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28 oct. 2013

Kamel Daoud : C'est Officiel Il A Sauté Les Plombs (Lien)

Prenant connaissance de la définition scientifique de la "schizophrénie" et tentant instinctivement de repérer un spécimen d'individu atteint de ce trouble mental et qui puisse en offrir une illustration pratique, et au fur et à mesure que je progressais dans la lecture forte intéressante de l'article de wikipedia (Lien), et celui de doctissimo (Lien) je fis une découverte inattendue. Constat que les symptômes décrits étaient visibles pour ne pas dire criards chez un personnage des média qui se fait remarquer par son écriture acerbe contre tout ce que Dieu a créé de noble et de sacré, contre toutes les personnes de notoriété, contre tous ceux en qui la majorité des gens expriment sympathie ou affection, le peuple et ses dirigeants, en un mot contre tous.
Une sorte "d'exterminator " social qui a été programmé pour détruire tout ce que les gens vénèrent et respectent. Il est le
pourfendeur de tout ce qui est noble sur terre et dans le ciel. Allah et Ses Prophètes, l'Islam et les Musulmans, l'Arabe et sa civilisation, l'Algérie et ses constantes, le pays et ses dirigeants. Une machine polluante de l'information qui rejette plus d'eaux usées que celles produites par Alger et sa région. Un dépotoir d'ordures et d'immondices que les usines de recyclage de 48 willayas n'arrivent plus à traiter. Paradoxalement ce caractère phénoménal n'a pour arme qu'un inoffensif clavier d'ordinateur. Du moins ce qu'il prétend, car en fait il est "l'arbre qui cache la forêt" d'une vraie organisation dont le travail consiste en la fabrication de l'intox ciblant l'Algérie et qui a pour support les média et la publication. Contrairement à Boualem Sansal qui a investit le créneau de l'outrage et de l'infamie après avoir fuit le pays, Kamel Daoud a lui adopté une tactique plus aventureuse en prétendant y demeurer (quoiqu'il réside pratiquement en France) et confronter la société qu'il méprise et vilipende.
Comment s'arrange-t-il pour exécuter cette tache en apparence titanesque avec des moyens aussi
rudimentaires ? En apparence seulement, car ce qu'il produit dispose en réalité d'appuis multiples dans un réseau étendu de sites internet, quotidiens de la presse, ONG, associations et des partenaires complices.
Cette question sera abordée en détail ultérieurement, mais avant de poursuivre ajoutons deux autres interrogations : 
-pour quelle raison ce personnage tente-t-il d'occasionner autant de trouble ? 
- et pourquoi hait-t-il tant les "autres" et mène-t-il une vendetta contre eux ?
C'est à ce stade que le dictionnaire devient utile et la définition mentionnée plus haut, un guide dans notre enquête.
Wikipedia : «La schizophrénie est une maladie mentale se développant généralement au début de la vie adulte. Elle est caractérisée par des difficultés à partager une interprétation du réel avec les autres, ce qui entraîne des comportements et des discours bizarres, parfois délirants.»
À la lumière de cette introduction il est déjà possible de discerner le contours psychologique de l'auteur de "Raina-Raikoum". Enveloppé dans l'étrange et l'insolent, son style n'est rien d'autre que le reflet de l'idéologie dominante dans la littérature, et cette idéologie est définie, contrôlée et gérée, par le pouvoir dominant, le pouvoir juif.
Réservé aux pays musulmans, le style du blasphème et du sacrilège est en verve depuis la montée de Ayaan Hirsi, Wassila Tamzali, Boualem Sansal, Nawal El Saadawi, et les nombreux adeptes de la laïcité koshérisée commercialisée par le Nouvel Ordre Mondial Talmude. Le "genre" de Kamel Daoud est dans le fond identique. L'athéisme est le secret mignon dissimulé sous ses chroniques politiques et sociales qui affichent une défiance de l'autorité. La révolte contre Dieu est le motif qui fournit à cet opportuniste l'audace de s'attaquer à l'Islam, aux Musulmans, à la langue arabe, à la civilisation arabe, aux valeurs sacrées partagées par un milliard d'habitants de la planète, tout en occupant un créneau littéraire qui rapporte gros au vue de la publicité que lui réserve la nébuleuse juive des média et de l'information. Sa production littéraire pue par le cynisme qu'elle dégage. Mépris des conventions sociales, de l'opinion publique, des idées reçues. Il attaque avec virulence la langue arabe et toutes les valeurs qui lui sont attachées, profanes ou sacrées. Un sujet que son ignorance lui interdit d'aborder en tant que francophone religieusement francophile (Lien) à qui sied formellement la formule "Peau noire, masques blancs" de Frantz Fanon !
Kamel David :   
«Prenez une langue et jetez la dans la rue (pour paraphraser Mao), elle deviendra vivante. Enfermez-la dans un livre et un temple, elle meurt et tue les gens autour d’elle. Prenez une langue, ajoutez lui une armée et un Pouvoir, elle devient une langue officielle. Ajoutez lui une religion ou un prophète, elle devient langue sacrée.» 
Ou encore (Lien) :
«A quoi servent les musulmans ?»
Seul l'insolent, le sans honneur, le sans pudeur, l'enfant de père inconnu, d'origine douteuse et de mœurs dégénérées, le corrompu compromis jusqu'à la moelle, peut avoir le courage d'agresser cette langue et étendre au coran,
au Prophète (SAWS), et à l'Islam, ses insinuations désobligeantes uniquement pour meubler ses pensées démoniaques, au départ pernicieuses, d'arguments imaginaires et mensongers. Une opinion dénuée de toute signification et qui n'est appuyée d'aucune évidence scientifique, sociologique, historique, linguistique. L'étude de la langue et de sa multitude de branches scientifiques est un vaste champ de recherche et d'études nécessitant des moyens et des capacités dont ce déculotté n'a aucune idée et certainement aucune notion.
Pour réfuter ses écrits abusifs qui n'ont pour origine qu'un cerveau malade possédé par quelque force satanique, tournons nous vers un homme de science, Pierre Rossi,  dont la neutralité est évidente parce que Français et qui écrit
sur le sujet avec méthodologie le long des avenues illuminées de l'histoire de la civilisation arabe que la juiverie occulte systématiquement dans tous ses écrits :
La cité d'Isis - Histoire vraie des Arabes. (extrait annoté/image)

 Ou encore :

Kamel Daoud, le jongleur d'alphabet, est par son mépris des règles de déontologie (Note ci-dessus *) une fraude dont la principale fonction est de crotter n'importe où, au vu et su des gens, sans prêter attention ni aux bonnes manières, ni aux respect des coutumes (qui font partout dans le monde force de loi!)(**). 
À aucune profession honorable, et certainement pas au journalisme (dont il se réclame), ni à la littérature (à laquelle l'a promu la Kosher-Nostra des média (***), ce mécréant ne peut prétendre appartenir.
Ses comportements (activités publiques "politiques" dans les ONG sionistes) et ses écrits sont symptomatiques de la Chutzpah, et lui confèrent justement le qualificatif de crypto-juif (Lien et lien). Cette appréciation n'est pas subjective ni diffamatoire, elle est factuelle à travers le contenu de ses écrits perfides et parce que
-toutes ses fréquentations sont juives (***) ! 
-ses associations humanitaires (ONG) également !
-son idéologie/religion (laicité/athéisme), est une ex-croissance et arme du sionisme  !
Sans omettre sa schizophrènie, une maladie commune chez les juifs dont les traits s'énumèrent :
  • éprouver des difficultés à établir un contact avec son entourage (il n'a aucune affinité avec sa communauté)
  • être envahie par des idées et des impressions étranges ;
  • avoir l'impression d'entendre des voix qui, bien que n'existant pas réellement, font partie de sa réalité;
  • être prisonnier de ses hallucinations et de son délire ;
  • délirer (parler à Dieu, aux morts, etc..) 
  • avoir une perception de soi partiellement, voire totalement altérée ;
  • avoir beaucoup de difficultés à distinguer ce qui est réel de ce qui ne l'est pas ;
  • avoir la conviction que certaines personnes lui veulent du mal ;
  • se replier sur elle-même et se comporter d'une façon bizarre ou imprévisible ;
  • se désintéresser de nombreuses choses: habillement, ménage, hygiène corporelle, gestion de ses biens ;
  • avoir des réactions émotionnelles étranges et incongrues
  • percevoir son entourage comme hostile ;
  • ressentir une insécurité permanente.
 D'autre part notons que cette liste établit le profil idéal pour les recruteurs des services secrets qui ciblent les "tordus", les pervers, les vicieux, les haineux, les anti sociaux, les débauchés pour leur recrutement, embrigadement, et accompagnement dans un milieu social ciblé (Algérie) par quelque offensive, agression, ou campagne de pourrissement. Ainsi les dégénérés sociaux sont systématiquement le sujet d'attention affective et de compassion passionnelle de la part des média talmudes.
Les cas Zag Amazigh OstmaneAbdelghani Aloui, où toutes les crétineries humaines, nécessitant un diagnostique médical et certainement un traitement psychiatrique, sont intentionnellement et exagérément magnifiées pour faire tourner en bourrique les illusionnés qui digèrent les messages obscènes des quotidiens, mercenaires de la Kosher Nostra, "Slate.com", "algérie-focus", "El-Watan", "Quotidiend'Oran", etc...
Le triste constat : 
Les lecteurs naïfs victimes de la manipulation conçue par la juiverie des média et exploitant les écrits de Kamel Daoud, alias David, devraient réviser leur jugement en découvrant le vrai visage de l'auteur de "Raina-Raikoum", une chronique qui affiche publiquement une forme de contestation contre le "régime" et Bouteflika en particulier. Mais désignée pour séduire l'opinion grâce à ses défis et ses outrages des institutions et des responsables politiques, dissimulant sa mission réelle, celle d'offenser tous les algériens, arabes et musulmans sans distinction. La flatterie destinée aux amazighs sectaires joue la partition connue du diviser pour régner. Un lapsus relevé dans un article intitulé «Dévoration est nation» expose le mépris et le dédain de l'auteur envers tous et tout, et son plaisir sadique à détruire toute source de célébration avec insistance sur celle d'essence religieuse.
Le sentiment de mal vie et le mécontentement, deux couteaux qu'il manie avec dextérité pour égorger l'espoir et la convivialité chez les algériens.  
En réponse à son exécrable commentaire sur la frugalité des algériens durant l'Aid, je répondrais à ce démon spoliateur de la joie et semeur de malheur en citant Brillat-Savarin, (Physiologie du goût, 1825) : «La gourmandise est un des principaux liens de la société; c'est elle qui étend graduellement cet esprit de convivialité qui réunit chaque jour les divers états, les fond en un seul tout, anime la conversation, et adoucit les angles de l'inégalité conventionnelle.»

                                          À Suivre.....
_______________________
(*)Note :
Dans "les technique d'écriture", il faut rappeler qu'elles sont «inspirées des cours de communication et de journalisme, (elles) permettent de faire en sorte qu'un texte serve le plus parfaitement possible son objectif initial : informer, rendre compte, former, éduquer, répertorier, distraire, vendre, convaincre, partager, etc.»
«ENJEU :
Considérant qu'au niveau le plus simple, l'écriture vise l’information du lecteur, les techniques d'écriture (en particulier journalistiques) mettent en avant des principes tirés des bonnes pratiques : pertinence du plan d'exposé, règles de lisibilité, rigueur dans la rédaction (en sus de de la vérification des faits), priorisation des éléments (présenter au moins le plus important).
Pour ce faire, une première série de règles consiste à concentrer l’information dans une phrase informative capable de répondre aux sept interrogations QQOQCCP : « qui ? quoi ? où ? quand ? comment ? combien ? pourquoi ? » (exprimé en anglais par les “5W”).»

(**)Note :
Où est la justice ? Où sont les représentants du peuple ?
Les législateurs ?  
(***) Note :
Slate.com; Algérie-Focus; Jeune Afrique; El-Watan;

26 oct. 2013

Algérie-Proposition : Les Avocats Des Printemps Arabes Devraient Être Mobilisés Aux Postes De Frontière Avancés (GGF).

La vague de "révolutions" et de changements de régime anarchiques a valu aux pays concernés l'instauration du chaos et la main mise sur le pouvoir par des groupes composés entre autres de mercenaires de l'OTAN et d'agents au service des CIA/MOSSAD. Cette réalité est amplement documentée, il n'y a pas lieu de la rabâcher même pour ceux qui s'alimentent des chroniques de l'information diffusées à travers les canaux des média dominants. Les réseaux de communication internationaux monopolisés par la Kosher-Nostra possèdent des antennes ici même, en Algérie, réémettant les versions officielles fabriquées dans les rédactions juives mondiales.
Au moment du déclenchement des "printemps arabes", les
deux interfaces de la dialectique hégélienne thèse-anti thèse (islam-mimique/démoncratique) actionnées par les tenants du Nouvel Ordre Mondial Juif, réagirent de manière inattendue, puisqu'ils optèrent pour une position identique : leur soutien aux révolutions (*). Pour des prétextes différents, des partis politiques et des médias d'influence, se retrouvèrent associés dans la même tache : induire l'opinion en erreur en lui brossant un tableau inexacte des enjeux et des conséquences de l'offensive de l'OTAN et de ses alliés naturels (Israël et la Talmuderie internationale) contre les pays aujourd'hui ravagés par l'instabilité, l'insécurité, la faillite économique/sociale/financière, en un mot anéantis par le chaos. Un déferlement incroyable de critiques souvent acerbes furent émises sur la passivité de l'Algérie face au combat pour la démocratie mené par le peuple libyen (sic). Des voix malintentionnées s'étaient élevées pour accuser l'Algérie, son gouvernement et son président, d'apathie. La règle de neutralité et le principe de non-ingérence dans les affaires internes d'autres pays, dans ce cas voisins, réfutait les tentatives locales et internationales visant à entrainer l'Algérie dans les conflits qui se succédèrent, Tunisie, Libye, Mali, etc...
Exemple :
(SlateAfrique) «Le politologue Hasni Abidi, spécialiste (sic) de la Libye et auteur du «Manifeste des arabes», explique pourquoi le départ de Kadhafi va contraindre le régime algérien à la démocratie.» (Voir également LeMatindz, SlateAfrique)

Revues aujourd'hui les décisions et déclarations du gouvernement sont mieux perçues et grandement appréciées, et la sagesse qui a gouverné lors de la polémique initiée par les média de la perfidie, devient manifeste et indéniable. L'énorme service rendu à l'Algérie et à son peuple, à son présent et à son futur, devrait être commémoré comme "fête nationale" (ainsi d'ailleurs que tous les grands accomplissements majeurs enregistrés depuis 1999 ! Voir article au Lien, pour plus amples détails).
Trois ans plus tard le langage tenu par les mêmes média (de la subversion) s'est magiquement et naturellement métamorphosé, s'adaptant à une nouvelle donne géopolitique. Feignant l'innocence et prétextant l'inquiétude, El-Watan, (un cas d'école parmi de nombreux autres) publiait (le 23 oct 2013) :
- Et déclarait :
«Même si la situation demeure tendue au Nord-Mali, où la Minusma doit avoir le renfort prochainement d’un contingent néerlandais, la plus grande inquiétude pour l’Algérie vient du côté libyen. La détérioration continue de la situation en Libye aurait contraint les forces régulières de ce pays à se replier sur les grandes villes, cédant la protection des frontières aux milices.»
- En un mot l'anarchie totale ! 
Un concentré de communiqués (au lien)

-«Dans un communiqué rendu public, le Front des forces socialistes voit dans la chute du régime du guide libyen «une bonne nouvelle pour les militants de la liberté et de la démocratie dans le monde». «Le FFS qui a fait du Maghreb démocratique un élément stratégique de son engagement politique, a pris une position conjointe avec d’autres partis magrébins, afin de soutenir le mouvement du peuple libyen sur la voie de son émancipation du joug autoritaire»
Le Mouvement de la société pour la paix a salué la fin du régime de Kadhafi. Mohamed Djemaa, chargé de communication du parti a félicité le peuple libyen «pour avoir retrouvé sa liberté et tourné la page du passé». Selon lui, ce n’est que justice rendue pour un peuple qui «42 ans durant, a vu ses libertés individuelles et collectives confisqués et ses richesses spoliées». Cela dit, M. Djemaa a estimé que le chemin reste encore long et surtout difficile pour bâtir un État à la hauteur des sacrifices du peuple libyen.»
-D'un candidat à la présidence 2014 (débile et dangereux) : «Le Font national algérien a qualifié de «réussite» la chute du régime de Kadhafi. Son président, Moussa Touati, ne semble point inquiet quant à l’avenir des relations entre Alger et Tripoli. Pour la bonne raison que la philosophie de la diplomatie algérienne est basée sur un credo : le soutien des États et non des régimes.»
-D'El-Islakh : «Le Mouvement El Islah est plus que jamais optimiste quant au rétablissement de bonnes relations entre Alger et Tripoli. Son secrétaire général, Hamlaoui Akouchi a affirmé que le départ du régime est «la concrétisation de la volonté du peuple libyen».
Du côté des personnalités nationales, Abdelhamid Mehri, l’ancien secrétaire général du FLN n’a pas manqué de souligner récemment que l’Union du Maghreb arabe passe impérativement par la chute de régime de Kadhafi. "Nous ne pouvons pas imaginer l’Union du Maghreb avec Kadhafi".»
- Un nostalgique : «L’ancien ambassadeur Abdelaziz Rahabi a noté que ces erreurs sont dues, entre autres, à l’absence de fonctionnement institutionnel de la diplomatie algérienne et du pays de manière générale. Ce qui pose un problème primaire de la gestion des affaires du pays : non seulement les positions officielles privilégient les intérêts du régime sur ceux du pays, mais de plus, l’Algérie ne dispose pas des structures en mesure de s’adapter à une situation mouvante, comme le fut la crise libyenne. Les institutions algériennes ne fonctionnent même plus en temps normal. Comment peuvent-elles fonctionner correctement en temps de crise ?»
-Fawi Ali Rebaine Ahd 54 : «Par ailleurs, l’ancien candidat à la présidentielle de 2009 pense que la diplomatie algérienne, dans sa gestion de la crise libyenne, a renié la tradition algérienne qui consistait à soutenir les peuples en lutte pour leur liberté. «C’est tragique de voir l’Algérie soutenir un dictateur qui tire sur son peuple» 
Puis quelques lignes plus tard, contradiction :

«Et si le pouvoir persiste dans cette logique d’autosatisfaction, le chaos risque d’être inévitable. Les exemples tunisien et égyptien sont là et la crise libyenne est à nos portes. Il faut prendre la mesure et la gravité de la situation.»
                           _________________
Quand aux commentaires des média, il n'y a pas lieu de s'étendre sur le sujet, rappelant seulement que la majorité fonctionnait en "chambres de résonance" des média extérieurs (AFP, REUTERS, Le MONDE, ...), applaudissant la révolution suicidaire déclenchée par l'OTAN/CIA/Mossad et leurs mercenaires. 
Avec son enthousiasme habituel pour la promotion du nihilisme, Kamel Daoud chargea ses chroniques et discours anti-islam, anti-arabe, pro-sioniste, avec le même message d'exhortation aux troubles. Tout en affichant son mépris coutumier et se délectant du spectacle affligeant que la crise offrait au monde entier, il s'empara de l'occasion pour fustiger l'attitude réservée de l'Algérie. Remplissant convenablement sa mission de provocateur et son rôle d'incendiaire au sein des rédactions de SlateAfrique, Algérie-Focus et QuotidienD'Oran. 
N'est pas fortuite l'éloge que lui accorde SlateAfrique, le site juif, administré par les juifs pour la consommation des naïfs Goyim. Ou celle d'ARTE que je rapporte dans la photo suivante :



Conclusion :
Ce retour sur des tristes événements, dont les conséquences désastreuses ne sont pas toutes recensées, ni l'impact à long terme évalué, a pour but de suggérer aux responsables en charges de sécurité à nos frontières d'étudier la décision de mobiliser toutes les personnes qui ouvertement ou du bout des lèvres, exprimèrent leur soutien aux "révolutions démocratiques ".
-Dans quel but ?
-Pour leur faire goûter la potion qu'ils recommandaient aux autres.
Assis confortablement dans leur fauteuil, ils n'avaient pas ménagé les encouragements aux rats de Benghazi d'alors. Les uns voyant en eux la naissance du califat wahhabite, les autres une victoire du peuple sur la dictature.
La situation en Égypte a encore une fois donné l'occasion à des célébrations publiques malgré la déconvenue libyenne.
En réponse à leur persistance dans l'erreur et à titre de rétribution pour leur insouciance du préjudice porté au pays par leur propagation de la désinformation, l'autorité responsable devrait décréter leur entière responsabilité pour les opinions et les écrits relatifs à toute crise majeure passée ou à venir.
Cette tentative de manipulation de l'opinion était malicieusement accompagnée d'incitation à la débauche (du peuple) et à la révolte aveugle. L'oxymore révolution / printemps / destruction était soigneusement enveloppée dans les utopies "liberté", "changement", "victoire du peuple", "démocratie", "renaissance de l'Islam", "instauration du califat", etc...
Les grands défis à relever dans un futur immédiat sont :
-premièrement, celui de reconnaitre les personnalités /charlatans de la politique et de l'information qui ont vanté la "descente en enfer" des pays cités;
-deuxièmement, de s'assurer que ceux parmi ces délinquants, opportunistes et ignorants qui ont démontré leur irresponsabilité lors des événements graves (qui se déroulent toujours sous nos yeux), n'aient jamais le pouvoir de décider de notre avenir ou de gérer nos affaires, tant leur nuisance connue ou prévisible est devenue manifeste. 
N'oublions pas de déclarer nos louanges à Allah pour la bénédiction dont Il nous entoure et écartant cette nébuleuse néfaste qui aspire aujourd'hui à la gouvernance et au pouvoir de décision (présidentielles) !
Notons leurs noms et soyons sur nos gardes chaque fois qu'ils tenterons de nous leurrer par leurs discours démagogiques et leurs critiques calomnieuses du "système"
Bouteflika !
Autre suggestion à nos responsables de la défense nationale :
Touati et Rebaine à la frontière malienne.

Soufiane Djilali à la frontière libyenne.

Attachez ces brebis galeuses ou "chèvres de MrSeguin" aux endroits frontaliers potentiellement dangereux (activité et incursions terroristes) en espérant qu'ils attirent les terroristes coupeurs de têtes et permettre l'éradication des hordes de mercenaires qui rodent près de nos frontières. C'est le seul service que ces pourfendeurs et ennemis furtifs du pays pourraient rendre à la patrie.
_______________________________
(*) Note :
Comme "l'homme a tendance à vite oublier", il est intéressant de jeter un regard rétrospectif sur ces crises arabes et juger de l'entrain de nos média et des personnalités politiques locales et internationales à nous trainer dans le merdier déposé par l'OTAN, BH Levi et ses coreligionnaires, et les agents locaux (El Watan, etc...).
Le grand service rendu au chercheur par l'internet est la facilité de tracer les documents de la période et constater le peu de fiabilité et les intentions diaboliques des média et du monde politique qui militaient en faveur d'une ingérence de l'Algérie dans les crises des pays voisins. Ceci après qu'ils aient échoué à entrainer l'opinion dans la même aventure "printanière" !
Quel aperçu de "l'histoire vivante" nous avons entre nos mains avant que ne soit diffusée celle "morte" dite aussi "officielle", livrée par la Kosher Nostra !
Les moteurs de recherche sont infaillibles pour ce genre de travail, et des résultats impressionnants sont au bout d'un clic de souris.
-Cherche (le traitre), tu trouves !

                                À Suivre.......



22 oct. 2013

Algérie : Les Apprentis Présidents Poussent Comme Des Champignons (suite 3)

Proposant quelques analyses personnelles sur les candidats aux élections présidentielles de 2014 je tente d'avertir le lecteur occasionnel de ce blog sur les enjeux que représente l'agitation médiatique qui est dédiée uniquement à leurrer l'opinion et à l'induire en erreur.
-Tout d'abord "qui leurre qui" ? Une question à la mode que je tente d'élucider depuis 5 ans et qui est clairement citée dans la description de ce blog. Objectif : exposer le pouvoir de l'ombre d'essence et d'allégeance juive qui contrôle les médias. Il actionne à volonté les moyens de communication pour manipuler l'opinion et l'orienter vers des choix qui lui sont préjudiciables. C'est là un résumé schématique, mais suffisamment éloquent et qui nous arme pour confronter l'agression de la juiverie internationale qui s'est attelée à son agenda principale : nous détruire. Moralement, spirituellement, et physiquement, les prédateurs "enfants de Satan" tentent de nous anéantir. Toute campagne massive des média a un objectif non déclaré qu'il est important de tenter de décoder. L'attitude à prendre dès le début de ces vagues de news, d'interviews, de reportages, d'articles écrits, sur un sujet donné, est de marquer une pause et d'éviter tout jugement hâtif. Évitez bien sûr d'accepter le message que tente de faire passer les média, spécialement d'abord ceux connus mais également ceux furtifs, qui sont au service du monopole juif. cette méthode de prospection est empirique au départ puis progressivement un modèle se dessine qui permet instinctivement de se prémunir de la manipulation qui est opérée.
Ce modèle est utile dans le cas de la situation qui règne en Algérie depuis la "fameuse maladie de Bouteflika" qui a déclenché un tsunami médiatique au contenu et à la forme douteux. Tentant de prendre de vitesse l'opinion et la dérouter, avant l'échéance prévue d'Avril 2014 des élections présidentielles, la tempête médiatique déclenchée présentait des "candidats aux élections" parachutés sur la scène à l'improviste, sans préavis, eux mêmes ignorants les facteurs inédits de cette situation. Pressés de s'embarquer dans le train, il fallait signaler sa présence au conducteur (la presse) en agitant des articles de la constitution, des cris d'alarme sur la situation du pays, les risques de troubles sociaux, enfin n'importe quoi pour attirer l'attention. Situation burlesque rassemblant des clowns échappés d'un cirque ambulant !
Pour briguer le poste de chef d'état dans la conjoncture actuelle (régionale et internationale) marquée par des dangers multiples (militaires, politiques, économiques, financières) que seul l'aveugle ne perçoit pas mais dont il a certainement entendu parler, ils auraient dû par respect et décence contenir leur enthousiasme et tempérer leurs ambitions. La "tempête" médiatique provoquée pour l'occasion était dès le premier abord suspecte et révélatrice d'une tentative de détournement de l'opinion du rôle prépondérant du président Bouteflika dans la stabilité du pays. Campagne malveillante instiguée et véhiculée par les média de la subversion, média dont je dénonce le travail de sape psychologique, la propagande mensongère et le danger qu'ils font peser sur notre avenir (se reporter à n'importe quel article antérieur de ce blog pour en avoir une esquisse).
A.Benflis comme signalé précédemment (Lien) avait bondi dans le wagon des élections dès le 08 Juin comme le précisait un sondage publié sur son site dont le serveur (http://www.alibenflis2014.com/fr/) est depuis hier, étrangement et subitement,   mort (?!?)
Les élections et les candidats :
Il y a lieu de distinguer trois catégories de candidats aux élections devant désigner le président de la république.
- 1- les apprentis, élève de l'école maternelle (de l'éducation primaire politique) qui veulent sauter des classes en convoitant un poste de professorat à la haute académie des sciences de la gouvernance. Parmi eux les opportunistes et les judas qui s'infiltrent dans la cour des grands ou s'investissent dans les partis "fond-de-commerce".
-2- ceux qui n'apprendrons jamais ce qu'est la science et l'art de la politique, perdus dans leurs rêves (utopie), occupés à gérer les débats stériles, ou absorbés par la polémique interminable et la distribution de l'injure gratuite.
-3- les professionnels qui ont rejoint un maitre enseignant devant lequel ils montrent humilité et modestie, s'arment de patience, obéissent aux ordres, et s'attachent à accomplir les missions qu'on leur assigne. Ces étudiants scrupuleux et attentifs, de tout âge, mus par le patriotisme d'abord, font leur apparition et constitueront l'avant garde de la gouvernance du pays où devrait régner la paix, la sécurité et la prospérité.
Retour sur l'histoire des élections de 2004 :
Accusé par un visiteur du nom de Chahla Sahraoui d'être un mythomane, je me détacherais pour un moment de mon romantisme politique pour me tourner vers le passé authentique et revoir un passage de la campagne électorale de 2004, un film documentaire avec pour acteurs principaux A.Benflis et Anissa Esther Boukharouba, dans lequel A.Benflis utilise une mascotte/gri-gri (Mme Anissa Boukharouba est l'ex-première dame du régime dictatorial communiste enduré de 1962 à 1980.). Raviver les fantasmes populaires associés avec le règne de l'ancien tyran et en tirer des voix était l'objectif. 
Le documentaire n'est pas d'un style hollywoodien mais vaut bien quelques clics de souris  pour le visionner. 
Remarque :
Le "porte bonheur" trimballé à Biskra, Batna et à l'est du pays n'a apparemment pas produit le magnétisme souhaiter.
Pour épargner aux visiteurs la tache laborieuse de lire mes réflexions sur le film je propose en échange d'observer une BD que j'espère plus distrayante.





















      À suivre............

20 oct. 2013

Algérie : Les Apprentis Présidents Poussent Comme Des Champignons (suite 2)

Le retour du Président Bouteflika démontre que les mystères divins sont intarissables. La meute lancée à ses trousses et le poursuivant jusqu'à son lit d’hôpital est revenue bredouille de son impitoyable chasse à l'homme et commence à regretter leur ardeur à enterrer le vieux lion....vivant.
Le virtuose du dialogue et du rassemblement qui a géré des situations bien plus ardues dont celle extrêmement grave de la faillite générale qui régnait en 1999, regarde avec indulgence l'agitation qui s'est emparée de ce petit monde de l'opposition qui sous différents subterfuges a rejeté ses appels à la concertation et à la coopération et s'est lancé dans la vindicte aveugle.
- Quels sont les motifs de leur refus à coopérer et leur repli dans la dissension ?
- Énumérés tout au long de ce blog, les raisons sont multiples et filtrent à travers l'étalage de prétextes, faux fuyants, mensonges, démarches opportunistes, intérêts occultes, plans subversifs, rancunes ancestrales, tares hérités des clans déchus du pouvoir, etc...
L'indisponibilité du président a aiguisé la cupidité des envieux et des assoiffés de domination. Tous se sont précipités pour l'enterrer vivant au mépris de toute les règles d'éthique et de retenue morale. Ils ont dévoilé leur haine et leur aigreur et démontré l'hypocrisie de leur patriotisme de façade motivé uniquement par la rancune maladive et l'esprit de vendetta. La défense des intérêts nationaux et l'instauration des utopiques liberté, démocratie, égalité, justice sont des médiocres slogans publicitaires servant leur fonds de commerce réel : la soif du pouvoir et de ses privilèges.
Bouteflika revenu, la panique s'est emparée d'eux; la peur les habite et les désoriente au point de ne plus contrôler leurs émotions qu'ils tentent de dissimuler derrière des déclarations tapageuses. Le plus déplorable dans cette mascarade, est leurs efforts à se mettre en évidence non pas en adressant les questions importantes et en proposant des réponses, mais en proférant des critiques dont la prétention est de tenir haut la calomnie et la diffamation. L'indignité règne. Le peuple devra en tenir compte et se prémunir de ces ambitieux aigris et débordant de rancoeur.
Les exemples de politicien qui se trémoussent pour attirer l'attention en sacrifiant leur dignité et piétinant les règles de déontologie sont repérables sur pratiquement tous les média en guerre contre le président depuis 1999.
- Soufiane Djillali (Lien) revu par "jiljadidbejaia.unblog.fr" : «Sofiane Djilali, 53 ans, a claqué la porte  du PRA en 1999, lorsque Nordine Boukrouh a décidé unilatéralement de participer au premier gouvernement mis en place par Bouteflika (refus du dialogue parce que contraire à son "agenda" ). En 2004, il s’est lancé dans une aventure avec Ali Benflis (Aventure ? La question n'est pas fortuite.) 
L’échec est cuisant et va coûter sa vie politique à l’ex-patron du FLN (dis moi qui tu fréquentes...). Sans détours, Sofiane Djilali assume son choix tout en dénonçant le déficit démocratique dont souffre le pays. Mais il ne baisse pas les bras. 2011, il lance Jil Jadid, qui célèbre en ce mois de mars son deuxième anniversaire.»
Soufiane "lance" beaucoup de choses, mais ce dont il a la spécialité est la diatribe stérile irrecevable même chez le commun des mortels car axée sur le commérage, le badinage, et les supputations telles de prêter des intentions à autrui:
- «Jil Jadid accuse le «système bouteflikien» de vouloir se perpétuer».
- «Réquisitoire qui le mènera à faire le procès du chef de l’Etat qu’il accuse de "mener la nation vers un abîme"»
- «Maintenant, en ce qui concerne Jil Jadid, nous partons de l’idée que ce pouvoir et, surtout le régime de Bouteflika, a complètement annihilé toute forme de pensée politique. Nous étions dans le parti unique, avec Monsieur Bouteflika, on est passé  à la pensée zéro. Donc, aujourd’hui, il  s’agit de reconstruire, de retisser de nouveau un lien social. Il faut que les Algériens apprennent à vivre ensemble, à travailler ensemble, à avoir des objectifs ensemble.
Il faut recréer un courant de pensée nouveau avec des instruments politiques et doctrinaires complètement nouveaux et endogènes à la société algérienne. Il ne s’agit pas d’importer des concepts, des idées ou des doctrines et vouloir les plaquer sur la société algérienne. Mais, tout au contraire, il faut profiter d’une vague qui monte, d’une nouvelle génération qui a été plus ou moins instruite, qui est ouverte à ce qui se passe dans le monde, qui a une nouvelle approche du fait social ; c’est ce courant -là qu’il faudra alors traduire en une pensée politique.

Dans quelques années, dans cinq ou dix ans, en Algérie, on ne parlera plus de réformisme musulman, de néolibéralisme, d’islamisme et de socialisme, mais on parlera de quelque chose de tout à fait nouveau (On y arrive enfin. Le NOM ?) qui correspondra à la conception et la perception de cette nouvelle génération qui sera à ce moment-là, malgré les blocages du régime, au pouvoir.»
Remarque: Un argument majeur qui confirme la faiblesse de tels individus à même prétendre diriger leur propres affaires avant d'envisager de conduire celles du pays, est la nature des liens qu'ils tissent avec des associés douteux. Dans le cas de Soufiane Djilali, des membres fondateurs du "club JilJadid", dont Zoheir Rouis (photo) :

-A.Benbitour : qui n'est plus à présenter et que même les tentatives de lifting publicitaire ne pourront plus réhabiliter vu son statut de Cheval de Troie des banksters talmudes, comme je l'ai souligné à plusieurs occasions (Lien, Lien, Lien, Lien). En plus du fait qu'il se soit gouré dans ses calculs il devra tout réviser pour démontrer sa fameuse formule "hydrocarbures = malédictions", projet qui l'occupera certainement pour encore 20 ans .

- A.Benflis : Aux dernières nouvelles, il se revitalisait par la pratique du yoga (ce qu'il a annoncé sur la chaine III) en prévision des échéances d'Avril 2014. Il écrit des livres et a chargé DE. Benfreha, le webmaster de son site internet (Lien) de la publicité pour sa campagne électorale. Là aussi il est impératif de signaler le bruit de fond assourdissant des média, les sites internet et la presse de la subversion en tête (Algérie-focus 1 2, TSA, Algérie-Express, algerie360, algérie1, algérienews.info, forumdesdemocrates, intelligence-info, etc, etc... 
Le pouvoir de l'ombre a donc désigné son candidat !

Remarque :
Voilà un vrai homme du serail, juge à 24 ans (tribunal Blida-1969), a négocié adroitement sa promotion tout au long de l'abomination de la dictature (Boukharouba) au sein du ministère de la justice (procureur), ministre dans différents gouvernements, durant une période où les plus graves violences furent commises contre le peuple algérien.
Judas assis à la table de Bouteflika, il tente de saborder le programme contracté entre le président et le peuple (1999). Responsable de la débâcle "Al-Khalifa" suite à sa campagne de libéralisation-privatisation qui fut le motif de sa destitution. Candidat à la présidence en 2004, écoutez le déclarer :
 «Nous allons libérer le pays de ces despotes, nous allons libérer la justice, la télévision et allons restituer au citoyen sa dignité(Lien). 
Puis dans dans un interview fictif :
- Libérer la justice ? 
- «1969-2004, soit 35 ans d'ancienneté au sein du "consortium" et à tous les échelons de sa hiérarchie, est un long parcours pour arriver enfin à faire ma confession en reconnaissant que la justice était "prisonnière", et ceci sous ma propre autorité ! »
- Prisonnière de quoi ? De qui ? Donnez-nous des explications, pas des slogans électoraux, Mr Benflis !
- « C'est un secret d'état ! Mais je peux seulement vous dire que ça relève de la fraude du socialisme spécifique...»
Et le suspense théâtral que vous entretenez sur votre éventuelle candidature ? 
- «Un autre épisode de mes chicaneries mensongères, puisque dès Juin 2013, j'ai entamé les préparations de ma campagne en prévision du "décès certain" de Bouteflika ! (lien -mon site, ou Sondage de JeuneAfrique loué par mes services).»

Notez la date : 08 Juin 2013 !
Inutile de s'étaler sur les tripotages enregistrés au cours du parcours de notre revenant de Batna, deux phrases suffisent pour réfuter ses  :
"Chassez le naturel il revient au galop" et " L'arbre arrivé à maturité, son tronc mal-formé ne peut plus être redressé " !
Personnage énigmatique et évasif, Benflis tire de sa manche son jocker, le militantisme politique, la bravoure, et le sacrifice suprême des nobles Chouhadas membres de sa famille (dont son père, Allah yarahmouh). Un capital moral à préserver et à respecter en adhérant aux idéaux et principes défendus par les martyrs de la lutte contre le colonialisme.
Benflis voulant s'en servir, a-t-il le droit d'en récolter les dividendes moraux après en avoir tirer pendant 40 ans les bénéfices matériels ?
Son argumentation est-elle recevable ? Le rappel au "souvenir" des martyrs a été une astuce de manipulation des masses que Boukharouba et le FLN ont à grande échelle abusivement exploitée. Benflis qui y a été associé pendant 50 ans, n'a jamais soulevé d'objection à ce commerce mémoriel !  Pour citer quelqu'un de bien placé, à savoir le président martyr M. Boudiaf (Yarhamouh Allah), son appréciation de la fraude du parti unique dirigé par le dictateur : «le FLN est mort en 1962, ce qu'il en reste n'est qu'un alibi
- Alibi ?
- Une définition qui élucide le jugement de Boudiaf : «Excuse, justification, d'une conduite jugée répréhensible ou inhabituelle.»
Slate.Afrique faisant écho à un article d'Algérie-Focus,  site d'intox sioniste-juive mijotée par le...MOSSAD (Lien, Lien).

Une histoire identique circule dans les média à propos du soutien à Benflis de l'ex-président-général Zéroual.
- Erreur de sa vie qui risque d’endommager sa réputation  ! 
- Car le pouvoir de l'ombre a besoin d'un bouc émissaire au cas où la situation tournait à la catastrophe nationale ! Le traitement réservé par le pouvoir occulte au défunt président Chadli Bendjedid (Allah Yarhamouh) devrait servir d'avertissement à Zéroual qui est loin d'appréhender les risques de son association avec ces démons de l'intrigue ! 
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                                                À Suivre....

17 oct. 2013

Algérie : Les Apprentis Présidents Poussent Comme Des Champignons, Et La Perfidie Juive Les Arrose ! (Suite)

                                    (Suite de l'article précédent)

Exemple 2 :
Soufiane Djilali et la la politique "nouvelle vague" .
Comme pour les astuces trompeuses du marketing, les produits dits "nouveaux" ont un attrait commercial particulier puis qu'ils annoncent une amélioration de celui déjà en vente. Une technique trompeuse, pour leurrer les tubes digestifs, puisée dans les sciences occultes affinées par les maîtres du mensonge et inspirées du Talmud et de son appendice la Cabbalah
De ce type de prédateur, on peut citer un spécimen original, puisqu'il se réclame d'une "nouvelle espèce" qui se distance de toutes les anciennes connue. Sa particularité est "d'avoir des idées" et ne pas se suffire, pour sa survie, de l'abondance d'une ressource naturelle divine, connue sous le nom d'hydrocarbures. Des "idées" à toutes les sauces seraient selon le porte parole de la bande un remède à tous les maux de la faune.  
   « Jil Jadid incite Soufiane Djilali à se porter candidat à l’élection présidentielle » claironne "algerie1.com" et rapporte qu'un dernier né de la génération spontanée des candidats à la présidence a été "incité" à se présenter au élections présidentielles. L'incitation a été suivie d’excitation lorsque l'assemblée a annoncé «La participation active de "Jil Jadid" dans la vie politique, son engagement sur le « devoir d’agir » et sur la nécessité d’appeler les Algériennes et les Algériens à l’action et non à l’inaction, font prévaloir le devoir d’être partie prenante à ces élections. »
Le "devoir d'agir" qui résulte en un "droit d'être partie prenante", est d'une logique douteuse et baigne dans le vague et le vaporeux car confus sur la nature de ce "devoir". Devoir moral ? Religieux ? Légal ?
Quant au droit, serait-ce un droit conforme à la morale ? À la justice ? À la raison ?
Typique et illustratif des discours verbeux des "candidats à la présidence", les idées qu'ils font circuler trahissent les utopies qu'ils tentent de faire adopter à l'opinion. Ils ne présentent jamais des projets tangibles qui formeraient un programme politique, offriraient un modèle de développement économique, un plan d'émancipation social (dédié à la science, à la culture, à la religion, à la technologie), ou un système d'organisation servant des objectifs concrets quantifiables. Ils n'ont rien à offrir dans ces domaines de la pensée, car comme les fûts, plus ils sont vides, plus ils résonnent !    
Pour construire un modèle de développement, il faut connaître les mathématiques et maitriser des outils statistiques (des plus rudimentaires aux plus sophistiqués), en tirer des indicateurs, des paramètres significatifs, et des indices, puis utiliser des méthodes d'interprétation qui permettent de traduire les données numériques en appréciations, estimations, conclusions, et un bilan des résultats, et en extrapolant énoncer des prévisions.

Les statistiques officielles de l'économie algérienne corroborées par celles de organisations internationales reflètent une vérité incontournable : l’amélioration croissante des performances économiques et financières du pays grâce à une gestion clairvoyante en dépit des contraintes, des carences héritées de la malédiction socialiste, et du sabotage organisé par les forces occultes mises en veille depuis 1999 ! (Voir articles antérieurs pour plus amples détails).
 L'offensive multi-directionnelle menée par les ennemis de l'humanité contre l'Algérie ne dérange jamais ces démocrates d'occasion. Ils ne mentionnent en aucune manière les vrais conspirateurs tapis derrière les associations humanitaires (ONG), partis politiques à l'allégeance allochtone, ceux d'obédiences islam-miques (frères musulmans wahhabites) ou laïques (agents de l'internationale juive "Protocolaires"). Pas un mot sur le danger des banques talmudes qui manigancent en sourdine via leurs agents locaux du libéralisme mondialiste. Nos nouveaux politiciens de pacotille se vautrent avec extase dans la boue des rédactions spécialisées que la propagande juive a mobilisées pour disséminer l'intox confectionnée par nul autre que le....MOSSAD !  
La Nébuleuse ou Réseaux Interconnectés des Média Subversifs Et Son Offensive Contre L'Algérie.
Un cas d'école de la subversion talmude illustrant au mieux sa perfidie et la trahison de ses agents-collabos (algériens) est "Slate.com", dont sa filiale africaine :
-1- «slateafrique.com»
Ce réseau résume à lui seul la nature et la physionomie de la conspiration de la juiverie internationale dirigée ouvertement contre nous. 
Les références Web ne manquent pas pour percevoir les contours de cette organisation internationale et ses ramifications aux USA et dans le monde. Des ramifications 100% talmudes qui donnent le vertige à qui survole l'étendue et le pouvoir du Slate-Group
«Depuis juin 2008, David Plotz en est le rédacteur en chef, en remplacement de Jacob Weisberg, dont il était le rédacteur-adjoint. Jacob Weisberg est lui devenu président et rédacteur en chef du Slate Group.» (Wikipedia)
La version française a été initiée par, entre autres ;
«Le 10 février 2009, un magazine en ligne homonyme français a été lancé, fondé par Jean-Marie Colombani, ancien directeur du journal Le Monde, Éric Leser, Johan Hufnagel, et Éric Le Boucher, journalistes, et Jacques Attali » (
Ceci pour une introduction, si on avance le long de ces ramifications nous rencontrons une version africaine de l'organe, "SlateAfrique".
 À propos de "Éric Leser" :
«Wikipedia En 2007, il revient à Paris pour prendre la tête du service économique du journal. Dans le même temps, après avoir rencontré Jacob Weisberg, qui dirige Slate Group, il veut importer l'idée d’une version française du magazine online Slate, le premier magazine pure player créé dès 1996 aux États Unis par Microsoft , et racheté en 2004 par le groupe Washington Post. Devant l'impossibilité de créer Slate.fr au sein du groupe Le Monde, en septembre 2008, il quitte le quotidien.»
Quand à Jacques Attali les présentations ne sont pas nécessaires. 
Grande découverte : Les "partenaires" de Slate :
Pour mieux illustrer ce partenariat une image :
 
Notez les bras de la Kosher-Nostra, les tentacules qui se sont glissées das le champ médiatique réservé à l'Algérie.
Citons quelques uns pour une meilleur mémorisation :
-EL-Watan, la tête n°1 de l'hydre talmude (ou tentacule selon la perspective)
-Algérie-Focus de HADDAR KAMEL. Vous rappelez-vous la prostitué Fayçal Anseur  qui poussait des cris d'indignation en clamant sa virginité, malgré son long service au compte d'un proxénète nommé "MOSSAD" ?
 Sa mise en retraite répondant à l'exigence de ses protecteurs, qui lui ont préférée une tapette du nom de Kamel Daoud, dont le "métier" et les charmes avaient été exploitées antérieurement, avec grand succès, par la maison close d'Oran sise au "Quotidien d'Oran" ! (Excusez pour une fois le langage outrageant mais de circonstance).
-Le Quotidien d'Oran, une autre tête de l'hydre talmude qui se spécialise dans la sape sociale et l'intox en occupant l'espace de la capitale de l'ouest sur laquelle elle répand ses chroniques infectes et son mépris déclaré de l'Algérien et de ses traditions. Un fleuve de dénigrement et d'insultes que seuls des crypto-juifs savent produire du haut de leur suprématisme judaïque. 
-Maghreb Émergent, un autre pion sur l'échiquier juif au Maghreb, mais axé réellement dans la vindicte anti-algérienne et étroitement lié aux autres
Dans le même volet lié à Slate, le "blog.slateafrique.com", de Fella Bouredji.
Une des nombreuses collabos de Slate.
La liste pour les énumérer nécessiterait plus d'espace que celui offrert par ce blog.  Pour simple indication de l'ampleur de cette manigance médiatique notez la référence à El-Watan le moteur de cette machine de guerre médiatique juive. 
Dénominateur commun: Les média de la subversion qui nous vantent les bienfaits de la démocratie et des libertés, sont  unanimes sur un point particulier : leur vendetta contre Bouteflika !
- Les campagnes massives répétées contre le président ne soulèvent-t-elles pas des questions quand à leurs motifs et à leurs objectifs ?
-Que pensez de cette coordination-synchronisation des vagues d'intox qui submergent le pays au moindre ennui que rencontre l'Algérie qui subit des tentatives de pourrissement social orchestré au nom de prétextes fictifs.   
À cours d'argument, tous les motifs sont valables pour remuer le panier à ordures et en extraire quelque obscénité. La dernière découverte : un adepte du culte de Sodome qui a reçu le soutien moral de tous les sites de la nébuleuse juive du net et de sa succursale laïc. Algérie-Focus saute sur l'occasion pour tenter de démolir un bastion de la dignité humaine en accord avec les convictions de 35 millions d'Algériens :
«Premier manifeste public pour la dépénalisation de l’homosexualité en Algérie» et sa  défense  du tordu  du 3em genre Zak Amazigh Ostmane, un kamikaze de la laicité baisse culotte qui a été lancé comme ballon-sonde pour sans doute permettre aux analystes du MOSSAD d'évaluer l'état des normes sociales et religieuses et faire avancer l'agenda satanique du NOM-Talmude axé sur le pourrissement moral et spirituel de l'humanité.
-Et finalement, que conclure de leur soudaine passion pour un OGM politique sorti des laboratoires de la laicité que les canaux de la perfidie juive présentent comme candidat à la présidence ? (Voir Lien-Slate et image ci-dessus)
Soufiane Djilali : «Les algériens n’accepteront pas d’être dirigés par un homme malade». Chiche ! Mais en notre âme et conscience, peut-on garantir que l'auteur de cette affirmation est de visu en pleine possession de ses moyens physiques et psychologiques ?







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