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4 juil. 2015

Explosions Nucléaires au Sahara Algérien, Israel était le principal organisateur et bénéficiaire !



Dans un document inédit , Page1:« Dans les années 50, le destin de l’État hébreu était l’une des priorités du pouvoir français. Une politique d’aide militaire, secrètement élaborée au ministère de la Défense, aboutit à un accord nucléaire jamais avoué […] Haut fonctionnaire et personnage très influent de la politique française de défense de l’après 1945, Abel Thomas est l’homme qui a livré le programme nucléaire français à Israël. Dans les années cinquante, il était le chef de cabinet du ministre de la Défense, Maurice Bourgès-Maunoury […] De nombreux politiques et militaires français, socialistes pour la plupart, entretenaient alors avec Israël une véritable passion romantique, et Abel Thomas joua le rôle le plus décisif dans la participation de la France à l’option nucléaire de David Ben Gourion. “C’est l’œuvre de ma vie. Pour moi, le destin d’Israël fut vital dès sa création.” »
«Le même article explique que le ministère de la Défense, Abel Thomas étant en première ligne, commença par livrer secrètement, à la fin de 1955, neuf Mirage… qui furent effacés des effectifs officiels, sans même en informer le ministère des Affaires étrangères dirigé par Christian Pinault, considéré, ainsi que la plupart des diplomates, comme « pro-arabe».
«En 1956, Thomas joua un rôle majeur dans l’opération de Suez, après la nationalisation du canal par Nasser, étant le contact privilégié de Shimon Peres, alors ministre israélien de la Défense. Mieux, Peres «Le Yediot Aharonot de Tel Aviv publiait fin septembre (1) un article révélant un accord nucléaire jamais révélé entre la France et Israël, ou comment la France a livré à l’Etat hébreu l’arme nucléaire. A la tête de cette fantastique trahison étatique, un Français, Abel Thomas, aujourd’hui âgé de 80 ans.»
Page 2:
«.....il disposera même d’un bureau à Matignon, à côté de celui du Premier ministre! Puis, Abel Thomas, François Perrin, le directeur du Commissariat à l’énergie atomique, et Shimon Peres firent fléchir le Premier ministre Guy Mollet sur la question du nucléaire. Dès octobre 1957, Israël et la France signaient un accord diplomatique  avec des clauses secrètes sur le nucléaire. La France s’engageait à fournir une pile atomique qui devait être installée à Dimona, dans le désert du Néguev, l’uranium enrichi (mais Thomas a refusé de le confirmer) et le matériel nécessaire à la fission du plutonium.»
«Bref, on parlait de nucléaire civil et on pensait nucléaire militaire. Comme devait le déclarer le journaliste d’investigation Pierre Péan, auteur de Les Deux Bombes (Fayard, 1982) : « Le plus étonnant est que les Français aient aussi rapidement livré un programme nucléaire à peine sorti des fonts baptismaux. » Il y eu en fait, en sous-main, comme le révèle Dominique Lorentz, dans Affaires atomiques (Les Arènes, 2001), aval secret des services américains : « C’est la France naturellement qui fut choisie pour aider Israël afin de ne pas mécontenter le Congrès. »
«Ce, d’autant qu’en 1956 la France ne détenait même pas encore un savoir-faire qu’elle n’a acquis en 1960 et que la France ne disposait pas encore de la bombe… qui intéressait Israël. Pour Lorentz, il y aurait eu en fait complémentarité entre les deux pays, la France apportant sa puissance industrielle et Israël les procédés américains. Ce qui explique que ce sont des Israéliens qui dirigeront le démarrage de la centrale de Marcouleet des physiciens israéliens seront présents, le 13 février 1960, à Reggane (Sahara), pour l’explosion de la première bombe A. Qui connaît pourtant Abel Thomas? Pratiquement personne et son nom n’apparaît même qu’épisodiquement dans les deux ouvrages précités, les seuls pratiquement sur la question. Né à Fontenay-le-Comte (Vendée) le 18 juillet 1920, il est le fils d’un officier portant le même prénom et de France Chauveau. Passé par le lycée de Beauvais et l’Ecole polytechnique, cet ingénieur général du génie civil maritime, il participera à la Résistance (son frère mourra en déportation à Dora et sa mère sera décorée de la Croix de guerre par le général Koenig, (fervent sioniste) et combattra, comme officier de chars, dans la division Leclerc (1942-1944). Il sera décoré de la Légion d’honneur et de la Croix de guerre.»
 Complément, ajouté le 07 Avril 2010:
 Extrait de
 "jeuneafrique.com/Article/LIN24127histoenneil0/Histoire-secrete-de-la-bombe-israelienne.html" :

«Cependant, en France, la IVe République s'efface devant la Ve. Cela ne va pas sans causer quelque inquiétude parmi les dirigeants israéliens. On note toutefois que l'ancien gouverneur général de l'Algérie, Jacques Soustelle, qui compte parmi les amis affichés d'Israël, comme de nombreux gaullistes, est ministre de l'Information dans le gouvernement de Gaulle de 1958, et ministre chargé du Sahara et des Affaires atomiques - cela ne peut pas mieux tomber… - dans le gouvernement Debré en 1959. En face, un personnage étonnant va devenir l'antenne à Paris de Pérès, qui est promu, en 1960, ministre adjoint de la Défense. Ce nouveau venu, Shalhevet Freier, a le statut d'attaché scientifique à l'ambassade d'Israël. C'est un savant et un maître espion, humaniste et militant antinucléaire aux côtés d'Albert Einstein et de Bertrand Russel en même temps que décidé à aider son pays à acquérir des armes nucléaires.  (Notez le double langage militant antinucléaire, pour les Goyim-naifs et sioniste pour la cause talmude).
Bref, la coopération militaire entre Paris et Tel-Aviv, nouée autour de la guerre de Suez, va perdre de l'intensité, car de Gaulle juge inadmissible l'étroitesse des rapports entre états-majors, mais conserver son efficacité. Ce qui freine quelque peu la mise au point de l'armement nucléaire israélien est plutôt, directement et indirectement, son coût. Parce que les fonds secrets à la dispo­sition du Premier ministre représentent des sommes importantes, mais pas illimitées, et parce que les cadres supérieurs de l'armée, à l'exception notable du général Ezer Weizman, commandant de l'armée de l'air, ont tendance à trouver utopique l'idée d'une arme atomique, et à juger prioritaire que l'on porte remède aux graves difficultés d'approvisionnement des troupes en vivres et en munitions. »
«Comment Israël, en dépit de toute cette activité, de tous les contacts entre diplomates et chercheurs israéliens et français, entre politiciens israéliens et membres de premier plan de la diaspora juive, en dépit de l'intérêt croissant des services de renseignements des puissances, singulièrement des États-Unis, au Proche-Orient, a-t-il pu garder le secret sur son projet nucléaire ? L'explication tient surtout en ce qu'il n'est pire aveugle que celui qui ne veut pas voir. Dès le mois d'avril 1959, a découvert Karpin, l'ambassadeur du Royaume-Uni à Tel-Aviv avait obtenu des extraits d'un discours de Pérès devant des hauts fonctionnaires, évoquant « le développement d'armements secrets ». Il avait transmis l'information à l'attaché naval américain. La CIA avait vainement essayé d'obtenir une confirmation, et l'affaire en était restée là. Au mois de juillet suivant, le département d'État et l'AEC (Commission de l'énergie atomi­que) avaient appris que la Norvège avait signé un contrat de fourniture d'eau lourde à Israël, alors que les États-Unis, d'abord sollicités, avaient refusé, mais l'information avait été classée sans suite. Le 13 février 1960, le premier essai nucléaire français, à Reggane au Sahara, est tout sauf secret : « Hourra pour la France ! » télégraphie de Gaulle. On imagine mal que la présence de deux scientifiques israéliens soit passée inaperçue des « grandes oreilles » de Washington.»

Maqri représentant de la Freedom House appelle à un soulèvement populaire !


































Maqri représentant de la Freedom House appelle à un soulèvement
 populaire !

L'allié et mercenaire de Qatar parait téméraire, courageux, digne leader de la secte des illusionnés adepte d'un salafisme "soft" ! En réalité il agit sous l'impulsion de ses commanditaires, Soros le cravache et exige de lui plus d'action ? N'oublions pas que Makri applaudissait la chute de Kadafi en Libye et prédisait la prochaine révolution en Algérie ! Va-t-il faire appel à l'OTAN et à BHL pour le soutenir ou compte-t-il mobiliser ses abrutis du parti islam-mimique ?! Pour les participants souhaitant s'informer de la nature de Freedom House et découvrir les dessous de cette Fondation aux tentacules de pieuvre, subversion dissimulée derrière le statu de ONG ! ----> http://tinyurl.com/mq4zdcf

BÉNÉDICTION D'ALLAH accordée à travers la présidence de Bouteflika.

ÇA FERA JASER ET RAILLER LES descendants DE ABOU DJAHL, MAIS L'ANALOGIE mérite d'être soulignée car des PLUS FRAPPANTES !
CE QUE les cervelles d'oiseaux refusent de reconnaitre est la BÉNÉDICTION D'ALLAH accordée dans la présidence de BOuteflika (RADHYA ALLAH âanhou oua ardhah ) ! Commérages de concierges sans cesse, c'est leur addiction !
Comme Sidna Moussa (AS) rescapé de la cour de Pharaon, Bouteflika a un parcours miraculeusement semblable, a grandit et murit dans la cour de Boukharrouba (émulateur de Pharaon), jusqu'à s'exiler pendant 20 ans (la traversée du désert), est REVENU EN 1999 pour sauver le pays du système satanique judéo-maçonnique ! Au prix d'un combat aux proportions titanesques, (inconcevable pour les têtes d'oiseaux), et impliquant des forces et moyens monumentaux; l'Algérie reprends graduellement sa place de
 "Tadj", couronne ! 

بوتفليقة ضحّى حتى بصحته لإحلال السلم في الجزائر والعالم

bouteflika_ossfor

-Soyons reconnaissants et plein de gratitude envers Allah ! l'Algérie a été sauvée miraculeusement de la destruction (financière, civile, religieuse, BALKANISATION) !
AU cas ou l'ingratitude actuelle se perpétue, sachez qu' ALLAH risquent de nous CLASSER et RANGER DANS LES RANGS DES ingrats éternels MAUDITS : BANI ISRAEL ! Et peut être nous imposer un AUTRE Tyran !

Cela s’est passé un 29 mai 1967, la base militaire de Reggane est évacuée par les troupes françaises.










 Cela s’est passé un 29 mai 1967, la base militaire de Reggane est évacuée par les troupes françaises.
carte































Après dix sept essais nucléaires dans le sud, les troupes françaises se retirent de Reggane et de Bechar.
Dès 1958, la France décide que le premier essai nucléaire aura lieu au début de l’année 1960. Le Sud algérien est choisi comme site de test.
Un champ de tir est créé à Reggane dès juillet 1957, au centre du Sahara et à 600 kilomètres au sud de Bechar. Les tirs sont effectués à partir d’une tour située à Hamoudia, à une cinquantaine de kilomètres au sud-ouest de Reggane.
Le 13 février 1960 marque le premier essai nommé « Gerboise bleue ».
Le rapport annuel du Commissariat à l’énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA) de 1960 établit l’existence d’une zone contaminée de 150 km de long environ. Plus de cinquante ans après, une carte classée secret défense des retombées réelle est divulguée et montre l’immensité des zones touchées, allant jusqu’en zone subsaharienne. Des taux de radioactivité différents suivant le déplacement des particules de poussière contenant de l’iode 131 , du césium 137.
Le deuxième essai, « Gerboise verte », interviendra à la fin d’avril 1961, soit quelques  jours après le putsch d’Alger. Le gouvernement français ordonne la détonation le 25 avril 1961, pour éviter que l’engin nucléaire qui se trouve dans un entrepôt du port d’Alger ne tombe entre les mains des généraux.
Trouvant ces essais trop polluants et anticipant la signature du Traité d’interdiction partielle des essais nucléaires (signé le 5 août 1963 à Moscou), la France opte pour les tests souterrains.
Pour se faire, le choix du site tombe sur In Ekker, au sud de Reggane et à 150 km au nord de Tamanrasset. Les tirs sont effectués en galeries. Ces dernières sont creusées horizontalement dans un massif granitique du Hoggar, le Tan Afella. La bombe est placée au centre d’un colimaçon creusé en fin de galerie. Des sacs de sables comblent le bas et le haut de ce colimaçon, afin d’exercer  une compression lors de l’explosion et d’assurer son étanchéité. Les galeries sont fermées par une dalle de béton et doivent permettre en théorie un bon cantonnement de la radioactivité.
Pour surveiller ces essais, les Américains installent des stations sismiques en Libye.
Le 7 novembre 1961, les militaires français effectuent le premier essai nucléaire souterrain. Mais le deuxième essai, 1er mai 1962, se passe mal. Une rupture de confinement entraîne un rejet de radioactivité dans l’environnement. C’est ce qui est connu sous le nom de l’accident de Béryl.
Au total, treize tirs en galerie sont réalisés entre novembre 1961 à février 1966. Au moins autre d’entre eux n’ont pas été totalement confinés : Béryl, Améthyste, Rubis et Jade.
L’évacuation de la base, conformément aux dispositions des accords d’Evian qui concédaient celle-ci à la France pour une période de 5 ans, expirant le 1er juillet 1967, est intervenue quelque peu avant terme. Effectivement, l’article 4 de la déclaration de principes relative aux questions militaires précise que « la France utilisera pour une durée de 5 ans les sites comprenant les installations d’In Ekker, Reggane et de l’ensemble de Colomb-Béchar-Hamaguir, dont le périmètre est délimité dans le plan annexé, ainsi que les stations techniques de localisation correspondantes… »
Le 29 mai 1967, les derniers techniciens et militaires français quittent la base de Reggane et Bechar. Les raisons de ce départ anticipé restent quelque peu mystérieuses. Il y a quelques années, lors du cinquantième anniversaire des Accords d’Evian, le pore parole de la délégation du GPRA, Redha Malek, a déclaré : « à partir du moment où la France avait tenté de faire exploser une bombe nucléaire après l’indépendance, nous avions protesté et le Nigeria, un grand pays africain, avait rompu ses relations avec la France » et d’ajouter que c’est cette affaire qui aurait précipité le départ des Français de Reggane avant même l’expiration de la durée de leur présence comme c’est stipulé dans les Accords d’Evian.
Officiellement, on dénombre 30.000 victimes à ce jour, mais ce chiffre n’est pas définitif car les effets des essais se font encore ressentir dans les régions qui les ont abrités. Beaucoup de cancers et d’autres maladies graves ont été signalés.
Z.M.