Le cinquantième anniversaire de l'indépendance de l'Algérie a donné
lieu à une vague déferlante de récits et de témoignages sur la guerre de
libération, son aboutissement le 05 Juillet 1962, et les années qui
suivirent le recouvrement de la souveraineté nationale.
Les
historiens découvrant la liberté, depuis l'arrivée de Bouteflika,
abordent les questions les plus ardues et les plus délicates, celles que
le pouvoir personnel de Boukharrouba (alias Boumédienne) avait tenté de
rayer des manuels, de la mémoire collective, et de toute revue critique.
Combien rassurant pour les spécialistes et également les néophytes, de
découvrir les résultats du soudain regain d'intérêt pour le sujet.
Nombre d'auteurs livrent le fruit de leurs travaux au public. Les faits,
les statistiques, les témoignages, et les documents divers, sont
recueillis laborieusement pour permettre une meilleure vision de ce
volet opaque de l'histoire de l'Algérie. Le travail prolifique
d'historiens, la confrontation de témoins, la révision des documents, la
divulgation de documents inédits, le défrichement d'archives
nouvellement disponibles, et le recoupement objectif des faits, ont
ouvert une nouvelle ère à la connaissance du passé, un passé travesti,
maintenu par l'obscur bureau des propagandistes de la tartuferie
idéologique et de la parodie économique frauduleuse dénommée socialisme
spécifique.
Dans la foulée de ce mouvement de délivrance
intellectuelle et de liberté d'expression, s'engouffrent des personnages
qui inévitablement n'ont pas pour but commun et unique la connaissance
de la vérité et des faits réels. Se rejoignent dans cette mouvance
intellectuelle des acteurs avec des profils variés et des motivations
différentes, et pouvant être classés grossièrement selon les catégories
suivantes :
1- les mercenaires de la plume servant des intérêts
secrets et couvrant les méfaits de personnages ou de groupes d'intérêt
connus ou occultes; jouant ainsi le rôle de gardiens d'enceinte,
2-
les auteurs qui vomissent la haine et la discorde, pour régler des
comptes personnels ou soulager des frustrations, légitimes ou
injustifiées, sous l'étendard de la vendetta contre un ordre qui les a
neutralisés et astreints au silence,
3- des experts ou des témoins
qui, souvent bénévolement, tentent d'apporter leur concours à
l'écriture de l'histoire dans un contexte qui favorise la libre
expression, la recherche objective, pour élucider ou rétablir des
vérités cachées.
Le premier groupe fera l'objet d'un examen plus
approfondi et occupera la suite de cet exposé parce qu'il nous réserve
des révélations qu'aucun historien n'a encore abordées et que je me suis
senti obligé de décrire et offrir en un bref aperçu sur le sujet de la
connaissance des dessous dissimulés de la version "officielle",
mensongère, propagandiste, déconcertante et imposée par l'autocratie.
Les
deux groupes suivants sont volontairement et temporairement ignorés,
offrant certes un grand intérêt, mais autre que celui observé sous
l'angle de l’approche "conspirationniste" ou "révisionniste"
de l'étude de l'histoire et des événements ayant marqué 50 ans d'indépendance.
L'Histoire
de l'Algérie ne peut être dissociée des grands changements et
bouleversements ayant marqué les 19-20 siècles, et ayant affecté la
région représentant l'Empire Ottoman. L'attribut partagé par l'histoire
commune des pays de la région se situe dans l'incompatibilité des
versions officielles confrontées à celles présentées par les chercheurs
avertis qui dévoilent les pouvoirs/acteurs/motifs/et desseins occultes
qui ont été intentionnellement dissimulés de la vaste majorité du
public.
Remarque :
La colonisation de
l'Algérie n'est pas le résultat accidentel d'un soit disant incident
diplomatique ayant opposé le Bey d'Alger à l'ambassadeur de France. Ceci
n'a été qu'un prétexte délivré à la galerie des lecteurs naïfs que les
manuels scolaires manipulent depuis 1830. La vérité, présentée
brièvement, ne peut être saisie que sous l'angle du complot instigué par
la juiverie et sa succursale goyim de la maçonnerie française ayant eu
pour but non déclaré le démantèlement de l'empire ottoman tout en
portant un coup au monde musulman, un univers que le pouvoir mondial des
banquiers talmudes ne contrôlait alors pas et qui recelait un
potentiel économique et des ressources naturelles inestimables. Ainsi
"d'une pierre deux coups", l'entreprise devait permettre aux éternels
comploteurs et enfants de Satan de régler des comptes avec la religion
qu'ils n'avaient pas pu soumettre à leurs divers avatars. Déviations
avec lesquelles ils avaient au cours des siècles de "reforme" et de
commentaires rabbinaux corrompu les messages divins dictés à Moise et
Jésus (QPASS) !
Les agents de la juiverie internationale :
- ceux du crû local, à l'image des Busnach/Bakri,
- ceux de France, menés par Rothschild et ses associés (exemple : Crémieux).
[
Note : Dans un article antérieur (
Lien) est abordé le rôle primordial des juifs dans la conquête française
de l'Algérie, réfutant ainsi les fables que les
gardiens d'enceinte
qualifiés "d'experts" (ex. Benjamin Stora) susurrent aux oreilles des
crédules. Experts certes confirmés, mais dans la mystification de
l'opinion et la falsification des faits !]
Les juifs des deux
rives de la Méditerranée se sont entendus pour mettre fin à la puissante
régence d'Alger qui par son contrôle de la mer entravait les plans
subversifs talmudes menant à l'occupation de Jérusalem, la capitale
symbolique du ralliement juif et du sionisme
international.
Deux étapes préalables devaient être franchies :
1-
Le démantèlement par la force de la colonisation, ou par l'accord d'indépendance
fictive accordée à des agents mandataires, ou par l'inspiration de "renaissances"
politiques (Nahda en Egypte répercutée ailleurs par le stérile nationalisme arabe).
Il est important d'avoir présent à l'esprit le calque limitant principe
Tous ces
changements étaient entièrement initiés par la franc maçonnerie locale (
Lien), celà depuis la campagne de napoléon Bonaparte.
2- L'infiltration de crypto juifs dans les mouvements à inspiration idéologiques utopiques (voir révolutionnaires/ modernistes/ laïques/ progressistes /socialistes/ populaires).
Les événements majeurs ayant marqué le 20-ième siècle, la destruction de la Russie impériale par les Juifs Lenin, Troitsky, Staline. Les guerres mondiales, les crises financières et économiques, le pillage coloniale, sont l’œuvre des Talmudiens. Les prédateurs éternels qui se délectent du sang des Goyim offert en offrande à leur architecte Satan, en programmant les désastres humains, et en causant malheur et affliction sur toute la planète.
Une étude de
William Guy Carr (
Lien), intitulée "Pawns in the Game" (1958), traduire par "Des pions sur l’échiquier" révèle les intrigues du complot monstrueux qui prit naissance dans les salles de réunion sombres des banquiers juifs de Francfort (les Illuminati Rothschild d'Allemagne).
Sur le modèle dressé pour renverser les monarchies d'Europe, les Dönme (
Lien !!,
Lien,
Lien,
Lien,
Lien), juifs de l'empire ottoman originaires de Salonique formant le pouvoir secret des "Jeunes Turks" dirigés par le juif Mustapha Kamal (
Lien,
Lien,
Lien) qui établirent la république laïque et imposèrent des lois anti-islamiques telles l'interdiction du port du fez (chechia) et hijab, l'interdiction de la langue arabe, l'imposition de caractères latins pour la traduction de la langue parlée turque en une nouvelle langue officielle !
Sur ce dernier point notez la malveillance juive qui a eu pour effet de dissocier complétement la nation turque de 14 siècles de sa glorieuse histoire en effaçant tout le patrimoine culturel, religieux, et politique qu'embrassaient les archives en arabe. La mémoire d'un peuple détruite par un décret du dictateur "fondateur de la Turquie moderne", une oxymore pour dissimuler la destruction de l'épopée d'une civilisation et la mise à zéro de l'histoire d'une nation !
La dictature militaire qui fut instaurée alors allait défigurer et aliéner les valeurs et constantes d'une nation au point d'en faire un état hybride naufragé, sans ancrage historique et balloté entre orient et occident ! Une œuvre machiavélique du
domneh/ juif/ franc-maçon Attaturk, un personnage digne de son pedigree satanique dont l'image est sacralisée jusqu'à aujourd'hui par l'omniprésence de son portrait officiel et de statues sur toutes les places publiques turques !
Signe de la reconnaissance de son travail subversif dévastateur Israél lui a réservé des monuments commémoratifs significatifs, honorant le monstre juif pour son rôle de "Terminator" de la grande nation musulmane que fut la Turquie.
A suivre : Boukharouba, le " père de tous les algériens ".....