"Des médecins américains s'attaquent à la désinformation sur le COVID-19.Hydroxychloroquine est 100 % efficace !!"
Officiel ! Pas un fake news ni un délit d'opinion !
Si vous approuvez ces remarques, prouvez votre patriotisme-nationalisme-militantisme-engagement-citoyenneté-courage-compassion-humanisme-souveraineté en partageant ! Chiche ! 💪😎😜
STOP CONFINEMENT !
Des médecins américains s'attaquent à la désinformation sur le COVID-19.
- Non seulement comme remède (en association avec le zinc et l'azithromycine),
- mais aussi comme prophylaxie (préventif, 02 doses hebdomadaires).
Puisque fabriqué localement, qu'attendons nous pour la distribuer, la rendre disponible au citoyen ?
Bilan des observations durant quatre mois de crise : Commission surveillance Covid = caisse de résonance de l'OMS, donc allogène, irresponsable, incompétente, non crédible, incohérente, suspecte et inquiétante !
Les algériens sont confrontés au dilemme
de la définition de la langue officielle et nationale et de son
institutionnalisation. Le choix aberrant imposé et décrété de deux
langues nationales et officielles voté par l’Assemblée Nationale, sans
débat publique ni référendum, dans la Constitution de 2016, est
aujourd’hui rejeté et dans la foulée la Constitution elle même. Car
constaté sur les réseaux sociaux ce choix de deux langues provoque
l’exaspération de la majorité qui se réclame de l’arabité, en opposition
à la frange de la communauté qui se réclame de l’amazighité, et des
frictions verbales sont relevées entre les deux partis.
– Existe-t-il une solution à cette controverse et un moyen de dissiper cette querelle aux conséquences fâcheuses ?
– L’ingérence de cercles étrangers,
oeuvrant depuis le début de la colonisation à diviser pour régner, a
compliqué le problème. La « main de l’étranger » n’est pas un
épouvantail, ni une fiction fabriquée par le système pour détourner les
regards de l’opinion de ses propres agissements condamnables. Elle est
présente et est signalée en détails dans l’Historiographie de la
colonisation: complot conçu sous l’instigation des Pères Blancs
(Jésuites), des cercles académiques de la Sorbonne, et des gouvernements
de fafa-sion.
Mais ce qui est remarquable et intrigant
est que le colonisateur, la France elle même, confrontée à ce défi
parfois violent, voir de dissidence ayant tourné à l’action armée de la
part des défenseurs d’une langue régionale, en Corse, au Pays Basque, en
Bretagne, a trouvé une solution pacifique, consensuelle, à l’amiable.
Une sortie de secours à la crise a donc été élaborée et la solution
arrêtée réconcilie les différents antagonistes. Celle de
l’institutionnalisation de 5 langues régionales et d’une langue
dominante commune, le français :
– « L’article 75-1 de la Constitution de
la Cinquième République française introduit les langues régionales dans
la Constitution. Il a été créé par la révision constitutionnelle du 23
juillet 2008. »
– pourquoi cette solution
française n’est jamais suggérée par les nombreux commentateurs français,
ni par leurs acolytes domiciliés en France, ni par les militants
amazighs, ni par les politiques et leur parti, ni par le gouvernement ?
– raisonnable et sage pour la France, serait-elle néfaste pour l’Algérie ?
Il y a de nombreuses écoles de santé
dans le monde, celles indépendantes, généralement planifiées et
contrôlées efficacement par l’État et celles livrées aux aléas du marché
et au diktat de l’industrie pharmaceutique/OMS. La pandémie du Covid-19
nous a fait découvrir que les pays au modèle de gestion centralisée
publique (Chine, Cuba, Venezuela) étaient les mieux armés pour affronter
ces menaces sanitaires.
Rétrospective historique. En
1978 les pays sous développés avaient déjà tenté de se libérer de ce que
l’on appelé « un cas de totalitarisme technologique », imposé par des
programmes de vaccination destinés aux pays du Sud. Un article d’une
grande valeur et extrêmement pertinent, signé par le Pr Debabar Banerji
(Inde), est avant coureur dans la dénonciation des pratiques
internationales entourant la vaccination (à lire impérativement) : Lien
« La
Déclaration d’Alma Ata préconisait une nouvelle approche qui visait à
fournir des services de santé intégrés à toutes les catégories de
population du monde entier. Sa spécificité consistait à recommander la
formation de systèmes de services de santé qui soient élaborés à partir
des populations plutôt que des programmes technologiques « pré-emballés
». »
L’insistance de
la part de professeurs parachutés de France ou des USA, à introduire
les technologies conçues dans les laboratoires et centres de recherche
étrangers est à examiner avec prudence, les motifs de leur intérêt pour
les pays pauvres dans le cadre de la santé n’étant pas innocent et
souvent carrément préjudiciable aux intérêts des pays du Sud, enjeu
examiné sous l’optique aussi bien de la santé que des secteurs y
affairant. On peut même y associer la sécurité sanitaire.
–
« Comme on pouvait s’y attendre, la réaction des pays riches à cette
téméraire déclaration d’indépendance de la part des pays pauvres a été
cinglante et immédiate. Revenant à leur approche condescendante,
technocentrique et créatrice de dépendance, ils ont proposé ce qu’ils
ont appelé les « Soins de Santé Primaires Sélectifs », ce qui est
contradictoire dans les termes mêmes. »
« L’OMS
et l’UNICEF étaient faites pour encaisser l’afflux de bonne volonté
qu’elles avaient gagné auprès des populations pauvres du monde et s’en
sont servi pour faire la promotion de ce programme de soins de santé
primaires sélectifs : un bon exemple de la manière dont le savoir est
dévoyé pour servir les intérêts de la classe dominante. De nombreux
spécialistes éminents venus de différentes parties du monde ont exprimé
leur profonde inquiétude vis-à-vis de cette tentative flagrante de faire
marche arrière par rapport aux accords d’Alma Ata : un groupe de 40
spécialistes en santé publique, réuni à Anvers à l’Institut de Médecine
Tropicale en 1985 s’est déclaré résolument opposé à une approche
sélective. À la suite de cette déclaration la revue Social Science in Medicine
a publié un numéro spécial sur ces soins de santé primaires (n » 9,
vol. 26, 1988), soulevant d’importantes interrogations quant à la valeur
(solidité) d’une approche sélective. En dépit de cela, inébranlable,
l’OMS se joignit à l’UNICEF pour devenir même encore plus « sélective »
dans son approche en transformant son précédent Programme Elargi de
Vaccinations en un programme global avec échéance fixe (1990) qui vise à
contrôler six maladies contre lesquelles un vaccin existe – diphtérie,
tétanos, coqueluche, poliomyélite, rougeole et tuberculose – voire même à
les éradiquer totalement de la surface du globe. »
Conclusion : Cet article a pour but d’enrichir la question de la sécurité sanitaire débattue
massivement pas le média, après l’annonce de la création de l’agence
dirigée par les professeurs technocrates Sanhadji et Zerhouni, sans
argumentation ni justificatifs scientifiques solides mais uniquement
promotionnée par une campagne de marketing masquée par la notoriété des
personnes chargées de ce projet, tous liés de près ou de loin aux
organismes et centres de promotion de la médecine dominée par le Nord et
son industrie pharmaceutique. Ce qui nous amène à questionner les
prérogatives floues de cette agence et sa stratégie de ré-organisation
de la santé. Son équipe d’experts/chercheurs conditionnés par les
objectifs opaques qu’on prête aux tenants de la doctrine du Nouvel Ordre
Mondial, champions de la généralisation de la vaccination, de la
manipulation génétique, du transhumanisme, et nombreuses technologies
informatiques, aux conséquences médicales insoupçonnées et souvent
condamnées par les opposants à cette doctrine mondialiste.
Citoyen souverain exige des réponses à des questions légitimes concernant la santé publique.
À l'annonce "Les communiqués quotidiens de Fourar ne font plus l’unanimité", on est en droit d'enquêter et rechercher les raisons de cette remise en question de la gestion de la crise.
CONFLIT D'INTÉRÊT ? LAVIGERISME ?
Il est évident que livrer la gestion de la prévention au Dr Djamal Fourar, fervent et irréductible vaccinophile, équivaut en partie à transférer aux Big Pharmas certaines prérogatives du ministère, ces multinationales ayant INTÉRÊT À FAIRE DURER LA CRISE DANS LE BUT DE GAGNER DU TEMPS ET INVENTER UN PSEUDO VACCIN !
Le fond de la question peut donc facilement être élucidé et il soulève des questions sérieuses sur l'entière gestion de la crise covid-19, et ceci dès son déclenchement en Europe. Tenant compte de l'importance de la mobilité des personnes de et vers l'Algérie, on peut affirmer que la pandémie aurait due être prise très au sérieux en Février et pas en Mars !!
Liens et captures pour éclaircir nos interrogations sur la légitimité de désigner certaines personnes militantes de la vaccination, et les charger de notre santé, particulièrement en ces circonstances périlleuses.
Histoire et historiographie : un enjeu capital que les lavigeristes ont été instruits (par les jésuites) de monopoliser et contrôler pour façonner et orienter l'opinion selon leurs objectifs doctrinaux et historiques. Ainsi est né le mythe amazigh avec les conséquences néfastes que l'on enregistre, les dangers pour la stabilité des pays et l'unité des peuples maghrébins. De même la suppression de la civilisation phénicienne de notre patrimoine, le survol bref réductionniste de la civilisation musulmane d'Andalousie et de notre propre héritage moderne (exemple Émir Abdelkader et son oeuvre multidisciplinaire). Parallèlement les scribes aux ordres ont fabriqué des faits et des personnages obscures sortis du néant, sans biographie, sans héritage inspirant, certains traitres à leurs semblables (Massinissa), etc....
Cette tradition subversive agressive contre notre culture et notre patrimoine (non matériel) se poursuit.
Illustration : Farid Alilat publie "Bouteflika. L'histoire secrète ".
Titre criard, trompeur, mystificateur, purement commercial.
Inutile d'en exposer les contre vérités, prétendues "secrètes", elles seront exposées plus tard. Attardons nous sur le profile du journaliste, qui n'est pas historien, il suffit à classer le lavigeriste comme agent complice des croisés du Vatican, ennemis d'hier et d'aujourd'hui.
1-Journaliste à Jeune Afrique, Farid Alilat est spécialiste (sic) de l'Algérie. En 2002, il a publié chez Editions-1 une enquête sur la révolte en Kabylie, "Vous ne pouvez pas nous tuer, nous sommes déjà morts" ! "L'Algérie embrasée" et participé en 2002 à l'ouvrage collectif 100 lettres pour les femmes afghanes, Calmann-Levy.
2- correspondant de Jeune Afrique, un média pernicieux anti-algérien, accusé légitimement de servir le Roi Mimi 6, et les sionistes de France et du Maroc.
3- journaliste à Liberté-Algérie, quotidien de Rebrab.
4- autre claire évidence de son implication dans le complot jésuite, son sponsor est la maison d'édition du Rocher, actionnaires et édition au cachet religieux: dogme catholique (entendre, Vatican, et donc jésuite).