Proposant quelques analyses personnelles sur les candidats aux
élections présidentielles de 2014 je tente d'avertir le lecteur
occasionnel de ce blog sur les enjeux que représente l'agitation
médiatique qui est dédiée uniquement à leurrer l'opinion et à l'induire
en erreur.
-Tout d'abord "qui leurre qui" ? Une question à la mode que je tente d'élucider depuis 5 ans et qui est clairement citée dans la description de ce blog. Objectif : exposer le pouvoir de l'ombre d'essence et d'allégeance juive qui contrôle les médias. Il actionne à volonté les moyens de communication pour manipuler l'opinion et l'orienter vers des choix qui lui sont préjudiciables. C'est là un résumé schématique, mais suffisamment éloquent et qui nous arme pour confronter l'agression de la juiverie internationale qui s'est attelée à son agenda principale : nous détruire. Moralement, spirituellement, et physiquement, les prédateurs "enfants de Satan" tentent de nous anéantir. Toute campagne massive des média a un objectif non déclaré qu'il est important de tenter de décoder. L'attitude à prendre dès le début de ces vagues de news, d'interviews, de reportages, d'articles écrits, sur un sujet donné, est de marquer une pause et d'éviter tout jugement hâtif. Évitez bien sûr d'accepter le message que tente de faire passer les média, spécialement d'abord ceux connus mais également ceux furtifs, qui sont au service du monopole juif. cette méthode de prospection est empirique au départ puis progressivement un modèle se dessine qui permet instinctivement de se prémunir de la manipulation qui est opérée.
Ce modèle est utile dans le cas de la situation qui règne en Algérie depuis la "fameuse maladie de Bouteflika" qui a déclenché un tsunami médiatique au contenu et à la forme douteux. Tentant de prendre de vitesse l'opinion et la dérouter, avant l'échéance prévue d'Avril 2014 des élections présidentielles, la tempête médiatique déclenchée présentait des "candidats aux élections" parachutés sur la scène à l'improviste, sans préavis, eux mêmes ignorants les facteurs inédits de cette situation. Pressés de s'embarquer dans le train, il fallait signaler sa présence au conducteur (la presse) en agitant des articles de la constitution, des cris d'alarme sur la situation du pays, les risques de troubles sociaux, enfin n'importe quoi pour attirer l'attention. Situation burlesque rassemblant des clowns échappés d'un cirque ambulant !
Pour briguer le poste de chef d'état dans la conjoncture actuelle (régionale et internationale) marquée par des dangers multiples (militaires, politiques, économiques, financières) que seul l'aveugle ne perçoit pas mais dont il a certainement entendu parler, ils auraient dû par respect et décence contenir leur enthousiasme et tempérer leurs ambitions. La "tempête" médiatique provoquée pour l'occasion était dès le premier abord suspecte et révélatrice d'une tentative de détournement de l'opinion du rôle prépondérant du président Bouteflika dans la stabilité du pays. Campagne malveillante instiguée et véhiculée par les média de la subversion, média dont je dénonce le travail de sape psychologique, la propagande mensongère et le danger qu'ils font peser sur notre avenir (se reporter à n'importe quel article antérieur de ce blog pour en avoir une esquisse).
A.Benflis comme signalé précédemment (Lien) avait bondi dans le wagon des élections dès le 08 Juin comme le précisait un sondage publié sur son site dont le serveur (http://www.alibenflis2014.com/fr/) est depuis hier, étrangement et subitement, mort (?!?)
Les élections et les candidats :
Il y a lieu de distinguer trois catégories de candidats aux élections devant désigner le président de la république.
- 1- les apprentis, élève de l'école maternelle (de l'éducation primaire politique) qui veulent sauter des classes en convoitant un poste de professorat à la haute académie des sciences de la gouvernance. Parmi eux les opportunistes et les judas qui s'infiltrent dans la cour des grands ou s'investissent dans les partis "fond-de-commerce".
-2- ceux qui n'apprendrons jamais ce qu'est la science et l'art de la politique, perdus dans leurs rêves (utopie), occupés à gérer les débats stériles, ou absorbés par la polémique interminable et la distribution de l'injure gratuite.
-3- les professionnels qui ont rejoint un maitre enseignant devant lequel ils montrent humilité et modestie, s'arment de patience, obéissent aux ordres, et s'attachent à accomplir les missions qu'on leur assigne. Ces étudiants scrupuleux et attentifs, de tout âge, mus par le patriotisme d'abord, font leur apparition et constitueront l'avant garde de la gouvernance du pays où devrait régner la paix, la sécurité et la prospérité.
Retour sur l'histoire des élections de 2004 :
Accusé par un visiteur du nom de Chahla Sahraoui d'être un mythomane, je me détacherais pour un moment de mon romantisme politique pour me tourner vers le passé authentique et revoir un passage de la campagne électorale de 2004, un film documentaire avec pour acteurs principaux A.Benflis et Anissa Esther Boukharouba, dans lequel A.Benflis utilise une mascotte/gri-gri (Mme Anissa Boukharouba est l'ex-première dame du régime dictatorial communiste enduré de 1962 à 1980.). Raviver les fantasmes populaires associés avec le règne de l'ancien tyran et en tirer des voix était l'objectif.
Le documentaire n'est pas d'un style hollywoodien mais vaut bien quelques clics de souris pour le visionner.
Remarque :
Le "porte bonheur" trimballé à Biskra, Batna et à l'est du pays n'a apparemment pas produit le magnétisme souhaiter.
Pour épargner aux visiteurs la tache laborieuse de lire mes réflexions sur le film je propose en échange d'observer une BD que j'espère plus distrayante.
À suivre............
-Tout d'abord "qui leurre qui" ? Une question à la mode que je tente d'élucider depuis 5 ans et qui est clairement citée dans la description de ce blog. Objectif : exposer le pouvoir de l'ombre d'essence et d'allégeance juive qui contrôle les médias. Il actionne à volonté les moyens de communication pour manipuler l'opinion et l'orienter vers des choix qui lui sont préjudiciables. C'est là un résumé schématique, mais suffisamment éloquent et qui nous arme pour confronter l'agression de la juiverie internationale qui s'est attelée à son agenda principale : nous détruire. Moralement, spirituellement, et physiquement, les prédateurs "enfants de Satan" tentent de nous anéantir. Toute campagne massive des média a un objectif non déclaré qu'il est important de tenter de décoder. L'attitude à prendre dès le début de ces vagues de news, d'interviews, de reportages, d'articles écrits, sur un sujet donné, est de marquer une pause et d'éviter tout jugement hâtif. Évitez bien sûr d'accepter le message que tente de faire passer les média, spécialement d'abord ceux connus mais également ceux furtifs, qui sont au service du monopole juif. cette méthode de prospection est empirique au départ puis progressivement un modèle se dessine qui permet instinctivement de se prémunir de la manipulation qui est opérée.
Ce modèle est utile dans le cas de la situation qui règne en Algérie depuis la "fameuse maladie de Bouteflika" qui a déclenché un tsunami médiatique au contenu et à la forme douteux. Tentant de prendre de vitesse l'opinion et la dérouter, avant l'échéance prévue d'Avril 2014 des élections présidentielles, la tempête médiatique déclenchée présentait des "candidats aux élections" parachutés sur la scène à l'improviste, sans préavis, eux mêmes ignorants les facteurs inédits de cette situation. Pressés de s'embarquer dans le train, il fallait signaler sa présence au conducteur (la presse) en agitant des articles de la constitution, des cris d'alarme sur la situation du pays, les risques de troubles sociaux, enfin n'importe quoi pour attirer l'attention. Situation burlesque rassemblant des clowns échappés d'un cirque ambulant !
Pour briguer le poste de chef d'état dans la conjoncture actuelle (régionale et internationale) marquée par des dangers multiples (militaires, politiques, économiques, financières) que seul l'aveugle ne perçoit pas mais dont il a certainement entendu parler, ils auraient dû par respect et décence contenir leur enthousiasme et tempérer leurs ambitions. La "tempête" médiatique provoquée pour l'occasion était dès le premier abord suspecte et révélatrice d'une tentative de détournement de l'opinion du rôle prépondérant du président Bouteflika dans la stabilité du pays. Campagne malveillante instiguée et véhiculée par les média de la subversion, média dont je dénonce le travail de sape psychologique, la propagande mensongère et le danger qu'ils font peser sur notre avenir (se reporter à n'importe quel article antérieur de ce blog pour en avoir une esquisse).
A.Benflis comme signalé précédemment (Lien) avait bondi dans le wagon des élections dès le 08 Juin comme le précisait un sondage publié sur son site dont le serveur (http://www.alibenflis2014.com/fr/) est depuis hier, étrangement et subitement, mort (?!?)
Les élections et les candidats :
Il y a lieu de distinguer trois catégories de candidats aux élections devant désigner le président de la république.
- 1- les apprentis, élève de l'école maternelle (de l'éducation primaire politique) qui veulent sauter des classes en convoitant un poste de professorat à la haute académie des sciences de la gouvernance. Parmi eux les opportunistes et les judas qui s'infiltrent dans la cour des grands ou s'investissent dans les partis "fond-de-commerce".
-2- ceux qui n'apprendrons jamais ce qu'est la science et l'art de la politique, perdus dans leurs rêves (utopie), occupés à gérer les débats stériles, ou absorbés par la polémique interminable et la distribution de l'injure gratuite.
-3- les professionnels qui ont rejoint un maitre enseignant devant lequel ils montrent humilité et modestie, s'arment de patience, obéissent aux ordres, et s'attachent à accomplir les missions qu'on leur assigne. Ces étudiants scrupuleux et attentifs, de tout âge, mus par le patriotisme d'abord, font leur apparition et constitueront l'avant garde de la gouvernance du pays où devrait régner la paix, la sécurité et la prospérité.
Retour sur l'histoire des élections de 2004 :
Accusé par un visiteur du nom de Chahla Sahraoui d'être un mythomane, je me détacherais pour un moment de mon romantisme politique pour me tourner vers le passé authentique et revoir un passage de la campagne électorale de 2004, un film documentaire avec pour acteurs principaux A.Benflis et Anissa Esther Boukharouba, dans lequel A.Benflis utilise une mascotte/gri-gri (Mme Anissa Boukharouba est l'ex-première dame du régime dictatorial communiste enduré de 1962 à 1980.). Raviver les fantasmes populaires associés avec le règne de l'ancien tyran et en tirer des voix était l'objectif.
Le documentaire n'est pas d'un style hollywoodien mais vaut bien quelques clics de souris pour le visionner.
Remarque :
Le "porte bonheur" trimballé à Biskra, Batna et à l'est du pays n'a apparemment pas produit le magnétisme souhaiter.
Pour épargner aux visiteurs la tache laborieuse de lire mes réflexions sur le film je propose en échange d'observer une BD que j'espère plus distrayante.
À suivre............