Pour Dilem, le caricaturiste vedette de Rebrab, les victimes ne méritent pas la même compassion, selon qu'elles soient décédées d'un coté de la méditerranée ou de l'autre.
Celles d'Algérie, en Kabylie, ne sont que des objets sur ses dessins, par contre celles de France des martyrs de la liberté d'expression.
Il déclarait ---> http://tinyurl.com/yd2d7sze
Ali Dilem :
---> «J’ai été complètement soufflé par la nouvelle quand on m’a appelé pour dire qu’il y avait eu des coups de feu au siège de Charlie Hebdo. Je n’y croyais pas. Je connaissais assez bien les caricaturistes tués. Se dire que Cabu et Wolinski ont été assassinés, c’est inimaginable.
---> Cabu était comme mon grand frère, ma jeunesse tout entière. Il m’a servi d’exemple à mes débuts et c’est avec lui que j’ai compris le pouvoir du dessin de presse.»
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Le pèlerinage de Dilem au Mur des lamentations lui a donné des ailes et l'a religieusement élevé au rang "d'élu". Le caricaturiste vedette de Rebrab, perçoit les victimes Goyim des incendies en Algérie comme sujet banal, de simples objets meublant son humour sordide et surtout .....renforçant son amalgame dépréciatif de Bouteflika et de l'ANP ! Pour trois victimes à Charlie Hebdo, Dilem avait porté le deuil durant plusieurs semaines, et sacralisé les mort en martyrs !
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