Avertissement : Ne permettez pas aux criminels
juifs d’Israël de causer d'autres victimes, après celles de Gaza qu'ils
tuent de sang froid et charcutent, les enfants qui regardent/voient les
photos des massacres !
Ce bref rappel, aux parents avant tout, est destiné à signaler les dangers de la violence qui défile dans les média et de l'urgence du contrôle de la restriction de son accès aux enfants pour leur éviter les traumatismes conséquents. Les "effets secondaires" de la visualisation d'images violentes sont l'objet d'études détaillées dans de nombreux pays et leurs conclusions sont unanimes : la violence par l'image est très nocive pour les personnes en général, mais plus profondément et durablement pour les enfants. La violence est présente dans de nombreux média et dans les jeux électroniques, celle qui fait l'objet de cette note réfère à celle affichée sur internet, via les réseaux sociaux, les blogs, et les forum.
Les conclusions des études scientifiques sont effrayantes ! Quelques extraits :
«Les conclusions de la communauté scientifique, basée sur 30 années de recherche, est que regarder des images violentes peut conduire à l’augmentation d’attitudes, de valeur et de comportement agressifs, particulièrement pour les enfants,
Les effets de la violence des images sur les enfants est complexe et variable. Certains enfants seront plus affectés que d’autres. Mais alors que la durée, l’intensité, et l’effet de l’impact peut varier, il y a plusieurs effets négatifs mesurables de l’exposition des enfants aux images violente..»
«D’autres études, encore plus nombreuses, ont exploré les effets des contenus, en particulier la violence. Toutes présentent des conclusions similaires. « La capacité d’un programme télé ou d’un jeu vidéo violent à rendre un enfant violent est parfaitement établie. Contrairement à ce qu’affirment certains, il n’y a pas d’effet catharsis. Dans la communauté scientifique, personne n’a plus plus le moindre doute : les études menées dans de nombreux pays, du Japon à l’Australie et du Canada à la Chine, arrivent aux mêmes résultats.»
«De nombreux travaux ont également démontré les effets à long terme de ces images, par imprégnation et « habituation ». Les accros du petit écran ou des jeux vidéo auraient ainsi, devant une scène violente de la vie réelle, une moindre réaction. « Il ne s’agit pas du problème de la distinction entre le réel et le virtuel, insiste Michel Desmurget, mais de mécanismes cérébraux profondément engrammés. » Les progrès des neurosciences et de l’imagerie cérébrale sont venus étayer ces travaux.»(Lien)
Ce bref rappel, aux parents avant tout, est destiné à signaler les dangers de la violence qui défile dans les média et de l'urgence du contrôle de la restriction de son accès aux enfants pour leur éviter les traumatismes conséquents. Les "effets secondaires" de la visualisation d'images violentes sont l'objet d'études détaillées dans de nombreux pays et leurs conclusions sont unanimes : la violence par l'image est très nocive pour les personnes en général, mais plus profondément et durablement pour les enfants. La violence est présente dans de nombreux média et dans les jeux électroniques, celle qui fait l'objet de cette note réfère à celle affichée sur internet, via les réseaux sociaux, les blogs, et les forum.
Les conclusions des études scientifiques sont effrayantes ! Quelques extraits :
«Les conclusions de la communauté scientifique, basée sur 30 années de recherche, est que regarder des images violentes peut conduire à l’augmentation d’attitudes, de valeur et de comportement agressifs, particulièrement pour les enfants,
Les effets de la violence des images sur les enfants est complexe et variable. Certains enfants seront plus affectés que d’autres. Mais alors que la durée, l’intensité, et l’effet de l’impact peut varier, il y a plusieurs effets négatifs mesurables de l’exposition des enfants aux images violente..»
«D’autres études, encore plus nombreuses, ont exploré les effets des contenus, en particulier la violence. Toutes présentent des conclusions similaires. « La capacité d’un programme télé ou d’un jeu vidéo violent à rendre un enfant violent est parfaitement établie. Contrairement à ce qu’affirment certains, il n’y a pas d’effet catharsis. Dans la communauté scientifique, personne n’a plus plus le moindre doute : les études menées dans de nombreux pays, du Japon à l’Australie et du Canada à la Chine, arrivent aux mêmes résultats.»
«De nombreux travaux ont également démontré les effets à long terme de ces images, par imprégnation et « habituation ». Les accros du petit écran ou des jeux vidéo auraient ainsi, devant une scène violente de la vie réelle, une moindre réaction. « Il ne s’agit pas du problème de la distinction entre le réel et le virtuel, insiste Michel Desmurget, mais de mécanismes cérébraux profondément engrammés. » Les progrès des neurosciences et de l’imagerie cérébrale sont venus étayer ces travaux.»(Lien)