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31 déc. 2013

Algérie : Économistes Et Conseilleurs, Les Agents De Rothschild Sont Parmi Nous ! (Partie 6)

La situation du marché des hydrocarbures n'est pas celle que nous décrit Abderahmane Mebtoul. Et ses prévisions sont encore plus déroutantes !
Rappel important :
Nous sommes aujourd'hui conscients que le "peak oil" est une fraude et que les hydrocarbures ne sont pas des fossiles issus de la décomposition de dinosaures, de l'activité de bactéries ou de réactions chimiques causées par la présence d'hydrogène et autres composants.
Les hydrocarbures sont abiotiques  (Lien-Eng !!) (Lien, Lien, Lien, ) et se renouvellent grâce à un mécanisme naturel chimique physique et thermodynamique et sont  canalisés vers la surface en provenance de la profondeur de la Terre. Ils ne sont pas biologiques.
Les explications :
(Lien / Traduction)«La théorie russo-ukrainienne moderne du pétrole est basée sur un raisonnement scientifique rigoureux, conforme aux lois de la physique et de la chimie, ainsi que sur une vaste observation géologique, et repose entièrement sur le courant de la physique moderne et de la chimie, d'où elle tire son origine . Une grande partie de la théorie russe moderne de la profonde genèse du pétrole, abiotique développée à partir des sciences de la chimie et de la thermodynamique, en conséquence la théorie moderne, a constamment tenu comme principe central que la génération d'hydrocarbures doit être conforme aux lois générales de la thermodynamique chimique, comme doivent également s'y conformer toute autre matière. Dans ce rapport, la science moderne russo-ukrainienne du pétrole contraste fortement à ce qui est trop souvent présenté comme des «théories» dans le domaine de la géologie en Grande-Bretagne et aux Etats-Unis.»
Cette version scientifique testée et vérifiée par de nombreux académiciens des sciences, élucide l'origine réelle des hydrocarbures et nuit aux théories biologiques-fossiles et de leur corollaire la fraude du "peak oil".
L'article (Lien-anglais traduction via Google-Translate fiable et pertinente) énonce dans le détail le déroulement historique de la recherche de l'origine du pétrole.
Un exemple illustrant la controverse (il y a en toute une liste):
«Académicien Mikhailo V. Lomonosov (wiki) , « Slovo o reshdenii metallov ot tryaseniya zemli , " Actes de l'Académie impériale des sciences de Saint-Pétersbourg (1757)." La prépondérance écrasante de preuves géologiques oblige à conclure que le pétrole brut et le gaz naturel n'ont aucun lien intrinsèque avec la matière biologique provenant de la surface de la Terre. Ce sont des matériaux primordiaux qui ont jailli des grandes profondeurs " .»
Plus loin :
«Tout au long de l'histoire de l'industrie pétrolière, on a écrit de nombreux articles ou rapports prédisant une disparition imminente de cette industrie toute fondée sur des hypothèses que l'offre de pétrole brut produite dans le monde était ( soi-disant) en train de s'épuiser rapidement et serait (donc) bientôt  épuisée ( Campbell , 1991; Fuller , 1993; Campbell, 1994 ; Campbell, 1995 ) . En bref , ( si on admet cette théorie ) le monde serait " à court de pétrole ". Heureusement, toutes ces prédictions ont, sans exception, été prouvées fausses .Au contraire, les statistiques de l'industrie pétrolière internationale établissent que, loin de diminuer, les gisements connus des réserves récupérables nettes de pétrole ont enregistré une croissance constante au cours des cinquante dernières années. Ces statistiques montrent que, chaque année depuis environ 1946, l'industrie pétrolière internationale a découvert au moins cinq nouvelles tonnes de pétrole récupérable pour les trois tonnes qui ont été consommées. Comme l'a décrit le professeur P. Odell, la situation exacte est qu'au lieu de "manquer de pétrole" (Peak-Oil), la race humaine semble en réalité être en train de se "cogner la tête" dans l'abondance de pétrole " ( Odell 1984; Odell 1991; Odell 1994).»
Ou encore
«L'idée que le pétrole peut résulter d'une transformation de poissons décomposés ou de détritus biologiques (végétation) est certainement la notion la plus stupide à avoir été admise par un nombre important de personnes pendant si longtemps           - Fred Hoyle, 1982.
Causes de la prédominance des vues promotant le "peak-oil" :
-1- une propagande massive déclenchée pour des motifs commerciaux qu'il est aisé de comprendre considérant les intérêts du cartel des multi-nationales qui contrôlent le marché des hydrocarbures. Ils dominent la prospection et l'exploitation du brut, le raffinage et la transformation, la distribution des carburants et des dérivés destinés à l'industrie chimique (dont la fabrication du médicament). 
L'Algérie bénéficie marginalement de cette stratégie mais en tant que pays producteur ne récolte qu'une margine infime des bénéfices comptabilisés, les ⅔ échouant aux services financiers gouvernementaux de collecte des droits de douane et de prélèvement des taxes multiples. Cette arnaque administrative mettant en marche la machine titanesque de la finance publique des pays consommateurs, est un subterfuge  désigné pour récupérer les recettes fiscales dans un premier temps seulement, car ces recettes sont ultérieurement versées aux banques centrales (contrôlés par Rothschild) comme intérêts et échéances générées par les crédits contractés par les états/gouvernements au près des banques centrales privées (argent virtuel des comptes bancaires ou planche à billets). En définitif les banques juives récupèrent presque la totalité des bénéfices de l'industrie des hydrocarbures. En notant que ces banques via leurs partenaires ou sociétés écrans, les fameuses "sisters" (British Petrolium, Total, Shell, etc..) sont déjà impliquées en aval et en amont dans la prospection, production, et commercialisation et tirent des revenus à chaque étape des processus de l'industrie. 
La SONATRACH joue dans ce monde hautement complexe et risqué le rôle d'équilibriste qui parvient à assurer sa survie (les recettes) grâce à une gestion astucieuse de ses capacités propres de qualité et à son principal atout et avantage naturel, la proximité des marchés européens. Les carences dues à la mauvaise gestion et à la cupidité de hauts responsables ont freiné gravement développement, mais peut être que dans tout malheur le destin a détourné de nous une plus grande épreuve à l'image de celle accablant l'Irak. D'autres part, les lourdes dépenses et investissements dédiés à la liquéfaction du gaz lui ont permis d'accéder aux marchés distants d'Amérique et d'Asie. Quoique la technologie développée en Algérie, pionnier dans ce domaine de la recherche, s'est soldée par une arnaque colossale qui a profité aux partenaires américains et japonnais ayant trouvé des complicités (Boukharouba, Abdessalem, Ghozali) pour leur livrer les laboratoires d'Arzew et Skikda sans contrepartie ni charges de participation. La technologie maitrisée, les sociétés japonaises emportèrent le nouveau savoir, acquis gratuitement, avec elles pour s'installer au pays du Shah, l'Iran, et y installer les usines de liquéfaction, concurrentes de celles de Sonatrach !
L'industrie des hydrocarbures, activité complexe, tel exposé dans un article précédent, réfute le concept totalement erroné de "la rente", terme péjoratif destiné à calomnier la richesse des hydrocarbures et par association la politique économique du pays. L'analyse pernicieuse et malveillante de l'industrie est l’œuvre d'agents du libéralisme prédateur juif chagriné par l'indépendance de l'Algérie dans sa prise de décision politique, économique et géostratégique, et dans la gestion de ses ressources financières. L'indépendance acquise grâce à la liquidation de la dette extérieure et l'aiguillage des ressources financières vers des dépenses publiques servant l'économie physique, non l'économie monétaire. Car cette dernière pré-requière l'ouverture sauvage du marché national par : la privatisation; l'incursion incontrôlée des banques et assurances kosher; la spéculation régie par les bourses/casinos; l'investissement opportuniste pour un maximum de bénéfices à court terme et aux prix de conséquences néfastes (pollution, équipement peu fiable, exploitation abusive et non réglementaire des ressources humaines); l'activité de sociétés commerciales subversives commanditées par l'oligarchie sioniste dans le but de distribuer des produits nocifs ou non homologués; etc....
-2- la réalité du marché étant connue uniquement des propagateurs de mythes mensongers, cette forme de délit d'initié en possession d'information sûre (l'abondance d'hydrocarbures) permet aux cercles occultes (ceux donc qui propagent la fraude du "Peak-Oil") de prendre des décisions adéquate opportunes et d'élaborer des stratégies fiables pour le futur immédiat ou éloigné. Leur plan se développe ensuite pour arrêter des prévisions, les plus plausibles et libres de risques majeurs. C'est également un facteur primordial et vital pour adapter idéalement ses décisions et objectifs prévisionnels en vue de maintenir son leadership en orientant (la propagande des médias) le cours des événements vers un dénouement avantageux et fructueux. Ceci pendant que la concurrence et parties adverses nagent dans la confusion des utopies et théories "officielles" fausses.
 La situation actuelle des hydrocarbures et ce que les inepties de Mebtoul dissimulent par mauvaise volonté, par médisance et par délation. 
Accordant au Doctor Mebtoul des qualités indéniables, une intelligence au dessus de la moyenne et une capacité exceptionnelle à mémoriser les chiffres. Ceci lui ôtera l'alibi d'avoir commis une erreur et de n'avoir pas eu connaissance des données disponibles pour ses recherches, données disponibles dans le pire des cas grâce à une connexion à internet  !
"Mebtoul-et-C° ", une machine à débiter des statistiques fantaisistes et à confectionner des analyses suspectes.
Le marché actuel des hydrocarbures, gaz et pétrole mais sans inclure ceux du schiste, est abordé par l'étude d'un large éventail de paramètres endogènes et d'autres interdépendants, tous complexes et corrélés à un grand nombre de variables quantifiables ou à des facteurs exogènes évènementaux (guerres, crises, climat, saison, etc...).
 Le paradigme des hydrocarbures est si complexe par
  •  ses interférences économiques, financières, politiques, historiques et sociales 
  •  l'étendue et le dispersement géographique des régions et nations qui les exploitent,
  •  le nombre et la composition des acteurs qui s'y activent,
  •  les enjeux multiples que leur exploitation engendrent,
qu'il est permis d'affirmer que la lisibilité entière de ce marché est théoriquement, pratiquement, et logiquement inaccessible par les moyens disponibles, aussi sophistiqués soient-ils. Il ne demeure du domaine du possible que l'évaluation de certains critères d'ensemble, de tendances générales, de stratégies globales et de changements anticipés vagues. Il est déjà suffisamment déconcertant pour tout chercheur la lecture des changements et des évènements historiques entourant ces sources d'énergies, souvent motifs d'intrigues et de manœuvres politiques, militaires, et financières.
Devant l’ambiguïté et les incertitudes entourant ce champ de l'activité humaine, il est objectif et légitime de se poser la question de savoir comment des "experts" peuvent-ils s'aventurer à prétendre élaborer des prévisions exactes sur le moyen terme, ou plus audacieuses sur le long terme ? 
C'est ce à quoi notre Doctor en management stratégique s'évertue à tenter de réaliser pour nous convaincre de l'opportunité d'abandonner les hydrocarbures en tant socle du développement économique parce qu'ils sont en voie d'épuisement, et que leur exploitation actuelle est une malédiction qu'il trace dans le concept erroné de "rente" !
Lisons ce que déclare Guennadi Chmal, président de l’Union des industriels du pétrole de Russie (Lien !!) :
« Tout le monde parle de l’épuisement du pétrole. Depuis 50 ans déjà. Je suis persuadé que les réserves traditionnelles en pétrole et en gaz seront suffisantes pour tenir jusqu’à la fin du siècle. Il y a aussi d’autres réserves, comme le gaz de schiste, qui est exploité par les Américains. Ses ressources sont considérablement plus importantes que celles du gaz traditionnel. Le fait que ces ressources ne soient pas encore toutes exploitées et qu’elles ne puissent pas être considérées comme des réserves, c’est autre chose. Elles seront suffisantes pour 60 ou même 100 ans encore.
Il existe des gisements tout à fait uniques, ce que l’on appelle des hydrates de gaz. C’est un gaz solide se trouvant au fond de l’océan. Selon les spécialistes, la quantité d'hydrates de gaz est 10 fois plus importante que celle de gaz de schiste et 20 fois plus que celle de gaz conventionnel. Autrement dit, je suppose que dans les 300 prochaines années, on ne risque pas une pénurie de gaz ». Cette remarque est autant valable pour l'Algérie qui d'ici là continue à découvrir de nouveaux gisements nationaux et d'autres en partenariat chez nos voisins !
La vraie menace, tangible et réelle, que l'expert Mebtoul occulte intentionnellement (tant elle est visible) est d'une autre nature : la concurrence israélienne qui se confirme  en Méditerranée avec ses visées sur les marché voisins et européens. 
 Ceci sera l'objet d'un prochain article, incha Allah ! 

                     À suivre.....