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20 févr. 2017

La candidate du CRIF !! Marine Lepen est le nouveau laquais d’Israël !



La candidate du CRIF !! Marine Lepen est le nouveau laquais d’Israël !
La médiocrité politique est la tendance des dernières 30 années, et le danger se précise ! Pauvre France, ses citoyens s’engouffrent dans la trappe dressée par les éternels prédateurs, les instigateurs du chaos qui fait avancer leur agenda ! 


"Selon un sondage IFOP publié jeudi, Marine Le Pen, la dirigeante du Front national, devancerait de 5 % le candidat centriste Macron lors de l’élection présidentielle française. Le Pen a obtenu 26 % des intentions de vote contre 21 % pour Emmanuel Macron et 18 % pour François Fillon, le candidat du parti de la droite conservatrice. "

  Liens :
http://tinyurl.com/h2wgjwy
http://tinyurl.com/pd62n5c


François est mort, vive Marine ! Criait la foule, et criffait le pouvoir de l'ombre !
Le détonateur de l'explosion, une kamikaze télécommandée par ....
les "élus" ! Pauvre France ! Après la Révolution illuminati de 1789, elle est de nouveau le laboratoire des tests du chaos contrôlé !
On verra plus tard qui suivra, Allemagne ? Belgique ? Italie ? Espagne ? Les USA peut être pour une nouvelle guerre d'indépendance ? 

15 sept. 2015

Un autre canular de l'Histoire officielle algéro-française ! Boukharrouba a tacitement autorisé Israél à acquérir la Bombe Atomique ! Pour le remercier les médias de la planète (sionistes) ont fait de lui un "grand révolutionnaire" !

Dans un document inédit(téléchargeable au Lien
 
Page1:« Dans les années 50, le destin de l’Etat hébreu était l’une des priorités du pouvoir français. Une politique d’aide militaire, secrètement élaborée au ministère de la Défense, aboutit à un accord nucléaire jamais avoué […] Haut fonctionnaire et personnage très influent de la politique française de défense de l’après 1945, Abel Thomas est l’homme qui a livré le programme nucléaire français à Israël. Dans les années cinquante, il était le chef de cabinet du ministre de la Défense, Maurice Bourgès-Maunoury […] De nombreux politiques et militaires français, socialistes pour la plupart, entretenaient alors avec Israël une véritable passion romantique, et Abel Thomas joua le rôle le plus décisif dans la participation de la France à l’option nucléaire de David Ben Gourion. “C’est l’oeuvre de ma vie. Pour moi, le destin d’Israël fut vital dès sa création.” »
«Le même article explique que le ministère de la Défense, Abel Thomas étant en première ligne, commença par livrer secrètement, à la fin de 1955, neuf Mirage… qui furent effacés des effectifs officiels, sans même en informer le ministère des Affaires étrangères dirigé par Christian Pinault, considéré, ainsi que la plupart des diplomates, comme « pro-arabe». 
«En 1956, Thomas joua un rôle majeur dans l’opération de Suez, après la nationalisation du canal par
Nasser, étant le contact privilégié de Shimon Peres, alors ministre israélien de la Défense. Mieux, Peres «Le Yediot Aharonot de Tel Aviv publiait fin septembre (1) un article révélant un accord nucléaire jamais révélé entre la France et Israël, ou comment la France a livré à l’Etat hébreu l’arme nucléaire. A la tête de cette fantastique trahison étatique, un Français, Abel Thomas, aujourd’hui âgé de 80 ans.»
Page 2:
«.....il disposera même d’un bureau à Matignon, à côté de celui du Premier ministre! Puis, Abel Thomas, François Perrin, le directeur du Commissariat à l’énergie atomique, et Shimon Peres firent fléchir le Premier ministre Guy Mollet sur la question du nucléaire. Dès octobre 1957, Israël et la France signaient un accord diplomatique  avec des clauses secrètes sur le nucléaire. La France s’engageait à fournir une pile atomique qui devait être installée à Dimona, dans le désert du Néguev, l’uranium enrichi (mais Thomas a refusé de le confirmer) et le matériel nécessaire à la fission du plutonium.»
«Bref, on parlait de nucléaire civil et on pensait nucléaire militaire. Comme devait le déclarer le journaliste d’investigation Pierre Péan, auteur de Les Deux Bombes (Fayard, 1982) : « Le plus étonnant est que les Français aient aussi rapidement livré un programme nucléaire à peine sorti des fonts baptismaux. » Il y eu en fait, en sous-main, comme le révèle Dominique Lorentz, dans Affaires atomiques (Les Arènes, 2001), aval secret des services américains : « C’est la France naturellement qui fut choisie pour aider Israël afin de ne pas mécontenter le Congrès. »
«Ce, d’autant qu’en 1956 la France ne détenait même pas encore un savoir-faire qu’elle n’a acquis en 1960 et que la France ne disposait pas encore de la bombe… qui intéressait Israël. Pour Lorentz, il y aurait eu en fait complémentarité entre les deux pays, la France apportant sa puissance industrielle et Israël les procédés américains. Ce qui explique que ce sont des Israéliens qui dirigeront le démarrage de la centrale de Marcouleet des physiciens israéliens seront présents, le 13 février 1960, à Reggane (Sahara), pour l’explosion de la première bombe A. Qui connaît pourtant Abel Thomas? Pratiquement personne et son nom n’apparaît même qu’épisodiquement dans les deux ouvrages précités, les seuls pratiquement sur la question. Né à Fontenay-leComte (Vendée) le 18 juillet 1920, il est le fils d’un officier portant le même prénom et de France Chauveau. Passé par le lycée de Beauvais et l’Ecole polytechnique, cet ingénieur général du génie civil maritime, il participera à la Résistance (son frère mourra en déportation à Dora et sa mère sera décorée de la Croix de guerre par le général Koenig, (fervent sioniste) et combattra, comme officier de chars, dans la division Leclerc (1942-1944). Il sera décoré de la Légion d’honneur et de la Croix de guerre.»
 Complément, ajouté le 07 Avril 2010: Extrait de "jeuneafrique.com/Article/LIN24127histoenneil0/Histoire-secrete-de-la-bombe-israelienne.html" :


«Cependant, en France, la IVe République s'efface devant la Ve. Cela ne va pas sans causer quelque inquiétude parmi les dirigeants israéliens. On note toutefois que l'ancien gouverneur général de l'Algérie, Jacques Soustelle, qui compte parmi les amis affichés d'Israël, comme de nombreux gaullistes, est ministre de l'Information dans le gouvernement de Gaulle de 1958, et ministre chargé du Sahara et des Affaires atomiques - cela ne peut pas mieux tomber… - dans le gouvernement Debré en 1959. En face, un personnage étonnant va devenir l'antenne à Paris de Pérès, qui est promu, en 1960, ministre adjoint de la Défense. Ce nouveau venu, Shalhevet Freier, a le statut d'attaché scientifique à l'ambassade d'Israël. C'est un savant et un maître espion, humaniste et militant antinucléaire aux côtés d'Albert Einstein et de Bertrand Russel en même temps que décidé à aider son pays à acquérir des armes nucléaires(Notez le double langage militant antinucléaire, pour les Goyim-naifs et sioniste pour la cause talmude)
Bref, la coopération militaire entre Paris et Tel-Aviv, nouée autour de la guerre de Suez, va perdre de l'intensité, car de Gaulle juge inadmissible l'étroitesse des rapports entre états-majors, mais conserver son efficacité. Ce qui freine quelque peu la mise au point de l'armement nucléaire israélien est plutôt, directement et indirectement, son coût. Parce que les fonds secrets à la dispo­sition du Premier ministre représentent des sommes importantes, mais pas illimitées, et parce que les cadres supérieurs de l'armée, à l'exception notable du général Ezer Weizman, commandant de l'armée de l'air, ont tendance à trouver utopique l'idée d'une arme atomique, et à juger prioritaire que l'on porte remède aux graves difficultés d'approvisionnement des troupes en vivres et en munitions. »
«Comment Israël, en dépit de toute cette activité, de tous les contacts entre diplomates et chercheurs israéliens et français, entre politiciens israéliens et membres de premier plan de la diaspora juive, en dépit de l'intérêt croissant des services de renseignements des puissances, singulièrement des États-Unis, au Proche-Orient, a-t-il pu garder le secret sur son projet nucléaire ? L'explication tient surtout en ce qu'il n'est pire aveugle que celui qui ne veut pas voir.
Dès le mois d'avril 1959, a découvert Karpin, l'ambassadeur du Royaume-Uni à Tel-Aviv avait obtenu des extraits d'un discours de Pérès devant des hauts fonctionnaires, évoquant « le développement d'armements secrets ». Il avait transmis l'information à l'attaché naval américain. La CIA avait vainement essayé d'obtenir une confirmation, et l'affaire en était restée là. Au mois de juillet suivant, le département d'État et l'AEC (Commission de l'énergie atomi­que) avaient appris que la Norvège avait signé un contrat de fourniture d'eau lourde à Israël, alors que les États-Unis, d'abord sollicités, avaient refusé, mais l'information avait été classée sans suite. 



Le 13 février 1960, le premier essai nucléaire français, à Reggane au Sahara, est tout sauf secret : « Hourra pour la France ! » télégraphie de Gaulle. On imagine mal que la présence de deux scientifiques israéliens soit passée inaperçue ..........

....des « grandes oreilles » de Washington.»  
.....sous le long nez de De Gaulle, et les .........yeux clos de Boukharrouba  ! 

4 juil. 2015

BÉNÉDICTION D'ALLAH accordée à travers la présidence de Bouteflika.

ÇA FERA JASER ET RAILLER LES descendants DE ABOU DJAHL, MAIS L'ANALOGIE mérite d'être soulignée car des PLUS FRAPPANTES !
CE QUE les cervelles d'oiseaux refusent de reconnaitre est la BÉNÉDICTION D'ALLAH accordée dans la présidence de BOuteflika (RADHYA ALLAH âanhou oua ardhah ) ! Commérages de concierges sans cesse, c'est leur addiction !
Comme Sidna Moussa (AS) rescapé de la cour de Pharaon, Bouteflika a un parcours miraculeusement semblable, a grandit et murit dans la cour de Boukharrouba (émulateur de Pharaon), jusqu'à s'exiler pendant 20 ans (la traversée du désert), est REVENU EN 1999 pour sauver le pays du système satanique judéo-maçonnique ! Au prix d'un combat aux proportions titanesques, (inconcevable pour les têtes d'oiseaux), et impliquant des forces et moyens monumentaux; l'Algérie reprends graduellement sa place de
 "Tadj", couronne ! 

بوتفليقة ضحّى حتى بصحته لإحلال السلم في الجزائر والعالم

bouteflika_ossfor

-Soyons reconnaissants et plein de gratitude envers Allah ! l'Algérie a été sauvée miraculeusement de la destruction (financière, civile, religieuse, BALKANISATION) !
AU cas ou l'ingratitude actuelle se perpétue, sachez qu' ALLAH risquent de nous CLASSER et RANGER DANS LES RANGS DES ingrats éternels MAUDITS : BANI ISRAEL ! Et peut être nous imposer un AUTRE Tyran !

14 juin 2015


border_army

L'armée des frontières, regroupée en Tunisie et au Maroc, fortement dotée d'un matériel moderne, structurée comme une armée régulière, avec sa hiérarchie d'officiers sortis des écoles militaires françaises ou égyptiennes, son règlement intérieur, ses casernes, ses recrues, son chef tout-puissant, Boumédiene, qui n'a jamais milité en Algérie et a passé toute la guerre à l'extérieur.
Mais lorsqu'elle s'avança vers Alger, l’A.L.N., illusionnée par la décomposition du G.P.R.A., se heurta en septembre à Boghari (1.300 morts) aux militants aguerris et résolus des willayas II, III et IV, tandis que Yacef Saadi, encerclé par les forces de la «Zone autonome d'Alger», capitulait dans la Casbah. Boumédiene, qui n'avait jamais utilisé son matériel lourd contre les Français, osa l'employer contre les djounouds.
Il fut nommé par Abdelhafid Boussouf chef d'état-major en 1960, non pour ses talents militaires, mais parce qu'il joua un rôle décisif dans la répression du «complot des colonels», vaste soulèvement de cadres et de soldats dirigé contre le G.P.R.A. qui refusait d'envoyer des armes à l'intérieur. Par des méthodes bureaucratiques et répressives, il sélectionna un appareil militaire qui finit par coiffer toute l'A.L.N. extérieure et garda son autonomie vis-à-vis du G.P.R.A....
Mais lorsqu'elle s'avança vers Alger, l’A.L.N., illusionnée par la décomposition du G.P.R.A., se heurta en septembre à Boghari .........(1.300 morts !!!) aux militants aguerris et résolus des willayas II, III et IV, tandis que Yacef Saadi, encerclé par les forces de la «Zone autonome d'Alger», capitulait dans la Casbah. Boumédiene, qui n'avait jamais utilisé son matériel lourd contre les Français, osa l'employer contre les djounouds.»

Abderahmane, frere du colonel Chaabani répond au colonel Bencherif !

Abderrahmane, frère du feu Colonel Chaâbani (LIEN)

Un pan de l'histoire de l'Algérie indépendante, le plus important, doit être
appréhendé et analysé à travers la biographie, la vie, les déclarations du colonel Chaâbani. Assassiné par le colonel A. Bencherif, bras droit de Boukharrouba alias Boumédienne, le "Lion du Sahara" ouvre tout grande la porte de l'Histoire véritable, dévoile les vrais  opérées par les agents infiltrés de la France dans les rangs des FLN/ALN, et leur prise du pouvoir violent !
À consulter impérativement le site dédié au colonel Chaâbani, pour découvrir la fraude historique qui se perpétue depuis 50 ans ! Les témoignages de personnalités et d'acteurs de premier plan de la révolution / guerre d'indépendance ----------->   Lien
 Également en langue arabe:
http://colonelchaabani.com/zineb.pdf
«
هكذا فعلوا بشعبـاني
لا يستطيع أيا كان أن يدعي أنه يملك الحقيقة التار
يخية المطلقة (و لو أدى اليمين قائلها)
خاصة إذا كنا نتكلم عن فترة زمنية تاريخية لا يزال صانعوها على قيد الحياة، لكننا نعتبر أن
الزمن يعتبر عاملا أساسيا في الكشف عن الحقائق التاريخية التي كانت عرضة للتعتيم والتضليل
تارة، و للتفسيرات و التأويلات الخاطئة تارة
أخرى، بغض النظر على الأغراض و المقاصد التي
تقف ورائها

Ali Benflis, ex-colonel A.Bencherif bencherif, donc Boukharrouba Alias H.Boumédienne, acteurs du plus grand complot dirigé contre ce pays depuis 1830 !

Le bras droit de Boukharrouba, A.Bencherif, est un caractère intéressant de notre histoire. Il illustre à lui seul toute l'opacité et les non dits de la révolution algérienne avec ses méandres sinueux et ses secrets soigneusement dissimulés depuis 1962. Tout était resté secret , mais commence à apparaitre au grand jour, malgré les tentatives des anciens apparatchiks de la dictature (Benflis, Hamrouche, El Ibrahimi, etc...) de faire obstruction à la vague de révélations qui met à nu la véritable nature subversive, anti-nationale, traitre, d'agents du pouvoir de l'ombre de France,  du socialisme spécifique et de ses faux dévots !

Lounes Aggoun : «Ahmed Benchérif était missionné par De Gaulle pour infiltrer la révolution.»
Pourquoi le colonel A.bencherif s'est opposé à l'élection de A.Bouteflika et pronostiqué seulement 20 % des voix en sa faveur ? Pourquoi A. Bencherif soutient A.Benflis ? Lisons d'abord ce que L.Aggoun historien, dévoile à propos de Bencherif :
(transcription de la vidéo au lien https://www.youtube.com/watch?v=QOUjqCaWExs
«....parmi ces déserteurs (entendre les DAF), tous ne sont pas des opportunistes, il y avait des déserteurs des gens qui ont rallié le maquis sincèrement.
-(
à propos de la promotion Lacoste ) ..Moi ce que j'ai fait dans le livre, c'est que j'ai pris l'itinéraire d'un élément, c'était Ahmed Bencherif, et j'ai suivi son itinéraire qui démontre, mais sans l'ombre d'un doute que c'était un homme missionné par le général De Gaulle pour infilyter la révolution algérienne . Et Ahmed Bencherif ce n'est pas n'mporte qui, c'est l'un des piliers du FLN à l'époque au niveau de la frontière tunisienne, c'est un des piliers du pouvoir qui a ...sous Ben Bella; c'est un des piliers du pouvoir sous Boumedienne, donc voila, on ne peut pas parler comme ça généralement d'une promotion, mais si on suit quelques itinéraires, et moi j'en ai privilégié trois ou quatre celui de Ahmed Bencherif, celui de Ben Bella lui même, et celui de second couteaux pour s'assurer, Bachir Boumaza, Ali Haroun, et compagnie...et on voit que se sont des éléments qui ont été missionnés pour s'assurer que les intérêts de la France ne soient pas compromis après l'indépendance. Et je peux.. me...... vous dire que dans.....du point de vue de la France ça n'est pas anormal qu'il procède de cette façon là. Le problème c'est que le pouvoir qui prit, enfin les militaires qui ont pris le pouvoir ont fait de l'Algérie ce que nous constatons aujourd'hui, c'est à dire pendant 50 ans le déni total à tout algérien d'avoir le droit de quoi que se soit, de parler, d'écrire, de parler de son passé, de jouir de son sol, des bénéfices de son sous sol, etc.. »
https://www.youtube.com/watch?v=QOUjqCaWExs
 

Histoire algérie 1962 ! Vive l'ère de la liberté d'information et d'expression instaurée par Bouteflika !










Lisez, visionnez et écoutez ! Une révolution culturelle se déroule sous nos yeux et l'opinion n'en est pas informée ! Les chaines de la dictature vont être définitivement rompues ! La vérité enfin dévoilée, les témoignages sous baillons depuis 50 ans émergent ! Informons nous, éduquons nous ! On est abasourdi par la vérité, la trahison se confirme dès l'indépendance, et les liens de l'ARMÉE DES FRONTIÈRES avec le colonisateur français se sont raffermis, renforcés, jamais rompus. 

https://www.youtube.com/watch?v=wwKU7Bvh-T0
Exemple, les officiers français d'origine algérienne actifs dans l'armée française et coupables de crimes ont été, par ordres de Boukharrouba, intégrés dans l'ANP ! C'est la haute trahison dissimulée par le clan de Boukharrouba et ses sbires qui activent toujours sous différents couverts dont celui de l'opposition, Benflis, Hamrouche, Al Ibrahimi, Bencherif, etc etc..Ces derniers veulent rétablir l'ancien ordre prédateur, pilleur, traite, abusif, dictatorial !
Plus grave !! Ces scélérats sont liés aux loges judéo-maçonniques de Paris-Sion ! Réveillez vous, ils sont après vos biens, vos intérêts, vos esprits et votre âme !! La vidéo diffusée par "Ennahar.tv " ! Un grand Merci à sa rédaction/production !


Lisez, visionnez et écoutez ! Partagez ! Partagez ! Vive l'ère de la liberté d'information et d'expression instaurée par Bouteflika ! Soutenons le il est encerclé de toute part par nos ennemis ! la vidéo !!! ------- https://www.youtube.com/watch?v=wwKU7Bvh-T0

21 févr. 2014

Algérie Et Histoire De La Bombe A : Ce Que Benjamin Stora Nous Cache !

Bref rappel historique :
Il est toujours gratifiant pour le néophyte s'aventurant sur les chemins sinueux de l'Histoire de constater que son travail de recherche est fiable et instructif. Il y a quatre ans déjà l'auteur de ce blog avait publié deux articles (Lien, ou Lien) rapportant les intrigues juives contre l'Algérie. Les Juifs de France, en premier lieu Bakri, Busnach et Adolphe Jacob Crémieux, sont pointés du doigt comme les instigateurs de la colonisation et principaux responsables des crimes et du pillage de la régence commis durant la période la plus sombre et la plus meurtrière de son histoire (1830 -1962).
Objet de cette note :
La subite et tardive découverte (sic) de l'étendue des dommages occasionnés par la France lors des essais effectués à Reggane, soulève la question de la compétence ou non des historiens officiels à établir un bilan de la colonisation. Incompétence, omerta, ou dissimulation ? 
«Qui cache quoi ?» serait la question d'actualité que devrait poser tout curieux devant le bricolage plus que suspect qui entoure ce dilemme. Une étape a été franchie en publiant et discutant les faits relatifs à cette épisode opaque, la période 1960-1967. Mais les décideurs responsables de cette horreur n'ont jamais été inquiétés par une enquête sérieuse qui situerait le niveau de responsabilité, des deux cotés de la Méditerranée, de ceux qui furent associés à ce crime contre l'humanité.
(Photo au Lien , " leparisien.fr ")   
(«C'est une carte qui fait froid dans le dos. Classée secret-défense par l'armée pendant des décennies, elle vient d'être déclassifiée dans le cadre de l'enquête pénale déclenchée par des vétérans des campagnes d'essais nucléaires français (dans le Sahara..»)
Les documents existent pourtant et le laps de temps écoulé depuis permet légalement l'accès à des archives rendues au domaine public. Où sont les historiens et leurs sponsors officiels qui devraient piocher dans ce dossier épineux et s’acquitter de leur obligation du respect de la mémoire des victimes morts ou vivants ,
Cette tache ne peut certainement pas être confiée à l'imminent Benjamin Stora, ses engagements socio-professionnels et familiaux ne lui permettant pas d'entamer un travail aussi délicat.
Brève rétrospective sur le contexte international :   
Israël souhaitant acquérir l'arme atomique, les éternels conspirateurs, jamais à cours d'idée lorsqu'il s'agit de manigancer quelque coup bas, utilisèrent leurs agents français agissant sous le long nez du président De Gaulle et des généraux la Défense (les Armées), récoltèrent les résultats des expériences au Sahara. Ayant acquis le know-how (théorie et technologie) fournis par leurs coreligionnaires américains, les Israéliens devaient tester les engins de destruction massive avant de lancer les chaines de production ! Avec la complicité des talmudipèdes positionnés dans toute la hiérarchie civile et militaire française, les Israéliens utilisèrent l'Algérie comme laboratoire ! Ceci est la vérité, dévoilée d'ailleurs par de nombreux analystes et historiens (Lien, Lien, Lien, etc, etc..) penchés sur l'étude des causes et origines du conflit qui opposa JF.Kennedy au gouvernement israélien dont le refus du Président d'autoriser l'État Juif à acquérir la "Bombe".
Ce refus et la décision prise par Kennedy de rétablir le Trésor Américain dans son rôle de créateur/émetteur  de la monnaie (le $ dollar), signèrent son arrêt de mort !
De Gaulle a été tourné en bourrique par ses collaborateurs, ceux qui chaque jour récitent une prière : «Lorsque je me lève, je me demande comment servir Israël » (Lien, Lien, Lien, Lien).
Le PLUS GRAND CRIME perpétré contre l'Algérie et son peuple, est cependant celui de la trahison commise par un de ses fils, Boukharouba qui  avait
- absous et pardonner les crimes de la France (son fameux discours «il faut tourner la page de l'histoire»),
- autoriser EN SECRET, en tant que ministre de la défense,  la poursuite des expériences militaires APRÈS 1962,
- puis toujours en SECRET et en tant que président, APRÈS Juin 1965 (coup d'état); et ceci à l'insu de son ministre des affaires étrangères Bouteflika !
Voir les articles(*) Lien , "Algérie : La Face Cachée Et Occulte De L'Histoire Contemporaine" (parties 1, 2, 3, 4).
Expériences nucléaires françaises criminelles, sans l'ombre d'un doute. Mais où étaient les "rèvolutionnaires" qui devaient établir les faits et les responsabilités ?
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(*)Note : Âmes sensibles, ou toujours sous envoutement du socialisme talmude frauduleux, prière s'abstenir !
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17 août 2013

Algérie : La Face Cachée Et Occulte De L'Histoire Contemporaine .(4em Partie)

Boukharouba, traître à la nation et éradicateur des moudjahidines et des grandes figures de la révolution, a renié le sermon solennel des martyrs et tous les engagements contenus dans les déclarations du congrès de la Soummam. La décision du "Conseil national de la révolution algérienne"(CNRA) représentant tous les vrais responsables, fut rejetée par Ben Bella parce que qu'elle stipulait la "primauté du politique sur le militaire et celle de l'intérieur sur l'extérieur" :
«La délégation extérieure installée au Caire et dirigée par Ahmed Ben Bella remettra en cause certaines décisions d'ordre politique telles la primauté du politique sur le militaire et celle de l’intérieur sur l’extérieur. La stratégie adoptée par le congrès de la Soummam dans le respect de la déclaration du 1er novembre 1954 s'oppose à toute forme de tutelle extérieure notamment la mainmise du nassérisme sur la révolution algérienne. L'influence égyptienne sur la révolution algérienne sera effective dès le CNRA du Caire d’août 1957 et l'assassinat au Maroc d'Abane Ramdane en décembre de la même année. La direction de la révolution algérienne connaîtra des conflits (entre pro-nassériens et indépendantistes) et des purges (assassinats des colonels Lamouri, Aouachria, Nouaouria... par Boumedienne en novembre 1958)» 
Quelle démonstration de mauvaise foi de la part  de Ben Bella qui remettait en cause le bien fondé de ce choix collectif, qui aurait du lui convenir en tant que politicien, mais la primauté "de l'intérieur sur l'extérieur" rendant à la lutte sur le sol algérien son mérite et son crédit, ne convenait pas aux "frontaliers", un groupe sur lequel planait l'ombre de l'obscure Boukharouba, alias "André" !
Lors de la COMMÉMORATION DU CINQUANTENAIRE DE L’EMG 
dont un résumé est fourni au Lien, on peut lire :
«Cela a été précisément le cas, hier, au forum d’ El Moudjahid qui a abrité une commémoration du cinquantenaire de la création de l’EMG et où le commandant Azzedine a relaté la vérité historique telle que vécue. Non seulement cela mais aussi la vérité historique dans ses prolongements futurs, ses implications post-indépendance. Il en ressort, en définitive, que l’état-major général, dirigé à l’époque par Houari Boumediene, s’est inscrit, dès sa mise sur pied, dans la logique de la prise de pouvoir. Aussi ce dernier s’était-il attelé à gripper la machine du Gouvernement provisoire de la république algérienne (GPRA) et à sectionner les cordons de cohésion du Conseil national de la révolution algérienne (CNRA). En fait, plus prosaïquement, l’état-major général, dès sa création, activait à couper l’herbe sous le pied des structures intérieures de la Révolution, c’est-à-dire les wilayas de l’intérieur, et ce, dans la perspective de mettre main basse sur le pouvoir une fois l’indépendance acquise.» 
Les intrigues sournoises personnelles d'ambitieux acteurs ont miné le mouvement de libération national jusqu'à l'exposer à l'échec. Les manœuvres pour la prise de contrôle de la révolution ont été recensées et classées par de nombreux témoins et historiens. Celle engagée par Boukharouba a réussi,  grâce à ses puissants alliés de Paris-Sion et aux franc maçons qu'il consultait en secret. Partenariat qui se poursuivra longtemps, après l'indépendance ! 
Première preuve : Cette affirmation peut être démontrée lorsqu'on relève les accords secrets, que les analystes dévoilent jour après jour, qui ont trait aux concessions faites par le Rais à la France pour permettre la poursuite de ses expériences d'armes atomiques et chimiques durant plusieurs années après 1962 ! Le plus grave, ce que je dévoile dans un article ancien (Lien) ou d'un document  téléchargeable "israéliens à reggane.pdf" est que l'inavoué bénéficiaire de cette "coopération" militaire qui a ruiné la santé et la vie de tant d'Algériens, était l'état sioniste, Israél !
Une seconde preuve de l'existence d'une collaboration entre Boukharouba et ses maîtres parisiens apparait à la suite des événements de 1967, consécutifs à la tentative de renversement dirigé par le chef d'état major Tahar Zbiri contre le tyran. Appréhendant toute nouvelle tentative de suppression de son totalitarisme militaire et de la chute de son trône, Boukharouba apeuré et dans un état de panique fit appel à ses alliés de la "fraternité" qui rassemblèrent des dizaines d'actifs de l'armée française, d'origine algérienne mais toujours en exercice dans les casernes françaises. Ces nouvelles recrues rejoignirent secrètement les rangs de l'ANP sous couvert d'un accord de coopération et suite à une prétendue amnistie offerte par l'état algérien.
Ce groupe de "repentis" rassemblait une pléiade d'agents au passé incertain, voir carrément des collaborateur (harkis) qui se retrouvèrent affectés à différentes tâches en Algérie, telle la filature et surveillance d'anciens moudjahidines des Willaya historiques III-IV-I-VI, et le quadrillage de l'administration militaire ! En un mot une Sécurité Militaire parallèle que ne contrôlait pas Kasdi Merbah, mais que le chef de la SM n'en ignorait pas pour autant l'existence.
Une troisième preuve:
Le maintien en poste dans l'administration civile, locale, ministérielle, gouvernementale, de tous les renégats dont les fameux agents de la SAS (Sections Administratives Spécialisées) qui avaient servi d'une manière ou d'une autre la France. Une majorité de secrétaires généraux de mairie, de sous-préfecture, de préfecture, de ministère et au plus haut échelon du gouvernement avaient repris en main les affaires administratives du pays et sa gestion. Ces agents constituaient le support administratif de la dictature et il a fallut attendre le fameux coup de maître de Chadli, un traité d'accord d'indemnisation qu'il avait signé avec Mitterrand, pour qu'ils deviennent "visibles". Une pension délivrée à la poste leur était accordée, faisant d'eux la risée de la population qui découvrait le passé de ces taupes. Beaucoup n'ont pas survécu à la crise cardiaque qui les terrassa !
La "coopération" franco-algérienne établie par Boukharouba ne se limitait pas à ces forfaitures
subversives, elle se poursuivit jusqu'à la fin de son règne. L'intrigant "n'enfilait pas une aiguille" sans consulter De Gaulle (devant lequel il s'était maintes fois prosterné cérémonieusement), ou avant l'assurance de son consentement. 
Révérence d'un despote criminel à un président criminel de guerre !
Les grandes décisions historiques du tyran n'étaient prises qu'après avoir reçu l'aval des "Chers frères" de Paris lorsque n'entrevoyant aucun préjudice, surtout financier ou économique.
Les prestigieuses nationalisations des hydrocarbures illustrent parfaitement la connivence existante entre les "chers frères" d'Alger et de Paris ! Ce dernier point sera plus clairement et amplement analysé dans la suite de la rétrospective de la saga Boukharouba.
La franc-maçonnerie de Paris lui rendait fidèlement la contre partie des services rendus en mobilisant ses média et en construisant une "aura" révolutionnaire et un prestige international qui réconfortaient le pouvoir de la dictature du "compagnon" en Algérie, pays mené vers la faillite généralisée et placé sur un plateau à la portée des banquiers-prédateurs du Nouvel Ordre Mondial juif. Car à propos de la dette, qualifiée "d'aide" par les banques talmudes, elle était injectée quotidiennement dans l'économie, et les titres en première page d'El Moudjahid (archivé et consultable) témoignent de cette frénésie d'endettement dans des projets pharaoniques sans perspective économique et dont le lourd tribut usurier devint un levier de pouvoir juif qui faillit réduire la population à l'esclavage, dans le années '90.  


Avec cette arrière plan historique révoltant en mémoire, on ne peut que condamner et fustiger les auteurs de  biographies fabriquées et d'oraisons funèbres sensationnelles qui n'en finissent pas de défrayer la chronique pour "immortaliser", "faire revivre"; "rappeler l'importance--le rôle primordial--la grandeur--et le mérite" de Boukharouba, l'intrigant du EMG
S.Chitour, MC. Mesbah, A. Mebroukine, P. Balta,
et tous les serviteurs d'un système frauduleux de gouvernance, destructeur d'hommes et de leurs valeurs morales, foyer de toutes les carences et défaillances que l'Algérie endure aujourd'hui, sont les ennemis de la vérité et les receleurs de l'injustice qui a régné dans ce pays pendant des générations.  

 Abusant de la naïveté de nombreux lecteurs, ils dirigent leur unique réquisitoire contre Bouteflika (sans motif et inlassablement depuis 1999), tandis que leur absolution est réservée à Boukharouba l'artisan de la catastrophe nationale.
Chitour dans une parade  rampante écœurante nous livre son commentaire d'un remake,
un film d'horreur dont il tente de nous faire croire que le scénario est celui d'un conte de fées où l'Algérie (la Belle au bois dormant) est séduite par le Prince charmant (Boukharouba) venu à sa rescousse pour la sauver des mains de la Sorcière (le sous développement), mais a été incapable d'accomplir sa mission ayant rendu l'âme en chemin ! "
Incroyable baliverne que ce message publié par Chitour ! Un relent de propagande socialiste ou un blanchiment d'une arnaque historique aux implications désastreuses ?
Il est incroyable et révoltant que ce "professeur à polytechnique" supposé pouvoir traiter de questions scientifiques sérieuses et intellectuellement exigeantes, sombre dans le surréalisme politique lorsqu'il s'aventure dans la chronique de ce personnage célèbre par l'opacité de toute sa biographie et de son œuvre. Son récit nous rappelle la littérature dédiée à "l'épopée soviétique" qui glorifiait les maîtres du Kremlin en les divinisant. Ceci dans le but d'absoudre leurs crimes génocidaires et leur dévouement à l'instauration d'un pouvoir talmude, après la prise en otage de la Russie pour en faire un abattoir de Goyim ! (Lien ou Éduquez-vous !).
Les balbutiements de Mr Chitour pour présenter l'apologie de "notre Lénine" nous rendent perplexes et nous amènent à examiner son état mental signalant une panne cérébrale importante. Serait-elle due à l'injection d'une surdose d'endoctrinement socialiste dispensée lors de ses randonnées au sein du volontariat estudiantin qui s'Ébranlait dans nos campagnes lors de la révolution agraire ? Ou serait-ce un retour de manivelle incontrôlable déclenché par le mécanisme de conditionnement communiste que dispensait le régime aux cercles d'étudiants des années 60-70 ? Ce déclic l'aurait apparemment plongé dans un état comateux que la nostalgie provoque chez certains amnésiques et épileptiques. Ceci en assumant naturellement qu'il est de bonne foi, n'a aucun intérêt personnel, ni de lien de parenté avec le juge-bourreau de la guerre d'indépendance, ni d'affinité occulte le liant aux loges-districts maçonniques. Ce qui serait très flatteur pour sa réputation au vu de sa montée médiatique suspecte.
 Dans son oraison funèbre tardive notre Chitour endosse le témoignage de Paul Bata et Ali Mebroukine, deux personnages énigmatiques qui partagent leur adulation de Boukharouba et se targuent de leurs relations passées intimes avec le Rais et même avec sa femme la charmante Anissa-Esther (Lien).    
Ce que l'on note à la lecture du billet de Chitour est l'exclusive insistance de l'auteur sur la description du caractère du Rais, de ses qualités imaginaires (qu'il fignole subjectivement), de sa vision (sic), de ses intentions, de ses rêves, de sa modestie, de sa pudeur, et blablabla..., en un mot en caressant le caractère émotionnel et non rationnel du lecteur, une méthode classique de manipulation talmude !
Mr Chitour, vous nous chantez une sérénade qui sonne à nos oreilles comme une cacophonie !
L'homme que vous décrivez n'est pas un prétendant à la main de votre fille que vous tentez de convaincre de l'accepter comme époux !
Qu'il soit beau, gentil, aimable, studieux, imposant, sérieux, ne sont pas les critères d'évaluation et du bilan du règne du plus grand tyran que l'Algérie ait enduré de son histoire moderne. "Un arbre est jugé  par ses fruits, pas par son ombrage !"
Les faits, Mr Chitour ! Donnez nous les faits sur   -les projets industriels pompeux et inopérants qu'il a lancés ! 
-Sur les décisions économiques désastreuses qu'il a prises! 
-Sur la terreur qu'il a fait régner! 
-Sur les privations qu'il a imposées au peuple pour "économiser de l'argent" qu'il dilapidait ailleurs pour se construire une image d'icône de la révolution internationaliste talmude ! 
-Ou encore régler les problèmes des autres, ce que le peuple n'avait pas à assumer ! 
-Sur le fiasco de la révolution agraire et la nationalisation des biens licites des citoyens ! 
-Sur la ruine de l'agriculture, à savoir celle d'un pays exportateur de fruits, de légumes et de viandes, devenu importateur de tomate en conserve ! 
Pour remuer quelques souvenirs désagréables que vous semblez avoir répudiés, permettez-moi de vous rappeler l'injustice qui régnait à l'université où les étudiants indigents issus du peuple recevaient 100 DA de bourse par mois, pendant que certains de leurs camarades, ceux recrutés par la SM, menaient un train de vie d'enfants d'Onassis avec 3000 DA / mois (N'est-ce pas Mr Chafik MESBAH ?).  
Vous souffrez d'amnésie sélective, vous qui détaillez les goûts artistiques de vôtre Saint-des- Saints mais perdez de vue les forfaits de sa dictature militaire et de la discrimination sociale des castes, au sommet la soldatesque (tous grades confondus), à la base la paysannerie et les "intouchables" réactionnaires  !  
 Votre compte rendu de la vie de votre idole est en décalage par rapport à celui de sources respectables (Ferhat Abbas, Benkhedda, Boudiaf,  etc...).  Le criminel aux méfaits reconnus et à la perfidie établie en toute objectivité par les observateurs et témoins intègres de l'histoire ne correspond pas au personnage que vous décrivez en termes si complaisants !  
Chitour endossant Balta (Lien) :
"Discret mais efficace, timide mais fier, réservé mais volontaire, autoritaire mais humain, généreux mais exigeant, prudent dans l´audace, voilà comment m´est apparu Boumediène lorsque j´ai eu à le connaître et à l´observer. Homme du soir, il aimait se retrouver, de temps à autre, tant qu´il était encore célibataire, avec quelques amis auprès desquels il se montrait enjoué et rieur, selon ce que m´ont affirmé plusieurs d´entre eux.»
Quel tableau séduisant du commanditaire de l'assassinat de tant d'Algériens patriotes dont le tort avait été de s'opposer à ses putches militaires de 1962 et 1965, ou d'avoir mérité la gloire par leur abnégation et leurs sacrifices au combat contre la France, sur le territoire national, pas hors des frontières !
A propos de ses revenus : 
Un révolutionnaire sans le sous n'a pas besoin d'un homme d'affaire millionnaire, Mr Zeggar, comme confident et représentant aux États Unis, auprès de Rockefeller. 
-Que sont devenues les 5/6-em des recettes des hydrocarbures (gaz naturel) après que la socièté El Paso n'ait payé que 1/6-em du prix du gaz dans un "contrat du siècle" que Boukharouba avait signé en personne ! 
-Et l'achat des 50 Boeing, également négociés par lui ?
Ce n'est pas Mr Chafik Mesbah, tant introduit auprès de sources "fiables"  qui nous donnera les réponses, car lui aussi nage dans la vénération virtuelle orchestrée par le pouvoir occulte (Photo)
qui s'accoude sur le système légué par la Zaim postiche !
Siège SONATRACH : L'empreinte digitale de la franc-maçonnerie symbolisant "Babel", la capitale mythique des Rabbins talmudes héritiers de la Babylone antique, capitale qu'ils espèrent ré-établir à Jérusalem. Une autre agence de Satan a ouvert ses portes. A croire que ses arrogants adeptes "illuminés" s'affichent aux yeux de l'opinion. «Combien ruineux est leur négoce !» (Coran)
Les réalisations ruineuses et les dégâts multisectoriels irréparables causés par la politique mensongère, la démagogie chimérique et l'utopie stérile de Boukharouba seront abordés prochainement.

                                          A Suivre......

13 févr. 2010

La Veuve Noire: Nostalgiques Juifs d'Algérie. (1ère Révision)


 La visite de sites juifs qui se spécialisent dans l'exaltation nostalgique et plaintive de l'origine algérienne de leur communauté, est rafraîchissante, tant elle permet d'actualiser la perception de l'humeur politique des communautés séfarades.
"Harrissa" et Zlabia" ont des consonances  gastronomiques qui ne devraient cependant pas tromper le visiteur sur l'objectif de tels outils médiatiques, qui demeurent des instruments subtils d'ingénierie sociale.
Le but annoncé est "d'offrir un lieu de rencontre" aux membres de cette communauté juive originaire d'Algérie.Minorité qui a, selon ses avocats, enduré un "exil forcé", survenu après 1962, date de l'indépendance.
Selon leur déclaration: «principalement par peur de représailles des "hordes" du FLN qui mettaient en péril la vie même de ces Français de confession juive
Ce résumé condensé des réalités historiques reflète la pensée de la communauté juive, qui après 50 ans et les revers endurés sous le régime sioniste en Israël, ou ailleurs, redécouvre ses origines nord africaines. Cet article est destiné à exposer une partie de la malhonnêteté intellectuelle des écrivains qui traitent de l'histoire de leurs coreligionnaires en Algérie. Ces historiens sont avant tout les "gardiens d'enceinte" du mythe de "l'oppression du juif". Ce concept fallacieux est défendu avec acharnement par les imposteurs sionistes car c'est le vernis qui dissimule leur  idéologie réelle. Une toison d'agneau dont se couvrirait le loup  prédateur impitoyable, pour duper ses victimes. Mais je préfère l'analogie du serpent, sournois et silencieux, camouflé par la végétation (le milieu social) qui peut dévorer une proie dix fois son poids. Capacité démontrée dans l'Histoire contemporaine par cette minorité  qui littéralement "phagocyte", socialement, économiquement, et politiquement, la majorité goyim. Telle est la fonction essentielle des juifs-sionistes dans le Monde.
Pour ce qui concerne l'agitation que les séfarades orchestrent à travers des sursauts de revendications, de réclamations, d'accusations, ou de protestations, canalisées par leurs puissants média, il est intéressant d'en connaître les motifs non avoués, cachés. Ceux-ci peuvent être observés à travers les chroniques de leurs historiens,  à l'image de Benjamin Stora, un "spécialiste" de l'histoire contemporaine d'Algérie. Le "cœur ayant sa raison", il est naturel que l'historien abandonne, dés son approche  de  l'Algérie, son impartialité, qui fait place à son parti pris chauvin, qui est sans concessions. De  toute manière le Talmud lui interdit formellement de témoigner contre ses coreligionnaires, au risque qu'encourir la peine de mort ! 
Marxiste révolutionnaire et Trotskyste, impliqué activement dans les groupes subversifs néo-conservateurs de la "gauche", de défense des droits (sélectifs) de l'homme (Human Watch,), , sympathisant des partis sectaires algériens à consonance culturelle mais à "résonance" séparatiste et "dissensioniste", FFS, RCD, et  surtout MAK.
L'homme est le modèle parfait du "Gardien d'enceinte" et a été investi de la mission consistant à gérer, canaliser, censurer, influencer, moduler, le cours des événements, mais surtout leur interprétation. Toujours selon la tendance que "l'éternel conspirateur" a désignée pour préserver son quadrillage de l'opinion et raffermir sa tyrannie sur la pensée libre et les idées indépendantes : technique et stratégie pour un contrôle progressif de la planète.
Il est intéressant de voir combien les vues subjectives de ces  marchands d'Histoire dissimulent leur rôle partisan dans l'aiguillage des événements et le modelage de leur interprétation. Car sous le masque  de ces historiens et observateurs, sommeille un militantisme politique  et religieux, étroit et incontournable, qui indiscutablement les dépouille du critère d'objectivité scientifique, qui est la qualité du témoin neutre lors de l'observation et description des faits. Notre Benjamin arpente la scène historique, en dissimulant ses croyances politiques et religieuses sous sa tenue professionnelle, la pompeuse  "expertise". Sa stratégie consiste à gagner la confiance aveugle de ses victimes par l'étalage de ses connaissances sur l'Algérie, gage de sa compassion pour le pays et son peuple. Une fois réconforté par la confiance et la naïveté de ses amis et dupes, il commence à distiller le "poison" du mensonge et de la diversion dans le "miel" du thème qu'il traite. Comme lorsqu'il aborde le chapitre  "juifs en Algérie", dans lequel il démontre une indulgence indécente pour la communauté auquel il appartient, et dont il tente de blanchir les crimes et les malversations. Déculotté, et dénoncé pour ses opinions politiques excessives, qui avaient pris l'allure d'activisme menaçant l'ordre publique, il s'est replié vers la France. De là, l'enfant du sionisme-talmudisme s'est recyclé, ouvertement, dans le militantisme anti-algérien, mettant à nu ses vrais convictions.   Récemment, Stora le "spécialiste" de l'histoire d'Algérie, a carrément déposé sa plume de scribe de l'histoire officielle (des éditeurs  juifs), et rejoint les rangs de la nébuleuse qui depuis 10 ans s'éreinte inutilement  à vouloir entraver la mission de Bouteflika.  Président dérangeant le système de gouvernance frauduleux, le pouvoir de l'utopie révolutionnaire. Ce même dogmatisme auquel Benyamin Stora prétend vouer de la passion: la démagogie populiste et l'utopie du marxisme-trotskisme.
La gestion pragmatique adoptée par Bouteflika, qui s'est distancé des "ismes" , est la cible de cette tempête médiatique contre l'Algérie, orchestrée bien sûr par le cartel mondial occulte du sionisme-talmudisme  (voir les articles, Lien1, Lien2, Lien3, Lien4). Les fables mensongères et  les analyses orientées de l'histoire ne pouvaient trouver meilleur terrain de confusion  que lorsqu'elles abordent le passé des juifs en Algérie. Ces pieds noirs drapés de nostalgie culturelle et de fanatisme religieux,  refusent toujours d'assumer leur participation et leur responsabilité dans les crimes commis contre la majorité musulmane. Cette communauté séfarade, étrangère à l'Algérie, tente le blanchiment des actes criminels de leurs aïeux et contemporains, et n'a jamais abandonné sa haine de l'islam, d'où les intrigues instiguées subtilement sous le couvert de "publications historiques". Le stratagème est classique: reporter le tort sur l'adversaire, le FLN et combattants armés, et se posturer comme victime, en occultant de manière grossière les opérations belligérantes personnelles, dont:
-La colonisation  provoquée par les malversations financières des banquiers et marchands juifs;
-Le ralliement des juifs de France à leurs coreligionnaires algériens avec un soutien illimité 
matériel, moral et légal;
-La collaboration collective active avec la France dans sa campagne de génocide et plus tard avec Israël pour concrétiser le transfert du nucléaire au prix d'essais criminels, opérés et supervisés par les Juifs Français et Israéliens à Reggane, au détriment des populations musulmanes qui endureront éternellement les séquelles des expériences nucléaires; 
-L'implication des politiciens les plus virulents, ceux qui ont défendu "l'Algérie française" et engagé les actions les plus meurtrières contre la population musulmane (Mittérand, Messmer, Soustelle, Debré et autres juifs).
-Puis l'OAS:  (WikiPedia) «Les juifs pieds-noirs et l'OAS»
«Pendant cette période, la communauté juive s'oriente d'une manière générale vers une attitude neutre. (sic).Les organisations communautaires font preuve d'une extrême modération et refusent de prendre politiquement position, car elles considèrent que cela ne les concerne pas, pourtant certains s'engagent au sein de l'OAS, de manière individuelle comme Jean Ghenassia qui deviendra le lieutenant de Joseph Ortiz (selon Emmanuel Ratier), ou collectivement comme à Alger et à Oran où ils seront particulièrement actifs. Regroupés au sein des « Commandos Colline », ces groupes sont liés aux réseaux France Insurrection conduits par Elie Azoulai et Ben Attar. Ils assassineront certains élus musulmans, essaieront de mettre le feu à la prison où sont détenus des hommes du FLN et abattent des officiers français, comme le Lieutenant-Colonel Pierre Rançon, chef du 2e Bureau d'Oran, chargé de la lutte anti-OAS.»
A propos d'OAS, observons les faits d'armes de cette pègre de généraux  dont la bravoure défaillante et l'ingénuité chancelante, dans la jungle Indochinoise, s'étaient métamorphosées en héroïsme et  génie militaire, dans.....les ruelles d'Alger.
sur les murs d'Alger - mars 1962
«L'OAS, Organisation Armée Secrète, fut constituée en 1961, à l'instigation des généraux Salan et Jouhaud et d'hommes politiques comme Jean-Jacques Susini ; elle tenta par tous les moyens - attentats en Algérie et en France - de s'opposer à la politique algérienne du général de Gaulle. Quand il fut clair que l'indépendance de l'Algérie était inexorable, l'OAS pratiqua la politique de la terre brûlée. Le terrorisme aveugle de l'OAS contribua au départ d'Algérie de la grande majorité des pieds-noirs.»
«Jean-Marie BASTIEN-THIRY - né en 1927 - lieutenant-colonel, ingénieur de l'armement - organisateur des attentats de Pont sur Seine et du Petit-Clamart contre de Gaulle. Condamné à mort et fusillé au fort d'Ivry, le 11 mars 1963.
Roger DEGUELDRE - né en 1925;Le lieutenant Roger Degueldre a été fusillé le 5 juillet 1962 au fort d'Ivry. Ancien maquisard F.T.P. engagé dans l'armée à la Libération et passé à la Légion, il gagna ses galons en Indochine puis en Algérie. Déserteur le 22 avril 1961 lors du putsch des généraux à Alger, il devient le responsable des "commandos Delta" de l'OAS qui exécutent assassinats et actes de terrorisme. Degueldre fut condamné à mort par la Cour militaire de justice le 28 juin 1962.
Albert DOVECAR et Claude PIEGTS, qui avaient sous les ordres de Degueldre participé à l'assassinat du commissaire Gavoury, ont été fusillés le 7 juin 1962.
Edmond JOUHAUD - général - né à Bou Sfer (Algérie) en 1905 - il fut la cheville ouvrière du putsch d'avril 1961, puis chef de l'OAS en Oranie. Arrêté le 25 mars 1962, il est condamné à mort le 13 avril 1962 ; sa peine est commuée le 28 novembre 1962, en prison à vie, et il est libéré en décembre 1967. Il est décédé en septembre 1995.
Raoul SALAN - général -  né en 1899, décédé le 3 juillet 1984 à Paris. Général de division sous de Lattre pendant la campagne de 1944/1945, il fut nommé commandant en chef en Indochine (1952/1953) puis en Algérie (1956/1958). Il se rallia au général de Gaulle lors des événements de mai 1958, mais, partisan de l'Algérie française, il rompit avec lui. Il fut l'un des organisateurs du putsch des généraux (avril 1961) ; puis il fonda l'OAS. Condamné à mort par contumace (11 juillet 1961), puis arrêté à Alger (20 avril 1962) ; sa peine est commuée en détention à vie (23 mai 1962). Amnistié en 1968, il fut réhabilité en novembre 1982.»
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Rappel historique


 (Lien):"les juifs de l’Algérie coloniale", extraits de «La guerre d’Algérie, de la mémoire à l’histoire», Hassan Remaoun et Gilles Manceron.
-1- «Avec la conquête de l’Algérie, en 1830, les Juifs algériens, dont quelques-uns connaissaient le français, avaient accueilli assez favorablement l’arrivée des nouveaux arrivants et étaient devenus des sortes d’intermédiaires entre colonisateurs et autochtones. (lire collaborateurs, traîtres envers l'Algérie, leur "chère" patrie). Étant vite entrés en contact avec les représentants des Juifs de France, émancipés depuis la Révolution française (puisque la destruction de la Royauté, par les agents de Rothschild est qualifiée "d'émancipation" au lieu de coup d'état), c’est-à-dire devenus des citoyens français relevant individuellement de la loi française (une farce fabriquée par les juifs contrôlant  toute la hiérarchie gouvernementale, dont symboliquement le Ministère de la Justice, Mr Crémieux!)  au prix de la perte de leur "statut personnel" juif antérieur (juridiction des tribunaux rabbiniques sur les mariages, les divorces et les successions), les Juifs d’Algérie avaient subi leur influence et aspiré à la même condition.»
-2- «L’administration militaire française avait supprimé peu à peu l’autonomie interne des communautés juives     d’Algérie.» «A partir de 1845-1850, les Juifs d’Algérie, soutenus par les libéraux et des notables musulmans, avaient commencé à revendiquer la citoyenneté française. Elle leur avait été accordée d’abord par Napoléon III, par le sénatus-consulte de mars 1870, puis, après la proclamation de la République, par le décret connu sous le nom de décret Crémieux, précisé en octobre 1871 par l’Assemblée nationale.»
Le rejet massif de la citoyenneté algérienne par les juifs qui ont rallié leurs coreligionnaires français par leur adoption  de la citoyenneté française après le décret Crémieux(1870, du nom de leur coreligionnaire Adolphe Crémieux, ministre de la justice de la France, France déjà sous domination juive).
-3-«....le 7 octobre 1940, le gouvernement de Vichy abrogea le décret Crémieux, retirant aux Juifs tous leurs droits à la citoyenneté française et refaisant d’eux des "indigènes" au même titre que les Musulmans, ce n’était pas uniquement le résultat de la politique décidée en métropole mais aussi la conséquence de cet antisémitisme persistant au sein de la société européenne d’Algérie.»«La mémoire française a préféré retenir l’idée d’une cohabitation difficile entre les Juifs et les Musulmans d’Algérie, projetant rétrospectivement les conflits venant après la Seconde Guerre mondiale, alors que les incidents furent rares entre ces deux communautés et souvent suscités par des antisémites européens à la recherche de troupes pour commettre des violences».
-4- «Ce ne fut que le 20 octobre 1943, soit près d’un an après le débarquement allié en Afrique du Nord - le Service des questions juives d’Alger étant resté ouvert jusqu’en mars 1943 -, que le Comité français de libération nationale accéda à la demande des Juifs d’Algérie de recouvrer leurs droits politiques de citoyens, demande à laquelle les notables musulmans, qui formulaient la même pour tous les Algériens, étaient loin d’être hostiles. Quant aux responsables européens de la répression anti­-juive, ils ne firent, pour la plupart, l’objet d’aucune poursuite.»
-5-Acte final (1956), le FLN demande à la communauté juive de se positionner par rapport au conflit ( la guerre d'indépendance) :
«La dernière étape du processus d’intégration des Juifs d’Algérie à la communauté européenne correspondit à la guerre d’Algérie. En 1956, un appel du FLN les incitait à soutenir le mouvement pour l’indépendance, ce que firent un petit nombre d’entre eux, mais la grande partie était déchirée entre ses racines algériennes et son attachement à la France, où se mêlaient, selon les cas, un attachement au statut de citoyenneté qu’elle leur avait finalement assuré et une nostalgie de la société coloniale, où ils occupaient, malgré tout, pour beaucoup d’entre eux, une situation privilégiée par rapport à la masse de la population. [...] Les Juifs d’Algérie avaient peur que la France ne se soucie que des Français ou des Européens "de souche" et que leur citoyenneté française, rétablie moins de vingt ans plus tôt, ne soit de nouveau remise en cause. A leur demande, les accords d’Évian précisèrent que les Juifs d’Algérie seraient considérés comme européens et la France prit même, en 1961, à la veille de l’indépendance, une mesure donnant la citoyenneté française aux quelques Juifs habitant, hors des limites des départements d’Algérie, les territoires du Sud conquis en 1870, qui n’étaient pas citoyens français et conservaient leur statut personnel.»
-6-Confortable dans son statut d'Européen, le français  juif d'Algérie souhaite garder "le beurre et l'argent du beurre", et son opportunisme ancestral et sa perspicacité légendaire lui dictent la prudence qu'impose la règle  "ne pas placer tous ses œufs dans un même panier".Ainsi les défenseurs de "l'Algérie Française", puis de l'OAS génocidaire pourront s'enorgueillir de posséder en leur sein les meilleurs représentants de la communauté juive, les ministres des gouvernements français, les gouverneurs d'Alger, les officiers de l'armée régulière et les "chefs" de l'OAS (A savoir, les bras de la déesse Shiva, analogie sioniste du..sionisme dans les "protocoles")
 Ces faits révoltants, les historiens et les nostalgiques juifs de l'Algérie ne les mentionnent jamais, car préférant les occulter pour perpétuer le mythe de victimes éternelles aux mains des injustices du goyim (non juif). La shoah étant un autre stratagème à grande échelle, mondiale,  justifiant leur contrôle planétaire, des crimes génocidaires contre l(humanité goyim:
-les deux guerres mondiales dont ils ont été les instigateurs,
-les massacres  et punitions collectives infligés aux Arabes-Musulmans (Liban, Irak, Afghanistan, Syrie, etc...). Occultant leurs crimes et se lamentant interminablement,  grâce à l'artifice  médiatique, assis toujours au banc des victimes, jamais à celui des accusés.

Par peur de trop m'étendre sur le sujet, je me limiterais à mentionner un de leur grand accomplissement humanitaire, la liquidation de quelques 60 millions de tubes digestifs inutiles (l'expression est de Rockefeller et Kissinger) en Union Soviétique, de la main du politburo communiste juif ! (sujet à "piocher" sur le web pour une révision des vérités  historiques officielles, "tamisées",  sans quoi ,elles heurteraient les yeux).
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Ces ex-Juifs d'Algérie encadrés par leur patronat sioniste adhèrent entièrement à l'idéologie talmudienne de suprématie religieuse expansionniste. Ils ne contestent nullement l'apanage du privilège divin, leur  permis religieux de violation des droits  des goyim, le pillage de leurs biens et la dégradation de  leurs valeurs. Sachez que leurs attachements-et-affinités géographiques servent qu'un objectif: la tentative d'ingérence.
Au nom de faits historiques travestis, d'interprétation subjectives, ils ont traqué  et capturé une fraction d'Algériens et les ont dressés jusqu'à leur adoption du sionisme politique (sans le judaïsme religieux que les Rabbins de Tel-Aviv se refusent à partager. Voir dans ce contexte le contenu des dogmes  chimériques occasionnés d'intérêts matériels, du groupe de renégats à leur patrie, les malfrats recrutés  par le MAK de Ferhat M'henni). A ce jeu d'ingérence les juifs ont réussi, rendant cependant service à l'Algérie, en balayant de sa porte les brebis galeuses,  dissimulées parmi nous.
La spéculation juive sur les origines des peuples d'Afrique du Nord ne sert pas plus à étancher leur soif de savoir qu'à fabriquer des arguments leur permettant de créer ou d'entretenir des différences internes mêmes marginales et en faire une source de conflits. Beaucoup de Berbères ont été hellénisés, puis certains esclaves judaïses, ont fondé Carthage et la Numidie, sont devenus Romains et Chrétiens et, enfin Musulmans. Nombreux parmi ces derniers, païens et barbares d'hier conquirent l'Espagne, y établirent la civilisation d'Andalousie qui rayonna par son incomparable développement culturel, scientifique et religieux. Motivés par des convictions sincères,  ils sont les bâtisseurs d'une révolution humaine authentique et d'une métamorphose immuables de leur patrie tout au long d'une  transition historique, que les chuchotements maléfiques du sionisme tentent de leur faire renier. Offre envenimée  d'une vision corrompue et raciste de l'histoire qui dénature arbitrairement un pan entier de leur héritage, celui de 15 siècles d'Islam. Troquant leur statut d'homme universel à celui  mythique, dévalorisé par "L'éternel conspirateur", d'esclave judaïsé !
A cette fraude historique déceptive s'allient tous les porte-paroles séfarades qui se spécialisent dans l'écriture de fables sur l'Algérie, tous occultant les crimes commis périodiquement contre les Musulmans.
 L'un d'entre eux, Jacques Attali, pas le moins vil ni le moins subtil, mais un monstre médiatique affublé de mérites intellectuels que lui prêtent ses acolytes des média juifs. Et, dont le palmarès éloquent se résume à la fourberie politicienne et mercantile, le mensonge enrobé de scientisme, et la raillerie du goyim crédule.
A la question de "zlabia.com" (Lien):
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Remarque alarmante: Suspecte la largesse d'esprit d'El-Watan et de "son engagement doctrinaire humanitaire pour les causes justes juives". Le quotidien "cheval-de-Troie de Rothschild", reporte l'intégralité de l'interview sous la plume de Sid Ahmed Hammouche (en date du 29 Aout 2009-lien), après une introduction sur l'auteur singularisée par les louanges et la glorification de ce génie, auteur du "Dictionnaire amoureux du judaïsme". Prosterné, Hammouche, avocat  de cette "victime de la guerre  d'indépendance", écrit :
«Sacré. Le gourou de la finance publie un Dictionnaire amoureux du judaïsme (chez Plon) et revisite son passé algérien. Dans son ouvrage, l’essayiste, économiste, patron d’entreprise, ex-conseiller du président François Mitterrand se promène dans l’histoire du peuple juif et d’une religion universelle (sic, raciste dans le fond et la forme). Avec délice et talent, l’écrivain français dresse la carte d’identité d’une foi qui puise ses racines dans les origines du monde (faux ! Foi fabriquée par les Rabbins dans le texte contrefait du Talmud)
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Qui est Attali l’Algérien ?»
-Il répond : 
«Mon père, qui est né en Algérie. Sa famille était ancrée depuis des siècles dans ce pays porteur d’un judaïsme très fort. Un judaïsme algérien extrêmement cultivé et intense. Un judaïsme qui a des origines profondément berbères. Une grande partie d’entre eux ont été convertis avec la Kahina, cette grande femme de pouvoir berbère et juive, qui a tenu tête aux musulmans d’Orient lors de leur arrivée au Maghreb.»
Entrant d'emblée dans le rôle que le scenario de "zlabia.com"  lui a réservé : le prédateur averti, qui de ses crocs, mord dans la chair de sa victime, l'Algérien berbère, pauvre victime innocente, naïve et crédule, flatté par les propos de ce géant (enflé par la publicité mensongère) qui propose de partager (en guise d'appât bien sûr) son orgueil racial (orgueil que le Tout puissant a damné dans tous Ses livres saints et de la parole de Ses Prophètes, Moise en tête).
Attali lance une fleur: le qualificatif «cette grande femme», à propos de la mythologique «Kahina», ce qui flatte l'égo  et brise l'âme, du Berbère, détruisant les barrières érigées dans son subconscient par les défenses naturelles ancestrales. Anesthésié par le parfum de la fleur, il baisse les bras et offre sa nuque à la bête.
Zlabia: «Vous vous sentez pleinement Algérien donc ?»
Après un grognement bestial et une accolade, il étreint sa proie, lui susurrant la réponse:
«Je suis Algérien. Je suis né en novembre 1943 à Alger et j’ai quitté mon pays en 1956. La langue maternelle de la famille de mon père et de ma mère était l’arabe. Nous ne sommes pas des pieds-noirs. Reste que j’ai vécu l’histoire de ma présence en Algérie comme un apartheid. Nous n’avions aucun contact avec les Arabes. Et les seuls mots d’arabe que je connaissais, c’était des insultes ! Le mot « yaouled », en arabe, veut dire « un enfant ». Pour moi, il signifiait le porteur de commission au marché. Et « yaouled » pour moi signifiait la soumission. J’ai gardé ce mot gravé dans ma mémoire. Je garde d’Alger, que j’ai quittée à l’âge de 13 ans, des souvenirs désordonnés : la parfumerie de mes parents, rue Michelet, la synagogue de Saint-Eugène.»
Les larmes aux yeux (de plaisir sadique) de tenir enfin sa proie, il dévie l'attention du Berbère naïf et confiant, du doigt désigne l'Arabe, l'ennemi commun. La tête de l'agneau pivote, ses yeux se figent sur l'Arabe. Le carnassier, d'un coup lui sectionne la glotte.
Zlabia:«Et pourtant, vous ne pouvez pas y retourner… »
Le prédateur toujours larmoyant et endurant la "souffrance de l'exil ", achève sa victime.
Mais toujours pas repu, il tente de pénétrer dans la bergerie et de poursuivre son carnage: 
«Je fais partie de ces rares personnes dans le monde qui n’ont pas droit d’aller se recueillir sur la tombe de leurs grands-parents. Les juifs d’Algérie ont été coupés totalement de leurs racines à partir de l’indépendance en 1962. Je ressens ça avec de la tristesse, parfois de l’amertume et parfois de la rage. Mon père a été très tôt convaincu que l’Algérie serait indépendante. Mais il était aussi sûr, tristement, que les juifs n’y auraient pas leur place. Il a donc décidé dès novembre 1954 de partir pour Paris. Tristement. Quand je vais dans une synagogue de Paris, je cherche toujours un lieu où je me sens comme à Alger.»
Subjugué par les émotions il marque le pas et préfère une virée vers l'étable, ciblant les vaux assoupis sur son œuvre romantique, le «Dictionnaire amoureux du judaïsme».
Zlabia: «Revenons sur votre ouvrage, pourquoi un livre sur le judaïsme ? »
-«Bla, bla, bla,...»
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Merci à "zlabia,com" d'esquisser un portrait du monstre:
«Sacré. Le gourou de la finance public (pillage privé des biens étatiques avec consentement des citoyens Goyim) un Dictionnaire amoureux du judaïsme (chez Plon) et revisite son passé algérien (ingérence).»
Et plus loin, le couronnement de sa carrière professionnelle:
«2001. Il est mis en examen dans l’affaire Angolagate pour recel, d’abus de biens sociaux et trafic d’influence. Le jugement sera rendu en octobre 2009.»
Le péché mignon du sioniste-talmudien, le vol (licite) des biens Goyim. Car le vol est recommandé et béni par le Talmud, aussi longtemps que la victime n'est pas juive !
A qui se fier ? Quelle est la réponse raisonnable, optimale, adéquate et  objective à  opposer à ce ras de marée nostalgique qui submerge l'Algérie ?
-La méfiance  et la prudence !
Pourquoi ?
Une brève rétrospective historique des forfaits à enregistrer dans le dossier "Juif d'Algérie" nous le dira:
L'incident dit de "l'éventail"---les actions subversives des agents internes commandités par la trahison juive  durant la colonisation (qui a causé le génocide de millions d'Algériens)---la guerre de libération (d'autres millions)---l'OAS exterminationiste ---les crimes perpétrés par les ministres juifs français qui dirigèrent les essais nucléaires (sous la supervision des ingénieurs du Mossad)*, sont l'exemple d'événements qui s'inscrivent sur la longue liste millénaire des agressions meurtrières contre les Algériens et sont l'évidence et la preuve flagrante de la haine et de l'animosité qu'entretient à notre égard la gente judéo-sioniste.
Par équité, faisons exception des Juifs qui courageusement, se distancent du sionisme et se déclarent eux mêmes victimes de la manipulation des "maîtres de la subversion" (les banquiers et idéologues juifs-sionistes de Paris-Londres-New York).
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Au manque de pudeur qu'affichent ces nostalgiques (certains réclamant une indemnisation de leurs possessions en Algérie), nous répondons avec fermeté: Où est votre repentance pour les crimes et génocides commis contre nous, vous, qui avez exigé  du Pape sa prosternation devant la déesse Shoah et son repenti publique pour les crimes commis par la chrétienté (souvent en réponse à votre malveillance),  depuis Jules César !
L'effronté sans honte exposé, à la Foule dénudé ,il est raillé  .
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(*)Dans un document inédit(téléchargeable au Lien
Page1:« Dans les années 50, le destin de l’Etat hébreu était l’une des priorités du pouvoir français. Une politique d’aide militaire, secrètement élaborée au ministère de la Défense, aboutit à un accord nucléaire jamais avoué […] Haut fonctionnaire et personnage très influent de la politique française de défense de l’après 1945, Abel Thomas est l’homme qui a livré le programme nucléaire français à Israël. Dans les années cinquante, il était le chef de cabinet du ministre de la Défense, Maurice Bourgès-Maunoury […] De nombreux politiques et militaires français, socialistes pour la plupart, entretenaient alors avec Israël une véritable passion romantique, et Abel Thomas joua le rôle le plus décisif dans la participation de la France à l’option nucléaire de David Ben Gourion. “C’est l’oeuvre de ma vie. Pour moi, le destin d’Israël fut vital dès sa création.” »
«Le même article explique que le ministère de la Défense, Abel Thomas étant en première ligne, commença par livrer secrètement, à la fin de 1955, neuf Mirage… qui furent effacés des effectifs officiels, sans même en informer le ministère des Affaires étrangères dirigé par Christian Pinault, considéré, ainsi que la plupart des diplomates, comme « pro-arabe». 
«En 1956, Thomas joua un rôle majeur dans l’opération de Suez, après la nationalisation du canal par
Nasser, étant le contact privilégié de Shimon Peres, alors ministre israélien de la Défense. Mieux, Peres «Le Yediot Aharonot de Tel Aviv publiait fin septembre (1) un article révélant un accord nucléaire jamais révélé entre la France et Israël, ou comment la France a livré à l’Etat hébreu l’arme nucléaire. A la tête de cette fantastique trahison étatique, un Français, Abel Thomas, aujourd’hui âgé de 80 ans.»
Page 2:
«.....il disposera même d’un bureau à Matignon, à côté de celui du Premier ministre! Puis, Abel Thomas, François Perrin, le directeur du Commissariat à l’énergie atomique, et Shimon Peres firent fléchir le Premier ministre Guy Mollet sur la question du nucléaire. Dès octobre 1957, Israël et la France signaient un accord diplomatique  avec des clauses secrètes sur le nucléaire. La France s’engageait à fournir une pile atomique qui devait être installée à Dimona, dans le désert du Néguev, l’uranium enrichi (mais Thomas a refusé de le confirmer) et le matériel nécessaire à la fission du plutonium.»
«Bref, on parlait de nucléaire civil et on pensait nucléaire militaire. Comme devait le déclarer le journaliste d’investigation Pierre Péan, auteur de Les Deux Bombes (Fayard, 1982) : « Le plus étonnant est que les Français aient aussi rapidement livré un programme nucléaire à peine sorti des fonts baptismaux. » Il y eu en fait, en sous-main, comme le révèle Dominique Lorentz, dans Affaires atomiques (Les Arènes, 2001), aval secret des services américains : « C’est la France naturellement qui fut choisie pour aider Israël afin de ne pas mécontenter le Congrès. »
«Ce, d’autant qu’en 1956 la France ne détenait même pas encore un savoir-faire qu’elle n’a acquis en 1960 et que la France ne disposait pas encore de la bombe… qui intéressait Israël. Pour Lorentz, il y aurait eu en fait complémentarité entre les deux pays, la France apportant sa puissance industrielle et Israël les procédés américains. Ce qui explique que ce sont des Israéliens qui dirigeront le démarrage de la centrale de Marcouleet des physiciens israéliens seront présents, le 13 février 1960, à Reggane (Sahara), pour l’explosion de la première bombe A. Qui connaît pourtant Abel Thomas? Pratiquement personne et son nom n’apparaît même qu’épisodiquement dans les deux ouvrages précités, les seuls pratiquement sur la question. Né à Fontenay-leComte (Vendée) le 18 juillet 1920, il est le fils d’un officier portant le même prénom et de France Chauveau. Passé par le lycée de Beauvais et l’Ecole polytechnique, cet ingénieur général du génie civil maritime, il participera à la Résistance (son frère mourra en déportation à Dora et sa mère sera décorée de la Croix de guerre par le général Koenig, (fervent sioniste) et combattra, comme officier de chars, dans la division Leclerc (1942-1944). Il sera décoré de la Légion d’honneur et de la Croix de guerre.»