L'image de Kamel Daoud est gonflable à volonté au gré des intrigues de BHL et C°. Il répond présent à toutes les requêtes de ses sponsors et module ses écrits en accord avec les campagnes d'intox en cours.
Les compliments sont une moquerie de sa personne corrompue et compromise, car "On n'applaudit pas le serviteur dans la maison du Maître ! ".
Un personnage à qui sied la citation de Molière "L'écriture ressemble à la prostitution. D'abord on écrit pour l'amour de la chose, puis pour quelques amis, et à la fin, pour de l'argent."
Les
informations n'en finissent pas de surgir, sur la nature et caractère
ambigus de Kamel Daoud. Personnage opaque et ténébreux, mais surtout un
opportuniste, devant lequel en comparaison, les contorsionnistes de la
politique sont des paralytiques !
--->kassaman.com
«APRÈS AVOIR ÉTÉ LUI-MÊME UN MILITANT BARBU DU FRONT ISLAMIQUE DU SALUT, C’EST-A-DIRE DES FRÈRES MUSULMANS, CES COUPEURS DE TÊTES D’ALGÉRIENS AU TEMPS DES « ANNÉES NOIRES » (LES TUEURS AU NOM D’ALLAH ÉTANT ALORS CONSIDÉRÉS PAR PARIS COMME DE BRAVES GUÉRILLEROS), KAMEL DAOUD SAUTE SUBITEMENT LA SOURCE DU ZAMZAM ET DÉCOUVRE QUE DIEU EST ATHÉE.»
--->kassaman.com
«APRÈS AVOIR ÉTÉ LUI-MÊME UN MILITANT BARBU DU FRONT ISLAMIQUE DU SALUT, C’EST-A-DIRE DES FRÈRES MUSULMANS, CES COUPEURS DE TÊTES D’ALGÉRIENS AU TEMPS DES « ANNÉES NOIRES » (LES TUEURS AU NOM D’ALLAH ÉTANT ALORS CONSIDÉRÉS PAR PARIS COMME DE BRAVES GUÉRILLEROS), KAMEL DAOUD SAUTE SUBITEMENT LA SOURCE DU ZAMZAM ET DÉCOUVRE QUE DIEU EST ATHÉE.»








• Voilà donc
l’étrange conjonction d’événements qui a suscité un candidat aux basses
manœuvres, un nouvel « Arabe de service » sans foi ni loi, inespéré pour
les champs médiatique et littéraire français. Comment ne pas
reconnaître que cette carrière de briseur d’idoles et de convictions a
été scrupuleusement encadrée par l’élite intellectuelle parisienne qui
découvre en Kamel Daoud un rabouilleur plus percutant que ne le fut
Boualem Sansal, pourtant inféodé aux « diners du CRIF » et aux
injonctions du sionisme ? Et dans un deuil irrésolu de l’ancienne
colonie, tout ce qui vient de France est révéré par une chienlit
algérienne, qui se répand en injures et ignominies sur les réseaux
sociaux contre ceux qui tiennent un discours autre sur Daoud et son
œuvrette. Si elle n’était le fait que d’incultes cisailleurs anonymes,
cette logorrhée de laudateurs pitoyables ne mériterait aucune attention.
Mais elle est aussi celle de bataillons de petites mains de
l’Université et des médias. Et surtout d’écrivains, qui n’hésitent pas à
traiter de « clowns » ceux qui refusent de participer à cette infâme
célébration du journaliste et écrivain oranais, et, malheureusement, de
critiques considérables qui ont fait le choix du clinquant.