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26 oct. 2013

Algérie-Proposition : Les Avocats Des Printemps Arabes Devraient Être Mobilisés Aux Postes De Frontière Avancés (GGF).

La vague de "révolutions" et de changements de régime anarchiques a valu aux pays concernés l'instauration du chaos et la main mise sur le pouvoir par des groupes composés entre autres de mercenaires de l'OTAN et d'agents au service des CIA/MOSSAD. Cette réalité est amplement documentée, il n'y a pas lieu de la rabâcher même pour ceux qui s'alimentent des chroniques de l'information diffusées à travers les canaux des média dominants. Les réseaux de communication internationaux monopolisés par la Kosher-Nostra possèdent des antennes ici même, en Algérie, réémettant les versions officielles fabriquées dans les rédactions juives mondiales.
Au moment du déclenchement des "printemps arabes", les
deux interfaces de la dialectique hégélienne thèse-anti thèse (islam-mimique/démoncratique) actionnées par les tenants du Nouvel Ordre Mondial Juif, réagirent de manière inattendue, puisqu'ils optèrent pour une position identique : leur soutien aux révolutions (*). Pour des prétextes différents, des partis politiques et des médias d'influence, se retrouvèrent associés dans la même tache : induire l'opinion en erreur en lui brossant un tableau inexacte des enjeux et des conséquences de l'offensive de l'OTAN et de ses alliés naturels (Israël et la Talmuderie internationale) contre les pays aujourd'hui ravagés par l'instabilité, l'insécurité, la faillite économique/sociale/financière, en un mot anéantis par le chaos. Un déferlement incroyable de critiques souvent acerbes furent émises sur la passivité de l'Algérie face au combat pour la démocratie mené par le peuple libyen (sic). Des voix malintentionnées s'étaient élevées pour accuser l'Algérie, son gouvernement et son président, d'apathie. La règle de neutralité et le principe de non-ingérence dans les affaires internes d'autres pays, dans ce cas voisins, réfutait les tentatives locales et internationales visant à entrainer l'Algérie dans les conflits qui se succédèrent, Tunisie, Libye, Mali, etc...
Exemple :
(SlateAfrique) «Le politologue Hasni Abidi, spécialiste (sic) de la Libye et auteur du «Manifeste des arabes», explique pourquoi le départ de Kadhafi va contraindre le régime algérien à la démocratie.» (Voir également LeMatindz, SlateAfrique)

Revues aujourd'hui les décisions et déclarations du gouvernement sont mieux perçues et grandement appréciées, et la sagesse qui a gouverné lors de la polémique initiée par les média de la perfidie, devient manifeste et indéniable. L'énorme service rendu à l'Algérie et à son peuple, à son présent et à son futur, devrait être commémoré comme "fête nationale" (ainsi d'ailleurs que tous les grands accomplissements majeurs enregistrés depuis 1999 ! Voir article au Lien, pour plus amples détails).
Trois ans plus tard le langage tenu par les mêmes média (de la subversion) s'est magiquement et naturellement métamorphosé, s'adaptant à une nouvelle donne géopolitique. Feignant l'innocence et prétextant l'inquiétude, El-Watan, (un cas d'école parmi de nombreux autres) publiait (le 23 oct 2013) :
- Et déclarait :
«Même si la situation demeure tendue au Nord-Mali, où la Minusma doit avoir le renfort prochainement d’un contingent néerlandais, la plus grande inquiétude pour l’Algérie vient du côté libyen. La détérioration continue de la situation en Libye aurait contraint les forces régulières de ce pays à se replier sur les grandes villes, cédant la protection des frontières aux milices.»
- En un mot l'anarchie totale ! 
Un concentré de communiqués (au lien)

-«Dans un communiqué rendu public, le Front des forces socialistes voit dans la chute du régime du guide libyen «une bonne nouvelle pour les militants de la liberté et de la démocratie dans le monde». «Le FFS qui a fait du Maghreb démocratique un élément stratégique de son engagement politique, a pris une position conjointe avec d’autres partis magrébins, afin de soutenir le mouvement du peuple libyen sur la voie de son émancipation du joug autoritaire»
Le Mouvement de la société pour la paix a salué la fin du régime de Kadhafi. Mohamed Djemaa, chargé de communication du parti a félicité le peuple libyen «pour avoir retrouvé sa liberté et tourné la page du passé». Selon lui, ce n’est que justice rendue pour un peuple qui «42 ans durant, a vu ses libertés individuelles et collectives confisqués et ses richesses spoliées». Cela dit, M. Djemaa a estimé que le chemin reste encore long et surtout difficile pour bâtir un État à la hauteur des sacrifices du peuple libyen.»
-D'un candidat à la présidence 2014 (débile et dangereux) : «Le Font national algérien a qualifié de «réussite» la chute du régime de Kadhafi. Son président, Moussa Touati, ne semble point inquiet quant à l’avenir des relations entre Alger et Tripoli. Pour la bonne raison que la philosophie de la diplomatie algérienne est basée sur un credo : le soutien des États et non des régimes.»
-D'El-Islakh : «Le Mouvement El Islah est plus que jamais optimiste quant au rétablissement de bonnes relations entre Alger et Tripoli. Son secrétaire général, Hamlaoui Akouchi a affirmé que le départ du régime est «la concrétisation de la volonté du peuple libyen».
Du côté des personnalités nationales, Abdelhamid Mehri, l’ancien secrétaire général du FLN n’a pas manqué de souligner récemment que l’Union du Maghreb arabe passe impérativement par la chute de régime de Kadhafi. "Nous ne pouvons pas imaginer l’Union du Maghreb avec Kadhafi".»
- Un nostalgique : «L’ancien ambassadeur Abdelaziz Rahabi a noté que ces erreurs sont dues, entre autres, à l’absence de fonctionnement institutionnel de la diplomatie algérienne et du pays de manière générale. Ce qui pose un problème primaire de la gestion des affaires du pays : non seulement les positions officielles privilégient les intérêts du régime sur ceux du pays, mais de plus, l’Algérie ne dispose pas des structures en mesure de s’adapter à une situation mouvante, comme le fut la crise libyenne. Les institutions algériennes ne fonctionnent même plus en temps normal. Comment peuvent-elles fonctionner correctement en temps de crise ?»
-Fawi Ali Rebaine Ahd 54 : «Par ailleurs, l’ancien candidat à la présidentielle de 2009 pense que la diplomatie algérienne, dans sa gestion de la crise libyenne, a renié la tradition algérienne qui consistait à soutenir les peuples en lutte pour leur liberté. «C’est tragique de voir l’Algérie soutenir un dictateur qui tire sur son peuple» 
Puis quelques lignes plus tard, contradiction :

«Et si le pouvoir persiste dans cette logique d’autosatisfaction, le chaos risque d’être inévitable. Les exemples tunisien et égyptien sont là et la crise libyenne est à nos portes. Il faut prendre la mesure et la gravité de la situation.»
                           _________________
Quand aux commentaires des média, il n'y a pas lieu de s'étendre sur le sujet, rappelant seulement que la majorité fonctionnait en "chambres de résonance" des média extérieurs (AFP, REUTERS, Le MONDE, ...), applaudissant la révolution suicidaire déclenchée par l'OTAN/CIA/Mossad et leurs mercenaires. 
Avec son enthousiasme habituel pour la promotion du nihilisme, Kamel Daoud chargea ses chroniques et discours anti-islam, anti-arabe, pro-sioniste, avec le même message d'exhortation aux troubles. Tout en affichant son mépris coutumier et se délectant du spectacle affligeant que la crise offrait au monde entier, il s'empara de l'occasion pour fustiger l'attitude réservée de l'Algérie. Remplissant convenablement sa mission de provocateur et son rôle d'incendiaire au sein des rédactions de SlateAfrique, Algérie-Focus et QuotidienD'Oran. 
N'est pas fortuite l'éloge que lui accorde SlateAfrique, le site juif, administré par les juifs pour la consommation des naïfs Goyim. Ou celle d'ARTE que je rapporte dans la photo suivante :



Conclusion :
Ce retour sur des tristes événements, dont les conséquences désastreuses ne sont pas toutes recensées, ni l'impact à long terme évalué, a pour but de suggérer aux responsables en charges de sécurité à nos frontières d'étudier la décision de mobiliser toutes les personnes qui ouvertement ou du bout des lèvres, exprimèrent leur soutien aux "révolutions démocratiques ".
-Dans quel but ?
-Pour leur faire goûter la potion qu'ils recommandaient aux autres.
Assis confortablement dans leur fauteuil, ils n'avaient pas ménagé les encouragements aux rats de Benghazi d'alors. Les uns voyant en eux la naissance du califat wahhabite, les autres une victoire du peuple sur la dictature.
La situation en Égypte a encore une fois donné l'occasion à des célébrations publiques malgré la déconvenue libyenne.
En réponse à leur persistance dans l'erreur et à titre de rétribution pour leur insouciance du préjudice porté au pays par leur propagation de la désinformation, l'autorité responsable devrait décréter leur entière responsabilité pour les opinions et les écrits relatifs à toute crise majeure passée ou à venir.
Cette tentative de manipulation de l'opinion était malicieusement accompagnée d'incitation à la débauche (du peuple) et à la révolte aveugle. L'oxymore révolution / printemps / destruction était soigneusement enveloppée dans les utopies "liberté", "changement", "victoire du peuple", "démocratie", "renaissance de l'Islam", "instauration du califat", etc...
Les grands défis à relever dans un futur immédiat sont :
-premièrement, celui de reconnaitre les personnalités /charlatans de la politique et de l'information qui ont vanté la "descente en enfer" des pays cités;
-deuxièmement, de s'assurer que ceux parmi ces délinquants, opportunistes et ignorants qui ont démontré leur irresponsabilité lors des événements graves (qui se déroulent toujours sous nos yeux), n'aient jamais le pouvoir de décider de notre avenir ou de gérer nos affaires, tant leur nuisance connue ou prévisible est devenue manifeste. 
N'oublions pas de déclarer nos louanges à Allah pour la bénédiction dont Il nous entoure et écartant cette nébuleuse néfaste qui aspire aujourd'hui à la gouvernance et au pouvoir de décision (présidentielles) !
Notons leurs noms et soyons sur nos gardes chaque fois qu'ils tenterons de nous leurrer par leurs discours démagogiques et leurs critiques calomnieuses du "système"
Bouteflika !
Autre suggestion à nos responsables de la défense nationale :
Touati et Rebaine à la frontière malienne.

Soufiane Djilali à la frontière libyenne.

Attachez ces brebis galeuses ou "chèvres de MrSeguin" aux endroits frontaliers potentiellement dangereux (activité et incursions terroristes) en espérant qu'ils attirent les terroristes coupeurs de têtes et permettre l'éradication des hordes de mercenaires qui rodent près de nos frontières. C'est le seul service que ces pourfendeurs et ennemis furtifs du pays pourraient rendre à la patrie.
_______________________________
(*) Note :
Comme "l'homme a tendance à vite oublier", il est intéressant de jeter un regard rétrospectif sur ces crises arabes et juger de l'entrain de nos média et des personnalités politiques locales et internationales à nous trainer dans le merdier déposé par l'OTAN, BH Levi et ses coreligionnaires, et les agents locaux (El Watan, etc...).
Le grand service rendu au chercheur par l'internet est la facilité de tracer les documents de la période et constater le peu de fiabilité et les intentions diaboliques des média et du monde politique qui militaient en faveur d'une ingérence de l'Algérie dans les crises des pays voisins. Ceci après qu'ils aient échoué à entrainer l'opinion dans la même aventure "printanière" !
Quel aperçu de "l'histoire vivante" nous avons entre nos mains avant que ne soit diffusée celle "morte" dite aussi "officielle", livrée par la Kosher Nostra !
Les moteurs de recherche sont infaillibles pour ce genre de travail, et des résultats impressionnants sont au bout d'un clic de souris.
-Cherche (le traitre), tu trouves !

                                À Suivre.......



22 oct. 2013

Algérie : Les Apprentis Présidents Poussent Comme Des Champignons (suite 3)

Proposant quelques analyses personnelles sur les candidats aux élections présidentielles de 2014 je tente d'avertir le lecteur occasionnel de ce blog sur les enjeux que représente l'agitation médiatique qui est dédiée uniquement à leurrer l'opinion et à l'induire en erreur.
-Tout d'abord "qui leurre qui" ? Une question à la mode que je tente d'élucider depuis 5 ans et qui est clairement citée dans la description de ce blog. Objectif : exposer le pouvoir de l'ombre d'essence et d'allégeance juive qui contrôle les médias. Il actionne à volonté les moyens de communication pour manipuler l'opinion et l'orienter vers des choix qui lui sont préjudiciables. C'est là un résumé schématique, mais suffisamment éloquent et qui nous arme pour confronter l'agression de la juiverie internationale qui s'est attelée à son agenda principale : nous détruire. Moralement, spirituellement, et physiquement, les prédateurs "enfants de Satan" tentent de nous anéantir. Toute campagne massive des média a un objectif non déclaré qu'il est important de tenter de décoder. L'attitude à prendre dès le début de ces vagues de news, d'interviews, de reportages, d'articles écrits, sur un sujet donné, est de marquer une pause et d'éviter tout jugement hâtif. Évitez bien sûr d'accepter le message que tente de faire passer les média, spécialement d'abord ceux connus mais également ceux furtifs, qui sont au service du monopole juif. cette méthode de prospection est empirique au départ puis progressivement un modèle se dessine qui permet instinctivement de se prémunir de la manipulation qui est opérée.
Ce modèle est utile dans le cas de la situation qui règne en Algérie depuis la "fameuse maladie de Bouteflika" qui a déclenché un tsunami médiatique au contenu et à la forme douteux. Tentant de prendre de vitesse l'opinion et la dérouter, avant l'échéance prévue d'Avril 2014 des élections présidentielles, la tempête médiatique déclenchée présentait des "candidats aux élections" parachutés sur la scène à l'improviste, sans préavis, eux mêmes ignorants les facteurs inédits de cette situation. Pressés de s'embarquer dans le train, il fallait signaler sa présence au conducteur (la presse) en agitant des articles de la constitution, des cris d'alarme sur la situation du pays, les risques de troubles sociaux, enfin n'importe quoi pour attirer l'attention. Situation burlesque rassemblant des clowns échappés d'un cirque ambulant !
Pour briguer le poste de chef d'état dans la conjoncture actuelle (régionale et internationale) marquée par des dangers multiples (militaires, politiques, économiques, financières) que seul l'aveugle ne perçoit pas mais dont il a certainement entendu parler, ils auraient dû par respect et décence contenir leur enthousiasme et tempérer leurs ambitions. La "tempête" médiatique provoquée pour l'occasion était dès le premier abord suspecte et révélatrice d'une tentative de détournement de l'opinion du rôle prépondérant du président Bouteflika dans la stabilité du pays. Campagne malveillante instiguée et véhiculée par les média de la subversion, média dont je dénonce le travail de sape psychologique, la propagande mensongère et le danger qu'ils font peser sur notre avenir (se reporter à n'importe quel article antérieur de ce blog pour en avoir une esquisse).
A.Benflis comme signalé précédemment (Lien) avait bondi dans le wagon des élections dès le 08 Juin comme le précisait un sondage publié sur son site dont le serveur (http://www.alibenflis2014.com/fr/) est depuis hier, étrangement et subitement,   mort (?!?)
Les élections et les candidats :
Il y a lieu de distinguer trois catégories de candidats aux élections devant désigner le président de la république.
- 1- les apprentis, élève de l'école maternelle (de l'éducation primaire politique) qui veulent sauter des classes en convoitant un poste de professorat à la haute académie des sciences de la gouvernance. Parmi eux les opportunistes et les judas qui s'infiltrent dans la cour des grands ou s'investissent dans les partis "fond-de-commerce".
-2- ceux qui n'apprendrons jamais ce qu'est la science et l'art de la politique, perdus dans leurs rêves (utopie), occupés à gérer les débats stériles, ou absorbés par la polémique interminable et la distribution de l'injure gratuite.
-3- les professionnels qui ont rejoint un maitre enseignant devant lequel ils montrent humilité et modestie, s'arment de patience, obéissent aux ordres, et s'attachent à accomplir les missions qu'on leur assigne. Ces étudiants scrupuleux et attentifs, de tout âge, mus par le patriotisme d'abord, font leur apparition et constitueront l'avant garde de la gouvernance du pays où devrait régner la paix, la sécurité et la prospérité.
Retour sur l'histoire des élections de 2004 :
Accusé par un visiteur du nom de Chahla Sahraoui d'être un mythomane, je me détacherais pour un moment de mon romantisme politique pour me tourner vers le passé authentique et revoir un passage de la campagne électorale de 2004, un film documentaire avec pour acteurs principaux A.Benflis et Anissa Esther Boukharouba, dans lequel A.Benflis utilise une mascotte/gri-gri (Mme Anissa Boukharouba est l'ex-première dame du régime dictatorial communiste enduré de 1962 à 1980.). Raviver les fantasmes populaires associés avec le règne de l'ancien tyran et en tirer des voix était l'objectif. 
Le documentaire n'est pas d'un style hollywoodien mais vaut bien quelques clics de souris  pour le visionner. 
Remarque :
Le "porte bonheur" trimballé à Biskra, Batna et à l'est du pays n'a apparemment pas produit le magnétisme souhaiter.
Pour épargner aux visiteurs la tache laborieuse de lire mes réflexions sur le film je propose en échange d'observer une BD que j'espère plus distrayante.





















      À suivre............

20 oct. 2013

Algérie : Les Apprentis Présidents Poussent Comme Des Champignons (suite 2)

Le retour du Président Bouteflika démontre que les mystères divins sont intarissables. La meute lancée à ses trousses et le poursuivant jusqu'à son lit d’hôpital est revenue bredouille de son impitoyable chasse à l'homme et commence à regretter leur ardeur à enterrer le vieux lion....vivant.
Le virtuose du dialogue et du rassemblement qui a géré des situations bien plus ardues dont celle extrêmement grave de la faillite générale qui régnait en 1999, regarde avec indulgence l'agitation qui s'est emparée de ce petit monde de l'opposition qui sous différents subterfuges a rejeté ses appels à la concertation et à la coopération et s'est lancé dans la vindicte aveugle.
- Quels sont les motifs de leur refus à coopérer et leur repli dans la dissension ?
- Énumérés tout au long de ce blog, les raisons sont multiples et filtrent à travers l'étalage de prétextes, faux fuyants, mensonges, démarches opportunistes, intérêts occultes, plans subversifs, rancunes ancestrales, tares hérités des clans déchus du pouvoir, etc...
L'indisponibilité du président a aiguisé la cupidité des envieux et des assoiffés de domination. Tous se sont précipités pour l'enterrer vivant au mépris de toute les règles d'éthique et de retenue morale. Ils ont dévoilé leur haine et leur aigreur et démontré l'hypocrisie de leur patriotisme de façade motivé uniquement par la rancune maladive et l'esprit de vendetta. La défense des intérêts nationaux et l'instauration des utopiques liberté, démocratie, égalité, justice sont des médiocres slogans publicitaires servant leur fonds de commerce réel : la soif du pouvoir et de ses privilèges.
Bouteflika revenu, la panique s'est emparée d'eux; la peur les habite et les désoriente au point de ne plus contrôler leurs émotions qu'ils tentent de dissimuler derrière des déclarations tapageuses. Le plus déplorable dans cette mascarade, est leurs efforts à se mettre en évidence non pas en adressant les questions importantes et en proposant des réponses, mais en proférant des critiques dont la prétention est de tenir haut la calomnie et la diffamation. L'indignité règne. Le peuple devra en tenir compte et se prémunir de ces ambitieux aigris et débordant de rancoeur.
Les exemples de politicien qui se trémoussent pour attirer l'attention en sacrifiant leur dignité et piétinant les règles de déontologie sont repérables sur pratiquement tous les média en guerre contre le président depuis 1999.
- Soufiane Djillali (Lien) revu par "jiljadidbejaia.unblog.fr" : «Sofiane Djilali, 53 ans, a claqué la porte  du PRA en 1999, lorsque Nordine Boukrouh a décidé unilatéralement de participer au premier gouvernement mis en place par Bouteflika (refus du dialogue parce que contraire à son "agenda" ). En 2004, il s’est lancé dans une aventure avec Ali Benflis (Aventure ? La question n'est pas fortuite.) 
L’échec est cuisant et va coûter sa vie politique à l’ex-patron du FLN (dis moi qui tu fréquentes...). Sans détours, Sofiane Djilali assume son choix tout en dénonçant le déficit démocratique dont souffre le pays. Mais il ne baisse pas les bras. 2011, il lance Jil Jadid, qui célèbre en ce mois de mars son deuxième anniversaire.»
Soufiane "lance" beaucoup de choses, mais ce dont il a la spécialité est la diatribe stérile irrecevable même chez le commun des mortels car axée sur le commérage, le badinage, et les supputations telles de prêter des intentions à autrui:
- «Jil Jadid accuse le «système bouteflikien» de vouloir se perpétuer».
- «Réquisitoire qui le mènera à faire le procès du chef de l’Etat qu’il accuse de "mener la nation vers un abîme"»
- «Maintenant, en ce qui concerne Jil Jadid, nous partons de l’idée que ce pouvoir et, surtout le régime de Bouteflika, a complètement annihilé toute forme de pensée politique. Nous étions dans le parti unique, avec Monsieur Bouteflika, on est passé  à la pensée zéro. Donc, aujourd’hui, il  s’agit de reconstruire, de retisser de nouveau un lien social. Il faut que les Algériens apprennent à vivre ensemble, à travailler ensemble, à avoir des objectifs ensemble.
Il faut recréer un courant de pensée nouveau avec des instruments politiques et doctrinaires complètement nouveaux et endogènes à la société algérienne. Il ne s’agit pas d’importer des concepts, des idées ou des doctrines et vouloir les plaquer sur la société algérienne. Mais, tout au contraire, il faut profiter d’une vague qui monte, d’une nouvelle génération qui a été plus ou moins instruite, qui est ouverte à ce qui se passe dans le monde, qui a une nouvelle approche du fait social ; c’est ce courant -là qu’il faudra alors traduire en une pensée politique.

Dans quelques années, dans cinq ou dix ans, en Algérie, on ne parlera plus de réformisme musulman, de néolibéralisme, d’islamisme et de socialisme, mais on parlera de quelque chose de tout à fait nouveau (On y arrive enfin. Le NOM ?) qui correspondra à la conception et la perception de cette nouvelle génération qui sera à ce moment-là, malgré les blocages du régime, au pouvoir.»
Remarque: Un argument majeur qui confirme la faiblesse de tels individus à même prétendre diriger leur propres affaires avant d'envisager de conduire celles du pays, est la nature des liens qu'ils tissent avec des associés douteux. Dans le cas de Soufiane Djilali, des membres fondateurs du "club JilJadid", dont Zoheir Rouis (photo) :

-A.Benbitour : qui n'est plus à présenter et que même les tentatives de lifting publicitaire ne pourront plus réhabiliter vu son statut de Cheval de Troie des banksters talmudes, comme je l'ai souligné à plusieurs occasions (Lien, Lien, Lien, Lien). En plus du fait qu'il se soit gouré dans ses calculs il devra tout réviser pour démontrer sa fameuse formule "hydrocarbures = malédictions", projet qui l'occupera certainement pour encore 20 ans .

- A.Benflis : Aux dernières nouvelles, il se revitalisait par la pratique du yoga (ce qu'il a annoncé sur la chaine III) en prévision des échéances d'Avril 2014. Il écrit des livres et a chargé DE. Benfreha, le webmaster de son site internet (Lien) de la publicité pour sa campagne électorale. Là aussi il est impératif de signaler le bruit de fond assourdissant des média, les sites internet et la presse de la subversion en tête (Algérie-focus 1 2, TSA, Algérie-Express, algerie360, algérie1, algérienews.info, forumdesdemocrates, intelligence-info, etc, etc... 
Le pouvoir de l'ombre a donc désigné son candidat !

Remarque :
Voilà un vrai homme du serail, juge à 24 ans (tribunal Blida-1969), a négocié adroitement sa promotion tout au long de l'abomination de la dictature (Boukharouba) au sein du ministère de la justice (procureur), ministre dans différents gouvernements, durant une période où les plus graves violences furent commises contre le peuple algérien.
Judas assis à la table de Bouteflika, il tente de saborder le programme contracté entre le président et le peuple (1999). Responsable de la débâcle "Al-Khalifa" suite à sa campagne de libéralisation-privatisation qui fut le motif de sa destitution. Candidat à la présidence en 2004, écoutez le déclarer :
 «Nous allons libérer le pays de ces despotes, nous allons libérer la justice, la télévision et allons restituer au citoyen sa dignité(Lien). 
Puis dans dans un interview fictif :
- Libérer la justice ? 
- «1969-2004, soit 35 ans d'ancienneté au sein du "consortium" et à tous les échelons de sa hiérarchie, est un long parcours pour arriver enfin à faire ma confession en reconnaissant que la justice était "prisonnière", et ceci sous ma propre autorité ! »
- Prisonnière de quoi ? De qui ? Donnez-nous des explications, pas des slogans électoraux, Mr Benflis !
- « C'est un secret d'état ! Mais je peux seulement vous dire que ça relève de la fraude du socialisme spécifique...»
Et le suspense théâtral que vous entretenez sur votre éventuelle candidature ? 
- «Un autre épisode de mes chicaneries mensongères, puisque dès Juin 2013, j'ai entamé les préparations de ma campagne en prévision du "décès certain" de Bouteflika ! (lien -mon site, ou Sondage de JeuneAfrique loué par mes services).»

Notez la date : 08 Juin 2013 !
Inutile de s'étaler sur les tripotages enregistrés au cours du parcours de notre revenant de Batna, deux phrases suffisent pour réfuter ses  :
"Chassez le naturel il revient au galop" et " L'arbre arrivé à maturité, son tronc mal-formé ne peut plus être redressé " !
Personnage énigmatique et évasif, Benflis tire de sa manche son jocker, le militantisme politique, la bravoure, et le sacrifice suprême des nobles Chouhadas membres de sa famille (dont son père, Allah yarahmouh). Un capital moral à préserver et à respecter en adhérant aux idéaux et principes défendus par les martyrs de la lutte contre le colonialisme.
Benflis voulant s'en servir, a-t-il le droit d'en récolter les dividendes moraux après en avoir tirer pendant 40 ans les bénéfices matériels ?
Son argumentation est-elle recevable ? Le rappel au "souvenir" des martyrs a été une astuce de manipulation des masses que Boukharouba et le FLN ont à grande échelle abusivement exploitée. Benflis qui y a été associé pendant 50 ans, n'a jamais soulevé d'objection à ce commerce mémoriel !  Pour citer quelqu'un de bien placé, à savoir le président martyr M. Boudiaf (Yarhamouh Allah), son appréciation de la fraude du parti unique dirigé par le dictateur : «le FLN est mort en 1962, ce qu'il en reste n'est qu'un alibi
- Alibi ?
- Une définition qui élucide le jugement de Boudiaf : «Excuse, justification, d'une conduite jugée répréhensible ou inhabituelle.»
Slate.Afrique faisant écho à un article d'Algérie-Focus,  site d'intox sioniste-juive mijotée par le...MOSSAD (Lien, Lien).

Une histoire identique circule dans les média à propos du soutien à Benflis de l'ex-président-général Zéroual.
- Erreur de sa vie qui risque d’endommager sa réputation  ! 
- Car le pouvoir de l'ombre a besoin d'un bouc émissaire au cas où la situation tournait à la catastrophe nationale ! Le traitement réservé par le pouvoir occulte au défunt président Chadli Bendjedid (Allah Yarhamouh) devrait servir d'avertissement à Zéroual qui est loin d'appréhender les risques de son association avec ces démons de l'intrigue ! 
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