Prenant connaissance de la définition scientifique de la "schizophrénie" et tentant instinctivement de repérer un spécimen d'individu atteint de ce trouble mental et qui puisse en offrir une illustration pratique, et au fur et à mesure que je progressais dans la lecture forte intéressante de l'article de wikipedia (Lien), et celui de doctissimo (Lien) je fis une découverte inattendue. Constat que les symptômes décrits étaient visibles pour ne pas dire criards chez un personnage des média qui se fait remarquer par son écriture acerbe contre tout ce que Dieu a créé de noble et de sacré, contre toutes les personnes de notoriété, contre tous ceux en qui la majorité des gens expriment sympathie ou affection, le peuple et ses dirigeants, en un mot contre tous.
Une sorte "d'exterminator " social qui a été programmé pour détruire tout ce que les gens vénèrent et respectent. Il est le
pourfendeur de tout ce qui est noble sur terre et dans le ciel. Allah et Ses Prophètes, l'Islam et les Musulmans, l'Arabe et sa civilisation, l'Algérie et ses constantes, le pays et ses dirigeants. Une machine polluante de l'information qui rejette plus d'eaux usées que celles produites par Alger et sa région. Un dépotoir d'ordures et d'immondices que les usines de recyclage de 48 willayas n'arrivent plus à traiter. Paradoxalement ce caractère phénoménal n'a pour arme qu'un inoffensif clavier d'ordinateur. Du moins ce qu'il prétend, car en fait il est "l'arbre qui cache la forêt" d'une vraie organisation dont le travail consiste en la fabrication de l'intox ciblant l'Algérie et qui a pour support les média et la publication. Contrairement à Boualem Sansal qui a investit le créneau de l'outrage et de l'infamie après avoir fuit le pays, Kamel Daoud a lui adopté une tactique plus aventureuse en prétendant y demeurer (quoiqu'il réside pratiquement en France) et confronter la société qu'il méprise et vilipende.
Comment s'arrange-t-il pour exécuter cette tache en apparence titanesque avec des moyens aussi
rudimentaires ? En apparence seulement, car ce qu'il produit dispose en réalité d'appuis multiples dans un réseau étendu de sites internet, quotidiens de la presse, ONG, associations et des partenaires complices.
Cette question sera abordée en détail ultérieurement, mais avant de poursuivre ajoutons deux autres interrogations :
-pour quelle raison ce personnage tente-t-il d'occasionner autant de trouble ?
- et pourquoi hait-t-il tant les "autres" et mène-t-il une vendetta contre eux ?
C'est à ce stade que le dictionnaire devient utile et la définition mentionnée plus haut, un guide dans notre enquête.
Wikipedia : «La schizophrénie est une maladie mentale se développant généralement au début de la vie adulte. Elle est caractérisée par des difficultés à partager une interprétation du réel avec les autres, ce qui entraîne des comportements et des discours bizarres, parfois délirants.»
À la lumière de cette introduction il est déjà possible de discerner le contours psychologique de l'auteur de "Raina-Raikoum". Enveloppé dans l'étrange et l'insolent, son style n'est rien d'autre que le reflet de l'idéologie dominante dans la littérature, et cette idéologie est définie, contrôlée et gérée, par le pouvoir dominant, le pouvoir juif.
Réservé aux pays musulmans, le style du blasphème et du sacrilège est en verve depuis la montée de Ayaan Hirsi, Wassila Tamzali, Boualem Sansal, Nawal El Saadawi, et les nombreux adeptes de la laïcité koshérisée commercialisée par le Nouvel Ordre Mondial Talmude. Le "genre" de Kamel Daoud est dans le fond identique. L'athéisme est le secret mignon dissimulé sous ses chroniques politiques et sociales qui affichent une défiance de l'autorité. La révolte contre Dieu est le motif qui fournit à cet opportuniste l'audace de s'attaquer à l'Islam, aux Musulmans, à la langue arabe, à la civilisation arabe, aux valeurs sacrées partagées par un milliard d'habitants de la planète, tout en occupant un créneau littéraire qui rapporte gros au vue de la publicité que lui réserve la nébuleuse juive des média et de l'information. Sa production littéraire pue par le cynisme qu'elle dégage. Mépris des conventions sociales, de l'opinion publique, des idées reçues. Il attaque avec virulence la langue arabe et toutes les valeurs qui lui sont attachées, profanes ou sacrées. Un sujet que son ignorance lui interdit d'aborder en tant que francophone religieusement francophile (Lien) à qui sied formellement la formule "Peau noire, masques blancs" de Frantz Fanon !
Kamel David :
«Prenez une langue et jetez la dans la rue (pour paraphraser Mao), elle deviendra vivante. Enfermez-la dans un livre et un temple, elle meurt et tue les gens autour d’elle. Prenez une langue, ajoutez lui une armée et un Pouvoir, elle devient une langue officielle. Ajoutez lui une religion ou un prophète, elle devient langue sacrée.»
Ou encore (Lien) :
«A quoi servent les musulmans ?»
Seul l'insolent, le sans honneur, le sans pudeur, l'enfant de père inconnu, d'origine douteuse et de mœurs dégénérées, le corrompu compromis jusqu'à la moelle, peut avoir le courage d'agresser cette langue et étendre au coran,
au Prophète (SAWS), et à l'Islam, ses insinuations désobligeantes uniquement pour meubler ses pensées démoniaques, au départ pernicieuses, d'arguments imaginaires et mensongers. Une opinion dénuée de toute signification et qui n'est appuyée d'aucune évidence scientifique, sociologique, historique, linguistique. L'étude de la langue et de sa multitude de branches scientifiques est un vaste champ de recherche et d'études nécessitant des moyens et des capacités dont ce déculotté n'a aucune idée et certainement aucune notion.
Pour réfuter ses écrits abusifs qui n'ont pour origine qu'un cerveau malade possédé par quelque force satanique, tournons nous vers un homme de science, Pierre Rossi, dont la neutralité est évidente parce que Français et qui écrit
sur le sujet avec méthodologie le long des avenues illuminées de l'histoire de la civilisation arabe que la juiverie occulte systématiquement dans tous ses écrits :
La cité d'Isis - Histoire vraie des Arabes. (extrait annoté/image)
Ou encore :
Kamel Daoud, le jongleur d'alphabet, est par son mépris des règles de déontologie (Note ci-dessus *) une fraude dont la principale fonction est de crotter n'importe où, au vu et su des gens, sans prêter attention ni aux bonnes manières, ni aux respect des coutumes (qui font partout dans le monde force de loi!)(**).
À aucune profession honorable, et certainement pas au journalisme (dont il se réclame), ni à la littérature (à laquelle l'a promu la Kosher-Nostra des média (***), ce mécréant ne peut prétendre appartenir.
Ses comportements (activités publiques "politiques" dans les ONG sionistes) et ses écrits sont symptomatiques de la Chutzpah, et lui confèrent justement le qualificatif de crypto-juif (Lien et lien). Cette appréciation n'est pas subjective ni diffamatoire, elle est factuelle à travers le contenu de ses écrits perfides et parce que
-toutes ses fréquentations sont juives (***) !
-ses associations humanitaires (ONG) également !
-son idéologie/religion (laicité/athéisme), est une ex-croissance et arme du sionisme !
Sans omettre sa schizophrènie, une maladie commune chez les juifs dont les traits s'énumèrent :
Les cas Zag Amazigh Ostmane, Abdelghani Aloui, où toutes les crétineries humaines, nécessitant un diagnostique médical et certainement un traitement psychiatrique, sont intentionnellement et exagérément magnifiées pour faire tourner en bourrique les illusionnés qui digèrent les messages obscènes des quotidiens, mercenaires de la Kosher Nostra, "Slate.com", "algérie-focus", "El-Watan", "Quotidiend'Oran", etc...
Le triste constat :
Les lecteurs naïfs victimes de la manipulation conçue par la juiverie des média et exploitant les écrits de Kamel Daoud, alias David, devraient réviser leur jugement en découvrant le vrai visage de l'auteur de "Raina-Raikoum", une chronique qui affiche publiquement une forme de contestation contre le "régime" et Bouteflika en particulier. Mais désignée pour séduire l'opinion grâce à ses défis et ses outrages des institutions et des responsables politiques, dissimulant sa mission réelle, celle d'offenser tous les algériens, arabes et musulmans sans distinction. La flatterie destinée aux amazighs sectaires joue la partition connue du diviser pour régner. Un lapsus relevé dans un article intitulé «Dévoration est nation» expose le mépris et le dédain de l'auteur envers tous et tout, et son plaisir sadique à détruire toute source de célébration avec insistance sur celle d'essence religieuse.
Le sentiment de mal vie et le mécontentement, deux couteaux qu'il manie avec dextérité pour égorger l'espoir et la convivialité chez les algériens.
En réponse à son exécrable commentaire sur la frugalité des algériens durant l'Aid, je répondrais à ce démon spoliateur de la joie et semeur de malheur en citant Brillat-Savarin, (Physiologie du goût, 1825) : «La gourmandise est un des principaux liens de la société; c'est elle qui étend graduellement cet esprit de convivialité qui réunit chaque jour les divers états, les fond en un seul tout, anime la conversation, et adoucit les angles de l'inégalité conventionnelle.»
À Suivre.....
_______________________
(*)Note :
Dans "les technique d'écriture", il faut rappeler qu'elles sont «inspirées des cours de communication et de journalisme, (elles) permettent de faire en sorte qu'un texte serve le plus parfaitement possible son objectif initial : informer, rendre compte, former, éduquer, répertorier, distraire, vendre, convaincre, partager, etc.»
«ENJEU :
Considérant qu'au niveau le plus simple, l'écriture vise l’information du lecteur, les techniques d'écriture (en particulier journalistiques) mettent en avant des principes tirés des bonnes pratiques : pertinence du plan d'exposé, règles de lisibilité, rigueur dans la rédaction (en sus de de la vérification des faits), priorisation des éléments (présenter au moins le plus important).
Pour ce faire, une première série de règles consiste à concentrer l’information dans une phrase informative capable de répondre aux sept interrogations QQOQCCP : « qui ? quoi ? où ? quand ? comment ? combien ? pourquoi ? » (exprimé en anglais par les “5W”).»
(**)Note :
Où est la justice ? Où sont les représentants du peuple ?
Les législateurs ?
(***) Note :
Slate.com; Algérie-Focus; Jeune Afrique; El-Watan;
Une sorte "d'exterminator " social qui a été programmé pour détruire tout ce que les gens vénèrent et respectent. Il est le
pourfendeur de tout ce qui est noble sur terre et dans le ciel. Allah et Ses Prophètes, l'Islam et les Musulmans, l'Arabe et sa civilisation, l'Algérie et ses constantes, le pays et ses dirigeants. Une machine polluante de l'information qui rejette plus d'eaux usées que celles produites par Alger et sa région. Un dépotoir d'ordures et d'immondices que les usines de recyclage de 48 willayas n'arrivent plus à traiter. Paradoxalement ce caractère phénoménal n'a pour arme qu'un inoffensif clavier d'ordinateur. Du moins ce qu'il prétend, car en fait il est "l'arbre qui cache la forêt" d'une vraie organisation dont le travail consiste en la fabrication de l'intox ciblant l'Algérie et qui a pour support les média et la publication. Contrairement à Boualem Sansal qui a investit le créneau de l'outrage et de l'infamie après avoir fuit le pays, Kamel Daoud a lui adopté une tactique plus aventureuse en prétendant y demeurer (quoiqu'il réside pratiquement en France) et confronter la société qu'il méprise et vilipende.
Comment s'arrange-t-il pour exécuter cette tache en apparence titanesque avec des moyens aussi
rudimentaires ? En apparence seulement, car ce qu'il produit dispose en réalité d'appuis multiples dans un réseau étendu de sites internet, quotidiens de la presse, ONG, associations et des partenaires complices.
Cette question sera abordée en détail ultérieurement, mais avant de poursuivre ajoutons deux autres interrogations :
-pour quelle raison ce personnage tente-t-il d'occasionner autant de trouble ?
- et pourquoi hait-t-il tant les "autres" et mène-t-il une vendetta contre eux ?
C'est à ce stade que le dictionnaire devient utile et la définition mentionnée plus haut, un guide dans notre enquête.
Wikipedia : «La schizophrénie est une maladie mentale se développant généralement au début de la vie adulte. Elle est caractérisée par des difficultés à partager une interprétation du réel avec les autres, ce qui entraîne des comportements et des discours bizarres, parfois délirants.»
À la lumière de cette introduction il est déjà possible de discerner le contours psychologique de l'auteur de "Raina-Raikoum". Enveloppé dans l'étrange et l'insolent, son style n'est rien d'autre que le reflet de l'idéologie dominante dans la littérature, et cette idéologie est définie, contrôlée et gérée, par le pouvoir dominant, le pouvoir juif.
Réservé aux pays musulmans, le style du blasphème et du sacrilège est en verve depuis la montée de Ayaan Hirsi, Wassila Tamzali, Boualem Sansal, Nawal El Saadawi, et les nombreux adeptes de la laïcité koshérisée commercialisée par le Nouvel Ordre Mondial Talmude. Le "genre" de Kamel Daoud est dans le fond identique. L'athéisme est le secret mignon dissimulé sous ses chroniques politiques et sociales qui affichent une défiance de l'autorité. La révolte contre Dieu est le motif qui fournit à cet opportuniste l'audace de s'attaquer à l'Islam, aux Musulmans, à la langue arabe, à la civilisation arabe, aux valeurs sacrées partagées par un milliard d'habitants de la planète, tout en occupant un créneau littéraire qui rapporte gros au vue de la publicité que lui réserve la nébuleuse juive des média et de l'information. Sa production littéraire pue par le cynisme qu'elle dégage. Mépris des conventions sociales, de l'opinion publique, des idées reçues. Il attaque avec virulence la langue arabe et toutes les valeurs qui lui sont attachées, profanes ou sacrées. Un sujet que son ignorance lui interdit d'aborder en tant que francophone religieusement francophile (Lien) à qui sied formellement la formule "Peau noire, masques blancs" de Frantz Fanon !
Kamel David :
«Prenez une langue et jetez la dans la rue (pour paraphraser Mao), elle deviendra vivante. Enfermez-la dans un livre et un temple, elle meurt et tue les gens autour d’elle. Prenez une langue, ajoutez lui une armée et un Pouvoir, elle devient une langue officielle. Ajoutez lui une religion ou un prophète, elle devient langue sacrée.»
Ou encore (Lien) :
«A quoi servent les musulmans ?»
Seul l'insolent, le sans honneur, le sans pudeur, l'enfant de père inconnu, d'origine douteuse et de mœurs dégénérées, le corrompu compromis jusqu'à la moelle, peut avoir le courage d'agresser cette langue et étendre au coran,
au Prophète (SAWS), et à l'Islam, ses insinuations désobligeantes uniquement pour meubler ses pensées démoniaques, au départ pernicieuses, d'arguments imaginaires et mensongers. Une opinion dénuée de toute signification et qui n'est appuyée d'aucune évidence scientifique, sociologique, historique, linguistique. L'étude de la langue et de sa multitude de branches scientifiques est un vaste champ de recherche et d'études nécessitant des moyens et des capacités dont ce déculotté n'a aucune idée et certainement aucune notion.
Pour réfuter ses écrits abusifs qui n'ont pour origine qu'un cerveau malade possédé par quelque force satanique, tournons nous vers un homme de science, Pierre Rossi, dont la neutralité est évidente parce que Français et qui écrit
sur le sujet avec méthodologie le long des avenues illuminées de l'histoire de la civilisation arabe que la juiverie occulte systématiquement dans tous ses écrits :
La cité d'Isis - Histoire vraie des Arabes. (extrait annoté/image)
Ou encore :
Kamel Daoud, le jongleur d'alphabet, est par son mépris des règles de déontologie (Note ci-dessus *) une fraude dont la principale fonction est de crotter n'importe où, au vu et su des gens, sans prêter attention ni aux bonnes manières, ni aux respect des coutumes (qui font partout dans le monde force de loi!)(**).
À aucune profession honorable, et certainement pas au journalisme (dont il se réclame), ni à la littérature (à laquelle l'a promu la Kosher-Nostra des média (***), ce mécréant ne peut prétendre appartenir.
Ses comportements (activités publiques "politiques" dans les ONG sionistes) et ses écrits sont symptomatiques de la Chutzpah, et lui confèrent justement le qualificatif de crypto-juif (Lien et lien). Cette appréciation n'est pas subjective ni diffamatoire, elle est factuelle à travers le contenu de ses écrits perfides et parce que
-toutes ses fréquentations sont juives (***) !
-ses associations humanitaires (ONG) également !
-son idéologie/religion (laicité/athéisme), est une ex-croissance et arme du sionisme !
Sans omettre sa schizophrènie, une maladie commune chez les juifs dont les traits s'énumèrent :
- éprouver des difficultés à établir un contact avec son entourage (il n'a aucune affinité avec sa communauté)
- être envahie par des idées et des impressions étranges ;
- avoir l'impression d'entendre des voix qui, bien que n'existant pas réellement, font partie de sa réalité;
- être prisonnier de ses hallucinations et de son délire ;
- délirer (parler à Dieu, aux morts, etc..)
- avoir une perception de soi partiellement, voire totalement altérée ;
- avoir beaucoup de difficultés à distinguer ce qui est réel de ce qui ne l'est pas ;
- avoir la conviction que certaines personnes lui veulent du mal ;
- se replier sur elle-même et se comporter d'une façon bizarre ou imprévisible ;
- se désintéresser de nombreuses choses: habillement, ménage, hygiène corporelle,
gestion de ses biens; - avoir des réactions émotionnelles étranges et incongrues
- percevoir son entourage comme hostile ;
- ressentir une insécurité permanente.
Les cas Zag Amazigh Ostmane, Abdelghani Aloui, où toutes les crétineries humaines, nécessitant un diagnostique médical et certainement un traitement psychiatrique, sont intentionnellement et exagérément magnifiées pour faire tourner en bourrique les illusionnés qui digèrent les messages obscènes des quotidiens, mercenaires de la Kosher Nostra, "Slate.com", "algérie-focus", "El-Watan", "Quotidiend'Oran", etc...
Le triste constat :
Les lecteurs naïfs victimes de la manipulation conçue par la juiverie des média et exploitant les écrits de Kamel Daoud, alias David, devraient réviser leur jugement en découvrant le vrai visage de l'auteur de "Raina-Raikoum", une chronique qui affiche publiquement une forme de contestation contre le "régime" et Bouteflika en particulier. Mais désignée pour séduire l'opinion grâce à ses défis et ses outrages des institutions et des responsables politiques, dissimulant sa mission réelle, celle d'offenser tous les algériens, arabes et musulmans sans distinction. La flatterie destinée aux amazighs sectaires joue la partition connue du diviser pour régner. Un lapsus relevé dans un article intitulé «Dévoration est nation» expose le mépris et le dédain de l'auteur envers tous et tout, et son plaisir sadique à détruire toute source de célébration avec insistance sur celle d'essence religieuse.
Le sentiment de mal vie et le mécontentement, deux couteaux qu'il manie avec dextérité pour égorger l'espoir et la convivialité chez les algériens.
En réponse à son exécrable commentaire sur la frugalité des algériens durant l'Aid, je répondrais à ce démon spoliateur de la joie et semeur de malheur en citant Brillat-Savarin, (Physiologie du goût, 1825) : «La gourmandise est un des principaux liens de la société; c'est elle qui étend graduellement cet esprit de convivialité qui réunit chaque jour les divers états, les fond en un seul tout, anime la conversation, et adoucit les angles de l'inégalité conventionnelle.»
À Suivre.....
_______________________
(*)Note :
Dans "les technique d'écriture", il faut rappeler qu'elles sont «inspirées des cours de communication et de journalisme, (elles) permettent de faire en sorte qu'un texte serve le plus parfaitement possible son objectif initial : informer, rendre compte, former, éduquer, répertorier, distraire, vendre, convaincre, partager, etc.»
«ENJEU :
Considérant qu'au niveau le plus simple, l'écriture vise l’information du lecteur, les techniques d'écriture (en particulier journalistiques) mettent en avant des principes tirés des bonnes pratiques : pertinence du plan d'exposé, règles de lisibilité, rigueur dans la rédaction (en sus de de la vérification des faits), priorisation des éléments (présenter au moins le plus important).
Pour ce faire, une première série de règles consiste à concentrer l’information dans une phrase informative capable de répondre aux sept interrogations QQOQCCP : « qui ? quoi ? où ? quand ? comment ? combien ? pourquoi ? » (exprimé en anglais par les “5W”).»
(**)Note :
Où est la justice ? Où sont les représentants du peuple ?
Les législateurs ?
(***) Note :
Slate.com; Algérie-Focus; Jeune Afrique; El-Watan;
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