AKADEM :  Le campus numérique juif.
-"Qui sont-ils ? " : AKADEM est une  initiative du Fonds Social Juif Unifié. Avec le soutien financier  de la Fondation pour la Mémoire de la Shoah.
Le campus définit clairement sa mission et il n'y a qu'à survoler leur site pour confirmer son rôle de porte parole du "judaisme de façade" et du "talmudisme-sionisme d'arrière boutique ". L'image publique du judaisme officiel, présentée à travers son contenu religieux, philosophique, politique, social, en un mot l'organisation du pouvoir juif dans sa domination graduelle, progressive du Monde. Un résumé de l'impression qui se dégage de cette intrusion dans les couloirs de cette hégémonie planétaire, qui se confirme de manière si insolente au début de ce millénaire, revient à reconnaitre combien assidu le juif est dans son entreprise égo-centriste de recherche de la cohésion communautaire sur des fondements raciaux-religieux, et son mépris du reste de l'humanité. Les juif- talmudes justifient cette égoïsme comme réponse aux persécutions, la fictive Shoah, et leurs méfaits contre les '"Goyim" comme légitime défense pour la sauvegarde de leur droit à l'existence. Israël est le point de ralliement et un repère dans l'idéologie politique, le sionisme, qui permet d'alimenter le nationalisme qui manquait pour cimenter les liens de la communauté juive dispersée sur les 5 continents. Il est faux d'y voir un refuge pour les juifs, qui n'ont aucune intention de s'y installer, sauf pour les coreligionnaires des couches sociales politiquement et économiquement  défavorisées, les fanatiques religieux, les banques-recèles des richesses détournées dans le monde, et surtout ceux en charge de leur technocratie militaire qui gère les armes de destruction massive, dont le nucléaire, cette lourde menace contre le reste de l'humanité. C'est la raison principale justifiant l'insistance des juifs à maintenir leur monopole sur cette arme au dépens de leurs voisins, de l'Iran en particulier. L'arme nucléaire est l'épée de Damoclès brandie par le prédateur juif au dessus de la tête de ses voisins musulmans, un levier du contrôle sur la région et gage de l'impunité de sa belligérance permanente gratuite. 
Akadem offre un large éventail de documents (essentiellement en langue française) qui permettent de pénétrer superficiellement le monde du sionisme-talmudisme et d'en déchiffrer les préceptes à travers les conférences vidéo, les exposés des penseurs de la diaspora, ses réseaux internationaux, ses agents luminaires attitrés et ceux invités-collabos agissant dans l'ombre, derrière leur rôle de personnalité publique planant comme des vautours sur le champ médiatique. N'oublions pas les écrivains-historiens-journalistes-militants des droits de l'homme. Beaucoup sont originaires d'horizons traditionnellement non soumis à la présence dominante juive. C'est le cas Boualem Sansal, un écrivain algérien ! Ce personnage très adroit dans ses écrits et ses romans, dissimule son parti pris de crypto juif et n'affiche jamais ses convictions ou sa loyauté à la nébuleuse sioniste. Il dissimule ses armes sous l'apparence de textes fictifs qui ne sont pas pour autant neutres ou distants des vues prônées par les penseurs du "clash des civilisations". Sous prétexte de dénoncer l'extrémisme religieux des islamistes il brille dans l'art du dénigrement subtile de l'Islam dont il fait l'amalgame avec terrorisme.
Il aborde les sujets d'actualité du genre immigration clandestine (harraga) non sous l'angle de l'analyse sociologique mais en y étalant la stratégie du pourrissement des valeurs et des idéaux selon la technique d'ingénierie sociale martelée par les "défenseurs" des libertés et les laïques "démocrates" experts de la fabrication et diffusion du désespoir social. Au cours d'un débat-rencontre littéraire chez "Littera05" (Lien), il étale son "savoir".
Il aborde les sujets d'actualité du genre immigration clandestine (harraga) non sous l'angle de l'analyse sociologique mais en y étalant la stratégie du pourrissement des valeurs et des idéaux selon la technique d'ingénierie sociale martelée par les "défenseurs" des libertés et les laïques "démocrates" experts de la fabrication et diffusion du désespoir social. Au cours d'un débat-rencontre littéraire chez "Littera05" (Lien), il étale son "savoir".
 L'introduisant la speakerine kosher Anne-Marie Smith annonce :
« Il fait alors de la littérature une arme pour combattre                      toutes les formes d'amnésie et les révisionnismes de toutes  sortes.»  (combat contre le négationnisme-révisionnisme qui réfute l'holocauste sioniste, mais défend son propre révisionnisme, l'existence de liens de la révolution algérienne avec le nazisme hitlérien !)    
«En 2003, vous avez été limogé de votre poste en  raison de vos prises de  position critiques sur l'arabisation de l'enseignement  et  l'islamisation de l'Algérie»
«Encouragé par votre ami le romancier Rachid Mimouni, vous commencez à  écrire et  publiez votre premier roman, Le  serment des barbares  (Gallimard, 1999), à l’âge de  cinquante ans.»
 Dans un verbiage propre à ces dégénérés désemparés qui tentent de manipuler l'opinion grâce à la maitrise du verbe véhiculant leur idées perversives, Sansal répond : (extraits)
-«Il fallait chercher ailleurs. Il fallait rentrer dans  l’intimité de  l’être humain, de l’Algérien et on se rend compte que ça va  chercher  loin dans l’histoire, dans la psychologie, dans la culture et la   littérature permettait de comprendre. L’être humain n’est pas dans la   rationalité ; il est dans la passion, le mystère, la magie.»  
(Notez la diversion et le non-sens: mystère ? Magie ?)
(Notez la diversion et le non-sens: mystère ? Magie ?)
-«La littérature  permet d’approcher la vérité.»  (Plutôt diffuser le mensonge et bercer l'opinion d'illusions et souvent distiller la corruption morale et religieuse ) 
-«C’est ce que j’ai fait  dans Le serment des  Barbares où j’ai essayé de comprendre  toute cette violence dans laquelle on  peut basculer, même si on  apparaît très pacifique. Regardez le peuple allemand,  l’un des peuples  les plus cultivés d’Europe, les plus structurés, comment il  est tombé.  Pour comprendre, il faut chercher très loin dans le mystère de l’être   humain.»
Là, Sansal fait allusion à sa contribution au mythe de la Shoah, au parallèle nazi-islam cher à la propagande sioniste, et revient sur ce "mystère de l'être humain" pour confondre les malheureuses victimes parmi ses lecteurs qui le suivraient sur la voix de la déraison. Déraison feinte, car Sansal est un homme intelligent et rationnel qui n'écrit pas ce charabia par conviction, mais pour remplir fidèlement une mission. Laquelle ?
Son œuvre est axée sur 3 thèmes différents mais tous associés avec la stratégie du Nouvel Ordre Mondial Juif  ciblant entre autres l'Algérie et ses spécificités: Islam-nationalisme-arabité.
1-pour l'Islam, l'implantation du terrorisme islamiste wahabiste (allié des CIA-MOSSAD) comme "action", face à sa "réaction" le laïcisme laxiste qu'adopte Sansal,
2-le militantisme révolutionnaire hypocrite et crapuleux, face à la mouvance démobilisatrice défaitiste (Sansal) qui commercialise le désespoir (chômage marginal , harraga, corruption, tous les maux sociaux "amplifiés" par la presse "démocratique"):
3- l'arabisation dogmatique sans vision "civilisationnelle" intentionnellement modulée pour être agressive et non pédagogique, face à sa réaction l'amazighité chauvine et disproportionnée soutenue par les média locaux et internationaux (juifs) pour exacerber les divisions potentielles fictives et irrationnelles( Sansal)
Trois thèmes dans lesquels Sansal excelle tout en apportant une touche personnelle par l'introduction du mythe de la Shoah, dont il s'est fait un porte parole. Son "œuvre"  démontre son militantisme au service de la propagande sioniste du "génocide" fictif et  martyr du peuple juif. Il le dit avec passion :
-«A Sétif, on m’a  expliqué que c’était le village de l’Allemand. Dans ce  village vivait un ancien  SS allemand qui avait fait les camps de la  mort mais  héros de la guerre de libération. Plus tard,  ayant décidé  d’écrire ce livre, j’ai refait le parcours de cet homme-là. C’était  un  ancien chimiste qui avait participé comme expert à la fabrication du  Zyklon  B ; Après la débâcle allemande, il avait fui par la filière du  Moyen-Orient et  avait été exfiltré vers l’Egypte. Il avait été récupéré  par les services secrets du roi  Farouk, puis s’était rapproché de  Nasser. Au moment de la guerre de libération en  Algérie, Nasser l’avait  envoyé auprès du Colonel Boumediene comme conseiller  technique pour  former des officiers. A l’indépendance, il était resté en Algérie  où il  s’était marié et s’était converti à l’islam. Il est mort de sa belle  mort en  1995. C’est cette histoire que j’ai voulu raconter mais pas de  cette  manière-là. Raconter l’histoire d’une crapule ne m’intéressait  pas.» 
 (Notez le courroux de notre écrivain: "crapule"; de la bouche d'un Cohen le mot serait compréhensible, mais de Sansal c'est un lapsus qui cacherait son "chassé le naturel...)
(Notez le courroux de notre écrivain: "crapule"; de la bouche d'un Cohen le mot serait compréhensible, mais de Sansal c'est un lapsus qui cacherait son "chassé le naturel...)
Il déballe toutes les contre vérités que la propagande de la Shoah divulgue depuis 60 ans pour justifier sa colonisation de la Palestine, la fabrication de la fraude historique des chambres à gaz (zyklon B), etc... Les historiens intègres et objectifs, experts de la question, maitres du sujet de la 2eme guerre mondiale, dénoncent comme la plus grande fraude de l'histoire du 20 èm siècle, cette mythologie de l'holocauste (Voir Faurisson et  l'AAARGH ).
Sansal plaide donc non seulement pour la sacralisation de ce dogme de la Shoah, mais insère son poignard dans le dos de la révolution algérienne en introduisant des doutes sur ses dirigeants et son encadrement, énonçant un nouveau révisionnisme calqué sur la propagande sioniste. 
Durant son débat à  (Lien) «la rencontre s’est terminée par la lecture du poème de Primo  Levi, que  Boualem Sansal a introduit dans son livre à la page 68 (poème imagée dédié à l'holocauste) :
     «...Qui ne connait pas de repos, 
Qui se bat pour un quignon de pain,
Qui meurt pour un oui pour un non.
Considérez si c'est une femme
Que celle qui a perdu son nom et ses cheveux
Et jusqu'à la force de se souvenir,
Les yeux vides et le sein froid
Comme une grenouille en hiver.
N'oubliez pas que cela fut,
Non, ne l'oubliez pas:
Gravez ces mots dans votre coeur.
Pensez-y chez vous, dans la rue,
En vous couchant, en vous levant;
Répétez-les à vos enfants. »
Qui se bat pour un quignon de pain,
Qui meurt pour un oui pour un non.
Considérez si c'est une femme
Que celle qui a perdu son nom et ses cheveux
Et jusqu'à la force de se souvenir,
Les yeux vides et le sein froid
Comme une grenouille en hiver.
N'oubliez pas que cela fut,
Non, ne l'oubliez pas:
Gravez ces mots dans votre coeur.
Pensez-y chez vous, dans la rue,
En vous couchant, en vous levant;
Répétez-les à vos enfants. »
 Durant son interview à "Akadem", notre "penseur" : 
«Les systèmes dominants, le capitalisme, l’Eglise, la Mosquée produisent le discours.»
«Nous, nous ne faisons qu’entendre et on se laisse positionner. Dans les pays démocratiques, ce conditionnement se fait mais on a la liberté de choisir : choisir un parti politique, militer, entrer en débat …»
«Les systèmes dominants, le capitalisme, l’Eglise, la Mosquée produisent le discours.»
«Nous, nous ne faisons qu’entendre et on se laisse positionner. Dans les pays démocratiques, ce conditionnement se fait mais on a la liberté de choisir : choisir un parti politique, militer, entrer en débat …»
Demandez Mr Sansal, aux militants qui luttent contre la dictature juive-sioniste en France et ailleurs, et défendent leur droit démocratique d'étudier et d'analyser scientifiquement et rationnellement l'histoire de la 2ème guerre mondiale, si la possibilité leur est offerte de débattre publiquement de l'holocauste et du dogme religieux de la Shoah ! La plus part sont emprisonnés, harassés, menacés physiquement et agressés, limogés des universités, soumis au déluge de feux des média Kosher, ces mêmes presse-télévision-site internet qui vous offrent leur crachoir pour "récupérer" le venin qui dégouline de votre typique Chutzpah (effronterie) de crypto juif.
 «Dans  un  système totalitaire, non. Une autorité produit le discours qui vous  dit qui  vous êtes, ce que vous devez penser…et le seul choix qu’on vous  laisse c’est  celui d’exécuter. En Algérie, depuis l’indépendance, nous  sommes dans un  système totalitaire avec un parti unique dont le  discours nous a dit : le  peuple algérien est arabe, le peuple algérien  est musulman… et vous devez être  ce qu’on vous dit.»
 (Notez l'amalgame : capitalisme, système totalitaire, parti unique, arabe, musulman..., les mots ne sont pas fortuits et l'association qu'on en fait également, le conditionnement de la pensée en est une résultante, a force de répétition Islam est devenu dans la conscience populaire de la masse des moutons de la planète lié à terrorisme-attentat-bombe-etc...) 
Il ajoute dans le même registre : «Les Algériens se sont laissé piéger par ce système  totalitaire qui au  départ vous impose des définitions ; vous finissez par  y croire et vous  êtes convaincu. Le système totalitaire n’a plus besoin de vous   surveiller : vous vous définissez vous-même comme étant arabe, musulman   …etc… Et là vous devenez votre propre bourreau, vous devenez un relais  du  système totalitaire. Dans cette lettre, je dis à mes compatriotes :  réveillez-vous ! Je  prends les éléments l’un après l’autre pour  démontrer qu’ils sont faux. Par  exemple, le premier point : dire que  l’Algérien est un Arabe. Avant le jour  de l’indépendance, nous étions  français, de culture française. Avant l’arrivée  des Français nous  étions ottomans. Avant encore nous étions sous la domination  du Caire,  de Damas … et avant ça nous étions Byzantins, et avant nous étions   Romains et encore avant des Berbères… On est passé par toutes ces  étapes. Je  prends comme ça ce que le gouvernement appelle « les  constantes  nationales » et je les décortique… Je dis à mes compatriotes  de refuser  les définitions. Il appartient à l’individu de se  réapproprier cette liberté de  se définir lui-même, sachant qu’on peut  changer sa définition au fil des  années.» 
N'oublions pas que Sansal critique avec virulence les "constantes nationales", se gargarisant de sa perspicacité et bon sens, mais est si généreux et tolérant envers "l'inconstant, inconsistant et capricieux, majoritairement sectaire et raciste mystification" de l'épopée mythologique berbère qu'il glorifie dans son livre "Petit éloge de la mémoire. Quatre mille et une années de nostalgie." 
Sansal excelle donc dans tout le répertoire musical des instruments jouant la division et  la propagande qui menace la cohésion nationale en Algérie, il n'est ni le premier ni le dernier, un parmi les nombreux "prix internationaux' qui sillonnent les média juifs à bord de la navette "Laicité-démocratie-amazighité-droits de l'homme". Il est cependant un des rares à recevoir tant de soutien moral et financier (pour son verbiage qualifié de publication littéraire) de la part de l'oligarchie juive, dont son hôte convivial et chaleureux, "Akadem.org" est un représentant significatif !  Retour glorieux parmi les siens ou pure exhibitionnisme intellectuel, pour ne pas dire strip tease ? Un avis qui soulèvera des réprobations parmi nos amis intellectuels de la laïcité et tolérance baisse culotte, dont la largesse d'esprit ne s'embarrasse pas de ces considérations "conspirationnistes" flirtant avec l'antisémitisme, un péché capital en ces temps de tyrannie juive.  
Pour confirmation et analyse plus détaillée consultez la vidéo au lien "akadem.org", ou téléchargez l'enregistrement audio (MP3).  
 

 
