau de 60 millions de quintaux. M. Kehal vante la qualité du produit et souligne que le démarrage de l’exportation d’orge se fera dans deux semaines à partir du port d’Alger. A ce propos, il affirme que des dizaines d’offres pour l’achat de l’excédent d’orge sont sur le bureau de l’OAIC. Certains pays en Europe connaissent très bien la qualité du produit algérien et proposaient, selon M. Kehal, d’acheter tout le stock.

Un grand bravo à  Zhor Hadjam pour cet interview qui égaye l'atmosphère habituellement démoralisante,  reflet de la ligne éditoriale d'El Watan, appuyée sur le dénigrement systématique des accomplissements de l'État. Après l'autosuffisance en pomme de terre, il va falloir croire que quelque chose a lieu, sous nos yeux, qui s'apparente à une bonne politique agricole. En ces temps de crise alimentaire internationale, il est réassurant de voir que la rente pétrolière n'a pas aliéné la politique du gouvernement qui  semble mener une stratégie réfléchie de développement à long terme . Les critiques et commérages sur la dépendance dangereuse de l'économie sur les hydrocarbures et le manque de perspicacité des décideurs, reçoivent une claque retentissante. 
-N'est-ce pas Mr Brenbitour ? Vous qui plaidez en faveur d'une plus grande part de la distribution des revenus en faveur de la consommation des ménages. 
-Ces résultats ne réfutent-ils pas vos prophéties de catastrophes, conséquentes à la politique actuelle du gouvernement ? 
-N'y aurait-il tout de même pas de votre part un besoin  de plus de modestie dans la diffusion de vos visions apocalyptiques de l'avenir du pays ? 
-Peut-on savoir si vous considérez réviser vos théories aberrantes d'importation de la pauvreté ? 
-Une chose est certaine: Boutéflika (qui est l'initiateur de la politique d'auto suffisance grâce à un soutien inconditionnel à l'agriculture et aux fellahs) aurait pu très bien jouer la carte de la démagogie et du populisme en initiant une politique d'importation démesurée de biens de consommation (politique démagogique que vous défendez tacitement à travers votre plaidoirie en faveur d'une allocation plus grande du budget au profit du consommateur) mais a préféré libérer l'Algérie du diktat étranger, FMI-Banque Mondiale, qui "siégeait" à vos conseils d'administration et tyrannisait notre trésorerie.
-Les financiers que vous fréquentiez ont été impitoyables lorsqu'il était question pour nous de survie ou de mort, d'obtenir d'eux les crédits assurant notre pain quotidien.
-Comme les choses ont changé à notre avantage: du statut d'esclaves mendiants, auquel votre système de gestion nous avait relégués, nous sortons aujourd'hui la tête haute après avoir regagné notre indépendance et notre dignité, loin des utopies que votre castre de démagogues et réformateurs nous inoculait sous la direction des banquiers de New York ! 
-Mais, et la corruption ? Diriez-vous.
-Si, elle existe toujours.  

Mais, n'est-elle pas l'héritage de votre règne ? Et de ceux ayant occupé vos mêmes responsabilités ministérielles (fossoyeurs que vous essayez de regrouper sous le sigle de "démocrates") ?
-N'avez-vous pas été à la tête des institutions, gouvernementales et académiques, qui ont produit ces êtres méprisables et abjectes qui font aujourd'hui la une-des-média à travers les malversations qu'ils opèrent dans les coulisses de l'argent ?
-L'élève n'imite-t-il pas son maitre ? 

3 juin 2010

Benbitour-M'Henni:Utopisme Idéologique Et Falsification De L'Histoire. La Fin Justifie Les Moyens, Selon La Tradition Talmude !

"Utopie" est un terme fascinant par la richesse de ses définitions et extensions, et les concepts qu'il véhicule. Notons entre autre:
« 1. Plan imaginaire de gouvernement pour une société future idéale, qui réaliserait le bonheur de chacun.»
« 2. Par extension. Système de conceptions idéalistes des rapports entre l'homme et la société, qui s'oppose à la réalité présente et travaille à sa modification. Le peuple remplira tout à la fois le rôle de prince et celui de souverain. Voilà en deux mots l'utopie des démocrates, l'éternelle mystification dont ils abusent le prolétariat.»
«3. Idées qui participent à la conception générale d'une société future idéale à construire, généralement jugées chimériques car ne tenant pas compte des réalités. Utopies sociales, humanitaires. » 
Cette modeste intrusion dans la lexicographie du terme "utopie" est destinée à définir le cadre de cet article et analyser les chimères que certains "mouvements d'opposition", en Algérie, diffusent intentionnellement pour rallier autour d'eux le maximum de sympathisants en les leurrant par des abstractions qui se détachent de la réalité car purement spéculatif et théorique. 
Deux exemples de  "mouvements" dominent en ce moment les discussions tant dans les cercles des  spécialistes de la politique que dans les milieux populaires les plus diverses :
-le mouvement pour "l'autonomie-indépendance de la Kabylie " dirigé principalement par le MIK-MAK de Ferhat M'Henni, et
-le mouvement du "Cercle d’initiative citoyenne pour le changement" (CICC) , mené par le Dr Ahmed Benbitour, que j'ai  présenté brièvement aux liens (1) et (2).
1-Le MIK-MAK : Utopie, mensonge et falsification de l'Histoire.
Ce mouvement mérite ce sigle très significatif et loin d'être péjoratif, car comme on le verra il s'agit bien d'un micmac, soit  «Arrangements secrets et compliqués afin de parvenir à ses fins; manigances, menées obscures et embrouillées dans un but intéressé.» (merci au dico online du cnrtl.fr ). 
Ou encore :
« Désordre jugé inextricable. Une à une les pièces du dossier s'en étaient allées Dieu sait où, voir si le printemps s'avançait; celles-ci lâchées sur la province à la fin de compléments d'instruction, celles-là emmêlées par erreur à des pièces d'autres dossiers. D'où un micmac de paperasses à défier un cochon d'y retrouver ses petits et l'immobilisation définitive d'une affaire devenue insoluble.»

Amendé et adopté au Congrès constitutif d’Ighil Ali le 14 août 2007,
-1. Considérant l’identité et la forte personnalité du peuple kabyle façonnées et affirmées au fil des siècles à travers une langue et une culture de la grande famille amazigh, une organisation sociopolitique à nulle autre pareille et un attachement séculaire aux valeurs de liberté, de respect d’autrui et de solidarité avec les Autres.
 Premier mensonge: "identité et personnalité", aucune étude historique n'a démontré l'existence d'une identité politique, car il s'agit bien de ce qualificatif auquel fait illusion le "projet", non pas celui de culturel qui n'est plus à démontrer, quoique ce concept recouvre une grande diversité de particularismes régionaux qu'il est impossible de circonscrire dans le temps ni dans l'espace géographique du fait de l'inexistence d'évidence scientifique irréfutable prouvant l'apparition durant un temps infinitésimal d'une nation, d'un état, amazigh.
Aux zigzags inhérents aux concepts "état" et "nation" qui génèrent aujourd'hui maintes controverses et réunissent toujours pas de consensus autour de la signification et de la définition (voir les débats
sans fin et les controverses que soulèvent aujourd'hui les tentatives de légiférer sur le concept de la "nationalité" en France !) s'ajoute le fait que ni les dialectes, ni les religions, ni les coutumes, ni les races, toutes disparates et morcelées, ne démontrent l'existence d'une identité homogène ou d'une personnalité "modèle" en Afrique du Nord, carrefour de multiples civilisations, langues, races et religions !
Comment un "projet" peut-il aussi aisément bruler tant d'étapes dans la 
recherche de la définition d'un "modèle" historique de  l'Amazigh, en fondant son militantisme sur une hypothèse que les sciences humaines réfutent et rejettent sans compromis ? Sur quoi est basée cette certitude anthropologique et ethnographique ? Sur la foi uniquement ! Ce qui fait de ce projet un dogme. Et peut être une religion, lorsque M'Henni sera annoncé en tant que prophète ou aura eu des visions révélatrices de sa mission messianique ! Pendant ce temps un déluge médiatique inonde les consciences et les esprits, et les conditionne en vue de créer cette identité politique. Même la bande dessinée est appelée à la rescousse pour construire artificiellement cette identité, certaines tendances militantes la souhaitant de type nordique, la Kahina est dépeinte en déesse mythologie scandinave, presque en compagne de Conan le Barbare,  alors que les chroniques rabbiniques juives la décrivent de type négroïde, et de sa judaité lui reconnaissent seule, son autorité sur une tribu d'esclaves berbères convertis au judaïsme (dont les faits d'armes se confinent convenablement à leur opposition à l'Islam !)  
«2. Considérant le rôle de premier plan joué par la Kabylie dans le mouvement national algérien et la guerre d’indépendance dans laquelle elle s’était massivement engagée,»
Ce point est un autre axiome ou principe "forfaitaire"qui occulte une vérité historique, les habitants de Kabylie, si cette appellation régionale est justifiée par autre que celle que le colonialisme lui a dédiée, ne se sont jamais soulevés en tant résidents d'une entité régionale, géographiquement limitée par la cartographie coloniale, mais comme membres d'une communauté plus large,  d'origine prédominante, algérienne et musulmane. 
Lorsque M'Henni déclare selon un reportage de L.Oubira (lien) , dans son article "Ferhat Mehenni à l’Université de Bgayet "
 « De l’insurrection de 1871 de cheikh Ahadad à Tafsut imazighen. C’est ainsi que le conférencier a conclu qu’“Avril 80 est un cheminement d’un long combat démocratique”. “Le Printemps berbère tire ses racines de loin”, déclare Ferhat M’henni», 
Ou encore (Sous le perfide sponsoring d'El Watan, le cheval de Troie Rothschildien) un exemple de verbiage historique erronée :
«Après avoir évoqué les différentes révoltes kabyles, depuis que cette région a perdu sa souveraineté « en tant que nation »(sic) en 1857, face à l’armée colonialiste française, jusqu’à l’insurrection militaire conduite par le FFS de Hocine Aït Ahmed en 1963, »

 M'Henni verse dans la propagande et la corruption des faits historiques spécifiques à ce pan de l'histoire algérienne et il occulte malhonnêtement le fait majeur sur la nature du combat de Cheikh  El Haddad, et par conséquence celui du Cheikh El Mokrani et de tous les héros issus de la région qui n'avaient pas d'autre devise que celle de défendre un pays musulman et l'Islam, devant l'agression étrangère non-musulmane ( pas uniquement chrétienne, religion des "proxies" et de la chair à canon, mais également juive, car les juifs étaient les commanditaires de cette occupation armée !).
( photo ci dessus, M'Henni lors de l'annonce de la formation d'un gouvernement provisoire de la Kabylie......indépendante ! )
Mensonges et malhonnêteté semble stigmatiser le projet sociopolique du MAK. Deux points seulement de la "déclaration" ont été survolés, 
le fond et la forme du reste de ce texte soulèverait autant d'inexactitudes graves qui démontreraient une surenchère de la part des dirigeants du MIK-MAK qui penche vers la tentative de contrôle d'algériens de culture berbère, crédules et ciblés par une campagne fondée sur les émotions et l'exaspération de différences culturelles mineures,  campagne sans aucun doute criminelle , avec les ambitions et les visées propres aux cultes et sociétés secrètes qui ont pour arme meurtrière  une ascendance psychologique sur ses adeptes, dogmatique et oppressive , plus dangereuse lorsque travestie de contre vérités  historiques. Notre Gourou Ferhat en bon habitué des planches joue le rôle du méchant dans cette tentative de balkanisation du pays, et il dévoile son engagement dans une opération que condamnent la majorité des algériens, même ceux qui partageraient avec lui une affinité régionale ou culturelle. 
Le sectarisme est flagrant dans le projet, 
«2. Les Kabyles sont citoyens d’Algérie et appartiennent tous à la famille des AMAZIGH ou "hommes libres".»
«3. La Kabylie est leur première patrie. Elle recouvre l’espace historique de l’ex Wilaya III ajusté aux réalités sociolinguistiques de la région.»
«4. Le kabyle est sa langue officielle. Toutefois, la Kabylie dispensera à ses enfants toutes les langues nécessaires à son épanouissement et à son rayonnement culturel, économique, social et politique.»
Notez "leur première patrie" en contradiction avec "citoyens d'Algérie". "Toutes les langues nécessaires", sans mention de l'Arabe,
est un euphémisme dissimulant l'insulte et le mépris à l'égard des Algériens majoritairement arabophones. Cette omission volontaire est le venin de la haine que ces fomentateurs de trouble distillent dans l'esprit de leurs sympathisants, insulte à cette culture universelle qui a été pendant des siècles la source des avancées scientifiques et philosophiques de l'humanité et le véhicule de la dernière religion révélée à travers le message inaltérable d'Allah à l'humanité, le Coran par la bouche du Prophète Mohammed (SSAWS).
L'impact malheureux du détournement et de la manipulation de la fibre patriotique des berbères d'Algérie au profit d'un projet illusoire et utopique nous signale les dangers qui peuvent surgir des propos et agissements d'un personnage douteux lorsque ceux qui prétendent souhaiter notre accession aux bienfaits de la démocratie et autre utopie frauduleuse dévoilent leur appui inconditionnel à travers les média à large diffusion et les forum des hémicycles parlementaire ou des ONG.
La reconnaissance par ces pouvoirs internationaux des groupes dissidents ou d'opposition, n'est pas gage de justesse des revendications qu'ils agitent, elle est souvent une poussée dans le dos, un semblant de tape amicale à la victime, au bord du gouffre !  
Au cours d'une interview (lien) Said Khellil n°2 du FFS, sorti de son confortable exil parisien, répond à l'incendiaire LeQuotidienalgérie :
(Notez le dédain et l'insouciance envers les malheurs des Algériens victimes de la décennie fratricide)
LQA : «Comment analyser vous dans ce cas la réconciliation prônée par Bouteflika ?»
SK : Est-ce que vous avez des questions sérieuses à me poser ?
LQA : «Pardon…Vous parliez il y a quelques secondes de ceux qui nous ont déviés de notre identité et de notre souveraineté. Peut-on considérer le MAK de Ferhat M’henni comme une solution thérapeutique à cette désappropriation ?  Sinon que vous inspire le sujet de l’autonomie de la Kabylie.»
SK : «C’est une fuite en avant, surtout qu’aucun bilan critique et autocritique n’a été fait depuis que nous avons investi le champ de la contestation démocratique et citoyenne à la fin des années 70. Est-ce qu’en délimitant une région quelque part, ses citoyens deviendraient meilleurs, performants, responsables dans leur démarche de tous les jours et surtout  est ce que les bureaucrates zélés et corrupteurs feront amende honorable à notre ami Ferhat M’henni ? Sait –il que toutes les richesses de la Kabylie sont rentières ? Ceci dit, j’ai adhéré au FFS en 1979 parce qu’il était question dans notre programme politique d’autonomie régionale, individuelle, linguistique et d’un État de droit national et démocratique. C’est vrai, c’est une lointaine utopie, comme celle de Ferhat M’henni…Sincèrement, j’aime le grand espace ( pour les safaris ?). Les arguments de Ferhat contre ce pouvoir honni sont justes, mais la solution qu’il propose est fausse pour ne pas dire dangereuse.»

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