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15 janv. 2011

La Réaction Des Média Indépendants Et De Leurs Chroniqueurs : Les Hyènes Attirées Par L'odeur Du Sang.

Les Émeutes En Algérie : La Réaction Des Chroniqueurs Des Média Indépendants Reflètent La Malveillance De Ces Agents De L'Ingénierie Sociale. Science De La Manipulation, Affinée Et Optimisée Par Les Tenants Du Nouvel Ordre mondial Juif ! 
La revue brève mais pertinente de la furie sadique qui s'est emparée des média "indépendants", média ouvertement ou secrètement opposés à Bouteflika et à son gouvernement, dévoile le machiavélisme des plumes venimeuses qui occupent les rédactions de ces organes de propagande. Jamais malheur des uns n'a fait autant de bonheur aux autres. L'avalanche de destruction occasionnée par les émeutiers regroupant un éventail de jeunes au profil social et économique hétérogène, a donné l'occasion aux hyènes des salles de rédaction des média "indépendants", hyènes symbole de cruauté, de puanteur et de lâcheté, de se défouler sur le président, le gouvernement, et de manière plus subtile et narquoise sur les services de sécurité algériens!
Que de telles attitudes soient adoptées par les scribouillards revanchards vivants sous d'autres cieux, est logique et pas surprenant. Leur diatribe contre Arabes et Musulmans est légendaire et amplement documentée.  Ces critiques deviennent inadmissibles parce diffusées comme ricanements de témoins se réjouissant de la tournure prise par les évènements : une démonstration de barbarie primitive, dépeinte avec  cynisme et corrompue par le mensonge et la malhonnêteté intellectuelle. D'irresponsables et frauduleux oracles se pavanent sur les plateaux des chaines TV étrangères et partagent les joies de leurs hôtes Kosher, en savourant les désagréments vécus par le pays, pays qui sait reconnaitre les siens.
A cours d'arguments constructifs pour remplir le rôle "d'opposition" dont ils se prévalent, ils ont sombré dans l'inconscience et la vindicte aveugle résumée par la formule "après moi le déluge".
Observons des exemples de cette campagne insidieuse lancée comme coutume pour enflammer une conjoncture sociale regrettable. Qualifié de "révolte" populaire nationale, une généralisation hâtive et précipitée dévoileant les aspirations réelles malveillantes de cette nébuleuse de la communication intimement liée aux réseaux d'information judéo talmudes.
Les titres et les commentaires sont pertinents :
 -«1100 manifestants arrêtés.» (Mohnd Aziri, El Wtan): «Trois morts parmi les manifestants, plus de 800 blessés, dont 763 policiers, et plus de 1100 arrestations. Parmi les interpellés, figurent de nombreux mineurs. Tel est le bilan lourd et macabre du mouvement de protestation populaire qui dévaste, depuis le 5 janvier dernier, une vingtaine de wilayas du pays.»
Cet article illustre les technique habituelles de diversion scellée du cachet de la subjectivité et du dénigrement inconditionnel. Citant le ministre Daho Ould Kablia, qu'il présente péjorativement, qualifiant son ton  de "faussement paternaliste et compréhensif", le serpent de chroniqueur est apparemment déçu par le ton modéré du responsable, plus conciliateur que ne l'espéraient tous ses incendiaires-complices qui souhaitaient une réaction plus violente. Tout le monde a écouté et entendu clairement le responsable et chacun est libre d'interpréter lucidement ses déclarations. Pourquoi attendre d'El Watan et "ses chuchotements maléfiques" pour nous dresser un diagnostique et nous tracer le profil du personnage ? Le but est de maintenir l'emprise sur l'opinion, la cible de toutes les manipulations médiatiques entrant dans le plan d'ingénierie sociale élaboré par les puissants "éternels conspirateurs" et introduits via les ligues des droits de l'homme (LADH) et autres chevaux de Troie des défense des libertés, siégeant à NewYork, Genève, Paris sous les auspices de la juiverie sioniste internationale.
Notez la fraude et la diffamation contenues dans les analyses orientées de ces oracles de la dissension et de la discorde, visant l'anarchie programmée par le Nouveau (Dés) Ordre Mondial Juif (NOM-J) : le terme "répression" est collé aux autorités et forces de l'ordre, pour l'amalgame, en contradiction des faits irréprochables, "800 blessés, dont 763 policiers" ! A croire que ces algériens au service de l'ordre publique se sont fait violence ou se sont battus entre eux pour enregistrer ce nombre effarant de victimes, 763 !! Notez toujours cette omission volontaire, typique des discours propagandistes des rabbins talmudes :
la victime devient agresseur, et vice versa !! De la manigance juive pure et dure, sciences humaines appliquées, structurée et formalisée dans les techniques d'ingénierie sociale enseignées dans les écoles du renseignement, à Tel Aviv !  Propos excessifs ? Spéculatifs ? Diffamatoires ?
Continuons plus loin et vérifions.
M. Bouchachi un agent de la Fédération des Ligues des Droits de l'Homme, participant régulier aux campagnes de lynchage médiatique contre l'Algérie dans les capitales étrangères, au coté du sénile et aigri Ait Ahmed. La Fédération administrée par un secrétariat composé de 75 % d'extrêmement généreux serviteurs de l'humanité, tous koshers (voir site de la Fédération pour vérification). Entre ses objectifs officiels et sa mission humanitaire, la balance de la justice prêchée dans ces cercles humanitaires oscille entre "deux poids et deux mesures". Les organisations onusiennes ne cachant plus leur option stratégique : dédier toute leur affection aux peuples opprimés par les régimes qui ne s'alignent pas corps et âme sur les orientations du NOM-J. Quand à Bouchachi, le discours est modulé par les thèmes familiers de l'organisation étrangère qu'il sert avec dévotion au détriment de la réputation de l'Algérie qu'il malmène à la moindre occasion sans crainte d'alimenter l'arsenal des ennemis revanchards. Une forme de mépris affiché avec arrogance contre les principes de réserve auxquels soustraient tous les hommes intègres et dignes refusant de dénigrer leur mère patrie, quelque soit la conjoncture, et préférant laver le linge sale en famille. De principe il n'a que faire. Nommé par un organisme étranger, sponsorisé par des forces occultes, auto proclamé avocat des libertés, Bouchachi ne représente que lui même et n'a aucun mandat du peuple lui assignant une quelconque mission !
«Alors pourquoi un pays doté d’un tel potentiel économique voit une partie importante de sa population dans une telle détresse ? »
Voilà une question intéressante. Et la réponse est écrite sur la façade de tous les organisations regroupées autour de la nébuleuse des défenseurs des droits de l'homme et des média indépendants :
"Faire croire". Quoi ? Faire croire que la situation empire, que la mal vie s'installe, que le stress tue, que le chômage est massif, que le peuple est mécontent, que tout va mal, que la corruption règne, etc,.., sans jamais laisser percer la moindre lueur d'espoir, ou reconnaitre le mérite de projets réalisés, du bien être, de la sécurité retrouvée, de la gratuité de l'école et des services de santé, des millions de logements, des 37 barrages hydrauliques, des milliers de km d'autoroute, de la pomme de terre locale à 25 DA, du bon blé biologique qui nous nourrit et dont on dégage des excédents destinés miraculeusement à l'exportation, de la production en constante croissance des hydrocarbures, etc..
Pourquoi ? Parce que les complices du pouvoir de l'ombre, que Bouchachi cotoie lors de ses réunions privées, ont détourné des biens publiques. Oui ces gens là , les apparatchiks du système socialiste "spécifique" qui avait pris en otage le pays et que la démocratie instaurée par Bouteflika dérange ! Ces gens, Bouchachi ne les citent pas.
Ce travail de sape du "faire croire", de "la bouteille toujours vide" jamais "à moitié pleine", est l'objet d'une œuvre destructrice de longue haleine qui prend en charge l'opinion et y distille le venin de l'ingratitude, de la dissension, de la révolte, à l'image de ces jeunes endoctrinés par les oracles du malheur et du désespoir.
Les carences, les imperfections, les malversations existent, mais ceux qui les dénoncent ne sont pas nécessairement motivés par l'amour du prochain, et les solutions qu'ils proposent, en apparence "démocratiques", laïques, scientifiques, ne sont que des abstractions mensongères et des leurres pour capter l'opinion crédule, flattée par le brouhaha de ses "beaux parleurs"qui lui font miroiter des modèles d'organisation utopiques importés et destinés à ruiner ses propres valeurs et à l'aligner sur le mythe occidental de la civilisation matérialiste, heureusement décadente.
Discerner le mensonge et la diversion par omission dans les propos de Bouchachi :
«C’est à cette question que notre rapport tente de répondre en illustrant à quel point le droit à un niveau de vie décent et l’accès aux droits économiques et sociaux, tel que le droit à la santé ou à l’éducation, s’érodent sans discontinuer en Algérie, rendant la vie quotidienne des algériens sans cesse plus difficile.»
Utopies "niveau de vie décent". Quel niveau de vie ? Quelle décence ?
Celles promise par les Lénine-Staline au prix de la vie de 60 Millions de Russes?
Celles du pays de l'oncle Sam et des 38 Millions de chômeurs, 7 Millions de sans logis, 18 Millions d'habitations vides ? 
-Droits à la santé et à l'éducation ?  Le président de la LADH ment et dévoile sa mauvaise foi. Le mensonge résidant dans le fait qu'aucun pays au monde n'est aussi libéral et généreux pour la gratuité de ces services que l'Algérie ! Les insuffisances se situent au niveau des ressources humaines, des gestionnaires. Bouchachi ne critique pas la qualité de l'enseignement, la tare du système éducatif qui enfante les citoyens qui brulent les édifices publiques. La qualité de l'éducation va à l'encontre de l'agenda . La qualité n'intéresse pas les promoteurs du NOM-J, les esclaves qu'ils souhaitent produire doivent avant tout être manipulables et dociles. Mieux encore s'ils sont écervelés ! Le site internet de la LADH offre d'innombrables articles fustigeant le gouvernement pour sa répression, ses carences, ses insuffisances, sans jamais présenter d'étude comparative, pays à pays. Le cas d'Israël et son mépris, depuis 60 ans, des droits élémentaires des Palestiniens devrait mobiliser les énergies d'un plus grand nombre d'activistes de la FIDH, mais ceci est un tabou régi par les règles fixées par les stratèges du NOM-J, règles qu'on ne transgresse pas, Mr Bouchachi.
La lecture des commentaires de la majorité des quotidiens expose leur consensus autour de la stratégie de propagation du pourrissement social en présentant une image obscure, irréelle, virtuelle, des réalités en l'Algérie. Tous les coups sont permis, les statistiques confectionnées pour la circonstance, l'omission de bilans et de constats favorables au gouvernement, la création de mythes sur la répression et la torture, l'exagération des conflits sociaux, en un mot tous les outils dispensés par les ONG subversives commanditées  par les tenants du NOM-J réunis autour de Kissinger, Brezjiensky, Rockefeller, de New York. 
D'autres conspirateurs se spécialisent dans le volet économique pour tenter de démontrer le même syndrome du " pourrissement ". L'un d'eux, ex-ministre et professeur d'université, Mourad Benachenou, aborde l'analyse de la situation "désastreuse" du pays en se lançant dans une diatribe plus étoffée dans laquelle il écrit : «Briser le cercle infernal inflation-émeutes : La répression n'est pas la solution». Un titre énigmatique qui présuppose deux assomptions fausses : l'existence de l'inflation et son rôle exclusive dans les causes des émeutes.  "Suivons le menteur jusqu'à la porte de sa maison "en lisant son exposé. N'oublions pas de garder en mémoire son expulsion du cercle des conseillers de la présidence, après découverte de l'incompétence du "professor" et son inaptitude à servir dans le cadre du lancement de la politique économique du Président.  Politique fondée sur le pragmatisme et le bon sens, pas sur les spéculations utopiques inculquées par les programmes universitaires. Majoritairement détachés des réalités d'un monde gouverné par des règles pratiques impitoyables, certains intellectuels, en assumant qu'ils soient intègres et sincères, se sont réfugiés dans le confort des théories frauduleuses en posant comme experts, généralement verbeux et éloquents mais incapables de gérer l'épicerie du coin. Leur arrogance et leur suffisance les séparant des réalités complexes du monde, ils se réfugient dans la diatribe contre le "système" qui ne les a pas reconnus. Ce fut le cas d'un autre responsable qui n'a pas duré à son poste, Dr Benbitour.  Plus grave ce dernier avait des relations étroites avec la Banque Mondiale et le FMI, situation l'excluant du rôle d'interlocuteur fiable pour les négociations sur le réaménagement de la dette extérieure que Bouteflika parvint à effacer définitivement, recouvrant l'indépendance économique du pays. A ce propos un article de Gabriel Donohoe (Lien) et (Lien pour une revue) traite de la collusion économiste-banquier et comment les diplômés des universités sont "formatés" pour perpétuer le diktat des banquiers sur la vraie économie, et sur la finance.
Inflation cause des émeutes :  M.Benachenou nous dit : 
 « la réaction officielle normale, que cause la peur des débordements massifs, aussi bien que l'amour-propre blessé des dirigeants, -prompts à accuser leurs «administrés» d'ingratitude,- est de montrer sa force et de lancer la locomotive de la répression aveugle et générale. »   
«Il s'agit de ne pas se tromper de diagnostic ; on ne peut traiter une maladie qui touche un nombre réduit de personnes, ayant des caractéristiques de condition de vie ou génétiques les rendant propices à cette maladie, de la même façon qu'une épidémie.  Pour continuer la comparaison, une hausse concernant certains produits déterminés est une maladie individuelle qui doit être traitée suivant ses spécificités; mais l'inflation ressortait du type de mesures générales que l'on applique en cas d'épidémie. D'un côté, la maladie est traitée au cas par cas; de l'autre, tout un arsenal de mesures collectives sont prises pour juguler le mal généralisé à toute la population.»
Incroyable et déconcertant qu'un Docteur en économie ne trouve aucun argument, des statistiques solides, pour appuyer sa thèse. L'analogie médicale est complétement déplacée et nous rappelle Benbitour et sa théorie défaillante de "l'importation de la pauvreté", elle donne un gout des chimères que ces aigris revanchards sont prêts à inventer pour justifier leurs ambitions politiques, en décevant l'opinion. 
Le terme répression est mensonger et diffame les forces de police et leur attitude clémente envers les jeunes manifestants, alors que les coups pleuvaient sur eux causant 800 blessés dans leurs rangs. La vérité est que la nébuleuse subversive de ces agents locaux de la conspiration mondiale qui brandie la devise "novus ordo seclorum" et "Ordo ab chao", respectivement, "Nouvel Ordre Mondial" et "l'Ordre à partir du chaos".
Tiré par les cheveux ces commentaires ? Pour le mouton qui somnole dans ses illusions et pense que les événements majeurs sont le fruit du hasard. Le conditionnement subi par l'opinion en général via sa dépendance des média  (TV, presse, internet) l'a privé de ses capacités de réflexion et transformé en un perroquet dressé pour ruminer les "flash" et "scoop" des informations diffusées. Son esprit critique est utilisé uniquement pour dénigrer "l'unique" et le "système", digérant tout ce que lui servent les chaines étrangères et les média "indépendants", agents complices du Nouvel Ordre-Désordre Mondial. Le danger qui pèse sur tous les pays qui ne s'alignent pas corps et âme sur l'agenda des promoteurs  de cet empire juif dépasse de loin tout ce qu'ont manigancé les "Enfants de Satan", à savoir les deux guerres mondiales, le Léninisme-Stalinisme, les conflits sanglants de ces trois siècles derniers. Le web est là, offrant généreusement et extensivement toutes les informations sur le sujet.  
A propos d'inflation, Benachenou assimile "l'indice des prix à la consommation" à "inflation". L'indice des prix actuel, 5.3%, n'est en aucun cas une mesure du cout de la vie : «Non, l'IPC n'est ni un indice du coût de la vie, ni un indice de dépense. Il mesure l'évolution des prix à qualité constante. Mais il ne suit pas la variation des quantités achetées d'un mois à l'autre. Les opérations financières ne relevant pas de la consommation proprement dite sont exclues de son champ : c'est le cas de l'achat de logement, qui est considéré comme de l'investissement, des opérations d'épargne, des impôts directs, des cotisations sociales.»( Lien ) et ( Lien ).
«Pour évaluer le taux d'inflation on utilise l'indice des prix à la consommation (IPC). Cette mesure n'est pas complète, le phénomène inflationniste couvrant un champ plus large que celui de la consommation des ménages.»   (Lien)
«Notion économique des plus importantes, l'inflation des prix reste un phénomène à propos duquel les économistes n'ont que peu de consensus : il y a débats sur ses conséquences (qui sont même parfois considérées comme positives), sur ses causes, ainsi que sur les objectifs et les moyens de les atteindre ; les controverses sont attisées par l'importance concrète pour toute la population de l'inflation et des mesures prises pour la contenir, suscitant des interventions politiques.» (Lien)
Pour prétendre nous démontrer la mauvaise politique économique gouvernementale sur la base de ce IPC, il omet de préciser que les mauvaises politiques ont été d'abord suivies par une grande partie de la population qui s'est jetée dans la fosse de l'endettement pour l'acquisition d'un véhicule ou d'un logement. Par ignorance, le consommateur algérien a réduit ses revenus à court terme en s'endettant, réduisant sa consommation, s'infligeant des privations dont il ignorait l'existence. La loi des finances complémentaire de 2010 a en supprimant la subvention de l'état à ces achats "par facilité" de crédit  (un euphémisme pour endettement) sauvé de la faillite combien de foyers qui auraient autrement sombré dans la trappe de la dette.  Ceci sans oublier de mentionner l'effet bénéfique que la loi a eu sur notre balance des payement en mettant fin ou en réduisant l'hémorragie de devises causé par le transfert des bénéfices des banques étrangères engagées dans l'opération de financement-crédit voiture-logement ! (Voir article pour plus ample analyse, au Lien).
Benachenou poursuit sa diatribe tout au long de l'article, remettant en cause les chiffres officiels des agences de statistiques, sans jamais nous offrir les siens, l'objet de son verbiage paternaliste n'étant pas de nous informer mais de nous mobiliser à sa cause perdue, l'opposition à Bouteflika. Le pédantisme confus faisant l'amalgame entre des termes techniques opaques et des mensonges sur la "politique monétaire de l'état" ne convainquent personne. Bouteflika a de tout temps refusé de faire du populisme en abusant de la planche à billet pour satisfaire les revendications salariales, au prix de créer le mécontentement populaire, mais en se gardant justement d'accélérer la spirale inflationniste. Alors où est le tort que lui reproche Benachenou ? 
De la diffamation mesquine !    
Un nouveau ralliement au mouvement du chaos : le Docteur ambulant Said Saadi, "âne de Troie" des néo-cons juifs d'Amérique, et secrétaire général du parti laïque contre Dieu : le RCD !
L'aigri secrétaire lance un appel à la manifestation "pacifique", sachant pertinemment que la loi l'interdit, donc agressant l'autorité de l'État au départ, et malicieusement tentant d'entrainer dans sa course folle quelques crédules. 
Son militantisme politique douteux, ses déclarations d'allégeance à l'interventionnisme américain, font de lui un personnage subversif dangereux. Ce traitre a vendu son âme aux prédateurs juifs de New York. Démuni de conscience, de pudeur ou de foi, le revanchard sans scrupules tente d'entrainer quelques victimes supplémentaires dans ses combats présumés "d'opposition au système".
Les Brezjinsky-Soros-Kissinger ont élaboré des plans de stratégie déstabilisatrice que notre psychiatrement
machiavélique docteur a endossé lors de ses visites fréquentes aux "fondations américaines" et ONG étasuniennes. Les "révolution colorées" dans les pays de l'ex-URSS, initiées sous la direction des MOSSAD-CIA sont un exemple des stratagèmes subversifs employés par le recrutement et le soutien d'agents locaux regroupés dans l'opposition aux gouvernements nationalistes, démocratiquement élus mais refusant l'allégeance au NOM-Juif. Said Saadi est l'équivalent du  géorgien Mikheïl Saakachvili, en plus discret, mais bien placé dans l'échiquier étasunien.  Son rôle de fusible de second ordre et son statut de traitre l'ayant compromis et dévalorisé aux yeux des MOSSAD-CIA, il a été jeté en pâture à l'opinion a travers l'opération "Wikileak", dans le but d'en faire à la limite un martyre au cas où les autorités algériennes l'aurait intercepté et interrogé. Averti de ce traquenard les forces de sécurité ne lui ont même pas accordé une entrevue, laissons le temps faire son travail et balayer les déchets de l'Histoire. Les émeutes lui donnent l'occasion de tenter une réhabilitation, mais l'hyène n'a aucune chance d'occuper le terrain de chasse, les choses ayant changé sur le front de la sécurité après la déconvenue de la décennie noire.  Ces hyènes qui ont donc retrouvé l'appétit à l'odeur du sang des quelques malencontreuses victimes.
Dans la lointaine capitale francophone Montréal, Canada, une écervelée, enivrée de sa citoyenneté canadienne,  devenue l'outil d'organisations chrétiennes œuvrant à la conversion de Musulmans au Christianisme en Irak, sous couvert de mouvements pour la paix,  la nommée Zehira Houfani Berfas, a été remerciée pour service rendu, par sa nomination au prix «Personnalité Exceptionnelle Club Avenir 2009», une tape dans le dos aux idiots utiles qui servent la "pax americana". L'idiote n'a jamais dénoncé les crimes des commandos canadiens, américains, israéliens, anglais, en Irak. Elle est très prudente et mâche ses mots en abordant le sujet. "Crimes contre l'humanité" n'existe pas dans son vocabulaire.
«Plus de 4 millions d’Irakiennes et Irakiens ont perdu leur emploi suite à l’invasion de leurs pays par les Etats-Unis. Pour évaluer l’étendue du drame que représente ce chiffre, il faut le multiplier par cinq pour avoir les 20 millions d’Irakiens (femmes et enfants) qui survivent de tout et de rien dans l’indifférence des nouveaux maîtres de l’Irak, occupés à leur stratégie de pillage et de sous-traitance du pouvoir dans ce pays.»
Aucune mention des 4 millions de victimes ! Notez la malveillance de la militante, par peur d'embarrasser ses maitres, la main qui la nourrit. Son langage vitriolé, elle le réserve pour la lointaine Algérie, une proie facile.
Blottie derrière son clavier, sa langue se délie et ses attaques littéraires s'affichent sur tous les sites "contestataires de salon" et gardes-chiourmes de la propagande judéo-sioniste (Ouma.com ! mondialisation.ca !)  La barbarie des alliés en Irak, est miraculeusement traduite par "méfaits". Irak, pays où elle a récolté des récits sur les affres de la guerre qu'elle a vite fait de ruminer et remettre aux éditeurs juifs qui la flattèrent en lui faisant croire qu'elle accédait au panthéon de la gloire littéraire. Et là voilà qu'elle vomit des leçons de démocratie au peuple arriéré, tiers- mondiste, de son pays natal. Du haut de sa naturalisation occidentale, avec prix à l'appui, elle est fière de son intégration réussie dans les affaires de recyclage alphabétique et de prostitution intellectuelle.  «La démocratie en Algérie, est-ce un rêve inaccessible?» gémie-t-elle du haut de sa tour d'ivoire. « Certes, le monde ne va pas bien partout, apprend-t-on, et beaucoup de gens se trouvent mal, là où ils sont, essentiellement dans les pays du tiers-monde, et plus particulièrement en Afrique et en terre musulmane.»Symptomatique de ces brebis galeuses, de la bergerie des W. Tamzali, S.Ghazali, et autres militantes des droits de l'homme, elles font carrière dans la vendetta laïque contre l'Islam. Sous la conduite de généreux sponsors, maitres des ONG, toutes encadrées, gérées, administrées et financées par l'internationale juive sioniste.   
«9 artistes algériens disparaissent dans le « paradis » canadien» annonce Zehira, définitivement convaincue de son appartenance à la classe des élus ayant atteint la Terre Promise. Tans pis pour elle. Si seulement elle cessait ses incursions de pyromane dans notre espace de vie pour tenter de nous convaincre de notre malheur, détruisant notre jeunesse victime d'un travail de sape psychologique répétitif,  élaboré et intensivement propagé.

 (A suivre)