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26 nov. 2021

Turquie et Miracle économique ou mirage assis sur $445 milliards de dette extérieure (Juillet 2021).

chiffres en $ millions

 

À propos du visionnaire défunt président Bouteflika (الله يرحمه, on ne se lassera  jamais de louer et rendre grâce à sa décision éclairée et judicieuse de régler en priorité la dette extérieure.



La situation économique-financière inquiétante de la Turquie donne froid dans le dos. Fruit de sa politique libérale d'adhésion au capitalisme financier international, régi et géré par le diktat des banksters, le pays succombe au piège de la dette extérieure. Tant il en est de la politique du régime se réclamant du titre de  "califat musulman".
Les analyses et les rapports publiées dans les média et revues spécialisées annoncent l'émergence d'une crise grave multi dimensionnelle.

 
 
 
Exemple à lire (en anglais et français sur la même page) : lien

Extrait: "La croissance économique apparemment rapide des deux dernières années a été réalisée sur des cuisses de dindon (crédit et emprunts extérieurs) tandis que les importations ont afflué dans l’économie et n’ont pas été compensées par les exportations et que la rentabilité des capitaux turcs a fortement diminué. La montée du dollar et les taux d’intérêt à l’échelle mondiale ont mis fin au parti et ont exposé Erdogan aux réalités du capitalisme mondial."

Complément d'info éducatif: la chute de l'Empire Ottoman et son catalyseur : l'endettement externe !!
Lire l'exposé documenté au Lien

22 avr. 2019

Le Hirak évolue vers la "destruction créatrice", sous l'aspect économique, selon El Kadi Ihsane l'adepte du Printemps Kharab et des doctrines mondialistes de Soros .


Les Printemps Kharba sont un volet de l'agenda du Nouvel Ordre Mondial (NOM) intitulé Ordo ab chao (ordre après le chaos). De manière générale cet objectif affecte l'état d'un pays sous tous ses aspects, économique, politique, militaire, sociétal. La situation en Libye-Syrie-Yémen-Afghanistan-Mali-Somalie, etc... ressemble fidèlement à ce model tracé par le NOM.

La subversion en Algérie et ses différents cercles, s'affairent à franchir les étapes préparant l'agenda mondialiste. Ceux qui militent et participent dans le Hirak en cours n'ont pas connaissance de cet objectif occulte. Leurs revendications de principe, quoique légitimes, sont dans la plus part du temps modulées par ce pouvoir de l'ombre qui les orientent, à l'aide de slogans mystificateurs, vers l'objectif que lui en secret aspire à réaliser.
Ce qui m'a fait dire que le peuple est programmé comme proxie (principalement par les merdia et les mercenaires des réseaux sociaux), pour la réalisation de plans qui ne sont pas visibles parce que dissimulés derrière les illusions dogmatiques "démocratie et de 2em République", "dégagez tous ", et autres concepts que la majorité des manifestants n'appréhendent pas et n'en perçoivent pas la finalité.

J'ai également lancé un avertissement sur le coût et les risques financiers et économiques que la poursuite du Hirak inscrira au bilan financier du pays. Un tribut très lourd dont la majorité des intervenants politiques ignorent la probabilité, ou dans beaucoup de cas en occultent malicieusement l'existence parce que partenaires dans le projet Ordo Ab Chao.

El Kadi Ihsane est un journaliste averti et expérimenté dans l'activité des media dédiée à la sape sociale pendant son long séjour à El-Watan, sa participation à Barakat (le mouvement agitateur pro printemps des années 2011 et 2014), et son engagement à Radio-M, Huffpost, TV-Monde, Le Monde, etc...ont certainement étoffé ses capacités d'agent de la subversion médiatique.
Anticipant sur les événements à venir (connus par les experts d'OTPOR et des cercles impliqués dans l'offensive contre l'Algérie en cours, car part de leur agenda), le dangereux journaliste véreux publie un article dans sa tanière d'origine El-Watan où il aborde la question de la menace de l'effondrement financier-économique en des termes ...élogieux !
Jugez du cynisme du personnage :
 Se basant sur les écrits et théories de Joseph Schumpeter qui élabore un concept décrit par "destruction constructive" !
"
La « destruction créatrice » désigne le processus continuellement à l'œuvre dans les économies et qui voit se produire de façon simultanée la disparition de secteurs d'activité économique conjointement à la création de nouvelles activités économiques."
- Ainsi donc la Destruction constructive de l'économie est-elle prévue dans les projets machiavéliques de la subversion ?

- Kadi y fait allusion et en modère les conséquences, pour faire passer le plus délicatement la pilule  en traçant un tableau idyllique, purement utopique, de cette fadaise de sciences économique que son pionnier a fantasmé en s'inspirant de divers auteurs dont Karl Marx. On est donc en plein talmuderie et ses intrigues contre les goy !
À propos d'El-Watan et cette article étoffé de El Kadi Ihsane, une question me vient à l'esprit : "en est-il l'auteur ou est-il le destinataire de documents élaborés par les bureaux d'experts en agitation et déstabilisation sociales travaillant pour le compte de Soros et de ses réseaux ? "
Extrait de son article, notez la désinvolture avec laquelle il spécule sur l'avenir du pays, qu'il manipule cyniquement dans son jeu mortel de roulette russe :
«
L’économie algérienne est-elle au seuil d’un choc de contraction en 2019 après la révolution de février ? Trois raisons peuvent le laisser penser. L’activité industrielle pourrait stagner en volume, la production des hydrocarbures n’est pas à l’abri d’un ralentissement, le lancement de nouveaux projets publics et privés va se réduire pour être décalé. Rien d’alarmant a priori. S’il s’agit du prix à payer pour faire émerger, en un an ou deux, un nouveau pacte stratégique entre un Etat de droit régulateur et des acteurs économiques libérés, il s’agirait d’un prix équitable. Tout dépend tout de même de la portée des préjudices de restructuration.»


Conclusion :
L'impact économique du Hirak, est selon El Kadi Ihsane "rien d'alarmant, seulement le prix à payer pour émerger ...bla bla bla" ! En réalité le Hirak peut être assimilé au jeu de roulette russe ou la "destruction créatrice" est la mise à remporter ! Merci la subversion sorosienne de Paris-Sion pour cette encouragement à la poursuite du Hirak sous sa forme actuelle, baignant dans l'illusion, les utopies, et s'accrochant aux slogans stériles ! Vous accomplissez un travail machiavélique digne de votre renommé de destructeur de nations entières

17 avr. 2019

"Dégagez " va coûter très cher ! N'y a-t-il pas une voie de sortie à la crise qui à se rythme fera collapser l'économie ?


Un facteur que les experts analystes conventionnés de l'opposition n'abordent pas ou volontairement occultent : le poids du coût financier et économique astronomique des Printemps kharab.
Ils défilent sur toutes les rédactions, débarquent de partout, dispatchés pour disserter et proposer des solutions à la crise, des plats politiques précuits en sauce de verbiage interminable, mais on s'étonne de leur cécité /silence complets sur le coût économique et financier que cette situation de nihilisme aveugle régnant dans la société impose au pays. Il est colossal !
La subversion, elle, le sait ses experts de Paris-Sion ont les statistiques et connaissent les conséquences d'une situation prolongée d'incertitude et de vide constitutionnel, ses agents locaux ont donc ordre de faire obstacle à toute décision interrompant la crise. D'où leur rejet de la date du 04 Juillet décrétée pour les élections présidentielles, au prix de se contredire et sans contrainte ni pudeur de se rétracter par rapport à leur propres exigences propagées depuis 2014 ! Mais ni la contradiction, ni le mensonge ne font partie de leur dialectique, l'intox est l'opposée des valeurs universelles d'intégrité, fiabilité, cohérence, moralité, etc.



14 oct. 2018

Raouia, Loi des finances; et mesures d'austérité sa Loi des finances, et mesures d'austérité s'adressent uniquement au citoyen. Les (ir)responsables en sont dispensés.


Crise ou pas crise ? Austérité pour tout le monde, ou sélective vers le bas ?
La loi des finances 2018 prétendue redresser la situation des différents indicateurs financiers et renflouer les caisses de l'État a pris pour cible l'agent économique principal, le consommateur. Augmentation de ses charges, de la TVA, des taxes d'importation, etc...Toutes les augmentations retombent sur son dos, il est la cible facile, sans avocat, ni représentant digne de son nom, ni porte parole, ni partis politiques s'en préoccupent (trop occupés par les querelles de clocher et l'accaparement de postes lucratifs). 

La loi des finances de Mr Raouia est une catastrophe ! Les rapports de ventes (un indicateur inconnu chez Raouia et ses services) signalent un ralentissement des produits écoulés. L'activité des commerces est complètement gelée. La faillite guette d'innombrables producteurs, ceux de l'agriculture sont terrassés. La politique financière brutale décrétée par Raouia est une cacophonie, un mépris des règles de gestion, et un coup bas porté à l'économie.
Autant le consommateur est soumis à un diktat, autant l'administration (terroriste) bénéficie de largesses. Les walis, les ministres gèrent leurs budget comme des seigneurs le feraient dans leur royaume, aucun bilan, aucun compte rendu comptable de leurs activités.
L'austérité est-elle réservée au citoyen lambda uniquement ?
Les irresponsables responsables et leur département ne sont-ils pas concernés ?
C'est ce qui se confirme lorsqu'on examine les activités extravagantes, ostentatoires, dépensières, provocatrices de certains ministères improductifs aux prérogatives farfelues et aux objectifs purement ludiques (divertissements, galas, concerts, commémorations d'anniversaires de stars débauchées, restauration de statues érotiques 😂). 
Raouia, Loi des finances, et mesures d'austérité s'adressent uniquement au citoyen. Les (ir)responsables en sont dispensés.
Notons la création par Si Mehoubi d'un orchestre symphonique amazigh. Mettant en scène quelles symphonies ? Celles héritées de quelle tradition musicale ? Celle gravée sur les CD's de Matoub ? Un grand hommage pour le défunt chanteur de cabaret.
La culture nationale mihoubienne :
----http://www.culture-dz.com/2018/07/02/mihoubi-annonce-la-creation-dun-orchestre-national-symphonique-de-musique-amazigh/
--- http://www.culture-dz.com/2017/10/08/programme-du-festival-de-musique-symphonique-a-lopera-dalger/

27 sept. 2017

René Guénon et la crise du monde moderne, une analyse prophétique et d'actualité à mémoriser.


Les polémiques les plus violentes, souvent virulentes, qu'on rencontre sur les réseaux sociaux impliquent les participants adhérant à différents dogmes, plus particulièrement ceux qui affichent leur foi religieuse et ceux qui se réclament de la laïcité et du "modernisme". On constate comment les laïcs lancent à tour de bras et à la ronde le terme de moderne, croyant avoir découvert une arme de destruction massive contre leur adversaire juste en l'écrivant ou le prononçant. Combien futile est leur raisonnement et signe de leur ignorance, car cet euphémisme incrusté dans leur esprit par l'école laïque est trompeur, aliénant, et corrupteur de la vérité.
René Guénon a vécu dans les deux sociétés, européenne et égyptienne, qu'on peut respectivement qualifier de "moderne " et de "traditionnelle", dans son classique "La crise du monde moderne", il aborde ce thème d'actualité.
Qu'est-ce qu'il en dit ? Un texte éducatif et très informatif cite Guénon et analyse ce paradigme du "clash des civilisations "
texte complet au lien : http://tinyurl.com/y9ctgadm
Dont extrait :
"Dans Orient et Occident, il adopte le point de vue des sages d’Orient qui comparent le monde moderne à « UN ENFANT QUI, FIER D’AVOIR ACQUIS RAPIDEMENT QUELQUES CONNAISSANCES RUDIMENTAIRES, SE CROIRAIT EN POSSESSION DU SAVOIR TOTAL ET VOUDRAIT L’ENSEIGNER A DES VIEILLARDS REMPLIS DE SAGESSE ET D’EXPÉRIENCE».
Le « triomphe » du moderne est uniquement un triomphe du « matériel ». En somme, c’est à travers ses œillères modernistes que l’Occident va aborder l’Orient traditionnel au cours du XXème siècle ; le mépris et l’incompréhension de la civilisation islamique ont accentué la division entre ces deux civilisations. "


21 sept. 2017

El-Watan crée un antagonisme factice, il se réjouit de la suppression de la "Bismallah" et loue l'introduction de mots berbères dans les manuels scolaires !

CHRONIQUES D'EL-WATAN, EN APPARENCE TRIVIALES, MAIS CACHANT DES OFFENSIVES POLITIQUES-RELIGIEUSES-CULTURELLES SOURNOISES, LOURDES EN SIGNIFICATION.
ElWatan affiche son satisfecit: qu'importe le retrait de la Bismallah, aussi longtemps que des manuels scolaires mentionnent "Yannayer" et les textes introduisent des noms berbères ! Les lavigeristes du quotidiens savent manipuler la plume pour injecter le venin subtil dispensé et distillé, depuis deux siècles, par l'instruction jésuite consistant en le double langage, l'oxymore, l'euphémisme, la périphrase, l'adoucissement sémantique.
LE MESSAGE CACHÉ DANS L'ARTICLE,
(lien : http://tinyurl.com/ya85e3ta)
EN deux PARTIES
1- la dépréciation de la Bismillah, venant d'eux, n'étonne personne, mais El-Watan la ré-enforce et la banalise, en défiance des musulmans car la provocation sert à alimenter la polémique, à exaspérer les tensions. Un travail qu'El-Watan effectue depuis 20 ans, conforme aux directives de Paris-Sion.
2- la dépréciation de la bismallah est contrastée avec une avancée du berbérisme, créant un antagonisme imaginaire, Islam v Berbérisme ! Une incitation au régionalisme, au chauvinisme linguistique, et une galvanisation de la dérive des berbères reniant l'Islam en échange de la "satisfaction" de la mention des noms berbères dans les manuels ! J'irai plus loin en affirmant que c'est du pur satanisme, par la corruption des esprits (déjà conditionnés et malades), les encourageant au blasphème (ne l'est-il pas ?) de jubilation tacite du retrait de la bismallah (au nom d'Allah) et sa substitution par des symboles païens (yennayer et les prénoms non arabes, non musulmans).
Conclusion :
L'identité nationale est agressée comme jamais au paravent sous les coups de boutoir de la 5em colonne Lavigeriste (El-Watan en est un des porte paroles), infiltrée dans les rouages de la culture, de l'éducation (Benghabrit et son staff), les média (El-Watan et C°) !
Ils ont depuis 1962 à pied d'oeuvre répondant à l'appel du cardinal Lavigerie dans "LETTRE DU CARDINAL LAVIGERIE APRES LA REVOLTE DE MOKRANI EN KABYLIE EN 1871
« C’est la Kabylie qui a été, à peu près exclusivement, cette fois, le théâtre de la révolte. Fort- Napoléon, Tizi Ouzou, Dra-el-Mizan, Dellys, Bougie sont encore assiégés au moment où j’écris.»
«Ce spectacle ouvrira-t-il enfin tous les yeux ? Comprendra-t-on que ce que fait ici la France depuis près de quarante ans est aussi odieux qu’absurde ? COMPRENDRA-T-ON QU’IL FAUT, NON PAS ISOLER, PARQUER LES ARABES DANS LE CORAN, MAIS LES ASSIMILER ET LES NOYER, SI J’OSE DIRE, DANS LA PACIFIQUE INVASION DE COLONS VRAIMENT CHRÉTIENS ; NON PAS, ENFIN, CRÉER UN ROYAUME ARABE, MAIS UNE COLONIE CATHOLIQUE ET FRANÇAISE ?» 

--- http://tinyurl.com/yajpqjgs
--- http://www.djazairess.com/fr/lequotidien/29871

Facebook déteste qu'on confirme et prouve les bienfaits du financement non-conventionnel et la nuisance du recours à l'endettement extérieur (banksters)

Facebook déteste qu'on prouve les bienfaits du financement non-conventionnel et la nuisance du recours à l'endettement extérieur (banksters). Bloqué pendant 7 jours pour avoir fait l'éloge du plan de financement (non-conventionnel) publié par le gouvernement Ouyahya en réponse aux directives de Bouteflika, dont celle du refus catégorique de l'endettement extérieur. 

Le texte de la publication sur facebook et les photos associées.
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" L'argent est indispensable au programme prévu, or il est disponible grâce à notre banque nationale, pourquoi aller l'emprunter au près d'autrui et retomber dans le piège du chantage financier et l'abandon de la souveraineté, une mise en esclavage subi durant les années 90 ?
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Le concept de "planche à billets " est un concept révolu, ceux qui s'y réfèrent induisent l'opinion en erreur ! Les media de la subversion le répètent en boucle, le mensonge répété 1000 fois devenant une (fausse) vérité dans la perception par l'opinion d'un concept donné.
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- Qu'en est-il de cette "planche à billets " ?
"Ce processus s'appelle le financement monétaire, ou plus péjorativement décrit par l'expression .......« faire fonctionner la planche à billets ». Néanmoins, cette pratique est .....désormais très limitée, et même ..........strictement interdite dans certaines zone monétaires telles que la zone euro (Article 123 du Traité de Lisbonne)."
- La méthode actuelle :
"Dans l'économie moderne où la monnaie est essentiellement scripturale (électronique), la création monétaire est aujourd'hui largement conduite par les banques privées, par l'émission de crédits. En effet, lorsqu'un crédit est accordé, la banque crée la monnaie nécessaire à ce crédit par un simple jeu d'écriture dans un livre comptable. Ce système est parfois appelé le système de réserves fractionnaires." (wikipedia : https://fr.wikipedia.org/wiki/Cr%C3%A9ation_mon%C3%A9taire)


Remarque : INTOX MÉDIATIQUE !


El-Watan poursuit avec acharnement sa campagne de désinformation dénigrant et stigmatisant le plan d'auto-financement dit non-conventionnel ou Qualitative Easing, approche pratiquée par TOUS les pays développés depuis 1990 (Japon). Le quotidien (financé lui par Bnp Paribas, Rothschild), caricature malicieusement la stratégie de l'Algérie en "planche à billet", ce qui est faux ! El-Watan et tous les media de l'opposition éperonnés par Paris-Sion tentent de "faire croire" que l'endettement extérieur est la solution, ce que les banksters lui ordonnent de promouvoir.

20 sept. 2017

Benghabrit et l'art de créer des controverses stériles, garder l'opinion occupée et détourner l'attention publique des vrais enjeux !




Benghabrit propose un plan marche-arrière, pardon Marshall, qui selon les observateurs se résumerait à :
"Il est interdit de doubler !
Ceux qui veulent doubler seront punis ! Ils referont l'année !
L'objectif : sur 1000 nouveaux élèves inscrits au primaire tous passeront le BAC, même si aucun ne réussit".
- Génial n'est-ce pas ? Voilà !
--- http://www.aps.dz/algerie/62649

 On peut ignorer une réalité qui est celle du sabotage intentionnel de cette institution, de ses programmes, de son fonctionnement, de la qualité de son enseignement, de la qualification de son personnel, etc.. L'actuelle ministre est une incompétente, qu'on suppose qu'elle soit de bonne foi, ou qu'elle soit un agent de l'UNESCO affectée à la mission de destruction de l'école.
Toutes ses interventions ont créé des controverses stériles, gratuites, causes de polémiques et de division, sans jamais produire une avancée positive et une amélioration des performances scolaires
- le conflit entre les matières scientifiques et celles de culture générale et de l'islam (alors qu'elles sont complémentaires),
- sa proposition de l'adoption de l'école républicaine, donc de la laicité (conflit avec notre identité),
- la proposition de l'introduction de la darija, une autre fadaise réfutée par les études d'experts et les expériences du passé (le Maroc),

À propos de darija, consulter la réponse d'une pédagogue et experte de l'éducation, Dr Nacera Zellal.
- le paradigme du dialecte amazigh promu langue, et qu'elle dit introduire massivement dans l'école avant que cette langue ne soit réellement définie (quels caractères utilisés ?)
- parallèlement à introduire cette "langue", il faut constater la situation catastrophique du niveau des langues académiques universelles, l'arabe, le français, et l'anglais ! Après 4+6 années les candidats au bac ne maitrisent aucune des trois langues !
- les vrais problèmes et les vrais défis ne sont JAMAIS soulevés, exemple l'introduction indispensable de moyens modernes (audio-visuels) modestes, élémentaires, indispensables, de l'apprentissage des langues (l'informatique est aujourd'hui un outil rudimentaire planétaire)
- les sciences et techniques ont été dévalorisées, la lecture n'est pas pratiquée comme elle devrait l'être, etc.
- etc, etc ...

14 sept. 2017

Article exceptionnellement instructif de Said Boucetta du quotidien L'Expression : "Le grand mensonge : ILS PRÉSENTENT L'ALGÉRIE COMME UN PAYS EN FAILLITE ÉCONOMIQUE ET POLITIQUE".

Un éclair de génie qui éclaire le champ assombri de l'information : Said Boucetta 
Il est ré-assurant, réconfortant de constater que nos média et les rédactions qui les animent ne sont pas TOUS POURRIS ET VÉREUX, certains gardent le sens de l'objectivité et le respect de la déontologie en oeuvrant à INFORMER et non INTOXIQUER L'OPINION. Un grand bravo à SAID BOUCETTA du quotidien l'Expression.DZ, pour cette bouffée d'oxygène qui j'espère réanimera les esprits moribonds envahis par les vapeurs nocives des média de la subversion.
En un article il dévoile et dénonce la propagande massive entourant les évènements majeurs de ces deux derniers mois. L'intox cible le citoyen, au détriment de la vérité et de l'intérêt national. À lire impérativement pour éclaircir sa vision des enjeux-intrigues en cours, et à partager ! 


Comme prévue, j'avais lancé en avertissement à ce sujet, une campagne de dénigrement et d'intox par vagues successives est en cours. Inaugurée et orchestrée par les banksters (par extension le pouvoir..... judéo-maçonnique-jésuite) ET LEURS AGENTS, elle a pour but de complètement dénaturer le contenu, les objectifs, les méthodes, les outils, les risques/avantages/désavantages de la formulation du "financement non-conventionnel", ou "Quantitative Easing" (QE) !
-Campagne multidirectionnelle impliquant
1-  les média de la subversion, principalement de lavigeristes (Envoyés spéciaux, TSA, El Watan, Liberté-Algérie, Le Matin, Maghreb Emergent, Algérie Part- Algérie Focus, etc....)
2- des économistes  ayant TOUS un lien avec les FMI/Banque Mondiale, dont des ex-employés ou des universitaires ayant bénéficié de formation et de soutien en espèce (frais de voyage, conférences, séminaires). Je précise TOUS  ! Les Mebtoul-Benbitour-Hadj Nacer etc...
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LA RÉFUTATION des mensonges/contre vérités de ces mercenaires :
1- cette politique n'est pas nouvelle ! C'est la doctrine politico-financière de Bouteflika en cours depuis 2001 ( sociale, qualifiée malicieusement de populiste-électioniste, garant de la paix sociale), qui a jusqu'à présent maintenu le pays en marche vers le progrès malgré....la multitude et les armées... de traitres et de judas infiltrés dans tous les rouages de la nation, gravitant autour de la secte judéo-maçonnique-jésuite ayant pris le pays en otage en 1962 !
2- les agents de la propagande ne précisent pas, ni n'expliquent, la méthode/stratégie du financement non-conventionnel", ou "quantitative easing", nouvelle approche financière adoptée par les EU/USA, mais qui Bouteflika AVAIT DEVANCÉS !
 Oui devancés, et en mieux, par son paiement anticipé de la dette extérieure, son refus d'y recourir, et de son plan d'auto-financement (grâce au réserves de devises).
Ce qui a changé officiellement depuis hier, est l'intention du recours à nouveau type d'auto-financement impliquant nos banques et de notre banque centrale NATIONALE (pas privée/shylock), soit un financement propre en Dinar, DESTINÉ À L'INVESTISSEMENT, ET NON À LA..... CONSOMMATION (cause d'inflation) comme le suggère Abdou Semmar. L'approche non-conventionnelle est soutenue Said Boucetta dans un article précédent, où il expose les arguments favorables et les ressources concrètes existantes permettant sa concrétisation.


«C'est parce que l'Algérie dispose encore d'une indépendance économique, qu'elle peut recourir aujourd'hui souverainement au financement interne non conventionnel.»

19 juil. 2017

BAC et Benghabrit, deux paradigmes révolus non pédagogiques, non performants, au coût exhorbitant , et dont le peuple exige la suppression !


Facebook et Twitter bloqués de 8h à 18 heures pendant les examens du BAC !
La gabegie sulfureuse de Benhgabrit se poursuit !
UNE MÉTHODE, SIMPLE ET EFFICACE POUR DÉJOUER LA FRAUDE, EXISTE !

 MAIS ELLE N'INTÉRESSE PAS LE POUVOIR JUDÉO-MAÇONNIQUE-JÉSUITE, CAR L'ARRÊT DE LA FRAUDE PRIVERAI SA PROGÉNITURE DU PRIVILÈGE DES BONS RÉSULTATS, TREMPLIN VERS LA RÉUSSITE SOCIALE ET PROFESSIONNELLE .
Benghabrit fait encore des siennes. Meskina ! !
Elle tourne le peuple en bourrique et nous ridiculise devant le monde entier !
Son Bac factice est une fraude, une épreuve non pédagogique, non équitable, non performante, une perte de ressources inestimables (10 000 policiers mobilisés, etc...), ne reflétant pas les capacités des élèves ! Un épouvantail hérité du colonialisme et de l'ordre jacobin maçonnique !

Dégoûtés par le traitement subi durant la première session, nombre de candidats n'ont pas daigné se présenter à la session de rattrapage ! Sa mission a donc été accomplie !
MORALITÉ :

 BENGHABRIT N'A FAIT QUE CRÉER DES PROBLÈMES ET ÉRIGER DES OBSTACLES À LA RÉUSSITE DE L'ÉCOLE ET DES ENTRAVES À L'ÉPANOUISSEMENT DES ÉLÈVES !
Parallèlement, elle n'a réglé aucun problème, seulement soulevé des controverses répétées, qui en plus de jeter le voile sur ses propres carences, a causé des fractures sociétales, des divisions dans l'opinion, des conflits politiques, la discorde générale ! Elle est donc un outil du "diviser pour régner", devise que les cercles de la Sorbonne brandissent pour porter préjudice à l'Algérie ! 

3 juil. 2014

Algérie Des Années '90 : Le Fardeau De La Dette, L'Ingérence Des Banques Étrangères, Et Les Politiciens Complices !

Reporté maintes fois dans ce blog est le rôle suspect des politiciens impliqués dans la gestion économique et financière du pays qui durant la décennie 1988-98 sombra dans une crise sans précédent et frôla la catastrophe généralisée, politique, économique et sociale. La stratégie des banquiers talmudes pour le contrôle de la planète est axée essentiellement sur la dette et donc l'usure. Pour cela, les banques recrutent des agents locaux, principalement des politiciens qui influent sur les décisions et les orientations adoptées définissant les relations et les accords liant le pays aux banques juives, piliers de l'hégémonie des Illuminati.
Confirmation par un important acteur de la Banque Mondiale :
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(Lien)(traduction) «Karen Hudes est diplômée de la Yale Law School et elle a travaillé dans le département juridique de la Banque mondiale depuis plus de 20 ans. En fait, quand elle a été congédiée pour avoir dénoncé la corruption à l'intérieur de la Banque mondiale, elle occupait le poste de conseiller principal. Elle était dans une position unique pour voir exactement comment les élites mondiales gouverner le monde, et les informations qu'elle révèle maintenant au public sont absolument choquantes. Selon Hudes, l'élite utilise un noyau très serré d'institutions financières et de méga-entreprises pour dominer la planète. Le but est le contrôle. Ils veulent nous rendre tous esclaves de la dette, ils veulent que tous nos gouvernements soient asservis à la dette, et ils veulent que tous nos politiciens deviennent accro (addictes) des énormes contributions financières canalisées dans leurs campagnes. En plus l'élite possèdent également toutes les grandes sociétés et agences des médias, et ces médias de masse ne nous initient jamais dans le secret de la chose à savoir combien radicalement néfaste est la manière dont notre système fonctionne.»
Remarque : Tous les politiciens complices impliqués dans le complot des banquiers pour la mise en esclavage du pays et sa soumission totale au diktat de la dette et de l'usure sont toujours en activité ! Preuve que leurs agissements sont contraires aux intérêts nationaux, agissements qui selon l'optique adoptée peuvent être assimilés à de la haute trahison, est révélée par leur opposition virale à la politique d'indépendance économique et financière menée depuis 1998 et l’ère Bouteflika ! Aujourd'hui tous dans l'opposition et tous ménagés par des média aux intentions insondables qui ne rappellent jamais leurs délits et leurs méfaits. Que penser d'eux, sauf que leur impudeur excède de beaucoup le caractère de leurs maitres banquiers, la Chtuzpah !
Hypothèse complémentaire élucidant l'omerta qui entoure l'histoire véridique et les malversations de cette nébuleuse de la trahison, leur parfaite subordination aux directives instruites par la franc-maçonnerie internationale, l'organisation qui est une étape et un tremplin de leur ascension, promotion et maintien sur la scène politique.
Un petit jeu consiste en un recensement de ces politiciens véreux, vrais prédateurs et flibustiers qui ont pillé le pays, et qui sillonnent le terrain sous différent déguisement, hier sous celui du socialisme spécifique, aujourd'hui celui du libéralisme économique et qui brandissent le slogan de "lutte contre la corruption " ! Un brève survol de la scène politique suffit à les repérer, leur trait commun est celui attribué à.....Judas !
   

4 janv. 2012

Média 2012 : Mensonges Et Diversion A La Poursuite De L’agenda Du Nouvel Ordre Mondial.(1ère Partie)


Énumérons les thèmes principaux qui alimentent l’actualité et examinons le contenu et l’appréciation offerte par différents commentateurs et observateurs.
On constate que la réalité prend diverses formes, en fonction de la source qui la présente. Un choix s’impose, celui de distinguer les motifs et les intérêts, connus ou cachés qui conditionnent le travail des rédactions à l’origine de l’information.
La crise financière et économique mondiale est le premier sujet qui fait couler beaucoup d’encre dans les chroniques spécialisées, de la plume d’experts et de commentateurs avisés. Beaucoup d’autres, par contre, diffusent leurs idées comme support d’une manipulation voulue des masses dont le mécontentement gronde, ce que les banquiers craignent et tentent de neutraliser. Les experts s’accordent sur la gravité de la situation économique internationale et par déduction, de l’état de la planète menacée par les conflits déclenchés par le NOM, en rupture avec toutes les règles régissant les relations entre états. Justice et légalité sont ignorées par les USA et ses alliés, proxy des banquiers talmudes, par la multiplication de centres de tension ou d’agressions directes pour s’accaparer les ressources naturelles et installer des gouvernements fantoches.
Pour les activistes engagés dans le combat pour la vérité, il ne s’agit pas de jouer à l’oracle du désespoir en voulant prévenir l’opinion des dangers qui pointent à l’horizon, mais de la réveiller et l’éduquer en revendiquant :   
-la dignité humaine,
-la vérité sans fard, libre de la manipulation et de l’intox,
-les droits définis par les décrets divins et non ceux, déceptifs et discriminatoires, promulguées par les ONG scélérates,
-la justice pour tous, et des normes universelles respectées par tous, pas la loi du plus fort ou du plus riche,
-et toutes autres valeurs promotrices de l’homme, non celles propagées par l’élite satanique qui œuvre à la destruction morale, spirituelle et physique de l’humanité.
L’année 2012 s’annonce avec en arrière plan, le pire scénario d’une 3eme guerre mondiale, au vu des manœuvres militaires de l’OTAN qui ont lieu dans les zones sensibles de tous les continents, selon un plan de déploiement que beaucoup d’observateurs jugent alarmant, sinon follement hasardeux et provocant, puisque même la Chine et la Russie n’échappent pas à l’encerclement belliqueux des bases de l’OTAN-US.
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Remarque et conseil :
Une lecture incontournable : les articles d’autorités, auteurs, historiens, analystes exposant les grandes lignes de politique internationale et les événements majeurs marquant l’avenir de l’humanité et de la planète est disponible entre autres, sur les sites Globalresearch.ca (Anglais), ou son site mirroir Mondialisation.ca (Français), Tarpley.net , voltairenet.org.
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- James Petras (Mondialisation.ca) «La perspective économique, politique et sociale de 2012 est profondément négative. Quasiment tous les économistes orthodoxes de la pensée dominante sont pessimistes en ce qui concerne l’économie mondiale. Bien que, là aussi, leurs prédictions sous-estiment l’étendue et la profondeur de la crise, il y a de grandes raisons de croire que 2012 sera le début d’un déclin plus important que celui engendré par la Grande Récession de 2008-2009. Avec moins de ressources, plus de dette et une résistance populaire croissante, les gouvernements ne pourront pas sauver le système
- Bob Chapman (Globalresearch.ca) «Sombres perspectives économiques pour 2012: bouleversements sociaux, défaillance des banques et chaos financier»
«2012 va être une année de la chute d’économies, au Royaume-Uni, en Europe, aux Etats-Unis, en Chine, au Japon et dans le reste de l'Asie. L'Amérique latine et le Mexique en comparaison devraient généralement se porter assez bien. L’Angleterre est prise dans une spirale de la mort. L’Europe suivra ; les États-Unis ne sont pas loin derrière ; la Chine et le Japon vont bientôt rejoindre le groupe d’écartelés. Nous nous apprêtons à assister à la fin d’une aire historique qui s’est développée depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale. Cette fin s’opérant économiquement, financièrement, socialement et politiquement. La transition vers l'avenir va naitre après le chaos. Si vous avez le moindre doute il suffit de regarder la récente loi votée aux États-Unis permettant au président d’arrêter et d'incarcérer les dissidents, les torturer ou les assassiner. Les Américains pouvant être étiquetés de « terroristes » pour n’importe quelle prétexte imaginaire si le gouvernement le décide.»
Les commentaires analysant la situation passée et offrant des prévisions pour l’année qui débute ne manquent pas, il est recommandé pour tout citoyen consciencieux et doté d’un brin de respect de soi même, de s’informer impérativement en consultant des sources fiables de la Toile. Les média dominants sont inévitablement amarrés à la machine de propagande juive talmude qui maintient l’opinion dans l’aliénation et l’illusion chimérique, pendant que se trament des complots aux dimensions planétaires en se jouant de la crédulité populaire et acheminant les goyim vers l’étape décisive planifiée par les tenants du NOM : la dictature des des banquiers talmudipèdes. Les enjeux majeurs et les défis qui confrontent les citoyens du monde est un sujet qui n’est pas abordé pas la machine à mensonge regroupant les chaines de Tv, la presse, et les sites internet des réseaux contrôlés par la Kosher Nostra. Mondialement ou localement, les gens doivent apprendre à distinguer les agences d’information inféodés au NOM et à se départir du conditionnement culturel préconisant de croire en tout ce que publient les journaux ou annonce la télé.
Thèmes actuels soumis à un tapage médiatique suspect :
Après la campagne libyenne, la machine à mensonges s’est tournée vers d’autres horizons, à savoir la Syrie, l’Iran, la Somalie, le Yémen, les élections présidentielles prévues en France, aux USA, la crise économique et financière, etc…
La Syrie cible du NOM est sujet de la même campagne que celle précédente, dirigée contre la Lybie, menée par les acteurs OTAN + Israél + USA + ONG + ONU + Pays du Golf (Qatar !!),  accompagnés par les agences sionistes + Aljazeera + les média locaux partisans des printemps arabes (en Algérie, El Watan, El Khabar, Echhourouk,…). Pour les partis engagés traditionnellement dans les conflits meurtriers visant les Musulmans-Arabes, la propagande et les prétextes avancés sont prévisibles et visibles car provenant de l’ennemi de toujours, le sionisme-talmudisme international et ses proxies, « de mes ennemis je me charge ». Mais là où la méfiance s’impose est dans le traitement de l’info produite par l’ennemi de l’intérieur, dans ce cas : « protège moi de mes amis ». Les pays arabes du Golf et Moyen Orient inféodés aux USA-GB, et depuis peu à Israél (relations et accords secrets) , sont passés du rôle de simples alliés logistiques offrant des bases militaires de soutien à la machine de guerre de l’OTAN-US, à celui de partenaires à part entière, sur le plan militaire, politique et diplomatique. Les prophéties se confirment concernant l’avénement du Qarn-Eshaitan au Najd, la région actuelle des 6 (666 !) pays du Conseil de Coopération du Golfe.  Sur le plan médiatique, la chaine Aljazeera est l’outil de propagande agissant comme diffuseur de mensonges et d’agitateur des foules, un rôle prévu par ses fondateurs les frères David et Jean Frydman, qui rapelons-le, sont deux juifs franco-israéliens (Lien, voltaire.net) qui s’associèrent à l’émir du Qatar pour lancer la chaine ! (Lire impérieusement texte intégral ci-dessus, publication de voltairenet.org

                                       …..A suivre  ----> 2em Partie



Wadah Khanfar, Al-Jazeera et le triomphe de la propagande télévisuelle


Al-Jazeera, la chaîne d’information qatariote qui s’est imposée en 15 ans dans le monde arabe comme une source originale d’information, s’est soudainement engagée dans une vaste opération d’intoxication visant à renverser les régimes libyen et syrien par tous les moyens. Ce revirement, démontre Thierry Meyssan, n’est pas le fruit de la conjoncture, mais a été préparé de longue date par des personnalités qui ont su cacher leurs intérêts personnels au grand public. Révélations…

Réseau Voltaire | Beyrouth (Liban)

Wadah Khanfar 
La chaîne qatariote Al-Jazeeraa annoncé la démission de son directeur général, Wadah Khanfar, et son remplacement par un membre de la famille royale, cheikh Hamad Ben Jassem Al-Thani, le 20 septembre 2011.
Cheikh Hamad est un cadre de Qatargas. Il a travaillé pendant un an à Paris-La Défense au siège de Total. Il présidait par le passé le Conseil d’administration d’Al-Jazeera.
Cette nouvelle est présentée dans la presse atlantiste de trois manières différentes : soit comme une démission forcée et une reprise en main de la chaîne par l’État, soit comme une vengeance de l’Autorité palestinienne après la diffusion des Palestinian Papers, soit enfin comme une conséquence des fuites de Wikileaks exposant certaines des connexions de M. Khanfar avec les États-Unis.
Si toutes ces interprétations peuvent contenir une part de vérité elles masquent la raison principale : le rôle du Qatar dans la guerre contre la Libye. Ici, un retour en arrière est nécessaire.

L’origine d’Al-Jazeera : une volonté de dialogue

Al-Jazeera a été conçu par deux personnalités franco-israéliennes, les frères David et Jean Frydman, après l’assassinat de Yitzhak Rabin, dont ils étaient proches. Selon David Frydman [1], l’objectif était de créer un média où des Israéliens et des Arabes pourraient débattre librement, échanger des arguments, et apprendre à se connaître, alors que ceci était interdit par la situation de guerre et bloquait toute perspective de paix.
Pour créer la chaîne, les frères Frydman bénéficièrent d’un concours de circonstances : la compagnie saoudienne Orbit avait conclu un accord avec la BBC pour créer un journal télévisé en arabe. Mais les exigences politiques de la monarchie absolue saoudienne se révélèrent vite incompatibles avec la liberté de travail des journalistes britanniques. L’accord fut résilié et la majorité des journalistes arabisants de la BBC se retrouvèrent au chômage. Ils furent donc récupérés pour fonder Al-Jazeera.
Les frères Frydman tenaient à ce que leur télévision soit perçue comme une chaîne arabe. Ils parvinrent à convaincre le nouvel émir de Qatar, Hamid bin Khalifa al-Thani, qui, avec l’aide de Londres et de Washington, venait de renverser son père —accusé de sentiments pro-Iraniens—. Cheikh Hamad bin-Khalifa comprit rapidement les avantages qu’il pouvait tirer à se trouver au centre des discussions israélo-arabes, qui duraient depuis un demi-siècle déjà et s’annonçaient encore longues. Au passage, il autorisa l’ouverture à Doha d’un bureau du ministère israélien du Commerce, à défaut de pouvoir ouvrir une ambassade. Surtout, il vit l’intérêt pour le Qatar de concurrencer les riches médias saoudiens pan-arabes et de disposer d’un média qui critique tout le monde, sauf lui.
Le montage financier initial prévoyait à la fois une mise de fonds des frères Frydman et un prêt de l’émir de 150 millions de dollars sur 5 ans. C’est le boycott des annonceurs organisé par l’Arabie saoudite et l’absence de revenus significatifs de la publicité qui a conduit à modifier le schéma initial. En définitive, l’émir est devenu le bailleur de fonds de la chaîne et donc son commanditaire.

Des journalistes exemplaires

Durant des années, l’audience d’Al-Jazeera a été tirée par son pluralisme interne. La chaîne s’enorgueillissait de laisser dire une chose et son contraire. Sa prétention n’était pas de dire la vérité, mais de la faire surgir du débat. Son émission phare, le talk show de l’iconoclaste Faisal al-Qassem, intitulé « L’Opinion contraire », se régalait à bousculer les préjugés. Chacun pouvait trouver des motifs de se réjouir de certains programmes et d’en déplorer d’autres. Peu importe, ce bouillonnement interne a eu raison du monolithisme de ses concurrents et a bouleversé le paysage audio-visuel arabe.
Le rôle héroïque des reporters d’Al-Jazeera en Afghanistan et durant la troisième guerre du Golfe, en 2003, et leur travail exemplaire contrastant avec la propagande des chaînes satellitaires pro-US, transforma l’image de la chaîne d’une station polémique en média de référence. Ses journalistes payèrent au prix fort leur courage : George W. Bush hésita à bombarder les studio de Doha, mais fit assassiner Tareq Ayyoub [2], arrêter Tayseer Alouni [3] et incarcérer Sami el-Hajj à Guantanamo [4].

La réorganisation de 2005

Cependant les meilleures choses ont une fin. En 2004-05, après le décès de David Frydman, l’émir décida de réorganiser complètement Al-Jazeera et de créer de nouveaux canaux, dont Al-Jazeera English, alors que le marché mondial se transformait et que tous les grands États se dotaient de chaînes d’information satellitaires. Il s’agissait clairement d’abandonner l’effervescence et les provocations du début, de capitaliser une audience atteignant désormais les 50 millions de téléspectateurs, pour se positionner comme un acteur du monde globalisé.
Cheikh Hamad bin-Khalifa fit appel à un cabinet international qui lui avait dispensé une formation personnelle en communication. JTrack s’était spécialisé dans l’entraînement des leaders arabes et d’Asie du Sud-Est pour leur apprendre à parler le langage de Davos : comment donner aux Occidentaux l’image qu’ils ont envie de voir. Du Maroc à Singapour, JTrack a ainsi formé la plupart des responsables politiques soutenus par les États-Unis et Israël —souvent de simples fantoches héréditaires— pour en faire des personnalités médiatiquement respectables. L’important n’est pas qu’ils aient quelque chose à dire, mais qu’ils sachent manier la langue de bois globale.
Toutefois, le Pdg de JTrack, ayant été appelé à de hautes fonctions gouvernementales en Afrique du Nord, il dût se retirer avant d’avoir achevé la transformation du Al-Jazeera Group. Il confia la suite des opérations à un ancien journaliste de Voice of America qui travaillait depuis plusieurs années déjà pour la chaîne qatariote et appartenait à la même confrérie musulmane que lui : Wadah Khanfar.
À la fois professionnellement compétent et politiquement sûr, M. Khanfar s’attacha à donner une couleur idéologique à Al-Jazeera. Tout en donnant la parole à Mohamed Hassanein Heikal, l’ancien porte-parole de Nasser, il fit de cheikh Yusuf al-Qaradawi —qui avait été déchu de sa nationalité égyptienne par Nasser— le « conseiller spirituel » de la chaîne.

Le virage de 2011

C’est avec les révolutions en Afrique du Nord et dans la péninsule arabique que Wadah Khanfar a brutalement modifié la ligne éditoriale de sa rédaction. Le Groupe a joué un rôle central dans l’accréditation du mythe du « printemps arabe » : les peuples, avides de vivre à l’occidentale, se seraient soulevés pour renverser des dictateurs et adopter des démocraties parlementaires. Rien ne distinguerait les événements de Tunisie et d’Égypte, de ceux de Libye et de Syrie. Quant aux mouvements du Yémen et de Bahreïn, ils n’intéresseraient pas les téléspectateurs.
En réalité, les Anglo-Saxons se sont efforcés de surfer sur des révoltes populaires pour rejouer le vieil air du « printemps arabe » qu’ils avaient organisé dans les années 1920 pour s’emparer des anciennes provinces ottomanes et y installer des démocraties parlementaires fantoches sous contrôle mandataire. Al-Jazeera a donc accompagné les révoltes tunisienne et égyptienne pour écarter la tentation révolutionnaire et légitimer de nouveaux gouvernements favorables aux États-Unis et à Israël. En Égypte, il s’est même agi d’une véritable récupération au profit d’une seule composante de la contestation : les Frères musulmans, représentés par le prêcheur star de la chaîne… cheikh Yusuf al-Qaradawi.
Indignés par cette nouvelle ligne éditoriale et par le recours de plus en plus fréquent au mensonge [5], certains journalistes comme Ghassan Ben Jedo claquent la porte.

Qui tire les ficelles de l’info ?

Quoi qu’il en soit, il faut attendre l’épisode libyen pour que les masques tombent. En effet, le patron de JTrack et mentor de Wadah Kanfhar n’est autre que Mahmoud Jibril (le "J" de "JTrack", c’est "Jibril"). Ce manager aimable, brillant et creux, avait été conseillé à Mouammar Kadhafi par ses nouveaux amis états-uniens pour piloter l’ouverture économique de la Libye après la normalisation de ses relations diplomatiques. Sous le contrôle de Saif el-Islam Kadhafi, il avait été nommé à la fois ministre du Plan et directeur de l’Autorité de développement, devenant de facto le numéro 2 du gouvernement, et ayant autorité sur les autres ministres. Il mena au pas de charge la dérégulation de cette économie socialiste et la privatisation de ses entreprises publiques.
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Mahmoud Jibril avec son ami et partenaire en affaires Bernard-Henri Lévy, dans Tripoli conquise.
À travers l’activité de formation de JTrack, Mahmoud Jibril avait noué des relations personnelles avec presque tous les dirigeants arabes et d’Asie du Sud-Est. Il disposait de bureaux à Bahreïn et à Singapour. M. Jibril avait aussi créé des sociétés de négoce, dont une chargée du commerce du bois de Malaisie et d’Australie avec son ami français Bernard-Henri Lévy.
Mahmoud Jibril avait suivi ses premières études universitaires au Caire. Il y avait fait la connaissance de la fille d’un des ministres de Nasser et l’avait épousée. Il avait poursuivi ses études aux États-Unis, où il avait adopté les thèses libertariennes qu’il essaya d’introduire dans l’idéologie anarchiste d’el-Kadhafi. Surtout, M. Jibril avait rejoint la confrérie des Frères musulmans en Libye. C’est à ce titre qu’il avait placé les Frères Wadah Kanfhar et Yusuf al-Qaradawi à Al-Jazeera.
Durant le premier semestre 2011, la chaîne qatariote est devenue l’instrument privilégié de la propagande pro-occidentale : elle a nié autant que possible l’aspect anti-impérialiste et anti-sioniste des révolutions arabes et a choisi dans chaque pays les protagonistes qu’elle soutenait et ceux qu’elle conspuait. Sans surprise, elle a soutenu le roi de Bahreïn —un élève de Mahmoud Jibril— qui faisait tirer sur la foule, tandis que cheikh al-Qaradawi appelait à l’antenne au Jihad contre el-Khadafi et el-Assad, accusés mensongèrement de massacrer leur propre peuple.
M. Jibril étant devenu le Premier ministre du gouvernement rebelle libyen, le sommet de la mauvaise foi aura été atteint avec la construction dans des studios à Doha de répliques de la Place verte et de Bab el-Azizia où furent tournées de fausses images de l’entrée des « rebelles » pro-Us dans Tripoli. Que n’ai-je lu comme insultes lorsque j’ai annoncé cette manipulation dans les colonnes de Voltairenet.org ! Pourtant Al-Jazeera et Sky News diffusèrent ces fausses images le second jour de la bataille de Tripoli, semant le désarroi parmi la population libyenne. Ce ne fut en réalité que trois jours plus tard que les « rebelles » —presque exclusivement les Misrata— entrèrent dans Tripoli dévastée par les bombardements de l’OTAN.
Il en va de même avec l’annonce par Al-Jazeera de l’arrestation de Saif el-Islam Kadhafi et de la confirmation de cette capture par le procureur de la Cour pénale internationale Luis Moreno-Ocampo. Je fus le premier, sur les ondes de Russia Today, à démentir cette intoxication. Et là encore, je fus l’objet de quolibets dans certains journaux jusqu’à ce que Saif el-Islam vienne réveiller en personne les journalistes enfermés au Rixos et les conduise sur la vraie place Bal el-Azizia.
Interrogé sur ces mensonges par le canal arabe de France24, le président du Conseil national de transition (CNT), Mustafa Abdul Jalil revendiqua une ruse de guerre et se réjouit d’avoir ainsi accéléré la chute de la Jamahiriya.

Quel avenir pour Al-Jazeera ?

Le détournement d’Al-Jazeera en instrument de propagande pour la recolonisation de la Libye ne s’est pas fait à l’insu de l’émir de Qatar, mais sous sa houlette. C’est le Conseil de coopération du Golfe qui, le premier, a appelé une intervention armée en Libye. Le Qatar a été le premier membre arabe du Groupe de contact. Il a acheminé des armes pour les « rebelles » libyens, puis a envoyé son armée au sol, notamment lors de la bataille de Tripoli. En échange, il a obtenu le privilège de contrôler tout le commerce des hydrocarbures effectué au nom du Conseil national de transition.
Il est encore trop pour savoir si la démission de Wadah Khanfar marque la fin de sa mission au Qatar, ou si elle annonce une volonté de la chaîne de retrouver la crédibilité qu’elle avait mis 15 ans à gagner et 6 mois à perdre.
[1] Cf. entretiens avec l’auteur.
[2] « La guerre contre Al-Jazeera », article de Dima Tareq Tahboub résumé dans notre ancienne rubrique « Tribunes et décryptages », Réseau Voltaire, 6 octobre 2003.
[3] « La presse arabe dans la ligne de tir », Réseau Voltaire, 15 septembre 2003.
[4] Voir notre dossier Sami el-Hajj.
[5] Par exemple : « Al-Jazeera met en scène une manifestation monstre à Moscou contre Bachar el-Assad », Réseau Voltaire, 2 mai 2011.

23 août 2011

Crise Économique Et Financière Mondiale. Les Manuels Scolaires Et Ceux Qui En Sont Instruits Sont Incompétents Et N'Offrent Aucuns Remèdes Parce Que Traitant D'Utopies Et Occultant La Réalité.

Introduction :
Dans un environnement économique international hostile la majorité des nations est confrontée à une multitude de problèmes insurmontables et se dirige vers une situation qui frôle l'apocalypse. Cet article n'a pas la prétention de présenter quelque savant traité d'économie, d'économie politique, ou de science financiaire, mais seulement de soulever des questions concrètes et relever des anomalies que tout néophyte moyennement intelligent est en mesure d'appréhender lorsque confronté au volume d'information que les média déversent continuellement sur les ondes, dans la presse, et sur le web. Entre rumeur et vérité, information et propagande il est souvent difficile de distinguer la nature du message transmis par les média, particulièrement lorsque l'intention qui motive sa source est d'influencer, de mystifier, de tromper, de gagner à sa cause, de manipuler, et d'orienter l'opinion. L'information véhicule trois types de données importantes destinées à l'opinion, l'un politique, le second économique et le troisième culturel, et souvent, une combinaison des trois. La diffusion des données possède son arsenal de techniques et d'outils pour moduler l'information en fonction de l'effet recherché et l'impact ciblé, durant un espace temps planifié, chaque étape exigeant un suivi professionnel adapté au besoin d'un agenda, s'étalant sur des années ou voir des décennies.  L'étudiant, le chercheur ou l'expert averti, soucieux de saisir l'aubaine offert par la libre circulation de l'information sur le web, devraient adopter l’approche méthodologique de révision des acquis éducationnels et culturels reçus des canaux officiels, de l'école et des média dominants.
La recherche sur le web de thèses multidisciplinaires "non-officielles", qualifiées péjorativement de "révisionnistes" ou "conspirationnistes", est révélatrice et documente un vaste champ de la connaissance authentique, non orientée.  Un document de base important pour débuter sur le thème de la perception des méthodes employées par le pouvoir occulte qui gère en aval et en amont les processus de contrôle de la pensée, des tendances sociales, de l'éducation, de l'information, des décisions politiques, et l'organisation des agents d'exécution des plans d'ingénierie sociale, est disponible Ici (traduction Fr) et Ici (version anglaise). Alternativement, une recherche dans Google de "Silent weapons for quiet wars" (Armes silencieuses pour des guerres tranquilles) est gratifiante.
Le contenu des débats qui se spécialisent dans l'analyse de la crise multi-sectorielle qui secoue les fondements de la société moderne en ce début du 3em millénaire, est majoritairement une transcription des théories qui souvent s'affrontent sans répit sur le plan intellectuel, des idées, et des avis, et qui s'avèrent stériles et impuissantes. Les discours des nombreux docteurs et professeurs reflètent les cursus de l'éducation qui leur ont été dispensés comme on charge les mules d'encombrants manuels et de travaux de chercheurs accumulés depuis des siècles, et ceci dans la confusion totale. Le "diviser pour régner" appliqué à ce domaine, celui de la pensée ajoute à l'égarement du gentile (non juif), victime du conditionnement exercé par les maitres de la fourberie, les suprématistes talmude qui œuvrent secrètement à l'instauration du Nouvel Ordre Mondial. Les causes et effets de la crise sont connus exclusivement par ses créateurs, les exécutants des "Protocoles des Sages de Sion". La source et l'origine de la crise sont dévoilées par les militants qui luttent contre le pouvoir tyrannique qui tient les reines des commandes des affaires mondiales, menant l'humanité vers le chaos, selon le plan énoncé dans les déclarations verbales et les écrits des protagonistes de ce complot satanique, le "Nouvel Ordre Mondial".
Les symptômes, économiques, sociaux, et politiques de ce phénomène sont depuis longtemps synthétisés dans la prophétie religieuse que toutes confessions dominantes  annoncent comme avènement de l'Ante-Christ ou Dajjal : guerres oppressives, injustice, famine, épidémies, déchéance morale, signes révélateurs de cette ère présageant malheur et affliction pour l'humanité. 
La cause et l'origine de l'adversité affectant l'humanité en ce 21em siècle, réside dans le détournement par une élite dominante raciste des pouvoirs de la majorité en vue de monopoliser toutes les décisions affectant son devenir, selon le plan dressé dans le document authentique des " Protocoles des Sages de Sion".  Les sources publiant un historique de ce manuel de la subversion juive sont innombrables, une d'entre elles retient l'attention, disponible au lien (Anglais).
L'auteur, G.B.Winrod écrit dans "The truth about the Protocols" (Lien):

«Sur les étagères du British Museum, à Londres, il y a un livre en langue russe, par Serge A. Nilus, appelé les Protocoles des Sages de Sion. Il contient vingt-quatre documents qui affirment révéler les rouages ​​d'un complot instigué par certains dirigeants juifs internationaux en vue d'asservir le monde à travers une dictature basée sur la puissance de l'or.» 
«Après la Bible, ce volume, traduit en plusieurs langues, est sans doute le livre le plus lu de l'Histoire. Le directeur de la bibliothèque m'a déclaré qu'il reçoit constamment des demandes à ce sujet de toutes les régions du monde. Son numéro de catalogue de la bibliothèque est C 37.C.31.»
«Nilus avait publié les Protocoles en 1905, bien qu'ils étaient déjà en sa possession depuis quatre ans . Il considérait comme un devoir patriotique et religieux de leurs donner la plus large diffusion possible. Depuis le début du siècle, jusqu'à cet instant, le complot divulgué dans ces documents a été accompli, étape par étape. En eux, nous constatons le le développement authentique de l'histoire économique et politique des nations. Si les protocoles étaient des faux, comme certains Juifs l'affirment, alors le paradoxe est que tout ce qu'ils énoncent est perceptible et se déroule devant nos yeux.»
Les "Protocoles" sont une déduction condensée du Talmud et des enseignements rabbinicaux, Edith Starr Miller (Lady  Queenborough, essayiste Anglaise ) écrit dans son "Occult Theocrasy " (Lien Ici ) :
«Les obligations et les règles du rite pour les masses juives sont contenues dans le Talmud et le Schulchan Aruk, mais les enseignements ésotériques pour les plus initiés se trouvent dans la Cabbale. » 
Ces précisions servent à démontrer, comme illustration des objectifs assignés aux "Protocoles", l'assertion que les événements se déroulant devant nos yeux concernant la crise financière et économique ne sont en aucune façon le fruit d'activités ordinaires de différents acteurs présents sur les marchés, régis par les lois et règles du libre échange des biens et services, ou de la compétitivité des facteurs de production présents dans les économies locales, régionales ou globales (internationales), ou autre  "interaction de l'offre et de la demande".  Les théories et ceux qui excellent dans leur utilisation,  pour "expliquer", "remédier", "guérir",  "résoudre", "réglementer", "surmonter", ou "parer aux dis-fonctionnements" de la crise se leurrent de concepts utopiques, d'illusions et de chimères, pour la simple raison que les modèles qu'ils exploitent sont détachés de la réalité.
«Là se trouvent les rites mystérieux des évocations, les indications et les clés de pratiques pour la conjuration des forces surnaturelles, la science des nombres, l'astrologie, etc...»
«L'application pratique des connaissances Cabalistes se manifeste dans l'usage qu'en ont faites, à travers les âges, les Juifs afin de gagner en influence à la fois dans les hautes sphères de la société des "Gentiles" et sur les masses. Souverains et papes, à la fois, avaient habituellement un ou plusieurs Juifs parmi leurs astrologues et leurs conseillers, et ils ont souvent donné contrôle aux Juifs, sur leur vie même, en les employant en tant que médecins. Le pouvoir politique a donc été acquis par les Juifs dans presque tous les pays des gentiles doublé de la puissance financière, puisque les tribunaux juifs et les banquiers
manipulaient les fonds publics et les taxes. »
«Avec son Conseil suprême, le B'nai B'rith, la tête dirigeante de la secte, et ses membres infiltrés parmi toutes les nations, est devenue le pouvoir dirigeant et souverain dans les conseils de toutes les nations et régie leurs programmes politiques, économiques, religieux et éducatifs.»
De ce mélange occulte d'ésotérisme et de prédation sociale "des armes silencieuses", la réalité qui apparait est tout autre que celle que nos experts financiers décrivent dans leur majestueux pédantesques ouvrages et analyses savantes. Comment d'une perception fictive, subjective et erronée, de la réalité, la multitude de docteurs et professeurs émérites (sic) peut-elle s'aventurer à dresser un diagnostique réel des aléas du monde actuel, voir proposer des remèdes au malaise dont souffre l'humanité ? Le mal n'étant pas correctement perçu, le diagnostique s'égare dans des "hypothèses", des "peut être", des "estimations", des "spéculations", et les solutions proposées aggravent la crise, ne la dissipent pas !
Le constat de la faillite et de l'aliénation de cette pompeuse intelligentsia est amplifié sous l'effet conjugué de la complicité de certains intellectuels corrompus et de ceux dont l'allégeance au NOM est scellée par le sermon maçonnique, le contrat moral liant nos "chers frères" à la maison-mère du mercenariat juif !    
Les "Protocoles" sans détour ni bagatelle :
«Nous allons créer par tous les moyens détournés possibles par nous et avec l'aide de l'or, qui est entièrement entre nos mains, une crise économique universelle par laquelle nous jetterons dans les rues, simultanément dans tous les pays de l'Europe, des hordes entières de travailleurs. Ces foules vont se précipiter joyeusement et verser le sang de ceux qui, dans la simplicité de leur ignorance, ont été jalousés dès leur berceau, et dont les biens ils seront alors en mesure de saisir comme butin ».
«Le notre (sang) ils ne toucheront pas, parce que le moment de l'attaque sera connu de nous seuls, et nous prendrons des mesures pour le protéger.» 
Le comble de l'ironie et du sarcasme dont se désaltèrent les instigateurs du "complot", les maudits "enfants de Satan",
doit découler du paradoxe démontré par le comportement révérenciel et les convictions respectueuses de la gente Goy (gentile) envers les armes brandies par leur ennemi, qui les convie à l'auto-flagellation et l'auto-destruction.  
Explication : L'arme absolue détenue par l'autorité suprême talmude, les banquiers, est l'usure. Après l'invention de la monnaie de singe, le numéraire en papier, que les planches à billets aux mains des Shylock, produisent inlassablement dans l'antre du diable (les banques nationales centrales, toutes privées !) la fraude monumentale prodiguée par les Rothschild fut celle du prêt avec intérêt. Le catalyseur de l'endettement des individus et des nations menant à l'asservissement et à l'esclavage, via l'intérêt, est l'astuce diabolique inventée par les Shylock, aujourd'hui banalisée, étudiée, utilisée, canonisée, et pour beaucoup, érigée en divinité omnipotente. Tous les économistes, financiers, politiciens l'arborent fatalement dans leurs discours comme un outil de gestion incontournable, au lieu de le dénoncer comme le venin qui détruit sociétés et individus. D'une perception insensée et illusoire de l'affliction usurière, il est dérisoire de tenter de guérir le malade, l'économie et la finance mondiale, du fléau de la pauvreté, de la misère, de la faillite et du désespoir.
La loi talmude interdisant au juif de vulgariser la connaissance ou d'enseigner un métier aux goyim, est la source du développement d'un corps de savoir utopique stérile destiné à entretenir la myopie et le manque de discernement parmi les "serfs" goyim et leurs élites bien pensantes, perroquets intellectuels qui réverbèrent les idées fallacieuses répandues par l’appareil de propagande des média dominants. Toutes les théories économiques en "isme", Marxisme, communisme, capitalisme, libéralisme, etc..., sont comme des os lancés à la féroce concurrence du chenil dont les bêtes s'entredéchirent violemment, pendant que les maitres de l'intrigue se distraient par les jeux de manipulation des marchés financiers en actionnant  les leviers des taux d'intérêt, des cours, de l'information économique, du délit d'initié, du déclenchement de conflits "qui rapportent", des rumeurs (média) qui confondent l'observateur, etc...Non contents de l'extorsion massive de la richesse des Goyim grâce à l'usure, les banquiers gèrent les casinos financiers (la bourse) où les dés sont pipés, et les actionnaires (les joueurs) délestés de leurs avoirs. Situation sur-réelle, amplifiées par la complicité tacite des experts qui fondent leurs recommandations sur le précepte de l'adoption de l'usure comme canon de la finance et dans lequel ils tentent d’exceller en l'introduisant dans leurs analyses et les leçons qu'ils dispensent aux décideurs politiques. 
Comme illustration de cet exercice de déroutement par des imposteurs affublées de titres universitaires ou professionnels délusoires, citant la campagne médiatique entourant la question de la gestion optimale des réserves en devises détenues par l'Algérie et qui est le juste sujet de préoccupations, dans le contexte actuel de crise financière internationale, airées dans la querelle des "bons de trésor US".  Jamais un tel débat n'aura occupé autant de commentateurs et rempli autant d'espace médiatique, même dans les plus profanes des chroniques. Mêmes les blogs-conciergeries habituellement versés dans la tchatche se sont mis de la partie.   
Dans cette mêlée de conseilleurs, non- payeurs, accourus de tous les horizons imaginables pour instruire gracieusement le gouvernement des décisions à prendre, un personnage se distingue par l'agitation médiatique qui  lui est accordée et la fréquence de ses déclarations publiques : Abderrahmane Hadj Nacer, ex-Directeur de la Banque Nationale d'Algérie. Trait frappant du personnage : l'effronterie de l'émissaire de l'abomination et son ignorance de la gravité de la transgression des lois divines condamnant l'usurerie. 
"Ceux qui se nourrissent de l'usure...."
El Watan, le valet de chambre des Rothschild, se gargarise des mérites de cet usurier au service des shylock, et vante ses œuvres littéraires qu'il range dans les traités de finance, d'économie et de politique. Le quotidien lui réserve une couverture extensive, répartie sur un millier d'articles, tous de tendance alarmiste. Ce qui doit nécessairement éveiller notre suspicion au vu du travail traditionnel de "harki de la presse", ou "traitre parmi nous". L'utilisation du terme "martingale" par l'auteur est révélatrice de l'accoutumance du personnage au système des paris des casinos (bourse et usure): en jeux de hasard «Coup consistant à doubler la mise qu'on a perdue au coup précédent. Jouer la martingale à la roulette.» Un lapsus de langage, ou un "chassez le naturel, il revient au galop" ?
Un bref aperçu de la biographie de notre banquier d'affaire nous éclairera plus amplement sur le rôle de ce transfuge de la BNA et il suffit de remarquer qu'il fait partie du clan des réformateurs mené par M.Hamrouche : A.Benbitour, Ghazi Hidouci, A.Brahimi, pour confirmer la double allégeance de ces aventuriers au service du mercenariat de la finance internationale Kosher ! Après le coup de poker réussi des FMI-Banque Mondiale durant la gestion de la faillite due à l'endettement des années '90, qui a vu l'Algérie être livrée à ses créanciers et soumise aux conditions drastiques des shylock qui exaspérèrent la crise politique en tentant de basculer le pays vers le chaos et sa destruction en tant qu'état souverain, tous les complices de la mutilation de notre indépendance nationale ont été gratifiés, et généreusement récompensés par des nominations à des postes de responsabilité au sein d'organismes contrôlés par l'oligarchie talmude rothschildienne ! Voir biographie de Hadj Nacer (Lien); celle de Benbitour a déjà été exposée précédemment (Lien article); Ghazi Hidouci change de camp et rejoint la BM; Brahimi est à Londres à la London School of Economics, le couvoir des utopies talmudes. Le comble est l'effronterie qui caractérise ces chevaux de Troie de la finance Kosher, ils s'érigent en donneurs de leçons et jurent par tous les saints leur dévouement à l'Algérie et à son peuple. Le verbiage de notre banquier d'affaire--«gouverneur de la Banque centrale d’Algérie, conseiller pour le monde musulman à la Banque Lazard Frères et Compagnie (*), dirigeant auprès d’autres entités comme la Société marseillaise de crédit ou Natexis-banque populaire, à Paris. Initiateur de la loi sur la monnaie et le crédit d’avril 1990 (la porte de la cité ouverte à la prédation des banques étrangères), il est à l’origine de la création d’établissements financiers privés à Alger. Il dirige aujourd’hui, un holding à Paris (HBC), et est partenaire fondateur d’une banque d’affaires à Tunis (IM Banque). Abderrahmane Hadj-Nacer est par ailleurs membre de groupes de réflexion internationaux. Ainsi, il est président du comité de parrainage politique et dirige, avec l’économiste Christian de Boissieu, le conseil scientifique de l’Ipemed (Institut de prospective économique du monde méditerranéen)», est édifiant dans la mesure où sa vision de l'Algérie est prophétique, pénétrant jusqu'aux moindres coulisses de la période Rustimide durant laquelle l'Algérie était Ibadite (Sic et qu'Allah nous protège d'une telle calamité, lorsqu'on sait le nombre nul = zéro des chouhadas mozabites morts pour la patrie !), mais il omet de nous révéler les anicroches de l'usure destructrice des nations. "Ceux qui consomment l'usure, ne sont-ils pas sanctionnés d'une déclaration de guerre d'Allah Qui les maudit ? " 
Une maxime résume l'analyse de cette opération de subversion médiatique qui cible l'opinion en la couvrant de mensonges et d'entourloupettes : "science sans conscience n'est que ruine de l'âme". 
Mr le Docteur es sciences financières, soignez vous de votre cécité morale et religieuse, sauvez votre âme pendant qu'il est peut être encore temps, les portes du repentir restent ouvertes ! Quand à nous, nous prions Allah Qu'Il nous garde de l'influence de ces rabatteurs de Satan qui nous convient au feu de l'Enfer.  
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(*) Nature de la compromission de notre banquier :
Note-wikipedia: « La banque a été fondée aux États-Unis en 1876 par trois banquiers juifs ashkénazes émigrés aux États-Unis depuis leur ville natale de Phalsbourg en Lorraine : Alexandre, Elie et Simon Lazard, bientôt associés à leur beau-frère Alexandre Weill.»
«La banque d'affaires a clos l'année 2007 sur un résultat net record de 155 millions de dollars, en hausse de 67 % par rapport à 2006. La banque a récemment recruté, comme directeur exécutif senior de sa division banque d'investissement, l'ancien directeur général du Fonds Monétaire International, Rodrigo Rato.»