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13 févr. 2010

La Veuve Noire: Nostalgiques Juifs d'Algérie. (1ère Révision)


 La visite de sites juifs qui se spécialisent dans l'exaltation nostalgique et plaintive de l'origine algérienne de leur communauté, est rafraîchissante, tant elle permet d'actualiser la perception de l'humeur politique des communautés séfarades.
"Harrissa" et Zlabia" ont des consonances  gastronomiques qui ne devraient cependant pas tromper le visiteur sur l'objectif de tels outils médiatiques, qui demeurent des instruments subtils d'ingénierie sociale.
Le but annoncé est "d'offrir un lieu de rencontre" aux membres de cette communauté juive originaire d'Algérie.Minorité qui a, selon ses avocats, enduré un "exil forcé", survenu après 1962, date de l'indépendance.
Selon leur déclaration: «principalement par peur de représailles des "hordes" du FLN qui mettaient en péril la vie même de ces Français de confession juive
Ce résumé condensé des réalités historiques reflète la pensée de la communauté juive, qui après 50 ans et les revers endurés sous le régime sioniste en Israël, ou ailleurs, redécouvre ses origines nord africaines. Cet article est destiné à exposer une partie de la malhonnêteté intellectuelle des écrivains qui traitent de l'histoire de leurs coreligionnaires en Algérie. Ces historiens sont avant tout les "gardiens d'enceinte" du mythe de "l'oppression du juif". Ce concept fallacieux est défendu avec acharnement par les imposteurs sionistes car c'est le vernis qui dissimule leur  idéologie réelle. Une toison d'agneau dont se couvrirait le loup  prédateur impitoyable, pour duper ses victimes. Mais je préfère l'analogie du serpent, sournois et silencieux, camouflé par la végétation (le milieu social) qui peut dévorer une proie dix fois son poids. Capacité démontrée dans l'Histoire contemporaine par cette minorité  qui littéralement "phagocyte", socialement, économiquement, et politiquement, la majorité goyim. Telle est la fonction essentielle des juifs-sionistes dans le Monde.
Pour ce qui concerne l'agitation que les séfarades orchestrent à travers des sursauts de revendications, de réclamations, d'accusations, ou de protestations, canalisées par leurs puissants média, il est intéressant d'en connaître les motifs non avoués, cachés. Ceux-ci peuvent être observés à travers les chroniques de leurs historiens,  à l'image de Benjamin Stora, un "spécialiste" de l'histoire contemporaine d'Algérie. Le "cœur ayant sa raison", il est naturel que l'historien abandonne, dés son approche  de  l'Algérie, son impartialité, qui fait place à son parti pris chauvin, qui est sans concessions. De  toute manière le Talmud lui interdit formellement de témoigner contre ses coreligionnaires, au risque qu'encourir la peine de mort ! 
Marxiste révolutionnaire et Trotskyste, impliqué activement dans les groupes subversifs néo-conservateurs de la "gauche", de défense des droits (sélectifs) de l'homme (Human Watch,), , sympathisant des partis sectaires algériens à consonance culturelle mais à "résonance" séparatiste et "dissensioniste", FFS, RCD, et  surtout MAK.
L'homme est le modèle parfait du "Gardien d'enceinte" et a été investi de la mission consistant à gérer, canaliser, censurer, influencer, moduler, le cours des événements, mais surtout leur interprétation. Toujours selon la tendance que "l'éternel conspirateur" a désignée pour préserver son quadrillage de l'opinion et raffermir sa tyrannie sur la pensée libre et les idées indépendantes : technique et stratégie pour un contrôle progressif de la planète.
Il est intéressant de voir combien les vues subjectives de ces  marchands d'Histoire dissimulent leur rôle partisan dans l'aiguillage des événements et le modelage de leur interprétation. Car sous le masque  de ces historiens et observateurs, sommeille un militantisme politique  et religieux, étroit et incontournable, qui indiscutablement les dépouille du critère d'objectivité scientifique, qui est la qualité du témoin neutre lors de l'observation et description des faits. Notre Benjamin arpente la scène historique, en dissimulant ses croyances politiques et religieuses sous sa tenue professionnelle, la pompeuse  "expertise". Sa stratégie consiste à gagner la confiance aveugle de ses victimes par l'étalage de ses connaissances sur l'Algérie, gage de sa compassion pour le pays et son peuple. Une fois réconforté par la confiance et la naïveté de ses amis et dupes, il commence à distiller le "poison" du mensonge et de la diversion dans le "miel" du thème qu'il traite. Comme lorsqu'il aborde le chapitre  "juifs en Algérie", dans lequel il démontre une indulgence indécente pour la communauté auquel il appartient, et dont il tente de blanchir les crimes et les malversations. Déculotté, et dénoncé pour ses opinions politiques excessives, qui avaient pris l'allure d'activisme menaçant l'ordre publique, il s'est replié vers la France. De là, l'enfant du sionisme-talmudisme s'est recyclé, ouvertement, dans le militantisme anti-algérien, mettant à nu ses vrais convictions.   Récemment, Stora le "spécialiste" de l'histoire d'Algérie, a carrément déposé sa plume de scribe de l'histoire officielle (des éditeurs  juifs), et rejoint les rangs de la nébuleuse qui depuis 10 ans s'éreinte inutilement  à vouloir entraver la mission de Bouteflika.  Président dérangeant le système de gouvernance frauduleux, le pouvoir de l'utopie révolutionnaire. Ce même dogmatisme auquel Benyamin Stora prétend vouer de la passion: la démagogie populiste et l'utopie du marxisme-trotskisme.
La gestion pragmatique adoptée par Bouteflika, qui s'est distancé des "ismes" , est la cible de cette tempête médiatique contre l'Algérie, orchestrée bien sûr par le cartel mondial occulte du sionisme-talmudisme  (voir les articles, Lien1, Lien2, Lien3, Lien4). Les fables mensongères et  les analyses orientées de l'histoire ne pouvaient trouver meilleur terrain de confusion  que lorsqu'elles abordent le passé des juifs en Algérie. Ces pieds noirs drapés de nostalgie culturelle et de fanatisme religieux,  refusent toujours d'assumer leur participation et leur responsabilité dans les crimes commis contre la majorité musulmane. Cette communauté séfarade, étrangère à l'Algérie, tente le blanchiment des actes criminels de leurs aïeux et contemporains, et n'a jamais abandonné sa haine de l'islam, d'où les intrigues instiguées subtilement sous le couvert de "publications historiques". Le stratagème est classique: reporter le tort sur l'adversaire, le FLN et combattants armés, et se posturer comme victime, en occultant de manière grossière les opérations belligérantes personnelles, dont:
-La colonisation  provoquée par les malversations financières des banquiers et marchands juifs;
-Le ralliement des juifs de France à leurs coreligionnaires algériens avec un soutien illimité 
matériel, moral et légal;
-La collaboration collective active avec la France dans sa campagne de génocide et plus tard avec Israël pour concrétiser le transfert du nucléaire au prix d'essais criminels, opérés et supervisés par les Juifs Français et Israéliens à Reggane, au détriment des populations musulmanes qui endureront éternellement les séquelles des expériences nucléaires; 
-L'implication des politiciens les plus virulents, ceux qui ont défendu "l'Algérie française" et engagé les actions les plus meurtrières contre la population musulmane (Mittérand, Messmer, Soustelle, Debré et autres juifs).
-Puis l'OAS:  (WikiPedia) «Les juifs pieds-noirs et l'OAS»
«Pendant cette période, la communauté juive s'oriente d'une manière générale vers une attitude neutre. (sic).Les organisations communautaires font preuve d'une extrême modération et refusent de prendre politiquement position, car elles considèrent que cela ne les concerne pas, pourtant certains s'engagent au sein de l'OAS, de manière individuelle comme Jean Ghenassia qui deviendra le lieutenant de Joseph Ortiz (selon Emmanuel Ratier), ou collectivement comme à Alger et à Oran où ils seront particulièrement actifs. Regroupés au sein des « Commandos Colline », ces groupes sont liés aux réseaux France Insurrection conduits par Elie Azoulai et Ben Attar. Ils assassineront certains élus musulmans, essaieront de mettre le feu à la prison où sont détenus des hommes du FLN et abattent des officiers français, comme le Lieutenant-Colonel Pierre Rançon, chef du 2e Bureau d'Oran, chargé de la lutte anti-OAS.»
A propos d'OAS, observons les faits d'armes de cette pègre de généraux  dont la bravoure défaillante et l'ingénuité chancelante, dans la jungle Indochinoise, s'étaient métamorphosées en héroïsme et  génie militaire, dans.....les ruelles d'Alger.
sur les murs d'Alger - mars 1962
«L'OAS, Organisation Armée Secrète, fut constituée en 1961, à l'instigation des généraux Salan et Jouhaud et d'hommes politiques comme Jean-Jacques Susini ; elle tenta par tous les moyens - attentats en Algérie et en France - de s'opposer à la politique algérienne du général de Gaulle. Quand il fut clair que l'indépendance de l'Algérie était inexorable, l'OAS pratiqua la politique de la terre brûlée. Le terrorisme aveugle de l'OAS contribua au départ d'Algérie de la grande majorité des pieds-noirs.»
«Jean-Marie BASTIEN-THIRY - né en 1927 - lieutenant-colonel, ingénieur de l'armement - organisateur des attentats de Pont sur Seine et du Petit-Clamart contre de Gaulle. Condamné à mort et fusillé au fort d'Ivry, le 11 mars 1963.
Roger DEGUELDRE - né en 1925;Le lieutenant Roger Degueldre a été fusillé le 5 juillet 1962 au fort d'Ivry. Ancien maquisard F.T.P. engagé dans l'armée à la Libération et passé à la Légion, il gagna ses galons en Indochine puis en Algérie. Déserteur le 22 avril 1961 lors du putsch des généraux à Alger, il devient le responsable des "commandos Delta" de l'OAS qui exécutent assassinats et actes de terrorisme. Degueldre fut condamné à mort par la Cour militaire de justice le 28 juin 1962.
Albert DOVECAR et Claude PIEGTS, qui avaient sous les ordres de Degueldre participé à l'assassinat du commissaire Gavoury, ont été fusillés le 7 juin 1962.
Edmond JOUHAUD - général - né à Bou Sfer (Algérie) en 1905 - il fut la cheville ouvrière du putsch d'avril 1961, puis chef de l'OAS en Oranie. Arrêté le 25 mars 1962, il est condamné à mort le 13 avril 1962 ; sa peine est commuée le 28 novembre 1962, en prison à vie, et il est libéré en décembre 1967. Il est décédé en septembre 1995.
Raoul SALAN - général -  né en 1899, décédé le 3 juillet 1984 à Paris. Général de division sous de Lattre pendant la campagne de 1944/1945, il fut nommé commandant en chef en Indochine (1952/1953) puis en Algérie (1956/1958). Il se rallia au général de Gaulle lors des événements de mai 1958, mais, partisan de l'Algérie française, il rompit avec lui. Il fut l'un des organisateurs du putsch des généraux (avril 1961) ; puis il fonda l'OAS. Condamné à mort par contumace (11 juillet 1961), puis arrêté à Alger (20 avril 1962) ; sa peine est commuée en détention à vie (23 mai 1962). Amnistié en 1968, il fut réhabilité en novembre 1982.»
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Rappel historique


 (Lien):"les juifs de l’Algérie coloniale", extraits de «La guerre d’Algérie, de la mémoire à l’histoire», Hassan Remaoun et Gilles Manceron.
-1- «Avec la conquête de l’Algérie, en 1830, les Juifs algériens, dont quelques-uns connaissaient le français, avaient accueilli assez favorablement l’arrivée des nouveaux arrivants et étaient devenus des sortes d’intermédiaires entre colonisateurs et autochtones. (lire collaborateurs, traîtres envers l'Algérie, leur "chère" patrie). Étant vite entrés en contact avec les représentants des Juifs de France, émancipés depuis la Révolution française (puisque la destruction de la Royauté, par les agents de Rothschild est qualifiée "d'émancipation" au lieu de coup d'état), c’est-à-dire devenus des citoyens français relevant individuellement de la loi française (une farce fabriquée par les juifs contrôlant  toute la hiérarchie gouvernementale, dont symboliquement le Ministère de la Justice, Mr Crémieux!)  au prix de la perte de leur "statut personnel" juif antérieur (juridiction des tribunaux rabbiniques sur les mariages, les divorces et les successions), les Juifs d’Algérie avaient subi leur influence et aspiré à la même condition.»
-2- «L’administration militaire française avait supprimé peu à peu l’autonomie interne des communautés juives     d’Algérie.» «A partir de 1845-1850, les Juifs d’Algérie, soutenus par les libéraux et des notables musulmans, avaient commencé à revendiquer la citoyenneté française. Elle leur avait été accordée d’abord par Napoléon III, par le sénatus-consulte de mars 1870, puis, après la proclamation de la République, par le décret connu sous le nom de décret Crémieux, précisé en octobre 1871 par l’Assemblée nationale.»
Le rejet massif de la citoyenneté algérienne par les juifs qui ont rallié leurs coreligionnaires français par leur adoption  de la citoyenneté française après le décret Crémieux(1870, du nom de leur coreligionnaire Adolphe Crémieux, ministre de la justice de la France, France déjà sous domination juive).
-3-«....le 7 octobre 1940, le gouvernement de Vichy abrogea le décret Crémieux, retirant aux Juifs tous leurs droits à la citoyenneté française et refaisant d’eux des "indigènes" au même titre que les Musulmans, ce n’était pas uniquement le résultat de la politique décidée en métropole mais aussi la conséquence de cet antisémitisme persistant au sein de la société européenne d’Algérie.»«La mémoire française a préféré retenir l’idée d’une cohabitation difficile entre les Juifs et les Musulmans d’Algérie, projetant rétrospectivement les conflits venant après la Seconde Guerre mondiale, alors que les incidents furent rares entre ces deux communautés et souvent suscités par des antisémites européens à la recherche de troupes pour commettre des violences».
-4- «Ce ne fut que le 20 octobre 1943, soit près d’un an après le débarquement allié en Afrique du Nord - le Service des questions juives d’Alger étant resté ouvert jusqu’en mars 1943 -, que le Comité français de libération nationale accéda à la demande des Juifs d’Algérie de recouvrer leurs droits politiques de citoyens, demande à laquelle les notables musulmans, qui formulaient la même pour tous les Algériens, étaient loin d’être hostiles. Quant aux responsables européens de la répression anti­-juive, ils ne firent, pour la plupart, l’objet d’aucune poursuite.»
-5-Acte final (1956), le FLN demande à la communauté juive de se positionner par rapport au conflit ( la guerre d'indépendance) :
«La dernière étape du processus d’intégration des Juifs d’Algérie à la communauté européenne correspondit à la guerre d’Algérie. En 1956, un appel du FLN les incitait à soutenir le mouvement pour l’indépendance, ce que firent un petit nombre d’entre eux, mais la grande partie était déchirée entre ses racines algériennes et son attachement à la France, où se mêlaient, selon les cas, un attachement au statut de citoyenneté qu’elle leur avait finalement assuré et une nostalgie de la société coloniale, où ils occupaient, malgré tout, pour beaucoup d’entre eux, une situation privilégiée par rapport à la masse de la population. [...] Les Juifs d’Algérie avaient peur que la France ne se soucie que des Français ou des Européens "de souche" et que leur citoyenneté française, rétablie moins de vingt ans plus tôt, ne soit de nouveau remise en cause. A leur demande, les accords d’Évian précisèrent que les Juifs d’Algérie seraient considérés comme européens et la France prit même, en 1961, à la veille de l’indépendance, une mesure donnant la citoyenneté française aux quelques Juifs habitant, hors des limites des départements d’Algérie, les territoires du Sud conquis en 1870, qui n’étaient pas citoyens français et conservaient leur statut personnel.»
-6-Confortable dans son statut d'Européen, le français  juif d'Algérie souhaite garder "le beurre et l'argent du beurre", et son opportunisme ancestral et sa perspicacité légendaire lui dictent la prudence qu'impose la règle  "ne pas placer tous ses œufs dans un même panier".Ainsi les défenseurs de "l'Algérie Française", puis de l'OAS génocidaire pourront s'enorgueillir de posséder en leur sein les meilleurs représentants de la communauté juive, les ministres des gouvernements français, les gouverneurs d'Alger, les officiers de l'armée régulière et les "chefs" de l'OAS (A savoir, les bras de la déesse Shiva, analogie sioniste du..sionisme dans les "protocoles")
 Ces faits révoltants, les historiens et les nostalgiques juifs de l'Algérie ne les mentionnent jamais, car préférant les occulter pour perpétuer le mythe de victimes éternelles aux mains des injustices du goyim (non juif). La shoah étant un autre stratagème à grande échelle, mondiale,  justifiant leur contrôle planétaire, des crimes génocidaires contre l(humanité goyim:
-les deux guerres mondiales dont ils ont été les instigateurs,
-les massacres  et punitions collectives infligés aux Arabes-Musulmans (Liban, Irak, Afghanistan, Syrie, etc...). Occultant leurs crimes et se lamentant interminablement,  grâce à l'artifice  médiatique, assis toujours au banc des victimes, jamais à celui des accusés.

Par peur de trop m'étendre sur le sujet, je me limiterais à mentionner un de leur grand accomplissement humanitaire, la liquidation de quelques 60 millions de tubes digestifs inutiles (l'expression est de Rockefeller et Kissinger) en Union Soviétique, de la main du politburo communiste juif ! (sujet à "piocher" sur le web pour une révision des vérités  historiques officielles, "tamisées",  sans quoi ,elles heurteraient les yeux).
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Ces ex-Juifs d'Algérie encadrés par leur patronat sioniste adhèrent entièrement à l'idéologie talmudienne de suprématie religieuse expansionniste. Ils ne contestent nullement l'apanage du privilège divin, leur  permis religieux de violation des droits  des goyim, le pillage de leurs biens et la dégradation de  leurs valeurs. Sachez que leurs attachements-et-affinités géographiques servent qu'un objectif: la tentative d'ingérence.
Au nom de faits historiques travestis, d'interprétation subjectives, ils ont traqué  et capturé une fraction d'Algériens et les ont dressés jusqu'à leur adoption du sionisme politique (sans le judaïsme religieux que les Rabbins de Tel-Aviv se refusent à partager. Voir dans ce contexte le contenu des dogmes  chimériques occasionnés d'intérêts matériels, du groupe de renégats à leur patrie, les malfrats recrutés  par le MAK de Ferhat M'henni). A ce jeu d'ingérence les juifs ont réussi, rendant cependant service à l'Algérie, en balayant de sa porte les brebis galeuses,  dissimulées parmi nous.
La spéculation juive sur les origines des peuples d'Afrique du Nord ne sert pas plus à étancher leur soif de savoir qu'à fabriquer des arguments leur permettant de créer ou d'entretenir des différences internes mêmes marginales et en faire une source de conflits. Beaucoup de Berbères ont été hellénisés, puis certains esclaves judaïses, ont fondé Carthage et la Numidie, sont devenus Romains et Chrétiens et, enfin Musulmans. Nombreux parmi ces derniers, païens et barbares d'hier conquirent l'Espagne, y établirent la civilisation d'Andalousie qui rayonna par son incomparable développement culturel, scientifique et religieux. Motivés par des convictions sincères,  ils sont les bâtisseurs d'une révolution humaine authentique et d'une métamorphose immuables de leur patrie tout au long d'une  transition historique, que les chuchotements maléfiques du sionisme tentent de leur faire renier. Offre envenimée  d'une vision corrompue et raciste de l'histoire qui dénature arbitrairement un pan entier de leur héritage, celui de 15 siècles d'Islam. Troquant leur statut d'homme universel à celui  mythique, dévalorisé par "L'éternel conspirateur", d'esclave judaïsé !
A cette fraude historique déceptive s'allient tous les porte-paroles séfarades qui se spécialisent dans l'écriture de fables sur l'Algérie, tous occultant les crimes commis périodiquement contre les Musulmans.
 L'un d'entre eux, Jacques Attali, pas le moins vil ni le moins subtil, mais un monstre médiatique affublé de mérites intellectuels que lui prêtent ses acolytes des média juifs. Et, dont le palmarès éloquent se résume à la fourberie politicienne et mercantile, le mensonge enrobé de scientisme, et la raillerie du goyim crédule.
A la question de "zlabia.com" (Lien):
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Remarque alarmante: Suspecte la largesse d'esprit d'El-Watan et de "son engagement doctrinaire humanitaire pour les causes justes juives". Le quotidien "cheval-de-Troie de Rothschild", reporte l'intégralité de l'interview sous la plume de Sid Ahmed Hammouche (en date du 29 Aout 2009-lien), après une introduction sur l'auteur singularisée par les louanges et la glorification de ce génie, auteur du "Dictionnaire amoureux du judaïsme". Prosterné, Hammouche, avocat  de cette "victime de la guerre  d'indépendance", écrit :
«Sacré. Le gourou de la finance publie un Dictionnaire amoureux du judaïsme (chez Plon) et revisite son passé algérien. Dans son ouvrage, l’essayiste, économiste, patron d’entreprise, ex-conseiller du président François Mitterrand se promène dans l’histoire du peuple juif et d’une religion universelle (sic, raciste dans le fond et la forme). Avec délice et talent, l’écrivain français dresse la carte d’identité d’une foi qui puise ses racines dans les origines du monde (faux ! Foi fabriquée par les Rabbins dans le texte contrefait du Talmud)
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Qui est Attali l’Algérien ?»
-Il répond : 
«Mon père, qui est né en Algérie. Sa famille était ancrée depuis des siècles dans ce pays porteur d’un judaïsme très fort. Un judaïsme algérien extrêmement cultivé et intense. Un judaïsme qui a des origines profondément berbères. Une grande partie d’entre eux ont été convertis avec la Kahina, cette grande femme de pouvoir berbère et juive, qui a tenu tête aux musulmans d’Orient lors de leur arrivée au Maghreb.»
Entrant d'emblée dans le rôle que le scenario de "zlabia.com"  lui a réservé : le prédateur averti, qui de ses crocs, mord dans la chair de sa victime, l'Algérien berbère, pauvre victime innocente, naïve et crédule, flatté par les propos de ce géant (enflé par la publicité mensongère) qui propose de partager (en guise d'appât bien sûr) son orgueil racial (orgueil que le Tout puissant a damné dans tous Ses livres saints et de la parole de Ses Prophètes, Moise en tête).
Attali lance une fleur: le qualificatif «cette grande femme», à propos de la mythologique «Kahina», ce qui flatte l'égo  et brise l'âme, du Berbère, détruisant les barrières érigées dans son subconscient par les défenses naturelles ancestrales. Anesthésié par le parfum de la fleur, il baisse les bras et offre sa nuque à la bête.
Zlabia: «Vous vous sentez pleinement Algérien donc ?»
Après un grognement bestial et une accolade, il étreint sa proie, lui susurrant la réponse:
«Je suis Algérien. Je suis né en novembre 1943 à Alger et j’ai quitté mon pays en 1956. La langue maternelle de la famille de mon père et de ma mère était l’arabe. Nous ne sommes pas des pieds-noirs. Reste que j’ai vécu l’histoire de ma présence en Algérie comme un apartheid. Nous n’avions aucun contact avec les Arabes. Et les seuls mots d’arabe que je connaissais, c’était des insultes ! Le mot « yaouled », en arabe, veut dire « un enfant ». Pour moi, il signifiait le porteur de commission au marché. Et « yaouled » pour moi signifiait la soumission. J’ai gardé ce mot gravé dans ma mémoire. Je garde d’Alger, que j’ai quittée à l’âge de 13 ans, des souvenirs désordonnés : la parfumerie de mes parents, rue Michelet, la synagogue de Saint-Eugène.»
Les larmes aux yeux (de plaisir sadique) de tenir enfin sa proie, il dévie l'attention du Berbère naïf et confiant, du doigt désigne l'Arabe, l'ennemi commun. La tête de l'agneau pivote, ses yeux se figent sur l'Arabe. Le carnassier, d'un coup lui sectionne la glotte.
Zlabia:«Et pourtant, vous ne pouvez pas y retourner… »
Le prédateur toujours larmoyant et endurant la "souffrance de l'exil ", achève sa victime.
Mais toujours pas repu, il tente de pénétrer dans la bergerie et de poursuivre son carnage: 
«Je fais partie de ces rares personnes dans le monde qui n’ont pas droit d’aller se recueillir sur la tombe de leurs grands-parents. Les juifs d’Algérie ont été coupés totalement de leurs racines à partir de l’indépendance en 1962. Je ressens ça avec de la tristesse, parfois de l’amertume et parfois de la rage. Mon père a été très tôt convaincu que l’Algérie serait indépendante. Mais il était aussi sûr, tristement, que les juifs n’y auraient pas leur place. Il a donc décidé dès novembre 1954 de partir pour Paris. Tristement. Quand je vais dans une synagogue de Paris, je cherche toujours un lieu où je me sens comme à Alger.»
Subjugué par les émotions il marque le pas et préfère une virée vers l'étable, ciblant les vaux assoupis sur son œuvre romantique, le «Dictionnaire amoureux du judaïsme».
Zlabia: «Revenons sur votre ouvrage, pourquoi un livre sur le judaïsme ? »
-«Bla, bla, bla,...»
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Merci à "zlabia,com" d'esquisser un portrait du monstre:
«Sacré. Le gourou de la finance public (pillage privé des biens étatiques avec consentement des citoyens Goyim) un Dictionnaire amoureux du judaïsme (chez Plon) et revisite son passé algérien (ingérence).»
Et plus loin, le couronnement de sa carrière professionnelle:
«2001. Il est mis en examen dans l’affaire Angolagate pour recel, d’abus de biens sociaux et trafic d’influence. Le jugement sera rendu en octobre 2009.»
Le péché mignon du sioniste-talmudien, le vol (licite) des biens Goyim. Car le vol est recommandé et béni par le Talmud, aussi longtemps que la victime n'est pas juive !
A qui se fier ? Quelle est la réponse raisonnable, optimale, adéquate et  objective à  opposer à ce ras de marée nostalgique qui submerge l'Algérie ?
-La méfiance  et la prudence !
Pourquoi ?
Une brève rétrospective historique des forfaits à enregistrer dans le dossier "Juif d'Algérie" nous le dira:
L'incident dit de "l'éventail"---les actions subversives des agents internes commandités par la trahison juive  durant la colonisation (qui a causé le génocide de millions d'Algériens)---la guerre de libération (d'autres millions)---l'OAS exterminationiste ---les crimes perpétrés par les ministres juifs français qui dirigèrent les essais nucléaires (sous la supervision des ingénieurs du Mossad)*, sont l'exemple d'événements qui s'inscrivent sur la longue liste millénaire des agressions meurtrières contre les Algériens et sont l'évidence et la preuve flagrante de la haine et de l'animosité qu'entretient à notre égard la gente judéo-sioniste.
Par équité, faisons exception des Juifs qui courageusement, se distancent du sionisme et se déclarent eux mêmes victimes de la manipulation des "maîtres de la subversion" (les banquiers et idéologues juifs-sionistes de Paris-Londres-New York).
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Au manque de pudeur qu'affichent ces nostalgiques (certains réclamant une indemnisation de leurs possessions en Algérie), nous répondons avec fermeté: Où est votre repentance pour les crimes et génocides commis contre nous, vous, qui avez exigé  du Pape sa prosternation devant la déesse Shoah et son repenti publique pour les crimes commis par la chrétienté (souvent en réponse à votre malveillance),  depuis Jules César !
L'effronté sans honte exposé, à la Foule dénudé ,il est raillé  .
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(*)Dans un document inédit(téléchargeable au Lien
Page1:« Dans les années 50, le destin de l’Etat hébreu était l’une des priorités du pouvoir français. Une politique d’aide militaire, secrètement élaborée au ministère de la Défense, aboutit à un accord nucléaire jamais avoué […] Haut fonctionnaire et personnage très influent de la politique française de défense de l’après 1945, Abel Thomas est l’homme qui a livré le programme nucléaire français à Israël. Dans les années cinquante, il était le chef de cabinet du ministre de la Défense, Maurice Bourgès-Maunoury […] De nombreux politiques et militaires français, socialistes pour la plupart, entretenaient alors avec Israël une véritable passion romantique, et Abel Thomas joua le rôle le plus décisif dans la participation de la France à l’option nucléaire de David Ben Gourion. “C’est l’oeuvre de ma vie. Pour moi, le destin d’Israël fut vital dès sa création.” »
«Le même article explique que le ministère de la Défense, Abel Thomas étant en première ligne, commença par livrer secrètement, à la fin de 1955, neuf Mirage… qui furent effacés des effectifs officiels, sans même en informer le ministère des Affaires étrangères dirigé par Christian Pinault, considéré, ainsi que la plupart des diplomates, comme « pro-arabe». 
«En 1956, Thomas joua un rôle majeur dans l’opération de Suez, après la nationalisation du canal par
Nasser, étant le contact privilégié de Shimon Peres, alors ministre israélien de la Défense. Mieux, Peres «Le Yediot Aharonot de Tel Aviv publiait fin septembre (1) un article révélant un accord nucléaire jamais révélé entre la France et Israël, ou comment la France a livré à l’Etat hébreu l’arme nucléaire. A la tête de cette fantastique trahison étatique, un Français, Abel Thomas, aujourd’hui âgé de 80 ans.»
Page 2:
«.....il disposera même d’un bureau à Matignon, à côté de celui du Premier ministre! Puis, Abel Thomas, François Perrin, le directeur du Commissariat à l’énergie atomique, et Shimon Peres firent fléchir le Premier ministre Guy Mollet sur la question du nucléaire. Dès octobre 1957, Israël et la France signaient un accord diplomatique  avec des clauses secrètes sur le nucléaire. La France s’engageait à fournir une pile atomique qui devait être installée à Dimona, dans le désert du Néguev, l’uranium enrichi (mais Thomas a refusé de le confirmer) et le matériel nécessaire à la fission du plutonium.»
«Bref, on parlait de nucléaire civil et on pensait nucléaire militaire. Comme devait le déclarer le journaliste d’investigation Pierre Péan, auteur de Les Deux Bombes (Fayard, 1982) : « Le plus étonnant est que les Français aient aussi rapidement livré un programme nucléaire à peine sorti des fonts baptismaux. » Il y eu en fait, en sous-main, comme le révèle Dominique Lorentz, dans Affaires atomiques (Les Arènes, 2001), aval secret des services américains : « C’est la France naturellement qui fut choisie pour aider Israël afin de ne pas mécontenter le Congrès. »
«Ce, d’autant qu’en 1956 la France ne détenait même pas encore un savoir-faire qu’elle n’a acquis en 1960 et que la France ne disposait pas encore de la bombe… qui intéressait Israël. Pour Lorentz, il y aurait eu en fait complémentarité entre les deux pays, la France apportant sa puissance industrielle et Israël les procédés américains. Ce qui explique que ce sont des Israéliens qui dirigeront le démarrage de la centrale de Marcouleet des physiciens israéliens seront présents, le 13 février 1960, à Reggane (Sahara), pour l’explosion de la première bombe A. Qui connaît pourtant Abel Thomas? Pratiquement personne et son nom n’apparaît même qu’épisodiquement dans les deux ouvrages précités, les seuls pratiquement sur la question. Né à Fontenay-leComte (Vendée) le 18 juillet 1920, il est le fils d’un officier portant le même prénom et de France Chauveau. Passé par le lycée de Beauvais et l’Ecole polytechnique, cet ingénieur général du génie civil maritime, il participera à la Résistance (son frère mourra en déportation à Dora et sa mère sera décorée de la Croix de guerre par le général Koenig, (fervent sioniste) et combattra, comme officier de chars, dans la division Leclerc (1942-1944). Il sera décoré de la Légion d’honneur et de la Croix de guerre.»