Le hold-up
militaire opéré par Boukharouba et ses DAF au détriment de la révolution
et du peuple avait été pressenti par de nombreuses personnalités de
premier plan dont Ferhat Abbas, Benyoucef Benkhedda, Cherif Kheiredine,
Mohamed Boudiaf, Mohamed Chaabani, etc...,
De nombreux militants intègres avertirent chacun à sa manière des risques et des dérives de cette usurpation de pouvoir.
Benkhedda dans un discours archivé à l'INA et reproduit sur Youtube :
-« Or,
certains officiers qui ont vécu à l'extérieur n'ont pas connu la guerre
révolutionnaire comme leurs frères du maquis. Guerre basée
essentiellement sur le peuple et dont l'ALN a été le fer de lance. Le
peuple a été l'artisan principal de l'indépendance. Les officiers qui
sont restés pendant la durée de la guerre aux frontières tunisiennes et
marocaines ont souvent tendance à ne compter que sur la force des armes.
Cette conception dangereuse conduit à sous-estimer le rôle du peuple
voir à le mépriser et créer le danger de voir naitre une féodalité d'une
caste militariste tel qu'il en existe dans certains pays
sous-développés notamment en Amérique latine. La révolution n'est pas
l’œuvre d'une fraction du peuple mais elle basée sur la mobilisation de
tout un peuple. »
Quatorze ans plus tard il déclarait dans le "Manifeste du 10 Mars 1976" (Lien) :
« le pouvoir personnel, aujourd'hui consacré, toutes les institutions
nationales et régionales du parti et de l'état se trouvent à la merci
d'un seul homme qui confère les responsabilités à sa guise, fait et
défait selon une tactique malsaine et improvisée les organismes
dirigeants, impose les options et les hommes selon l'humeur du moment,
les caprices et le bon plaisir ».«Hélas ce coup d'état n'a rien réglé. Le culte de la personnalité est
toujours en honneur. Le pouvoir personnel s'exerce sans contrôle. Il
dispose à son gré du destin de notre pays, de nos ressources, du budget.
Il impose a nos enfants un système éducatif de son choix. Il nous
soumet à une idéologie hostile aux valeurs morales et spirituelles de
l'Islam. Cet Islam pour lequel un million et demi d'algériens sont
morts.» «Il est seul juge du maintien de la paix ou de la guerre. Le peuple
n'est jamais consulté; pas plus d'ailleurs que les responsables
algériens, y compris les membres du conseil de la révolution. A notre époque, un tel pouvoir est un anarchisme.»
Réagissant
aux accusations lancées par ses détracteurs contre sa gouvernance
despotique, Boukharouba ne trouva jamais le moyen d'y répondre
dignement, intelligemment, car la justesse des arguments châtiant son
pouvoir totalitaire était si manifeste, qu'il ne pouvait en débattre en
privé ou publiquement, préférant se réfugier dans la censure et dans la
répression brutale d'authentiques patriotes au passé glorieux. Au
fur et à mesure qu'il éliminait toute opposition à sa dictature, son
art de la perfidie et sa fourberie lui dictèrent de changer de
personnage, en se construisant une nouvelle image au sens propre et
figuré du terme. Les manipulations d'esthéticiens experts et les
collections de couturiers renommés furent nécessaires pour transformer
progressivement le rustre colonel en un président imposant et tiré aux
quatre épingles. Sa quête de l'adoration du peuple atteignait enfin son
but, aidée en celà par son verbiage populiste et démagogue qui martelait
la populace embarquée dans des hystéries collectives et des galas
politiques, après avoir été rassemblée, manu militari des heures durant, sur les places des
meetings ou le long des trottoirs espérant le passage du Rais !
Un système digne héritier des régimes antiques romains ou pharaoniques mais aux contours apparents d'un 20-èm siècle !
Ce dernier
parvint à effacer de la mémoire collective la popularité de Ben
Bella.
Pour perpétuer l'autocratie imposée à un peuple aux repères dévastés par la longue nuit coloniale, des plans de développement "horizon 70" furent élaborés pour entretenir l'espoir, fut-il mensonger. La "ligne qu'on atteint jamais"
étant la carotte tendue à l'âne trottant docilement, pendant que le
bâton de la SM veillait sur la bête en cas d'indiscipline !
Un monde d'illusions, de mythes et d'utopies fut bâti en abusant de la naïveté et de l'ignorance du peuple.
"Président
de la république", "secrétaire général du parti", "ministre de la
défense", "grand héro de la révolution", "prodigieux idéologue du
socialisme spécifique", "leader du tiers monde et des pays non-alignés",
"combattant suprême contre l'impérialiste", "avocat du nouvel ordre
économique mondial", "porte voix des opprimés et des colonisés", etc...
S'allongeait de jour en jour la longue liste de titres et d'honneurs
dont ne taraient les média, même internationaux et d'allégeance juive
sioniste sponsorisor du nouveau champion du marxisme d'essence
talmudique. En poursuivant sa mission d'instauration d'une société
communiste basé sur la création d'un " nouvel homme " (Errajoul El-djadid),
l'agent des loges de Paris s'engageait dans une série de reformes
embrassant tous les secteurs d'activité du pays dans le but de détruire
les fondements séculaires,
sociologiques-culturels-économiques-spirituels-religieux. Le même projet
qu'avait entrepris Attaturk en Turquie, mais de manière plus subtile et
discrète, fut mis en chantier pour mettre à genoux un peuple résigné,
abruti par le travail de sape psychologique élaboré dans les
laboratoires marxistes juifs.
Contraindre les jeunes algériennes à parader en robe courbe (photo) devant les délégations étrangères à l'occasion de son 19 Juin ou du 5 juillet, dans un acte d'humiliation des Algériens. Décence que même la brutale force du colonialisme français n'aurait jamais osé enfreindre.
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Des Algériennes agressées dans leur honneur et dignité contraintes de s'exhiber devant la foule et les délégations étrangères, à la gloire du Rais ! |
Parallèlement,
était créée une oligarchie axée autour des cercles des compagnons
(franc-maçonnerie) et des comparses soutenant la dictature et
bénéficiant de privilèges exclusifs économiques, sociaux, et politiques. Le
partage des richesses s'effectuant au profit du "pouvoir" de la caste :
les militaires (DAF et les recrues de l'Est algérien), les "révolutionnaires" du Parti, et les alliés intéressés de
Boukharouba. L'occupation de postes de responsabilité dans
l'administration du pays constituant une autre porte d'entrée aux
prédateurs qui accouraient pour servir le "Père des Algériens" et
bénéficier des fastes réservés à la nomenklatura. Nombres de
fortunes actuelles ont pour origine cette période opaque de pillage
économique, de fraude politique, d'abus de pouvoir, et de manipulation
massive de la population.
Au peuple, le tyran distribue des promesses
d'une vie meilleure ici bas, et un ventre plein une fois dans l'au delà (déclaration
blasphèmeuse à la conférence islamique de Karachi; formule répétée dans
un article du Le Monde sous la plume de Paul Balta) !
Des mesures dictatoriales sont décrétées pour atteindre les "objectifs" assignées à la révolution selon les visions cauchemardesques du tyran :
-L'austérité
économique est instaurée pour mieux astreindre le peuple à des
activités avilissantes et les contraindre à investir leur temps et leurs
énergies dans la recherche de solutions à la pénurie et à l'abstinence.
Dans la semaine qui suivit le
"redressement révolutionnaire"(1965), les produits de large
consommation importés avaient disparu des étalages. La pénurie affectait
tous les secteurs, la santé, l'éducation, le sport, l'alimentation,
l'habillement, l'hygiène, le bâtiment, le transport. La misère
administrée et gérée par le socialisme planait sur le pays; la disette était suspendue périodiquement au gré des campagnes de "satisfaction des besoins de la population", ceci afin d'éviter tout saut d'humeur
populaire qui menacerait le trône du potentat. Au grand mépris du
peuple, le raffinement extravagant qui avait saisi le despote lui
accordait le privilège d'importer des "Habanas" avec lesquels il
narguait ses audiences et pouffait la fumée au visage de ses
interlocuteurs.
Le peuple, crédule naïf
et innocent, fut embrigadé dans un système stalinien qui ne nécessitait
pas, pour perdurer, des mesures draconiennes répressives semblables à
celles introduites en Russie par les bolcheviks talmudes. Ces derniers
avaient à confronter une société organisée autour d'une église
structurée et des patriotes éduqués, ce qui nécessita des mesures
radicales génocidaires où les opposants russes furent liquidés
physiquement, par millions!.(Lien, Lien, Lien, Éduquez-vous !, Éduquez-vous !.......).
Ce volet de l'histoire du marxisme-communisme est complètement occulté
des manuels d'histoire, raison pour laquelle des idiots utiles du Nouvel
Ordre Mondial juif persistent à militer pour un modèle de développement
communiste. Des crétins gâteux se réclamant de cette idéologie ne se
sont toujours pas relevés des campagnes de "vaccination socialiste"
massive et d'intoxication marxiste, que l'édition, la presse et
l'éducation dispensaient dans ce pays.
Le
déferlement marxiste sur le plan idéologique et culturel fut accompagné
de mesures économiques et politiques qui bouleversèrent l'organisation
et le fonctionnement de toutes les activités du pays, encouragèrent des
comportements irrationnels, incontrôlés, irresponsables et la
démobilisation générale. Un bilan plus détaillé sera présenté
schématiquement dans un article ultérieur qui sera réservé au
recensement des méfaits causés par la gouvernance de Boukharouba et sa
cabale d'ennemis de l'Algérie. Ennemis animés essentiellement par une
cupidité insatiable et agissant au service d'intérêts allochtones
étrangers. La Franc maçonnerie dominée par la juiverie internationale
représentant le fer de lance de l'offensive conçue et dirigée par les
"enfants de Satan" ! Les carences et les insuffisances qu'éprouvent
aujourd'hui le pays et la société sont le résultat de cette dictature à
laquelle Allah Miséricordieux n'a heureusement accordée que 18 ans
d'existence officielle (1962-1980). Le "système" que les observateurs
fustigent n'est pas celui qu'ils devraient désigner comme responsable. Le
"DRS et les généraux", le "clan d'Oujda", 'le clan Bouteflika", sont des
boucs émissaires que la Franc maçonnerie a intérêt à utiliser comme
subterfuge, comme mythes
délusoires
et détourner l'opinion du pouvoir de l'ombre affilié au culte de Satan.
Cette secte de Satan et du culte du "grand architecte" a enregistré une
avancée certaine au point où certains édifices publiques ont été
marqués par ses symboles et la toile" ne manque pas de le dévoiler à
travers des blogs et des forum qui en "s'éduquant" découvre l'étendue de
la présence du culte satanique (Lien, Lien, Lien).
La
Tour SONATRACH, Bentalha, Hotel Hilton, Hubble, la tête de taureau sur
les billets de 100DA, le prosélytisme arrogant des Rotary-Lyons (1), etc...,
confirment la présence dans les hautes sphères du pouvoir d'adeptes
aguerris du culte. L'Algérie menacée par les méfaits de la
franc-maçonnerie est le résultat du travail accompli par le Cheval de
Troie Boukharouba et l'instauration de son option politique communiste,
fruit du matérialisme abject et satanique du talmude, codifié dans
l'idéologie marxiste .
Le
travail subversif du rais a été récompensé par la réputation et le
prestige que lui réservent l'histoire officielle et les nombreux complices
de son règne. Les ministres et les membres de sa diplomatie d'alors
louent ses qualités de "rajjal", "homme" qui ironiquement, se fit
épinglé par ses maîtres qui lui désignèrent comme épouse "Anissa", une Esther ou taupe talmude qui n'a pas eu le temps de causer trop de tord !
Le
plus grave dans le parcours de notre adepte du culte de Satan après
initiation au Caire, est le développement dans la personnalité de
l'adorateur du "Grand architecte" d'un narcissisme mégalomaniaque et
exubérant qu'il révèle dans maintes interviews accordés à ses porte
voix. Paul Balta (Le Monde) étant un grand confident du Rais, il nous a
légué l'enregistrement de scènes de narcissisme baignant dans
l'indécence et l'auto congratulation, dans des documents disponibles sur youtube.
Des auteurs, des historiens, des pauvres citoyens au cerveau lessivé,
lui dédient toujours des oraisons funèbres d'adulateurs, entretenant le
mythe du plus grand forfait historique enregistré en Algérie depuis la
nuit des temps. Chems-Eddine Chitour (Lien) lui accorde un panégyrique
humiliant qui insulte la mémoire des témoins et victimes de la
dictature, et démontre le pouvoir de l'endoctrinement exercé envers la
population dans son ensemble, et en particulier envers nombre
d'intellectuels parmi lesquels ceux supposés rompus aux complexités des
sciences exactes mais qui sombrent dans la folie et dans le délire une
fois confrontés à l'observation de phénomènes humains. Preuve qu'on ne
peut maîtriser tous les savoirs et que les ingénieurs qui s'aventurent
imprudemment dans l'analyse politique s'exposent souvent au ridicule par leur contorsion cérébrale et leur verbiage. Un article sera dédié à Chitour et à sa séance de lèche bottes qu'il offre à titre posthume dans un article re-posté sur "alterinfo.com".
Pour résumer mon article présent, j'affirme que
Boukharouba
a été la pièce maîtresse de la prise de pouvoir maçonnique en Algérie.
Les séquelles de son règne résident dans toutes les carences qui
frappent le pays, le pouvoir de l'ombre en étant l'instigateur en vue
uniquement de satisfaire ses convoitises et asseoir sa domination.
Gardons en mémoire que le culte maçonnique prêche à ses adeptes le
suprématisme social, à savoir qu'à l'image des juifs "Élus de Dieu", les
"très chers frères" sont convaincus qu'ils représentent une classe
d'élites prédestinée à gouverner la populace et à jouir de tous les
privilèges et droits qu'ils usurpent au reste des "tubes digestifs". Le
pillage des richesses et des biens collectifs ne sont qu'un volet des
passe-droits que leur accorde le "Grand architecte". Par leur
affiliation et soumission à la hiérarchie maçonnique internationale
(juive) ils sont une épée plantée dans le cœur de la nation et du peuple
et n'ont aucune allégeance et pas un grain de nationalisme envers leur
pays. La "liberté-égalité-fraternité" est un slogan et un aphorisme
qu'ils cultivent publiquement mais en réservent la pratique à eux seuls
et jamais au "bétail", voué à l'esclavage. Dans ce chapitre et pour
illustrer cette affirmation il faut savoir que le "service national"
consistant en la conscription des jeune algériens sous l'autorité de
l'ANP, et naturellement des DAFs qui l'ont conçu, n'a jamais eu pour
objectif la construction du pays ou son développement, mais
l'instauration d'une couveuse d'esclaves où était dispensés, la brimade, l'insulte, le mépris et l'humiliation dans le but d'accoutumer des générations "d'appelés" à
la servitude et à l'obéissance, à la crainte et à l'effroi, et bien sûr
en la vénération de l'autocrate au commande, dans ce cas Boukharouba.
Selon une stratégie identique, une autre catégorie de jeunes est en gestation, celle des surdoués de l'école et de l'université qui doivent succéder aux papas-et-mamans de la franc maçonnerie ou simplement gonfler les rangs des loges. Des milliers d'innocents étudiants et diplômés au grand mérite intellectuel et académique sont la proie d'une manipulation purement démoniaque consistant en l'initiation feutrée aux concepts de la franc maçonnerie dont une des plus perverses intrusions psychiques est l'élitisme, soit le sentiment d'appartenir à une caste spéciale, celle des "futurs dirigeants" et du "gratin de la société". Ce qui les noie dans l'arrogance et leur fait adopter des airs hautains et méprisants. C'est l'attitude typique de Satan transcrite dans la phrase "Ana kheiroun minhou". Ces futurs petits démons recrutés
par les grandes écoles et les instituts "d’excellence" traitant de
préférence du marketing-Kabalah, auront définitivement acquis un caractère démoniaque et développé une affinité-relation avec le "pouvoir occulte".
Un séjour en France ou au Canada présente une étape décisive et
avantageuse pour la promotion sociale et l'ascension dans les "degrés"
des loges.
Le système mis en place mérite définitivement
le qualificatif de satanique car fonctionnant selon un mode subversif
qui est d'ailleurs défini en détail dans les "Protocoles de Sion".
Notons que tout service rendu à Satan, le "grand architecte" vénéré par le culte, est récompensé par l'octroi de gratifications matérielles illimitées et pour certains hauts dignitaires de la secte, une consécration honorifique, où la gloire et l’immortalité sont inscrites. Une
autre forme de gratitude de Satan à ses plus studieux enfants, consiste
en l'envoi symbolique d'un trône (sous forme d'un grand fauteuil
blanc), installé par un groupe "d'illuminés" affranchis aux règles des cérémonies maçonniques sataniques et qui est offert à un membre promu à un degré supérieur, (certainement une "grande maîtrise").
Dans
la scène du documentaire enregistré lors du fameux "discours à l'ONU",
qui montre Boukharouba pénétrant dans la salle de conférence, Kurt
Waldheim (grand maître) et les hauts responsables de l'ONU (siège de la
LUCIE-Trust, le "fond" de Lucifer) accompagne le nouveau promu et
l'invitent à s'asseoir sur le trône du Grand architecte (le fauteuil
blanc).
Ceci
n'est qu'une l'illustration des pratiques occultes opaques de la secte,
et la preuve de la nature réelle de cette conférence-cérémonie
maçonnique, et ceci devant une audience complice majoritairement adepte
du culte !!
Dans un article en préparation, le règne de Boukharouba sera disséqué plus en détail par secteur d'activité et son œuvre dévastatrice mise à nu. Le
préjudice porté au pays par ses décisions irréfléchies et sa politique
insouciante et mensongère sera plus évident après une revue de son
"programme" politique.
Un trait dominant ce phénomène de l'histoire d'Algérie est le degré de perfidie atteint par le régime "Boukharouba" qui est parvenu à convertir la trahison en acte de dévouement à la nation. L'ascendance latente de ce pouvoir sur l'opinion illustre le degré de nocivité de la propagande et de la manipulation exercées contre l'individu et les masses, spécialement en étant entretenues périodiquement (Chitour !). Un enseignement tiré de ce paradigme est que le mensonge et l'oxymore sont des outils exploités adroitement par la franc maçonnerie qui réussit à falsifier la réalité et à aliéner l'opinion.
Comme l'affirmait Boudiaf questionné sur son éventuel retour en Algérie et sa candidature à la magistrature suprême du pays : «Je ne souhaite pas diriger un peuple qui a pleuré l'homme qui l'a tenu sous ses bottes pendant 15 ans !»
Que des personnes intéressées le défendent au titre d'anciens collaborateurs de sa tyrannie est concevable, mais que des gens, sans affinités avec son régime, le glorifient toujours est inadmissible et signalerait leur active participation à l'omerta entourant le complot criminel.
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(1)Note:«Au Caire les maçons se retrouvent discrètement sous le couvert du Rotary ; les frères algériens ou d’autres pays arabes ne peuvent assister à des tenues (réunions secrètes) qu’en France ou dans le reste de l’Europe.»
(source : http://www.grandorientarabe.org/) !!
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