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21 avr. 2010

Les Autonomistes Amazigh: Le Fruit du Stratagème Juif du Démantélement de L'Afrique du Nord.


-Chapitre 2-
Existe-il des différences religieuses ?
Le "montage" et la promotion d'un syndrome séparatiste régional nécessite la présence de facteurs susceptibles d'être mis en évidence et développés pour préparer le terrain à la division. Essayons d'en recenser quelques uns, dans le contexte du début de la colonisation française de l'Algérie, en 1830,  :
Différences religieuses ? Marginales, sinon globalement inexistantes pour la majorité de la population. A l'exception d'une minorité juive ancienne, numériquement faible (30 000) et économiquement puissante, socialement distincte de la  majorité Arabo-Berbère et dont le génie conspirateur prouva être fatal, jusqu'à causer des litiges entre la régence d'Alger et la France à propos des dettes impayées. Wikipédia: «Des commerçants juifs de Livourne, installés à Alger au milieu du XVIIIe siècle, les Bacri et les Busnach ont alors livré d'importantes quantités de grains pour nourrir les soldats participant avec Bonaparte (futur Napoléon Ier) à la campagne d'Italie. Bonaparte refuse de régler la facture qu'il juge excessive.» Un complot classique de la cupidité juive et de la malveillance de ces prédateurs à apparence d'agneaux. Jacob Isaac Crémieux fait publier le décret Crémieux, « Les Israélites indigènes des départements de l'Algérie sont déclarés citoyens français.»(wiki). Les Juifs Algériens deviennent Français, alors que les Amazighs qui avaient été les opposants les plus acharnés contre la colonisation, sont massacrés. Les tribus de Lala Fatma N'Soumer(1857), du cheikh El Mokrani (1871) subissent des pertes importantes et beaucoup d'entre eux s'exilent au Machrek. Des Syriens d'origine algérienne, utilisent toujours le dialecte berbère, aujourd'hui en 2010 ! Démontrant leur attachement à l'Islam, la langue Arabe et à l'amazighrité, sans trouvé d'incompatibilité entre ces différentes composantes culturelles ou religieuses ! Où sont les Amazigh juifs (ou chrétiens) ? Le décret Crémieux aurait fait surgir cette communauté du néant. Seuls les juifs-juifs (indigènes israélites), attachés à leur judaïsme depuis les exodes successifs de l'Antiquité, s'inscrivirent pour bénéficier des nouvelles dispositions du décret promulgué par leur coreligionnaire Crémieux. Aucuns ne se sont enfuis d'Algérie, encore moins vers d'autres pays musulmans !
D'où ont donc surgi ces Juifs amazighs qui pronent (en 2010 !), l'autonomie-indépendance de la Kabylie ?
-Réponse anticipée: ils sont, le fruit du travail de sape et de l'ingénierie sociale programmée et élaborée patiemment par les "experts de l'intrigue" et sont les enfants illicites d'une écriture de l'Histoire orientée et d'une manipulation émotionnelle. Ces "intellectuels" formés à l'école judéo-française, sont de mauvaise foi et dotés d'une cervelle d'oiseau dont le mérite se limite  à répéter fidèlement la propagande juive inculquée par leurs nouveaux maîtres, les prédateurs sionistes-talmudes !

Un article «La Kabylie n’est qu’une mythologie coloniale française», réconfortant par sa pertinence, fut publié par El Watan (2004) ( surprenant de la part de ce quotidien chauvin du berbérisme), l'auteur (Abdesselam Kadi) réfute les avis non fondés d'un certain professeur de sociologie nommé Lahouari Addi.(1). Dont extrait: «La découverte d’un demi-millier de stèles du sanctuaire phénicien d’El Hofra à Constantine au printemps 1950 a bien prouvé que Massinissa et ses trois fils utilisaient le phénicien comme langue de travail et d’administration (documents archéologiques du gouvernement général de l’Algérie, service des antiquités n° 1506, publiés à Paris en 1955 par les Arts et Métiers graphiques). Massinissa qui a régné durant 50 ans environ n’a laissé aucune trace d’une langue avec un alphabet. Il avait pourtant la liberté de le faire par décret s’il le fallait, si elle existait. Scientifiquement on ne peut parler que de faits dialectaux. Une littérature abondante milite pour cette thèse.»
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 (1)Un expert-maître de la critique du "système" et de la diffamation des acteurs politiques, d'une arrogance douteuse qui n'épargne rien de l'Algérie, ni gouvernants ni institutions; il sillonne le champ médiatique avec une assurance provocatrice douteuse, car rappelons-le, le sociologue est appuyé et sponsorisé par les puissants de la planète. Modèle du collaborateur de la branche locale des organisations humanitaires new-yorkaises (des Zbignew Brejzinsky et Henry Kissinger), il est typiquement un "agent provocateur" de  l'Institut
d' Etudes Politiques Université Lumière, Lyon2, et Professeur invité à UCLA, Californie, USA.  Tirant visiblement son assurance de sa position de protégé de la nébuleuse juive internationale, et opérant sous son aile sociale, entendre "ingénierie sociale". Effronterie n'est pas à confondre avec courage, une qualité qu'il lui attribuerait l'opinion crédule. Il montre généralement aucune miséricorde envers les acteurs politiques algériens qu'il charcute à la moindre occasion. Son indulgence et sa compassion, sont réservées à la Shoah fraude-historique et à l'ancienne puissance coloniale:  
-Sa réponse, utopique et chimérique: «La valorisation du passé et la transmission de la mémoire à la jeunesse n'excluent pas d'établir des rapports amicaux avec la France dans l'intérêt mutuel des deux peuples. L'Algérie a besoin de la coopération avec la France, puissance économique, pour implanter des usines de fabrication de voitures, pour former une main-d'oeuvre capable de maîtriser la gestion des supermarchés (sarcasme envers les tubes digestifs), puisque les Algériens semblent adorer Carrefour et Auchan, pour renforcer le potentiel scientifique de ses universités, etc. L'Algérie a aussi besoin de la France, membre permanent du Conseil de sécurité de l'ONU, pour aider les Palestiniens à avoir un Etat.»
-Ou : «Demander des excuses après avoir remporté une victoire, c'est prolonger la guerre pour un enjeu symbolique, et ce n'est pas dans l'intérêt de l'Algérie. A moins que le nif soit plus important que tout, même si les harraga, de plus en plus nombreux, essaient de trouver refuge dans le pays qui nous aura présenté des excuses. En nif oual khsara. Ercham ya Abdelaziz archam !»
Notez la grandeur d'âme de cette plume empoisonnée dans son hymne à la gloire de la Puissante France Sionisée, et son revirement instantané avec "retour du naturel, au galop" dans le langage péjoratif réservé à "l'ennemi" Bouteflika (Lire interview de Addi par El Quds Al Arabi, le journal publié à ...Londres !)
-«Aidez les Palestiniens » :  leurre classique juif dans ses œuvres; anesthésier l'Arabe avant de lui trancher la gorge !
Le Professeur Addi devrait retourner au banc de l'école et recevoir des leçons d'Histoire de Louisette Ighil AHRIZ par exemple, une dame  qui déclara  au forum  d'El Moudjahid :« La France doit demander pardon aux millions d’Algériens, aux martyrs pour les crimes contre l’humanité commis contre un peuple qui n’espérait que retrouver sa dignité piétinée, massacrée par les tortionnaires durant la guerre de l’Indépendance.»  «Quarante-neuf ans après, cette moudjahida a eu gain de cause, la justice française vient de prononcer un jugement en sa faveur, dans le cadre du procès l’ayant opposé à son propre tortionnaire, le général Shmitt.»(Lien)
-Quand à la vérité sur 130 ans de génocide français (consultez lien pour un avant-goût des crimes commis et des statistiques démographiques y réferrant ), elle est occultée par ce cobra sous contrôle de charmeurs juifs. Il y voit un négligeable "enjeu symbolique"; traduire "un jeu enfantin". Ce genre d'écrits indécents et sournois abonde dans notre presse et sur le Net, il est de notre devoir de les déceler, d'en découvrir le caractère subversif et de les dénoncer, notre avenir et notre dignité d'hommes libres en sont menacés.
Moralité : Pour ceux qui souhaitent s'informer et s'instruire la prudence et la perspicacité sont de rigueur face à l'intox qui pollue les esprits et corrompt notre perception de la réalité. L'occupation du champ médiatique algérien par un nombre important de serpents venimeux devrait éveiller notre attention. Dans les coulisses, des charmeurs de serpents maîtrisent ces reptiles, au son de flûtes des "gratifications" de tous genres: les "prix internationaux", les rétributions matérielles, l'entre-aide maçonnique, tous visent à recruter de nouveaux "intellectuels" (qualifiés Outre-Atlantique de "media Whores"), qui gonflent les effectifs des mercenaires de la plume. L'outil est l'ingénierie sociale, destinée à "moduler" l'opinion (endoctrinement-conditionnement du public). C'est l'enjeu du pouvoir destructeur des média. Seuls les naïfs ou ceux déjà victimes de cette manipulation, refuseront de mettre en doute les théories des "ismes" ou les utopies sociales et historiques qui circulent localement en parfaite harmonie avec les plans du Nouvel Ordre Mondial Juif. 
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Dans le chapitre-3, sera effectué un recensement  des facteurs qui pourraient justifier une divergence d'intérêt ou une division des communautés au sein de la nation algérienne, en particulier, et nord-africaine en général. 
Il sera prouvé l'inexistence d'arguments fiables,  seule demeure l'hypothèse d'une invention orchestrée pendant 130 ans de colonialisme par les maîtres de l'intrigue siégeant  au conseil de l'Alliance Israélite Universelle.

19 avr. 2010

Les Autonomistes Amazigh: Un Cas D'Ecole de l'Ingérence Juive En Afrique du Nord.


L'action politique est toujours soutenue par la propagande, dont le contenu est défini pour promouvoir une doctrine, une idéologie, créer une opinion publique et gagner le soutien d'un groupe ou d'une population de citoyens, à l'intérieur ou l'extérieur d'une nation.  Elle est initiée par des personnes, un parti ou un appareil d'état se réclamant d'un système de pensée, d'une idéologie. L'Histoire nous enseigne l'existence de nombreuses idéologies apparues au cours des temps, toutes centrées autour d'un concept central à caractère religieux, racial, économique, philosophique, nationaliste ou internationaliste. L'Histoire contemporaine est riche en exemples de ces mouvements de pensée ayant affecté positivement ou négativement les hommes. Une remarque s'impose, celle d'affirmer qu'ils ont été majoritairement négatifs car souvent source de conflits et d'affliction pour les hommes, pour ceux qui y ont adhéré ou ceux qui en ont subi les revers. La raison principale de cette malédiction est que les idéologies ont été réfléchies et conçues dans ce but: diviser les peuples et enflammer les passions génératrices de conflit et de destruction.
Seuls bénéficiaires, ceux qui versant l'huile sur le brasier, offrent leurs conseils et leur "aide" pour financer les guerres, les banquiers juifs.
Une idéologie singulière qui occupe les débats et les écrits des observateurs depuis plus de 50 ans, est celle du Sionisme. Quoiqu'en réalité initiée et programmée depuis des siècles, cette idéologie ne s'est imposée à l'opinion que depuis la création d'Israël et les conflits qui perdurent au Moyen-Orient.
Elle est perçue à travers deux exposés:
-1- celui insufflé et inoculé par les champions juifs du Sionisme, leurs puissants moyens de propagande et leurs alliés investis de la mission de justifier la création d'un état-refuge pour un peuple persécuté, lors de la Shoah (sous le régime nazi) et des pogroms infligés à la diaspora depuis l'exode entamé sous l'Empire Romain. Ses fondements sont religieux, politiques, raciaux et font appel aux arguments plaidoyant en faveur de la création d'Israël principalement sur la base:
-de la rhétorique religieuse, la promesse divine faite au peuple juif d'un retour ré-unificateur à Jérusalem
-de la solution politique, un refuge remède aux souffrances endurées lors des tentatives (européennes) de génocide et de la Shoah.

-2- celui publié par les opposants à la doctrine sioniste qu'ils  condamnent pour divers raisons:
-la violation des droits des Palestiniens et la réfutation -des mythes "ethnocentristes" et religieux, leurs justificatifs archéologiques, bibliques et politiques menant à une injustice, la spoliation d'un pays et l'expulsion de son peuple,
-le mythe de la Shoah, fraude historique canonisée, promulguée mondialement, et défendue par une législation abusive et répressive,
-la présence funeste des Juifs en tant qu'acteurs occultes, subversifs et nocifs dans les événements marquants de l'Histoire ancienne et contemporaine de la planète (guerres mondiales, crises économiques majeures, esclavagisme et génocides) et,
-la xénophobie et le racisme caractérisant les lois religieuses du Judaïsme-Talmudisme, lois écrites (Talmud) mais pratiquement inédites et secrètes,  qui conditionnent cette idéologie  et la cautionnent.
 Les deux thèses du Sionisme sont extensivement discutées par les protagonistes respectifs dans une multitude de publications qui inondent les média et déferlent sur le web en particulier.  Car le web est seul champ ouvert  au militantisme des activistes et aux débats de chercheurs indépendants qui s'y réfugient pour effectuer librement leurs travaux, tout en demeurant constamment sous la menace de l'accusation «d'antisémitisme», délit collé aux contestataires des théories officielles du Sionisme. 
Le but de cet article n'est pas d'exposer l'une ou l'autre thèse, ou de les confondre car les documents y réferrant sont largement disponibles.  Il est d'aborder dans une étude comparative, la doctrine qui a fait son apparition dernièrement (quatre décennies) et qui prêche le particularisme ethnique, ethnographique (culture, mœurs et coutumes), religieux (juif-chrétien), et historique des peuples Amazigh, ou Berbères, d'Afrique du Nord et du Sahel. Doctrine véhiculée par une minorité d'activistes, militants de l'autonomie de la Kabylie, ou comme récemment déclaré,  de son indépendance! 
L'objectif de cette modeste étude historique est  de démontrer la similitude des techniques de manipulation et d'endoctrinement utilisées par le Sionisme, et celles adoptées par ce mouvement marginal amazigh.

Introduction:
L'offensive lancée contre l'Islam et la culture Arabe, principalement sur le Net, par des partis "politiques" se réclamant de l'amazighrité,  mobilise des ressources humaines et matérielles conséquentes qui dévoilent le soutien dont ils bénéficient de la part des maîtres des média, les éternels conspirateurs, les ennemis des Musulmans et des Arabes. Ceux que le Coran qualifie de «semeurs de discorde de part le Monde», ou « qui travestissent la vérité en mensonge»: les Juifs. Ils agissent directement par l'intervention d'Israël ou par leurs proxies interposés. Leur contrôle sans partage des gouvernements occidentaux et de leurs armées (OTAN), autorise leur offensive au delà du moyen Orient, en Irak, en Afghanistan, au Pakistan, au Soudan, au Yémen et dans les pays musulmans de l'ex-URSS. L'Islam et les Musulmans sont la cible de l'idéologie du "Clash des Civilisations" initié par les néo-conservateurs juifs de New York. L'alibi de la lutte contre le terrorisme a été fabriqué grâce à Ben Laden et El Qaida, qui ont été enfantés et supervisés par  la CIA et son clone le MOSSAD, avec le patronage de Brejzinsky. Le Monde Musulman, dernier écueil à l'hégémonie planétaire juive est harcelé de toutes parts. Tacitement, les  associations amazigh qui sèment la dissension et prêchent la division, entrent (volontairement ou  inconsciemment) dans la logique de participation à cette machination. Les faits marquants démontrant cette collaboration résident dans:
-la couverture médiatique massive  (juive-sioniste) généreusement accordée à ce groupe minoritaire,  non-représentative et sans base populaire, qui revêt l'apparence de «La Grenouille qui veut se faire aussi grosse que le Bœuf»,
-la reconnaissance officielle par les officines internationales et ONG's sionistes,
-la reconnaissance tacite et cynique , par des gouvernants occidentaux, Français, Canadiens, Allemands, lors d'entrevues officielles accordées au "président" auto proclamé. Ceci,  à contre- courant de la défense des intérêts nationaux que ces responsables  assument dans les accords divers gouvernementaux contractés avec l'Algérie, cible principale de ces manœuvres subversives,
-la légitimation, en contradiction des lois internationales, d'activités subversives et d'incitation à distance de trouble et de conflit social, exposant des innocents, inconscients des vrais enjeux de cette campagne futile et des risques de confrontation avec les autorités locales.
Notons que pour leurs actions légitimes de soutien aux luttes des peuples Palestinien et Libanais contre les monstruosités et les crimes de génocide d'Israël, des pays musulmans (Iran, Syrie, Yémen, Lybie, Soudan), subissent la vindicte occidentale, l'embargo, les menaces militaires, et les sanctions. 
Hier, refuge du terrorisme islamiste et de ces commanditaires, lorsque les victimes étaient musulmanes, certaines capitales occidentales affichent aujourd'hui beaucoup de complaisance envers les incitateurs à la haine raciale et aux fauteurs de trouble, soient-ils Kurdes, Darfouriens, Amazighs ou Coptes. Amour de la démocratie et de la liberté des minorités ? Les idiots utiles qui embrassent ces utopies sélectives, distillées par le nouveau impérialisme juif, répondront affirmativement.
Il est important de préciser que de nombreuses associations à caractère culturel et scientifique concentrent leurs efforts dans la renaissance de l'identité berbère sans escalader les marches de la discorde et semer la haine de l'Islam et de la culture Arabe. Elles contribuent par leur modération et esprit de tolérance, à enrichir l'héritage arabo-berbère commun et indissociable, qui règne en Afrique du Nord, depuis 15 siècles. Ces associations ne sont pas ciblées par cette étude car participant à l'activité académique universelle de recherche scientifique objective et libre de toute utopie dogmatique sectaire.  
Celles que je souhaite démasquer et dénoncer sont visibles à travers l'exposé des complots qui se trament dans les coulisses des organisations culturelles, politiques, ethniques ou religieuses qui font de leur cheval de bataille, l'insulte abjecte de tous les concepts et valeurs associés à l'Islam et nourrissent une haine extrême envers, les Musulmans et leur civilisation,  les Arabes et leur culture. 
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 Chapitre 1: 

Ibn Khaldoun, l'illustre historien et encyclopédiste, est la référence universelle du sujet traitant de la généalogie des peuples, dont ceux du Moyen Orient et d'Afrique septentrionale. Son «Histoire des Berbères et des Dynasties de l'Afrique Septentrionale» (traduction disponible rédigée par Le Baron De Slane, Lien 1, Lien 2, Lien 3, Lien 4) est la source incontournable de tout chercheur ou étudiant souhaitant s'immerger dans cet océan de savoir que seul le génie Arabe a su léguer à l'humanité.  L'encyclopédique «Histoire des Berbères» présente la preuve irréfutable de la malversation fabriquée par certains courants politiques minoritaires amazigh qui propagent des théories raciales frauduleuses pour vernir leurs ambitions personnels ou leurs plans subversifs inavoués. Les mythes ethniques ou religieux énoncés en vue d'un "retour aux sources", chrétiennes ou juives, est un appel à l'inconnu, et l'acheminement vers l'irréparable. Aucuns arguments scientifiques, saufs ceux relatifs aux caractéristiques culturelles propres à l'Afrique Du Nord (caractéristiques qui s'imbriquent avec celles prédominantes, héritées de l'Islam), ne justifient ou n'appuient les revendications de ces groupes fanatiques sectaires, qui embaument la doctrine du «retour aux origines», d'absurdités, de mensonges et de contre vérités historiques. Il est évident qu'ils font le jeu de l'ingérence de forces subversives judéo-chrétiennes dont les visées sur les pays musulmans ne datent pas d'aujourd'hui, visées ayant fait l'objet de stratagèmes engageant d'énormes ressources et nécessitant de patientes manœuvres étalées sur des siècles. La dimension de cette «bulle» civilisationnelle amazigh ne trouve de comparable que les fraudes historiques initiées par les juifs sionistes qui depuis des siècles promotionnent le tourment de leur oppression par les goyim, et occultent ses causes : la réaction défensive des peuples goyim contre le dynamisme destructeur que le dogme du Talmud enseigne sous forme de lois de la prédation licite et de l'extermination du non-juif (gentil). La Shoah est l'exemple, dernier en date, de ces manipulations frauduleuse de l'Histoire autorisant les  Juifs a développer un dogme pour décevoir la communauté internationale, dissimuler leurs crimes et génocides (voir site de l'AAARGH),  et asseoir la dictature planétaire du "peuple élu".
Ibn Khaldoun, dans son encyclopédie,  relate les moindres détails des événements marquants de cette région du Monde, et trace la généalogie de tous les peuples, dont ceux d'Afrique du Nord  et ceux ayant transité par, ou envahi la région. Avant et après l'avènement de l'Islam et de la civilisation musulmane d'occident la région était perpétuellement déchirée par les conflits et guerres. Après le démembrement des khalifat Ommeyade et Abbasside, de l'Andalousie aux frontières orientales de l'Égypte, les conflits confessionnels (rites musulmans) ou militaires, illustrés par les vendettas opposant princes et émirs,  jaillissaient de toutes parts et leur méfaits retentissaient  le  long de la courbe de  décadence de cette civilisation illustre. Contrairement à la période de l'antiquité, les Berbères œuvraient dans l'espace Nord Africain et Andalusien  sans jamais se distancer, même instinctivement, des Arabes et agissaient au sein de la communauté musulmane avec leur conviction de croyants, réservant leurs griefs à des différences confessionnelles (rites sunni, chiâa, kharedjite, etc..), politiques ou d'intérêt matériel, jamais ethniques. 
D'où surgit donc ce revirement, qui est marginal, mais bénéficie d'un vacarme médiatique amplifié ? La réponse se révélera d'elle-même au cours du cheminement suivi par le recensement et l'analyse des événements parfois anciens (début-fin de la colonisation française), souvent récents (post indépendance) qui dévoilera le paradigme de ce mouvement et la naissance du berbérisme sectaire.
Le Début de l'Offensive:
Confrontés à la puissance de l'empire Ottoman et de ses provinces autonomes, les banquiers juifs devaient surmonter cet obstacle pour prendre le contrôle des pays sous l'autorité du Khalifat d'Istanbul. Un plan était dressé pour le démantèlement de cette forteresse de l'Islam afin d'en faciliter la pénétration et 
asseoir une main mise sur ses richesses. L'ouverture de nouvelles routes pour le commerce vers l'Europe, à travers la route stratégique des Indes et les bifurcations reliant l'Afrique, l'Asie et  la Méditerranée. Pays après pays, les régions à caractéristiques ethniques ou religieuses furent ciblées par des missionnaires et des espions chargés de réunir des données significatives et les informations devant permettre aux cercles occulte des banquiers Juifs, les Rothschild de Londres et de Paris, d'affiner leur connaissance de l'empire et aiguiser les sabres qui devaient le tailler en  pièces. Les études détaillées cernant les événements et recensant les acteurs impliqués dans cette campagne sont accessibles sur le Net. Le lecteur averti découvrira les intrigues que la version "officielle" des historiens confectionnant les manuels scolaires, ne dévoilent pas. Le mercenariat des banquiers juifs,  la franc-maçonnerie, est le bras brandissant la massue de démolition de l'empire Ottoman. 
La franc-maçonnerie fut introduite en Égypte par Napoléon Bonaparte, plus tard relayé par El Afghani et ses élèves Abdou et le Syrien Rida, les "réformistes" dont la "formation" avait été complértée sur les bords de la Seine. De  manière générale certaines sectes condamnée par l'orthodoxie musulmane avaient été réanimées et revitalisées ainsi que, le nationalisme local, l'hérésie Bahai et le Wahabisme, au Liban, dans la péninsule Arabique et partout où les espions français et anglais des loges maçonniques de Paris et Londres avaient relevé des divergences de rites ou de confession. Sans trop se perdre dans les détails, soulignons le fait que le mouvement des "frères musulmans" est une ex-croissance des réformistes, et tout le monde sait combien leur idéologie a "servi" à la promotion d'un de leurs adeptes, Ben Laden, pour dénigrer l'Islam et préparer la voie à l'actuelle colonisation juive de l'Irak-Afghanistan.
Les études académiques détaillées de ces mouvements et de leurs commanditaires-promoteurs sont disponibles en accès libre sur le Net. Pour revenir au sujet nous concernant, l'Afrique du Nord, remarquons  que la particularité de la région est l'inexistence de sectes permettant de développer la stratégie utilisée ailleurs. Le colonialisme français à l'instigation des cercles occultes juifs qui l'ont pensé, programmé et financé en Algérie,  adopta une approche différente : le foyer potentiel de division et dissension serait la disparité linguistique et culturelle qui fictivement et artificiellement séparait deux communautés.  L'impossibilité de les distinguer globalement, selon l'ethnologie, la géographie, la généalogie, l'ethnographie,  n'était pas un obstacle dans l'esprit des coreligionnaires d' Issac-Jacob Crémieux (plus connu sous le nom d'Adolphe Crémieux, ministre de la justice et membre fondateur de "l'Alliance Israélite Universelle"(Lien).(Lien Gallica: pdf  à télécharger pour une rétrospective des méfaits juifs lors de la colonisation et comment fut promulguer le décret Crémieux, et ses objectifs).
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«La brochure 2010 des Célébrations nationales vient de paraître. L’anniversaire de l’AIU y trouve naturellement sa place, grâce à un article signé Simone Veil.» Très révélateur pour reconnaître le stade avancé de la main-mise juive sur la France sionisée ).         
Photo: Jeunes Marocaines dansant à Mogador (futur Essaouira), le 16 juin 1935 pour le 75e anniversaire de l’Alliance © Alliance israélite universelle
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Le "diviser pour régner" et le plan de ralliement des communautés juives
d 'Afrique du Nord, pouvaient se passer de ces considérations méthodologiques.   Pour préparer le terrain : (Lien): «En ce qui concerne l'Algérie dont la conquête débute en 1830, la première loge, «Cimus», loge militaire du 10° régiment d’infanterie légère, s'installe fin 1831. En mai 1833 est créée la loge «Bélisaire» à Alger. En juin 1833 est créée la loge «Ismaël» à Bône, puis en juin 1836 «l’Union Africaine» à Oran. La loge d’Alger joue le rôle de loge-mère par essaimages successifs : à Blida en 1844 «les Frères de l’Atlas», à Cherchell en 1845 «Julia Caesarea». A Mostaganem en 1844 «les Trinosophes Africains» sont installés sous l’égide de la loge d’Oran. Le nombre de francs-maçons va régulièrement progresser, de 80 frères en 1833 à 850 frères en 1851.»
La franc-maçonnerie, cheval de Troie du judaïsme, fut donc dés 1831 sellée pour ouvrir la porte en Algérie (tout comme dans le reste de l'Afrique du Nord), aux "prédateurs". Soulignons l'importance de l'Algérie dans le plan de l'Alliance Israélite, puisque le décret Crémieux fut voté uniquement pour faire bénéficier les juifs algériens du statut civil de Français naturalisé, officialisant leur collaboration à la colonisation. Collaboration dont ils allaient remplir le contrat avec enthousiasme et beaucoup de zèle en fournissant les plus grands criminels de guerre civils et militaires, durant 130 ans. Les chroniques révélant l'implication des juifs, originaires de la métropole et les "pieds noirs", dans le génocide des populations autochtones musulmanes, sont dissimulées par "l'Histoire officielle", mais facilement accessibles sur le Web, il suffit de chercher pour découvrir la malveillance juive envers les musulmans avant 1830 (nombreux incidents) et jusqu'à 1962 (OAS et les essais nucléaires du Sahara).  La vindicte n'est pas terminée.

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