L'ANALYSE DES CAUSES DU
DÉCLENCHEMENT DE LA RÉVOLUTION AMÈNENT CERTAINS ORATEURS À DES
DÉCLARATIONS SPÉCULATRICES, ALÉATOIRES ET PERSONNELLES QUI DÉNATURENT DANGEREUSEMENT
LA VÉRITÉ HISTORIQUE ET ABORDENT LE SUJET AVEC LÉGÈRETÉ SINON
AVEC DÉSINVOLTURE.
ILLUSTRATION : INCONSISTANCE D'UN "PROFESSEUR" SANS RETENUE MORALE NI DISCERNEMENT,
CAS D'ÉCOLE À CLASSER DANS CE QUE LE MATÉRIALISME A ENFANTÉ COMME
ABERRATION INTELLECTUELLE ET ALIÉNATION CULTURELLE.
Durant le Forum des chefs d'entreprise tenu sous le thème "Les experts dressent le bilan, 60 ans après le déclenchement de la révolution. Économie : les promesses non tenues du 1er Novembre."
Le quotidien LIBERTÉ rapporte la causerie mondaine et cite M.C. BELMIHOUB
Professeur (sic) auteur de l'analyse absurde, vraie diffamation et insulte aux Chouhadas :
«Le professeur Mohamed Cherif Belmihoub (*) a
indiqué que la guerre pour l'indépendance nationale avait des causes
économiques et sociales. Il trouve normal que les Algériens, après
l'Indépendance, aspirent à une justice sociale et que l’État, qui naîtra
de la guerre d'indépendance, devait porter cet idéal. M. Belmihoub a
constaté qu'à l'indépendance "la justice sociale a constitué une trame
fondamentale dans toutes les politiques publiques, allant jusqu'à
imposer un modèle d'organisation de la société et des institutions
publiques".»
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NOTE IMPORTANTE:Où sont pétris nos professeurs, le cas cité ci-dessus en est le produit : "Université Paris Sorbonne - Paris iv -
PARIS. Baigné dans l'atmosphère démoniaque de cette institution satanique pendant dix ans (1974 - 1984), essayez de d'imaginer l'état de ces idiots utiles de la conspiration juive sous l'angle spirituel et religieux. Complètement envoutés par les démons qui doivent s'y réunir ! Ceci doit paraitre tiré par les cheveux pour certains,et libre à eux d'en rire, mais pas pour la majorité des gens qui savent que la franc-maçonnerie a élu domicile dans cet établissement du "savoir" et de la "lumière".
Les résidents de la Sorbonne et les enseignants sont obligatoirement membres du cercle fermé de la haute hiérarchie maçonnique, à l'image de Alain Bauer (Lien à visiter impérativement : http://tinyurl.com/mltraa3. L'auteur rappelle que le vrai nom d'origine de Rothschild est Baeur ).
Dix ans dans l'antre maçonnique ?
Comment voulez vous que ces gens aient la moindre perception des
sentiments des musulmans qui ont sacrifié leur vie pour ce pays et dont
eux récoltent les fruits tout en crachant sur ses valeurs sacrées ?
N'est-ce pas une insulte, que d'attribuer aux Chouhada d'autres
intentions que celles d'aspirer à mourir en martyr au service d'Allah, de Son Prophète (SAAWS), et de son pays ? Et de réduire ces
aspirations spirituelles à celles des pulsions du ventre ?
Imprégnés de théories et d'utopies, nos
intellectuels verbeux ont des difficultés à appréhender la psychologie de
l'Algérien moyen qui dans son quotidien supportait les restrictions
imposées par le colonisateur tout en revendiquant son identité, pas une
bouchée de pain ! Justice sociale et politique publique sont des
concepts que les marxistes ont utilisés par des détours sémantiques pour
réduire le soulèvement populaire à une revendication économique, "lutte
de classe", ou quelque vue de l'esprit inspirée de la dialectique communiste/marxiste,
l'amputant de sa dimension dominante spirituelle, soit le sursaut civilisationnel et le
regain de l'identité. Quelle identité ? D'abord celle
qui avait été la cible d'importantes campagnes d'aliénation et dont les
Zaouïas et leurs Cheikhs étaient les dépositaires. Pour ce rôle de gardiens
de la personnalité nationale, les zaouias, les "écoles coraniques" et les
établissements du savoir furent les premières victimes de la
destruction et leurs bibliothèques brûlées ou confisquées !
À la veille de Novembre 1954, l'âme
de l'Algérien était imprégnée des préceptes de l'Islam, pas d'autres idéologie ! Les aspirations de la
majorité était de rétablir sa pratique. À partir de cette
motivation fondamentale, se greffèrent certes des intentions secondaires
inspirées d'idéologies allogènes, de philosophies importées, et du nationalisme politique. Les
Algériens dans leur majorité analphabètes, réduits à l'esclavage, n'ont
jamais prononcé de revendications purement économiques, sinon ils
auraient manifesté ou organisé des grèves au lieu de prendre les armes
pour libérer le pays du joug de la colonisation !
Le
1er Novembre a été lancé sous le cri de "Allahou Akbar", un symbole de
l'Islam (abusé et dénaturé aujourd'hui par les écervelés salafistes), un étendard de l'héritage millénaire spirituel et des pratiques courantes religieuses, et plus généralement de la civilisation
musulmane.
Ces valeurs dormantes dans l'âme des Algériens furent réveillées ce jour là par une poignée d'hommes qui s'accordèrent sur la nécessité du recouvrement de l'indépendance !
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