Une situation alarmante
pour tous, sans distinction géographique. Une machination planétaire en cours est occultée volontairement ici en Algérie par les suppôts médiatiques du NOM juif et les analystes/experts
faussaires, plus particulièrement ceux "experts en stratégie" (de l'intox) ! Le sujet étant trop
brûlant pour leur minable stature d'hommes de main astreints aux basses besognes et trop compromettant
pour leur renommée certifiée Kasher par les organes de propagande
talmude. Plus prolifiques dans leurs écrits pour diffamer Boutéflika, un
président trop indulgent envers eux et qu'ils trouvent comme cible
facile pour leur diatribe et leurs insinuations outrageuses, affaibli
qu'il est par ses problèmes de santé et les coups bas d'agents
subversifs du "système" (franc-maçonnerie !), celui hérité de la gabegie du socialisme gérée
par la nomenklatura "révolutionnaire" (maçonnique !). Le Président garde cependant l'esprit
toujours aussi vif face aux défis de l'heure et des dangers
insoupçonnés, car imperceptibles à la populace (regrettablement ingrate) qui vague
paisiblement à ses occupations, profitant de la stabilité du pays après
un retour à la normale dans l'ensemble de la société. Le luxe de la
paix et de la sécurité a été accordé au pays dans un monde où
- la violence de la guerre fait rage;
- les conflits fratricides se multiplient;
- les troubles sociaux s'accentuent;
- les agressions étrangères légalisées par décisions de l'ONU se multiplient;
- les maladies sont propagées, par vaccination, par l'émission d'ondes électromagnétiques (téléphonie mobile, wifi, 3G, etc...):
- la famine s'aggrave, provoquée par la destruction programmée de l'agriculture (ex : OGM aux mains des multinationales);
- le climat est perturbé par la manipulation de champ électro-magnétiques dans l'atmosphère ( HAARP);
- le trafic des stupéfiants (géré par des armées secrètes, CIA entre autres) ruinant la vie de millions d'innocents;
-
les crises économiques et financières orchestrées de Wall Street et de
la City s'intensifient, répandant la précarité, le chômage, et le
désespoir sociale;
- l'endettement des nations pénalise les
populations, dont le standard de vie stagne en dessous du seuil de
subsistance à cause du pillage de leurs moyens de paiement;
- et
combien d'autres calamités dont certaines semblent par miracle épargner
ce pays. Rien n'est le fait du hasard, seule une gouvernance éclairée
nous permet de jouir des bienfaits de la quiétude dans un monde en
ébullition. Souvenons-nous des "années noires", perçu aujourd'hui comme un cauchemar grâce à l'initiative de la charte de la réconciliation
nationale, ceci pendant que d'autres pays s'enlisent dans la guerre
civile et endurent le terrorisme "internationalisé" financé par les
pétrodollars et armé par Israël et ses proxies. Cette mesure n'a-t-elle
pas permis à de nombreux marchands d'alphabet de quitter leur exile
européen (doré) et de regagner leur pays d'origine ?
Ils
accourent aujourd'hui en masse, comme des charognards à l'odeur du sang,
ou des convoiteux à la recherche de gains. Les prochaines élections présidentielles sont l'occasion d'agissements suspects :
- lancer
des polémiques stériles,
- appuyer la candidature d'éternels
opportunistes,
- de désolidariser l'opinion et
- se présenter en justiciers du
peuple et avocats de la démocratie.
Parmi eux des agents de Rothschild,
dissimulés derrière des CV d'experts économiques et financiers, à la réputation blanchie par les acclamations des rédactions complices de la presse mercenaire, sont ou ont été des employés du FMI et de la Banque Mondiale qui organisèrent la débâcle
financière des décades 70-80-90, et enfoncèrent le pays dans l'endettement. Ils ont changé d'habit et revêtu les robes de
magistrat luttant contre.....la corruption.
Benbitour, Hidouci, Hadj Nacer, Ghozali, Benouari, les complices des banquiers qui nous prirent à la gorge et nous imposèrent la disette, le manque de médicaments, le chômage, la privatisation sauvage, la hausse vertigineuse des prix et même
la suppression des repas dans les cantines scolaires !
Un d'entre eux, Dr Benbitour promet de régler tous les problèmes de l'Algérie en quatre ans
, un lapsus qui met à nu son mépris du peuple et de l'opinion, sa mauvaise foi, en recourant au mensonge et à la démagogie pour abuser les naïfs algériens qui le jugeraient "éligible".
Ce qui n'apparait pas dans leurs exposés pédants est un
avertissement à la nation sur les graves périls qui menacent le pays.
Ils occultent les dangers réels et soutenus tout au long de l'histoire
moderne qui prennent source dans les manigances mondialistes élaborées succinctement par les Rothschild et leur cour
d'Illuminatis qui dirigent Israël, l'agent juif confident des plans
secrets dictés dans les "Protocoles".
Exemple : «Israél et les hydrocarbures.»
La guerre des hydrocarbures qui
assombrit l'horizon n'est pas abordée par nos "experts", le sujet étant
tabou dans la terminologie de l'opposition sous toutes ses formes,
politique, médiatique, partisane, économique.
L'offensive généralisée de
la subversion est dirigée contre le gouvernance actuelle, pour détruire la cohésion sociale naissante, le patriotisme retrouvé, l'unité territoriale, l'identité nationale. Elle invente des disparités raciales ne s'appuyant sur aucune justification ou évidence historique ou anthropologique. Les revendications culturelles légitimes sont détournées de leur objectif d'enrichissement civilisationnel et canalisées dans les revendications identitaires politiques racistes et sécessionnistes. La densification des
projets économiques à caractère social ou étendant l'infrastructure physique et toutes les mesures qui tendent
à unir les algériens dans un projet nationaliste pragmatique libéré de
toute utopie idéologique ou économique est sans cesse dénigrée sous prétexte qu'elle engendre la corruption. La corruption qui mine d'autres secteurs n'est pas abordée avec l'idée de la combattre, car ces mêmes donneurs de leçons, ont tous trempés dans le pillage qui s'opérait lors de leur participation aux gouvernements d'alors (avant 1999) !
Pour les média qui harcèlent Bouteflika sur le sujet de la corruption, leurs directeurs ou actionnaires faisaient hier partie des fortunés et apparatchiks. O.Belhouchet, M. Benchicou, respectivement directeurs d'El-Watan et Le Matin respectivement, mouches attirées par la puanteur de la fraude bancaire Khalifa et rejoignant la troupe de conseillers attachés au service de Abdelmounen en participant au lancement de Khalifa-TV!
Pris une par une, les grosses gueules qui vilipendent la gouvernance Bouteflika et l'accusent de négligence pour les "affaires" de corruption, peuvent sans l'ombre d'un doute être associées à de nombreuses opérations de détournements et d'abus de biens publiques, opérations ayant échappées à toute publicité, car en ces temps de gabegie socialiste, les voleurs n'avaient aucun besoin de voler, ils se "servaient". Les banques publiques étaient à leur service, le Finnex (finance extérieure) délivrait des autorisations de transferts de devises à tour de bras sur les comptes de la banque extérieure, et des retraits à "Expansial" (Genève et Paris), un organisme parallèle occulte inventé par Boukharouba, Abdeslam, et Ghozali pour gérer les recettes de SONATRACH !
Quand aux média :
Qu'importe le mensonge, l'arme de prédilection des journalistes des média harkis qui ont enterré les règles minimales de déontologie et se sont transformés en véhicules de la rumeur et du ragot, en serviles chambres de résonance de la désinformation juive (le Monde, AFP, TV5, Le Point, Le Figaro, L'Express). Un nombre important de leurs journalistes (El Watan, Focus-Algérie, Le Matin, etc..) sont les correspondants en Algérie des média juifs. Comment peut-on leur accorder le moindre crédit de neutralité journalistique, d'objectivité, d'intégrité et encore moins de patriotisme ? Qu'ils ne nous bernent pas avec leurs lamentations sur la "corruption", "la liberté d'expression", "la démocratie", "les droits de l'homme", ces abstractions sont des prétextes. cette vermine n'a aucune attache avec ce pays, ni avec ses valeurs et les convictions de son peuple, encore moins avec l'Islam ! La plus part bénéficient de la complicité des réseaux juifs de France et de la double nationalité !
Pire, que penser de cette
opposition qui s'est saisie du crachoir et créneau du discours politique et prône les oxymores "changement" (en direction de l'inconnu), alternance, rajeunissement du gouvernement, et autres balivernes, ceci via les média "indépendants" partisans et militants des objectifs mondialistes (NOM Talmude) : laïcité, regroupement régional (Maghreb/ Méditer.), et adhésion à l'OMC ?
Remarque :
La Chine qui a pris la direction du monde, doit son avancée au patriotisme de ses dirigeants dont la moyenne d'âge était (très récemment) de 70 ans !
Un rajeunissement marginal a lieu après que des nouveaux cadres compétents aient été formés, et l'âge de leur retraite est 68 ans.
Combien de compétences algériennes sont mises en hibernation à 60 ans ! Constat navrant inférant la question : «de quelles compétences politiques dispose l'Algérie, compétences aptes à reprendre le flambeau du nationalisme/patriotisme ? »
En 1999, Bouteflika avait tendu la main à tous et s'était déclaré près à collaborer avec les bonnes volontés pour redresser le pays. Quelques uns avaient répondu positivement, hélas par calcul et par ambition.
La majorité avait décliné l'offre et s'était réfugiée dans l'obstruction ou en spectateurs narquois étaient dans l'expectative de l'échec de sa mission. La tâche était alors tellement gigantesque et les moyens si limités.
Quels "candidats" à la transition/ changement :
- Pas ceux prêchant ...la laïcité. Ali Benouari un candidat pour la laïcité, la liberté de conscience, suivra bientôt le soutien aux LGBT !
Ainsi Maghrebémergent "(Lien) l'encense : «..dans le gouvernement de Réda MALEK qui lui a
déclaré : « vous m’avez convaincu » au terme d’une réunion
ministérielle qui devait décider du rééchelonnement de la dette
extérieure algérienne (le piège talmude) dont il était l’avocat le plus fervent. Son
deuxième retour en Algérie lui a permis de créer, au titre d’actionnaire
et de dirigeant, la première banque privée du pays en association avec
un partenaire comme la Société Générale (pure kasher), ce qui renseigne surement sur
son degré de crédibilité.(SIC -sonne comme nuisibilité)»
Ce "libéral" produit de la forfaiture juive du libéralisme économique ravageur, repu d'usure bancaire et courtier convaincu de sa banalisation, promet de hisser l'Algérie dans la ligue des 20 premières économies mondiales, à partir de 2033, soit donc après un mandat de 19 ans ! La mauvaise foi alliée à la démagogie, un cocktail explosif causant plus de dommage qu'une arme chimique ! Gare aux esprits faibles leurrés par les discours à apparence académique ! Ce personnage douteux, transfuge apatride est un flibustier dont les sévices passés stigmatisent toujours le pays !
- Pas les harkis compromis par de leurs relations pernicieuses douteuses avec les ennemis du pays (Said Sadi ami Bernard Levy)
- Encore moins les opportunistes et mercenaires de la grande calamité socialiste (Lien, Lien, Lien)- Pas les guignols, ignares, et incultes, Touati, Rebain, Djillali (Lien),
- Pas les islam-mimiques que rien ne peut délivrer de l'endoctrinement wahhabite, une tare qui afflige Islam et musulmans et a répandu sa malédiction sur tant de pays. Plus évidente la malveillance de l'ensemble de cette opposition après quelle
ait chanté les mérites des printemps
arabes, en 2011-2013, les chroniques de cette période encore vivaces attestent de leur participation à cette manigance, démontrant par ailleurs leur inaptitude à diriger.
Que reste-t-il ?
Uniquement des hommes qui ont eu confiance en Bouteflika et ont tiré profit de leur collaboration aux efforts de renaissance du pays depuis 14 ans. Ce blog élucide et réitère son jugement à propos de Bouteflika, la providence personnifiée, dont les performances, si bénéfiques pour la nation, qu'elles dérangent et sabotent les plans de l'ennemi.
- Qui ?
- La nébuleuse de la subversion ! Pour exemple,
observons la perfidie d'El-Watan porte-parole de l'opposition inconditionnelle injustifiée (depuis 1999), à travers ses débats-défilés de conférenciers recrutés dans les bases arrières de la subversion (les "groupes de recherche" en France coiffés par les experts universitaires, tous sionistes !). Mobilisés et commandités par le pouvoir judéo-maçonnique de France qui les a dressés en mules prosélytes des valeurs du NOM, ils sont hébergés par l'agent local O.Belhouchet (collabo sioniste et crypto-juif logé à El-Watan.(*))
Ces conférenciers arrivent, couronnés d'auréoles reçues des maitres de l'intrigue à l'occasion de promotion accordée pour leur entière adhésion au mondialisme, et sont donc attachés chacun à une mission déterminée.
Un exemple à disséquer:
Mouloud Boumghar est le poulain des institutions internationales pour la paix (sic). En bon fonctionnaire qui "fonctionne", il produit de la littérature juridique, des textes interminables où le verbiage savant enguirlande les méfaits occasionnées par l'Empire talmude dans le monde. Il les enrobe de prétextes juridiques, prétextes et alibis des crimes humanitaires cautionnés par les organisations internationales mafieuses. À leur tête, l'ONU, directeur des malheurs des peuples faibles.
Son agitation enveloppée de chimères juridiques est un instrument à géométrie variable et adaptable à la cible.
Boumghar brandie cette arme juridique contre l'Algérie et remue les cimetières du malheur des années noires, traitant du "dossier des disparus" dont il a été chargé par ses commanditaires, les propagateurs de l'énigmatique thèse du "qui tue qui ?", actualisée en "qui a tué qui ?".
Bardé des ruses judiciaires élaborées par les sionistes assoiffés de vendetta (recherche éternelle des criminels nazis), notre Da' Mouloud Boumghar, alias Si-Mouloud Simon Wiesenthal enquête sur la Solution Finale ou Shoah-Chorba décrétée par le pouvoir algérien durant les années noires. À la poursuite de quelque Adolf Eichmann, Martin Bormann, ou autre
Kaci-Nazi qui aurait échappé à la justice internationale.
Employé à plein temps comme "militant des droits de l'homme", son discours mime celui du classique modus-operandi des ONG et des Think-Tanks US, Freedom-House (Brejzinsky), Open Society Institute (Soros) dont l'objectif ultime est d'initialiser les révolutions de couleur, stade intermédiaire
- du démantèlement des régimes nationalistes et,
- élection de gouvernements favorables au Nouvel Ordre Mondial Juif !
À propos d'exécutions extra-judiciaires commises par des représentants de l'état, nous souhaiterions que M.Boumghar s'intéresse à celles opérées par le régime de Tel Aviv depuis 1948 avec la complicité de toutes les organisations internationales qu'il sert, et des groupes de recherche (droit international / universités françaises) où il fait son beurre. Ce parti pris juridique discriminatoire, des "droits de l'homme" onusiennes et des instances juridiques européennes, constitue une contradiction dans le discours des hypocrites mondialistes, donc la mort de leur pensée tortueuse et fallacieuse. Notre militant Da'Mouloud n'oserait pas aborder ce sujet, du moins sans l'aval de ses maitres-employeurs, la scélérate ONU et les think-tanks juifs entièrement dévoués à la cause d'Israél et à la protection des criminels juifs de Tel-Aviv !
Sur le point de la participation de Boumghar aux manoeuvres de déstabilisation gérées par Soros, et qui démontre sa qualité de mercenaire en "col blanc" et ennemi de l'Algérie, un article pertinent (Mars 2012) rédigé par Y.Benzetat (Lien ou Lien) dénonce la main étrangère et révèle son "chargé de mission" Boumghar:
«Par ailleurs ce même George Soros a employé le juriste algérien Mouloud Boumghar, spécialisé en droit
international public, sur le projet AfriMAP, qui "vise a influencer la politique publique en vue de promouvoir la gouvernance démocratique, les droits de l’homme ainsi que la réforme économique, juridique et sociale en Afrique." Ce même Mouloud Boumghar a participé aux
travaux de la Coordination nationale pour le changement et la démocratie (CNCD). Il est également cofondateur du mouvement Agir pour le changement et la démocratie en Algérie (ACDA), qui est associé au
mouvement d’opposition islamiste radical à l’étranger Rachad, et a été le modérateur du séminaire/débat "L'arrêt du processus démocratique de janvier 1992, vingt ans après", organisé à Paris par l’ACDA le 20 janvier 2012. À cette période, c’est-à-dire, au mois de janvier 2012, où l’on suppose que le plan américain pour l’Algérie a été mis en œuvre et qui a abouti à l’arrestation de Mourad Dhina, une coïncidence de plus s’était produite, la CNCD avait annoncé de son côté la reprise de ses activités.»
- Deuxième exemple:
Abdelhak Lamiri, tristement métamorphosé en Abd-El Kadhab (Satan = le menteur)
est un "expert" cité par El Watan (le 08 jan 2014, Lien):
«L’économiste et expert en management, Abdelhak Lamiri, réitère une
remise en cause totale de la politique économique entreprise depuis une
quinzaine d’années par les pouvoirs publics. Il estime que les plans de
relance, initiés par le gouvernement, pour doter le pays
d’infrastructures de base dans le but d’impulser la croissance et
amorcer le développement, n’ont servi à rien.»
- Et de continuer :
«Pour l’expert, le pays a tout simplement «perdu 15 ans et 500 milliards
de dollars» sans rien gagner en retour. Une rétrospective négative
assortie d’une mise en garde sévère "si rien n’est fait durant les
toutes prochaines années pour reconstruire les fondements du
développement basés notamment sur le savoir, il faudra alors avoir
vraiment peur pour le pays". Une analyse aux allures de scénario
catastrophe que le professeur assume et défend, rappelant que son
analyse est toujours inchangée depuis 10 ans. Lors de cette nouvelle
sortie publique, l’expert tire encore une fois «la sonnette d’alarme»,
une expression que les journalistes aiment bien utiliser, mais qui,
cette fois-ci, semble l’être à bon escient, au sens de Lamiri.»
Et pour joindre l'insulte à l'offense, le mépris au mensonge, l'aveugle est promu oracle (du malheur):
«Le professeur, qui a consigné ses analyses dans un livre intitulé "La
décennie de la dernière chance", semble vouloir provoquer un réel
électrochoc et pousser les décideurs politiques et leurs conseillers
économiques, ayant imaginé les solutions de développement depuis une
décennie, à changer de cap de toute urgence.»
D'un coup de sa
plume, l'intellectuel infirme et efface 15 ans d'histoire de la
renaissance économique, financière, politique, sociale, et culturelle du
pays. Les chiffres et les statistiques flatteurs, que mêmes les
perfides FMI et Banque Mondiale ont été contraints (à contre cœur tant
ils étaient dérangeants) de reconnaitre comme signes d'émergence
économique, signes invisibles aux yeux de ce menteur effronté et
malveillant, girouette universitaire qui s'affuble d'un titre de professeur
! Les raisons de ce déballage d'ordures sont repérables dans les
manœuvres animant la campagne d'intox orchestrée par la nébuleuse qui redouble d'agressivité à l'approche des élections. À
cours d'arguments constructifs, ayant épuisé le répertoire de calomnies
diffamatoires, les ennemis du pays puisent dans leur dernière ressource,
le recours à la falsification et à la contrefaçon d'une réalité
physique assise sur les réalisations : deux millions de logements, 40
barrages hydrauliques, les milliers de Kms d'autoroute, les milliers
d'établissements de l'éducation, les centaines d’hôpitaux et leurs
équipements ultra modernes, les milliards de dollars en réserves et ceux
économisés après liquidation de la dette, les millions d'emplois,
l'amélioration qualitative et quantitative et la diversification des
produits de consommation et des services, les milliards d'aide sociale
multi-sectorielle, la modernisation de l'armement et de la
formation des personnels de l'armée, la sécurisation des frontières, le
combat victorieux contre le terrorisme international, etc,
etc....
Le mensonge sert au détournement de l'opinion loin des enjeux et
priorités, telle l'accusation non justifiée de complicité des gouvernants dans
les délits commis par des algériens traitres qui s'accaparent les biens
publiques et entretiennent les réseaux de la corruption. L'intox
médiatique dirige la sape sociale en nourrissant l'ingratitude et le
sentiment de mal-vie; alimentant le commérage amplifié sur des sujets de
controverse (la maladie du président) pour attiser
l'incertitude et le pessimisme au sein de l'opinion. L'arsenal
des armes silencieuses conçues par la juiverie et braquées contre la
population via ses canaux médiatiques (citations sempiternelles de l'AFP
par El Watan). Elles servent aux opérations de déstabilisation et à
l'offensive généralisée exécutées par les agents de Rothschild (ennemis
de l'intérieur) contre ce pays.
Le peuple désarmé par son excès
de naïveté et ingurgitant sans retenue le contenu des média, est harcelé
sans relâche par les chevaux de Troie médiatique du mondialisme
talmude. Quelle sera l'issue de cette
guerre furtive non déclarée ? Au rythme actuel, et en l'absence d'un réveil
nationaliste général, le pays des martyrs semble gravement menacé.
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(*) Note: Pour ceux qui trouvent ces commentaires offensifs : Que mes propos soient jugés excessifs par le lecteur serait le signe de sa préparation inadéquate à percevoir les dangers de la mondialisation instaurée par le despotisme talmude. Les "enfants de Satan" sont des prédateurs qui sévissent sur l'humanité et ciblent les âmes et la vie des Goyim. Leurs réseaux et leurs armées sont constitués d'agents recrutés d'abord au sein de loges maçonniques et plus régulièrement parmi des personnes (idiots utiles) présentant un intérêt pour leurs opérations subversives. Les média "indépendants, principalement des quotidiens et leur prolongement en sites internet (El-Watan, El-Khabar, Le Matin, Le Quotidien-Oran, Liberté, etc, etc...), ainsi que les directeurs et rédactions, sont sélectionnés sur le volet parce qu'offrant les profils idéologiques adéquats.
Les kabyles sectaires qui redécouvrent leur judaisme (El-Watan), les intellectuels intéressés par le gain facile (une carte bancaire) et les privilèges (un simple visa Shengen), les plumitifs et avocats des centres
d'intérêt (les milieux d'affaires et les prédateurs de l'économie), et
un éventail plus large de mercenaires/harkis pris dans le piège de la
compromission (chantage, association douteuse),