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11 oct. 2018

Boualem Sansal explique sa "religion" et fait sa profession de foi.



Un peu de Culte-tchure "moderne" pour changer.
L'écrit-vain Boualem Sansal est célébré, primé, applaudi en France. Un grand penseur, philosophe, et parfois théologien, prophète même de sa religion personnelle, et pour faire plus intellectuel, une religion dont il est lui même le dieu.
Selon son dogme, il y aurait donc autant de dieux sur Terre qu'il y a d'habitants. Combien ? D'après l'ONU, le 31 octobre 2011 la population mondiale a atteint 7 milliards d'habitants.
Un tel nombre, réglementé par la loi de la jungle en existence, explique-t-il la sérénité qui règne sur la planète ?
Transcription de l'extrait de son interview sur le plateau d'Akadem-org ( site juif de France) :
Dans son livre il écrivait :  "la prière, prier Dieu est un signe de faiblesse..intense, puisque ça veut dire qu'on a aucune confiance en soi, et qu'on laisse pas de place pour soi même."
Il déclare dans l'interview :
«Oui. .. la religion c'est compliqué. On est souvent, c'est juste une soumission à quelque chose. On va vers Dieu parce qu'on est dans un état de faiblesse, on implore, appel au secours, on veut comprendre, on veut être porté par quelque chose. Je ne crois pas que se soit la bonne façon de considérer la religion. La religion est en soi. On est sensé avoir un peu de dieu en nous, donc il est en soi. ...La porte des étoile est en nous, voilà. Il faut pas aller chercher Dieu, il n'est pas là pour nous donner à manger, pour nous protéger, pour nous éviter qu'on ait des accidents. Si c'est ça bof, il vaut mieux s'en remettre à l'État il est plus efficace. Il y a des hôpitaux, il a une police, il y a le commissariat juste à coté. Je vous assure la sécurité, et les soins à l'hôpital, si c'est que ça je vous assure que c'est pas Dieu. On recherche en réalité un protecteur, donc ça veut dire qu'on et un .....soumis. Moi, pour moi, Dieu c'est dans la liberté totale, et il ne faut pas le chercher en dehors de soi »

Conclusion :
Très inspirant n'est-ce pas ? "Liberté totale " !
Il faut signaler la présence sur le net de nombreux dieux, dans leurs écrits/commentaires on rencontre leur profession de foi (de perroquets dressés par l'école laique) : "la foi est dans le coeur", "la religion est une affaire personnelle", "la liberté de choix", "la raison réfute la religion", "la religion est dépassée, archaïque, non scientifique", "nous vivons dans un monde moderne", etc...

Lien : http://www.akadem.org/magazine/2018-2019/il-ne-peut-y-avoir-d-islam-de-france-avec-boualem-sansal-26-09-2018-104039_4783.php

12 déc. 2017

Ahmed Bensaada : "Quelle page voulez-vous donc tourner, Mr Macron ? "


Ahmed Bensaada de son oeil perçant, de son esprit pénétrant, et de son verbe mordant analyse les dessous de la visite de Macron et partage ses notes piquantes et remarques cuisantes !
UN ARTICLE À LIRE ET À ARCHIVER ! UN CLASSIQUE DE L'ÉCRITURE JOURNALISTIQUE À INTRODUIRE DANS LES CURSUS DES DÉPARTEMENTS DE JOURNALISME ET DE SCIENCES POLITIQUES, ET POURQUOI PAS DANS LES MANUELS D'HISTOIRE DES LYCÉES ?!


Dans son intégralité, l'article publié par "Agériepatriotique .com" :
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Contribution – Quelle page voulez-vous donc tourner, Monsieur Macron ?

A-t-on déjà vu un président algérien paradant sur les Champs-Elysées, acclamé par une foule française lui souhaitant la bienvenue ?
Macron prône l’amnésie volontaire de plus d’un siècle de colonisation. D. R.
Par Ahmed Bensaada – Mais qu’est-ce que cette manie qu’ont les présidents français post-indépendance algérienne de vouloir déambuler dans les rues d’Alger ou d’autres villes algériennes lors de leurs déplacements officiels ? Veulent-ils tous revivre l’épopée de Napoléon III découvrant, au XIXe siècle, son «royaume arabe» ? Sont-ils tous des nostalgiques des bains de foules du général De Gaulle qui, en 1958, prononça les célèbres «Je vous ai compris !» ou, pire encore, «Vive l’Algérie française !» ? Ou bien aiment-ils tant les «youyous» et les confettis tombant par poignées des balcons ?
A-t-on déjà vu un président algérien paradant sur les Champs-Elysées, acclamé par une foule française lui souhaitant la bienvenue ?
Le président Macron n’a donc pas dérogé à la règle lors de son récent et court voyage à Alger, histoire de pérenniser ce qui est désormais devenu une tradition franco-algérienne, malheureusement unilatérale. Youyous, confettis et bain de foule étaient bien évidemment au rendez-vous de ce mercredi 6 décembre, ensoleillé pour l’occasion.
Il alla spontanément à la rencontre de cette population algéroise. Quelques enfants facétieux, hauts comme trois pommes, lui servirent un «One, two, three, viva l’Algérie». Un adulte lui souhaita la bienvenue en précisant : «Nous sommes un seul peuple, le peuple français et le peuple algérien.» Tiens donc, des vestiges de la période coloniale ? Ce monsieur aurait-il lu la déclaration de l’écrivain Boualem Sansal [1] «L’Algérie, c’est la France, et la France, c’est l’Algérie ?» ?
Un jeune Algérois réussit à agacer le jeune président en l’emmenant sur le terrain du passé colonial. Ne réussissant pas à le convaincre, Macron lui demanda : «Mais vous, vous avez quel âge ?» Lorsque le jeune lui répondit qu’il avait 26 ans, le Président lui rétorqua sèchement : «Mais vous n’avez jamais connu la colonisation ! Qu’est-ce que vous venez m’embrouiller avec ça ? Vous, votre génération, elle doit regarder l’avenir.»
Bien sûr, les jeunes doivent oublier la colonisation et regarder vers l’avenir. Est-ce là le réflexe d’un ancien colonisateur ou celui d’un ami, comme il l’a confié exclusivement à El-Khabar et El-Watan [2] (deux journaux, paraît-il, proches de l’ambassade de France) ? Macron n’est pas le seul à prôner cette amnésie volontaire de plus d’un siècle de colonisation. Kamel Daoud, cet auteur algérien tant «admiré» par le locataire de l’Elysée [3], l’a souvent répété : «L’exploitation de la colonisation de l’Algérie doit cesser» [4], «L’exploitation du fonds de commerce de la guerre d’Algérie doit cesser» [5] ou «Le postcolonial m’étouffe» [6].
Du côté des médias français, l’air fredonné à l’unisson était celui de «Macron veut tourner la page». Mais quelle page le Président veut-il tourner ? En a-t-il choisi une en particulier ? Une figurant dans l’encyclopédie des atrocités perpétrées par le colonialisme français ? Par où commencer et où finir ? 132 années orchestrées par des enfumades, des ventes de boucles d’oreilles ensanglantées et de bracelets encore attachés aux poignets, de famine, de misère économique et intellectuelle, de viols, de torture et des centaines de milliers de morts durant les révoltes successives depuis l’occupation jusqu’à l’indépendance de l’Algérie.
Monsieur le président a-t-il choisi une page ? Peut-être celle des crânes de valeureux combattants algériens curieusement conservés dans le musée de l’Homme à Paris ?
On se rappelle qu’en février dernier – il y a moins de 10 mois -, alors qu’il était candidat à la Présidence, Macron avait déclaré à Alger, à propos de la colonisation :
«C’est un crime. C’est un crime contre l’humanité. C’est une vraie barbarie et ça fait partie de ce passé que nous devons regarder en face en présentant aussi nos excuses à l’égard de celles et ceux vers lesquels nous avons commis ces gestes. En même temps, il ne faut pas balayer tout ce passé, et je ne regrette pas cela parce qu’il y a une jolie formule qui vaut pour l’Algérie : la France a installé les droits de l’Homme en Algérie, simplement elle a oublié de les lire.» [7].
Ses propos ayant soulevé un tollé en France, il se rétracta. Sa discussion avec le jeune Algérois indique l’ampleur de son revirement.
Alors, pourquoi n’a-t-il pas continué dans sa lancée s’il voulait réellement la tourner cette page !
Plusieurs personnalités ont été conviées à ce voyage présidentiel. Parmi elles, l’historien Benjamin Stora et le cinéaste Alexandre Arcady, deux pieds-noirs issus de la communauté juive d’Algérie. Spécialiste de l’histoire de l’Algérie, Stora a été surnommé «l’historien qui murmure à l’oreille du Président [Macron]» [8]. Tout indique donc qu’il aurait été invité pour lui servir de tourne-page. Il faut dire que l’historien s’y connaît lui aussi en volte-face, surtout lorsqu’elle épouse celle du Président.
En février, il disait que la colonisation est bien un crime contre l’humanité : «Cela fait très longtemps que les historiens ont apporté la preuve de massacres, de crimes, de tortures durant la longue période de la colonisation», précisa-t-il [9].
En décembre, répondant à une question sur la relation entre l’âge de Macron et son aptitude à «tourner la page», il déclara que le Président «n’a pas le même rapport de temporalité avec cette histoire puisque non seulement il est né après la guerre d’Algérie, mais il n’a pas de rapport ‘‘physique’’ avec l’Algérie par l’intermédiaire de famille ou autres» [10].
Ainsi, l’âge du Président serait un argument dans sa volonté de «tourner la page» sur de graves évènements historiques et son grand désir de regarder vers l’avenir.
Si c’est le cas, «celui qui murmure aux oreilles» pourrait donc nous expliquer à haute voix pourquoi Macron a solennellement commémoré le 75e anniversaire de la rafle du «Vel d’Hiv», un évènement qui a eu lieu en 1942, soit 8 ans avant la naissance de son père ! Le président français y reconnut la responsabilité de la France dans la déportation de milliers de personnes de confession juive, à la grande joie du chef du gouvernement israélien, Benjamin Netanyahu, invité pour la circonstance [11]. Il profita de l’occasion pour faire doublement plaisir à son «cher Bibi» en affirmant que «l’antisionisme est la forme réinventée de l’antisémitisme», une stupidité déjà énoncée par un certain Manuel Valls.
Toujours est-il que Stora donna un cours d’histoire «live» au Président lors de sa promenade algéroise. Devant la statue de l’Emir Abdelkader, l’universitaire déclama sa leçon : «L’émir fut un grand résistant à la pénétration coloniale française. Il a eu ensuite la force de trouver la voie de la réconciliation tout en restant fidèle à lui-même. Son parcours est exemplaire.» [12].
Mais c’est Alexandre Arcady qui se chargea de lui présenter le «Milk Bar» en précisant qu’il s’agissait du «café des pieds-noirs visé par un attentat sanglant» [13]. Un attentat provoqué par une bombe posée le 30 septembre 1956 et relaté dans le célèbre film La Bataille d’Alger. C’est à ce sujet que Larbi Ben M’hidi, héros de la Révolution algérienne, prononça sa célèbre phrase : «Donnez-nous vos avions et on vous donnera nos couffins !» [14].
Natif d’Alger, Alexandre Arcady quitta l’Algérie avec sa famille en 1961, juste avant l’indépendance. Jeune, il a été membre du mouvement de jeunesse sioniste «Hachomer Hatzaïr». En 2013, il a été parrain de la soirée célébrant le centenaire de l’organisation [15]. Entre 1966 et 1967, il vécut en Israël, dans un kibboutz proche de la frontière libanaise. Il y était lors de guerre arabo-israélienne de 1967 [16].
Arcady a porté à l’écran le roman de Yasmina Khadra, Ce que le jour doit à la nuit, une histoire d’amour qui idéalise la relation colonisateur-colonisé passant sous silence la misère et l’obscurantisme dans lesquels les populations autochtones ont été maintenues par le colonialisme. Certains l’ont même accusé d’avoir écrit ce roman pour plaire aux nostalgiques de l’Algérie française. N’a-t-il pas déclaré au journal La Croix : «Pour moi, cela ne fait aucun doute : l’Algérie, qui est mon pays, est aussi le pays des pieds-noirs. Chaque pied-noir, pour moi, est un Algérien, et je ne dirai jamais le contraire. Nous reste en mémoire, Français et Algériens, ces amitiés déchirées, ces voisinages dépeuplés…» [17].
A la sortie du film, un journal algérien titra, non sans ironie : «L’effet positif de la colonisation selon Arcady» [18].
Cela n’a apparemment gêné en rien le cinéaste kibboutznik qui se prend toujours pour un spécialiste de la jeunesse algérienne : «Les jeunes de ce pays souhaitent qu’on en finisse avec les vieux débats : ils veulent qu’on ouvre les portes et qu’on ouvre les yeux !» [19].
Alexandre Arcady en guise de second «tourne-page» ?
A propos d’écrivains algériens, Macron aime bien s’en entourer. Mais pas tous. Pour son déjeuner algérois, il a en invité quatre : Kamel Daoud, Maïssa Bey, Adlène Meddi et Boualem Sansal. Curieusement, les trois premiers ont le même éditeur : les éditions Barzakh (très proche de l’ambassade de France, selon des sources bien informées). Sur la liste, il ne manquait que Ferial Furon. Macron n’est vraiment pas chanceux, car elle aurait pu lui relater les exploits de son aïeul, illustre coupeur d’oreilles de valeureux résistants algériens.
Mais c’est à se demander pourquoi le président français a-t-il jugé bon de les rencontrer à Alger lors d’une visite éclair, alors qu’il avait le loisir de s’entretenir avec eux en France, puisque c’est dans ce pays que ces écrivains passent le plus clair de leur temps (sauf, peut-être, Maïssa Bey).
C’est sans doute un moyen «culturel» ayant pour finalité de passer le message politique du «tourne-page» et de l’effet positif de la colonisation. Autrement, il aurait invité d’autres écrivains algériens, en particulier le plus grand d’entre eux en la personne de Rachid Boudjedra. Mais ce dernier ne fait pas partie de ce club select et cette réception n’avait rien à voir avec la littérature.
Les auteurs choisis ont été qualifiés par la presse française de «figures transgressives de la scène algérienne» [20], «de voix libres ou des enquiquineurs du pouvoir» [21] ou de «figures de l’opposition au régime» [22]. Mais cette presse bienveillante passe cependant sous silence leurs positions sur la colonisation.
Et comment ne pas être invité lorsqu’on a de telles opinions ? Jugez-en.
Boualem Sansal : «En un siècle, à force de bras, les colons ont, d’un marécage infernal, mitonné un paradis lumineux. Seul l’amour pouvait oser pareil défi. (…) Quarante ans est un temps honnête, ce nous semble, pour reconnaître que ces foutus colons ont plus chéri cette terre que nous, qui sommes ses enfants.» [23].
Kamel Daoud : «La terre appartient à ceux qui la respectent. Si nous, les Algériens, en sommes incapables, alors autant la rendre aux colons.» [24].
Ou encore :
«On ose alors le tabou parce que c’est un grand rêve éveillé : une Algérie qui n’aurait pas chassé les Français algériens, mais qui en aurait fait la pointe de son développement, de son économie et la pépinière de sa ressource humaine.» [25].
Quant à Adlène Meddi, il n’a pas hésité à publier les élucubrations les plus extravagantes de Michel Onfray dans les pages du journal qu’il dirigeait, El Watan Week-end. Voilà ce qu’Onfray a écrit sur la guerre d’indépendance algérienne : «Depuis le 8 mai 1945 et la répression de Sétif et Guelma, il est même prouvé que les militants de l’indépendance nationale ont souhaité tout s’interdire qui soit du côté de la paix, de la négociation, de la diplomatie, de l’intelligence, de la raison. Je vous rappelle à cet effet que ce sont les Algériens qui ont choisi la voie de la violence et sont à l’origine du plus grand nombre de morts du côté… algérien !» [26].
Des inepties qui ont soulevé un tollé en Algérie [27], mais qui se sont étrangement heurtées au mutisme de Meddi et d’El Watan.
Durant le repas, j’ose imaginer Arcady assis entre Sansal et Daoud. Entre Sansal qui a visité l’Etat hébreu avec la bénédiction du Crif (Conseil représentatif des institutions juives de France) et Daoud qui a avoué «Ce pourquoi je ne suis pas ‘‘solidaire’’ de Gaza» [28], alors que les bombes israéliennes massacraient les Palestiniens en 2014.
Tout en étant convaincu de la succulence des mets servis lors du déjeuner présidentiel – cuisine française oblige -, le seul souhait est que Maïssa Bey ait pu prendre la parole. Elle aurait pu expliquer comment son propre père fût enlevé et torturé par l’armée française et son corps jeté aux chiens [29].
Peu ragoûtant lors d’un repas servi par Son Excellence l’ambassadeur de France, n’est-ce pas ? Serait-ce une page à déchirer, M. Macron ?
A. B. (Montréal)


Références
[1] Boualem Sansal, «L’Algérie, c’est la France, et la France, c’est l’Algérie !», Marianne, 6 décembre 2017, https://www.marianne.net/debattons/tribunes/boualem-sansal-l-algerie-c-est-la-france-et-la-france-c-est-l-algerie
[2] A la une d’El-Watan, on pouvait lire : «Je reviens dans l’état d’esprit d’un ami de l’Algérie». http://www.elwatan.com/actualite/emmanuel-macron-a-el-watan-je-reviens-dans-l-etat-d-esprit-d-un-ami-de-l-algerie-06-12-2017-358065_109.php
Dans celle d’El-Khabar : « Je suis en Algérie en ami, mais je ne suis pas l’otage du passé». http://www.elkhabar.com/press/article/129821/
[3] Vincy Thomas, «Emmanuel Macron admire Kamel Daoud», Livres Hebdo, 30 août 2017, http://www.livreshebdo.fr/article/emmanuel-macron-admire-kamel-daoud
[4] Le Figaro, «Kamel Daoud : ‘‘L’exploitation de la colonisation de l’Algérie doit cesser’’», 20 février 2017, http://www.lefigaro.fr/livres/2017/02/20/03005-20170220ARTFIG00133-kamel-daoud-l-exploitation-de-la-colonisation-de-l-algerie-doit-cesser.php
[5] Europe 1, «Kamel Daoud : ‘‘L’exploitation du fonds de commerce de la guerre d’Algérie doit cesser’’», 20 février 2017, http://www.europe1.fr/culture/kamel-daoud-lexploitation-du-fonds-de-commerce-de-la-guerre-dalgerie-doit-cesser-2982818
[6] Kamel Daoud, «Le postcolonial m’étouffe», Le Point, 24 octobre 2017, http://www.lepoint.fr/editos-du-point/sebastien-le-fol/kamel-daoud-le-postcolonial-m-etouffe-19-10-2017-2165644_1913.php
[7] Le Point, «Emmanuel Macron : ‘‘La colonisation est un crime contre l’humanité’’», 16 février 2017, http://www.lepoint.fr/presidentielle/emmanuel-macron-la-colonisation-est-un-crime-contre-l-humanite-15-02-2017-2105177_3121.php
[8] Yaël Goosz, «Visite d’Emmanuel Macron en Algérie : ‘‘Il n’a pas le même rapport de temporalité’’ avec l’histoire de la colonisation», France TV Info, 5 décembre 2017,https://www.francetvinfo.fr/replay-radio/l-interview-J-1/visite-d-emmanuel-macron-en-algerie-il-n-a-pas-le-meme-rapport-de-temporalite-avec-l-histoire-de-la-colonisation_2477934.html
[9] Jannick Alimi, «Macron sur la colonisation : ‘‘Les historiens ont apporté la preuve de massacres’’, juge Stora», Le Parisien, 17 février 2017, http://www.leparisien.fr/politique/macron-sur-la-colonisation-les-historiens-ont-apporte-la-preuve-de-massacres-juge-stora-17-02-2017-6687714.php
[10] Voir réf. 8
[11] Site de l’Elysée, «Discours du président de la République française à l’occasion de la commémoration de la rafle du Vel d’Hiv», 17 juillet 2017, http://www.elysee.fr/declarations/article/discours-du-president-de-la-republique/
[12] Thierry Oberlé, «A Alger, Macron veut ouvrir ‘‘une page d’avenir avec la jeunesse’’», Le Figaro, 6 décembre 2017, http://www.lefigaro.fr/international/2017/12/06/01003-20171206ARTFIG00199–alger-macron-veut-ouvrir-une-page-d-avenir-avec-cette-jeunesse.php
[13] Ibid.
[14] Les couffins étaient utilisés pour transporter les bombes artisanales.
[15] Crif, «Les 100 ans de la jeunesse militante», 10 juin 2013, http://www.crif.org/fr/lecrifenaction/les-100-ans-de-la-jeunesse-militante/37386
[16] Studio Canal, «Voix Off», http://www.studiocanal.fr/imprimer_fiche_film.php?FILM=3260&LANGUE=1&LOGOIMAGE=/image/95/3/91953.jpg&CATCHLINE=
[17] Julia Ficatier, «Yasmina Khadra : ‘‘Mon pays, l’Algérie, est aussi le pays des pieds-noirs’’», La Croix, 17 mars 2010, https://www.la-croix.com/Actualite/Monde/Yasmina-Khadra-Mon-pays-l-Algerie-est-aussi-le-pays-des-pieds-noirs-_NG_-2010-03-17-548496
[18] Adel Mehdi, «L’effet positif de la colonisation selon Arcady», L’Expression, 2 juillet 2012, http://www.lexpressiondz.com/article/0/0-0-0/156331.html
[19] La Depêche, «Alexandre Arcady : ‘‘Les Algérois vivent dans une ville française’’», 6 décembre 2017, https://www.ladepeche.fr/article/2017/12/06/2699249-alexandre-arcady-les-algerois-vivent-dans-une-ville-francaise.html
[20] Voir réf. 12
[21] Farid Alilat, «Emmanuel Macron à Alger : ‘‘Votre génération doit regarder l’avenir’’», Jeune Afrique, 7 décembre 2017, http://www.jeuneafrique.com/500147/politique/emmanuel-macron-a-alger-votre-generation-doit-regarder-lavenir/
[22] Myriam Encaoua, «Macron est arrivé en Algérie pour une visite éclair», Le Parisien, 6 décembre 2017, http://www.leparisien.fr/politique/macron-est-arrive-en-algerie-pour-une-visite-eclair-06-12-2017-7435677.php
[23] Philippe Bonnichon et Pierre Gény, Présences françaises outre-mer, XVIe-XXIe siècles : science, religion et culture, Karthala Éditions, Paris (2012), p.549
[24] Kamel Daoud, «Une Algérie incroyablement sale : l’autre peuple plastic», Le Quotidien d’Oran, 18 août 2014, p.3
[25] Kamel Daoud, «Malheureusement, nous n’avons pas eu un Mandela en 62», Le Quotidien d’Oran, 7 décembre 2013, p.3
[26] Hamid Zanaz, «Camus n’a jamais dit ‘‘oui’’ à l’ordre colonial !», El-Watan, 10 août 2012, http://www.elwatan.com/-00-00-0000-181498_113.php
[27] Ahmed Bensaada.com, «Polémique Onfray-Camus-El-Watan », 16 août 2012, http://www.ahmedbensaada.com/index.php?option=com_content&view=article&id=192:polemique-onfray-camus-el-watan&catid=49:poesie-et-litterature&Itemid=135
[28] Kamel Daoud, «Ce pourquoi je ne suis pas ‘‘solidaire’’ de la Palestine», Le Quotidien d’Oran, 12 juillet 2014, p.3
[29] Le Matin, «Colonisation : ‘‘Le corps de mon père a été jeté aux chiens’’, confie Maïssa Bey à BRTV (Vidéo)», 26 février 2017, http://www.lematindz.net/news/23493-colonisation-le-corps-de-mon-pere-a-ete-jete-confie-maissa-bey-a-brtv-video.html

2 janv. 2017

Chroniques des hommes de lèpre.


Chroniques des hommes de lèpre.
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Kamel Daoud est toujours vivant malgré les menaces qui pèsent sur lui !
Que ses fans se réjouissent !



L'étoile montante de la littérature française vous salut !

  Il  a repris du service pour le compte de ses proxénètes de Paris-Sion !
Il lance un cri de désespoir en faveur de la démocratie : La Syrie est en voie de devenir une dictature après l'échec des ISIL-DAECH à Alep d'y établir une démocratie occidentale ! Dans la foulée l'Algérie prends quelques semences de sa bavure sur l'Algérie.

 Un lien pour re-découvrir Daoud : http://reflexionsetcommentaires.blogspot.com/2016/02/pour-plaire-ses-mecenes-de-paris-sion.html.

13 févr. 2016

Pour plaire à ses mécènes de Paris-Sion, le press-titute Kamel Daoud, exhibe ses talents !

TSA.com se félicite de la consécration de Daoud. Jubilation à anticiper venant d'une rédaction de sayyanime ayant l'exclusivité d'un partenariat préférentiel avec des grosses légumes juives de l'information/ communication de Paris-Sion. (Voir article réservé à ce quotidien en ligne, Lien, Lien )

Pour souligner les valeurs exaltées par TSA.COM et sa rédaction Sayyanime, partenaire des média sionistes de France (Paris-Sion) . Un aperçu du modèle culturel mis en chantier en Algérie depuis 1962 par la judéo-maçonnerie et ses suppôts : inversement des valeurs morales ! L’apostasie accompagnée de l’insulte et de la calomnie d’Allah et de Ses Prophètes, est érigée en une nouvelle religion «intellectuelle» ou le verbe est une arme d’avilissement de la foi et d’irrespect  du sacré.
La vraie religion est caricaturée et souillée par son association et amalgame avec l’Islam-mimisme terroriste,  le Wahhabisme.  Revêtant  un masque d’hypocrisie peint de verbiage et de littérature vulgaire, les laics prêchent la tolérance, cachant leur plan furtif de guerre contre Dieu !
L’équation, laïcité = athéisme,  est dénoncée par critique plus qualifié que moi,  je ne m’y étendrai pas.
 Ce subterfuge sémantique, masque une offensive contre la foi ! Un exemple de plume perfide, Daoud,  enfant de Satan conventionné et auréolé par ses mécènes, les éternels prédateurs qui contrôlent et exploitent l’édition française! Gonflé de publicité mensongère, Daoud  récolte les fruits de sa duplicité et de son "travail" (d’inspiration et essence judéo-maçonnique) !

 


Pour plaire à ses mécènes de Paris-Sion, le press-titute Kamel Daoud est un champion des contorsions, un exercice si séducteur qu'il finit par s'apparenter à du strip-tease ! Consultez et constatez le spectacle libertin que notre David, durant son exhibition à la rédaction du "Le Point", offre au cercle fermé de ses souteneurs!
Le Lien ----> http://tinyurl.com/kodbrjk
Notez son mépris envers le lecteur et "l'Arabe ", par son maquillage des faits ! Du mensonge digne de la Chutzpah juive ! 


LES FAITS :
1- Daoud évite de citer les instigateurs : entre autres, Sarkosy et BHL, Obama et Cameron, OTAN, Israël et Pays du Golf ! Il occulte son implication personnelle et son engagement féroce dans le mouvement "Barakat", bras de la subversion BHLienne en Algérie !
2- les révolutions ne sont pas l’œuvre des Arabes, mais les Arabes en sont victimes ! Les berbères de Libye, une faction armée victorieuse durant la révolution, étaient armés et appuyés par l'OTAN pour renverser Kaddafi !
3- sa cible principale est l'Algérie, qu'il dénigre par sa mention du régime de l'Égyptien Moubarak et l'amalgame grossier de cette dictature et de la démocratie populaire algérienne ! Sinon comment pourrait-il étaler ces mensonges sans craindre de subir des représailles et écrire librement dans des quotidiens nationaux, et quelle écriture, calomnies tout azimut de toutes les valeurs nationales, des gouvernants, des morts et des vivants !

4- etc...
En ce Vendredi sacré (Joumouâ), levons les mains au ciel et prions le Tout Puissant pour « qu’Il fasse payer chèrement  ce mécréant,  et tous ceux qui partagent ses opinions,  pour son arrogance et son effronterie, ! » Amine ! Inutile de publier des fetwas ou autre déclaration sensationnelle ! La justice divine est en vue, pas si lointaine que le penseraient les mécréants illusionnés.

21 août 2015





Note : La vérité sur les "prouesses littéraires " de Kamel Daoud, de complaisance sur toute la ligne ! Comme dénoncé plusieurs fois, l'écrivain est plus un agent de l'ingérence étrangère dirigée de Paris-Sion, et le Prix Goncourt un tribut à ses agissements subversifs, ses calomnies, ses blasphèmes ! il rejoint la lignée des mercenaires de la plume, indignes, mécréants, sans foi ni loi, complimentés par les cercles médiatiques connus pour leur animosité envers l'Algérie et l'Islam !
•Régis Debray, Kamel Daoud et l’Algérie : Une répétition néocoloniale

Par Abdellali Merdaci*

• Toute une Algérie vaniteuse, cultivant l’art de la sottise, est derrière Kamel Daoud. Et aussi la France littéraire et médiatique, en rangs serrés, toutes idéologies et chartes professionnelles confondues. Est-ce seulement pour célébrer un court récit, qui n’est pas encore un vrai roman, qui est la plate imitation, à rebours, d’une histoire racontée par l’auteur colonial pied-noir Albert Camus dans L’Étranger (Paris, Gallimard, 1942) ? Ce retentissement d’un texte d’occasion publié une première fois en Algérie, en 2013, par l’éditeur algérois Barzakh, est parfaitement bien orchestré à Paris. Lorsqu’il parait, en 2013, le récit, qui prend prétexte du centenaire de la naissance d’Albert Camus, ne rencontre que l’indifférence de la grande masse des Algériens qui se précipitent aujourd’hui sur les réseaux sociaux pour le défendre, le plus souvent sans l’avoir lu, au seul motif qu’il est adoubé par la France. Au printemps 2014, l’éditeur Actes Sud, domicilié à Arles, rachète les droits de Meursault contre- enquête pour lui donner un destin français. Contre la tradition même des jurys littéraires germanopratins qui ne retiennent que les ouvrages originaux publiés dans le courant de l’année par des écrivains de nationalité française, le récit de l’Algérien Daoud (qui porte le millésime de 2013) figure dans les premières sélections de l’année 2014 des jurés des principaux prix littéraires parisiens, notamment le Goncourt et le Renaudot. Il le doit essentiellement à Pierre Assouline, membre de l’Académie Goncourt, qui a demandé à ses pairs de l’intégrer dans leurs listes de lectures estivales et de le soutenir.
• Quels peuvent être les raisons d’un attachement sans faille de l’intelligentsia française à un ouvrage qui n’aurait pas ameuté les grandes foules et les happenings médiatiques s’il était écrit par un Français ? Et c’est précisément le cas : cette année sort chez Allary Éditions, à Paris, La Joie, un roman du philosophe Charles Pépin, fils de Pieds-noirs d’Oran, inspiré du même récit de Camus, mais qui ne connaît, quatre mois après sa diffusion, ni le succès ni la fortune qui ont consacré celui de Daoud, caracolant dans les palmarès de meilleurs ventes. Si Charles Pépin nomme son héros Solara, un double antithétique de Meursault, dans une recréation littérairement jouissive, les raisons de la gloire médiatique et du succès de librairie du récit de Daoud ne doivent pas à sa qualité d’écriture ni à son inventivité : il est possible de dresser dans son « Meursault » le catalogue d’une langue française erratique, qui ne témoigne pas d’une quelconque créativité littéraire, qui serait fondamentalement postcoloniale. Ce sont davantage les impertinences et les intempérances du chroniqueur du Quotidien d’Oran que l’ingéniosité de l’écrivain qui ont accompagné l’équivoque réception d’une pâle copie littéraire dans la presse spécialisée française. Daoud se voit ouvrir les colonnes des journaux parisiens qui ne pouvaient que rêver d’un trublion qui parle à leur inconscient colonial, qui massacrait uniment la politique de son pays en déréliction pendant l’élection présidentielle de 2014, et allait bientôt afficher un sordide mépris envers le malheur des Palestiniens canonnés par la puissante armée israélienne, l’été 2014. Mais aussi brimer l’Islam, lui, qui fut un spadassin de l’islamisme armé dans les années 1990, qui déclare désormais ne plus être l’homme d’un seul Livre. 

• Voilà donc l’étrange conjonction d’événements qui a suscité un candidat aux basses manœuvres, un nouvel « Arabe de service » sans foi ni loi, inespéré pour les champs médiatique et littéraire français. Comment ne pas reconnaître que cette carrière de briseur d’idoles et de convictions a été scrupuleusement encadrée par l’élite intellectuelle parisienne qui découvre en Kamel Daoud un rabouilleur plus percutant que ne le fut Boualem Sansal, pourtant inféodé aux « diners du CRIF » et aux injonctions du sionisme ? Et dans un deuil irrésolu de l’ancienne colonie, tout ce qui vient de France est révéré par une chienlit algérienne, qui se répand en injures et ignominies sur les réseaux sociaux contre ceux qui tiennent un discours autre sur Daoud et son œuvrette. Si elle n’était le fait que d’incultes cisailleurs anonymes, cette logorrhée de laudateurs pitoyables ne mériterait aucune attention. Mais elle est aussi celle de bataillons de petites mains de l’Université et des médias. Et surtout d’écrivains, qui n’hésitent pas à traiter de « clowns » ceux qui refusent de participer à cette infâme célébration du journaliste et écrivain oranais, et, malheureusement, de critiques considérables qui ont fait le choix du clinquant.
• Est-il possible de rappeler à tous que Kamel Daoud et son insignifiant essai littéraire sont plus une mise en scène française, particulièrement germanopratine, qu’algérienne. L’auteur de Meursault contre-enquête, habilement pris en charge par l’institution littéraire française,s’inscrit dans les attentes de ce qui est appelée la « littérature-monde en français », phénomène proprement néocolonial qui sévit depuis le fameux « Manifeste des Quarante », en 2007, qui a décidé de créer dans les marges de la littérature française une périphérie littéraire regroupant plusieurs écrivains du monde, justifiée par l’usage commun de la langue française. Auteur algérien, Daoud n’espère désormais qu’une carrière littéraire française, loin d’une littérature nationale algérienne, subissant encore l’hégémonie d’un champ littéraire parisien mû en recruteur de nouveaux bataillons d’Afrique, les célèbres « Bat d’Af » de jadis, faisant entendre aujourd’hui, signe des temps changeants, le cliquetis de la plume comme, hier, celui du mousquet, ferraillant au service de la France. Les médailles et brevets littéraires ont remplacé, dès lors, les hochets militaires pour de nouvelles « harkas » d’Algérie sans état d’âme. Comment expliquer que toute une phalange d’écrivains algériens (dont certains ont déjà renié leur nationalité) se déploie en France pour mener une carrière littéraire rythmée par une course effrénée aux récompenses littéraires ? Avec un seul texte, Daoud fait mieux que Sansal, Benmalek, Djemaï, Bachi et bien d’autres, qui en ont publié plusieurs et fourni suffisamment de gages à une institution littéraire française dominante, détruisant les velléités de formation de littératures nationales dans ses anciennes possessions, notamment en Afrique. Et qui ne tarde pas à les missionner !

30 juil. 2010

Lettre Aux Laics Et Idiots Utiles Champions De "L'Antisémisme".

Le culte religieux de la laïcité prêche dans son discours la lutte contre "l'antisémitisme" comme objectif fondamental de sa mission. Cette accusation d'antisémitisme est brandie comme une arme contre quiconque objecterait aux méfaits du sionisme-judaïsme-talmudisme, garantissant aux coupables d'actes criminels, membres de cette communauté, une immunité totale individuelle et collective face aux poursuites judiciaires ou critiques de l'opinion. Cette injustice aux proportions gigantesques corrompt la vérité dans tous ses dimensions, sociale-historique-économique-religieuse et politique, et est le signe annonciateur de l'instauration d'une tyrannie, le "Nouvel Ordre Mondial Juif". Nombre d'historiens et d'analystes dénoncent cet état de fait et divulguent les arguments qui démontrent la présence d'un phénomène de dissimulation massive et organisée de ce syndrome du "mensonge érigé en norme" pratiqué par les juifs dans toutes les sphères d'activité humaine. "Eleanor" est une militante britannique parmi ces observateurs avertis qui ont découvert, et tente de dévoiler en la documentant, la "pathologie" du mensonge  affligeant les juifs qui a pour origine les préceptes religieux du talmude.

Eleanor une "Non-juive avec une vue" (Lien-Anglais).. Son profil :
«Je ne suis pas nationaliste ou une " suprémaciste" d'aucune sorte, je ne suis pas une néo-nazi (je n'ai joint aucun mouvement cité plus haut). Je ne suis même pas musulmane ou chrétienne. Je suis juste une femme qui a découvert à travers des expériences personnelles, la nature du peuple juif.»

 «Je leur ai donnés le bénéfice du doute au cours d'une multiplicité de circonstances, et reconnais n'être pas seule à avoir vécu cette expérience ou partager ces sentiments. J'ai maintenant fait le choix de mener ma propre vie en refusant d'inter-agir avec les juifs, en aucun moment , ce qui est, bien entendu, ma prérogative. Une grande partie de l'information contenue dans mon blog a été établie à partir des contacts personnelles avec les Juifs, les références aux articles et bulletins d'information issus de tous les horizons de la scène politique, des textes juifs rabbiniques, comme le Talmud, et de la recherche effectuée par les universitaires Juifs et les Gentils(Goyim). Je me suis inspirée des réflexions personnelles d'autres gens . Ce que j'écris est tout simplement la vérité - aussi désagréable que celà paraitra à de nombreux Juifs. Les Juifs en tant que groupe racial, ethnique ou religieux ne sont pas exempts de toute critique, même si beaucoup pensent qu'ils ont un droit exceptionnel d'être dispensés de toute forme de responsabilité pour leurs agissements, paroles et actes.»


Dans un de ses articles, l'auteur de nationalité Anglaise, et qui donne des conférences et s'adresse souvent aux étudiants des universités britanniques, présente une analyse édifiante sur "l'art" juif du mensonge.(Lien)

 «Ma voix n'est qu'une au milieu d'un océan de mécontentement. Avant d'arriver à reconnaître le caractère réel de ces gens, je pensais que ma voix était isolée dans cette  mer de philosémites. Au cours des cinq derniers mois en particulier, j'ai été stupéfaite par l'éveil des gens en ce qui concerne les agissements des Juifs. Je pense que les gens se sont tout simplement exprimés parce qu'incapables de le faire dans leurs lieux de travail ou d'étude, et souhaitaient exprimer leurs sentiments.
L'opposition la plus véhémente à la communauté juive se situe aux États-Unis et dans d'autres pays où la liberté d'expression existe, quoique sous surveillance. J'ai communiqué avec des Allemands, des Autrichiens et des Canadiens effrayés de parler ouvertement de peur de poursuites judiciaires. Cela est compréhensible étant donné les lois draconiennes qui sont en place, avec les avocats juifs, écume à la bouche, poursuivant tout contrevenant.»

(A suivre)

23 juin 2010

Boualem Sansal : Ecrivain-Caméléon, Algérien Ou Diasporachik ?

AKADEM :  Le campus numérique juif.
-"Qui sont-ils ? " : AKADEM est une initiative du Fonds Social Juif Unifié. Avec le soutien financier de la Fondation pour la Mémoire de la Shoah.
Le campus définit clairement sa mission et il n'y a qu'à survoler leur site pour confirmer son rôle de porte parole du "judaisme de façade" et du "talmudisme-sionisme d'arrière boutique ". L'image publique du judaisme officiel, présentée à travers son contenu religieux, philosophique, politique, social, en un mot l'organisation du pouvoir juif dans sa domination graduelle, progressive du Monde. Un résumé de l'impression qui se dégage de cette intrusion dans les couloirs de cette hégémonie planétaire, qui se confirme de manière si insolente au début de ce millénaire, revient à reconnaitre combien assidu le juif est dans son entreprise égo-centriste de recherche de la cohésion communautaire sur des fondements raciaux-religieux, et son mépris du reste de l'humanité. Les juif- talmudes justifient cette égoïsme comme réponse aux persécutions, la fictive Shoah, et leurs méfaits contre les '"Goyim" comme légitime défense pour la sauvegarde de leur droit à l'existence. Israël est le point de ralliement et un repère dans l'idéologie politique, le sionisme, qui permet d'alimenter le nationalisme qui manquait pour cimenter les liens de la communauté juive dispersée sur les 5 continents. Il est faux d'y voir un refuge pour les juifs, qui n'ont aucune intention de s'y installer, sauf pour les coreligionnaires des couches sociales politiquement et économiquement  défavorisées, les fanatiques religieux, les banques-recèles des richesses détournées dans le monde, et surtout ceux en charge de leur technocratie militaire qui gère les armes de destruction massive, dont le nucléaire, cette lourde menace contre le reste de l'humanité. C'est la raison principale justifiant l'insistance des juifs à maintenir leur monopole sur cette arme au dépens de leurs voisins, de l'Iran en particulier. L'arme nucléaire est l'épée de Damoclès brandie par le prédateur juif au dessus de la tête de ses voisins musulmans, un levier du contrôle sur la région et gage de l'impunité de sa belligérance permanente gratuite. 
Akadem offre un large éventail de documents (essentiellement en langue française) qui permettent de pénétrer superficiellement le monde du sionisme-talmudisme et d'en déchiffrer les préceptes à travers les conférences vidéo, les exposés des penseurs de la diaspora, ses réseaux internationaux, ses agents luminaires attitrés et ceux invités-collabos agissant dans l'ombre, derrière leur rôle de personnalité publique planant comme des vautours sur le champ médiatique. N'oublions pas les écrivains-historiens-journalistes-militants des droits de l'homme. Beaucoup sont originaires d'horizons traditionnellement non soumis à la présence dominante juive. C'est le cas Boualem Sansal, un écrivain algérien ! Ce personnage très adroit dans ses écrits et ses romans, dissimule son parti pris de crypto juif et n'affiche jamais ses convictions ou sa loyauté à la nébuleuse sioniste. Il dissimule ses armes sous l'apparence de textes fictifs qui ne sont pas pour autant neutres ou distants des vues prônées par les penseurs du "clash des civilisations". Sous prétexte de dénoncer l'extrémisme religieux des islamistes il brille dans l'art du dénigrement subtile de l'Islam dont il fait l'amalgame avec terrorisme.
Il aborde les sujets d'actualité du genre immigration clandestine (harraga) non sous l'angle de l'analyse sociologique mais en y étalant la stratégie du pourrissement des valeurs et des idéaux selon la technique d'ingénierie sociale martelée par les "défenseurs" des libertés et les laïques "démocrates" experts de la fabrication et diffusion du désespoir social. Au cours  d'un débat-rencontre littéraire chez  "Littera05" (Lien), il étale son "savoir".
L'introduisant la speakerine kosher Anne-Marie Smith annonce :
« Il fait alors de la littérature une arme pour combattre toutes les formes d'amnésie et les révisionnismes de toutes sortes.» (combat contre le négationnisme-révisionnisme qui réfute l'holocauste sioniste, mais défend son propre révisionnisme, l'existence de liens de la révolution algérienne avec le nazisme hitlérien !)  
«En 2003, vous avez été limogé de votre poste en raison de vos prises de position critiques sur l'arabisation de l'enseignement et l'islamisation de l'Algérie»
«Encouragé par votre ami le romancier Rachid Mimouni, vous commencez à écrire et publiez votre premier roman, Le serment des barbares (Gallimard, 1999), à l’âge de cinquante ans.»
 Dans un verbiage propre à ces dégénérés désemparés qui tentent de manipuler l'opinion grâce à la maitrise du verbe véhiculant leur idées perversives, Sansal répond : (extraits)
-«Il fallait chercher ailleurs. Il fallait rentrer dans l’intimité de l’être humain, de l’Algérien et on se rend compte que ça va chercher loin dans l’histoire, dans la psychologie, dans la culture et la littérature permettait de comprendre. L’être humain n’est pas dans la rationalité ; il est dans la passion, le mystère, la magie.»  
(Notez la diversion et le non-sens: mystère ? Magie ?)
-«La littérature permet d’approcher la vérité.»  (Plutôt diffuser le mensonge et bercer l'opinion d'illusions et souvent distiller la corruption morale et religieuse )
-«C’est ce que j’ai fait dans Le serment des Barbares où j’ai essayé de comprendre toute cette violence dans laquelle on peut basculer, même si on apparaît très pacifique. Regardez le peuple allemand, l’un des peuples les plus cultivés d’Europe, les plus structurés, comment il est tombé. Pour comprendre, il faut chercher très loin dans le mystère de l’être humain.»
Là, Sansal fait allusion à sa contribution au mythe de la Shoah, au parallèle nazi-islam cher à la propagande sioniste, et revient sur ce "mystère de l'être humain" pour confondre les malheureuses victimes parmi ses lecteurs qui le suivraient sur la voix de la déraison. Déraison feinte, car Sansal est un homme intelligent et rationnel qui n'écrit pas ce charabia par conviction, mais pour remplir fidèlement une mission. Laquelle ?
Son œuvre est axée sur 3 thèmes différents mais tous associés avec la stratégie du Nouvel Ordre Mondial Juif  ciblant entre autres l'Algérie et ses spécificités: Islam-nationalisme-arabité.
1-pour l'Islam, l'implantation du terrorisme islamiste wahabiste (allié des CIA-MOSSAD) comme "action", face à sa "réaction" le laïcisme laxiste qu'adopte Sansal,
2-le militantisme révolutionnaire hypocrite et crapuleux, face à la mouvance démobilisatrice défaitiste (Sansal) qui commercialise le désespoir (chômage marginal , harraga, corruption, tous les maux sociaux "amplifiés" par la presse "démocratique"):
3- l'arabisation dogmatique sans vision "civilisationnelle" intentionnellement modulée pour être agressive et non pédagogique, face à sa réaction l'amazighité chauvine et disproportionnée soutenue par les média locaux et internationaux (juifs) pour exacerber les divisions potentielles fictives et irrationnelles( Sansal)
Trois thèmes dans lesquels Sansal excelle tout en apportant une touche personnelle par l'introduction du mythe de la Shoah, dont il s'est fait un porte parole. Son "œuvre"  démontre son militantisme au service de la propagande sioniste du "génocide" fictif et  martyr du peuple juif. Il le dit avec passion :
-«A Sétif, on m’a expliqué que c’était le village de l’Allemand. Dans ce village vivait un ancien SS allemand qui avait fait les camps de la mort mais  héros de la guerre de libération. Plus tard, ayant décidé d’écrire ce livre, j’ai refait le parcours de cet homme-là. C’était un ancien chimiste qui avait participé comme expert à la fabrication du Zyklon B ; Après la débâcle allemande, il avait fui par la filière du Moyen-Orient et avait été exfiltré vers l’Egypte. Il avait été récupéré par les services secrets du roi Farouk, puis s’était rapproché de Nasser. Au moment de la guerre de libération en Algérie, Nasser l’avait envoyé auprès du Colonel Boumediene comme conseiller technique pour former des officiers. A l’indépendance, il était resté en Algérie où il s’était marié et s’était converti à l’islam. Il est mort de sa belle mort en 1995. C’est cette histoire que j’ai voulu raconter mais pas de cette manière-là. Raconter l’histoire d’une crapule ne m’intéressait pas.» 
(Notez le courroux de notre écrivain: "crapule"; de la bouche d'un Cohen le mot serait compréhensible, mais de Sansal c'est un lapsus qui cacherait son "chassé le naturel...)
Il déballe toutes les contre vérités que la propagande de la Shoah divulgue depuis 60 ans pour justifier sa colonisation de la Palestine, la fabrication de la fraude historique des chambres à gaz (zyklon B), etc... Les historiens intègres et objectifs, experts de la question, maitres du sujet de la 2eme guerre mondiale, dénoncent comme la plus grande fraude de l'histoire du 20 èm siècle, cette mythologie de l'holocauste (Voir Faurisson et  l'AAARGH ).
Sansal plaide donc non seulement pour la sacralisation de ce dogme de la Shoah, mais insère son poignard dans le dos de la révolution algérienne en introduisant des doutes sur ses dirigeants et son encadrement, énonçant un nouveau révisionnisme calqué sur la propagande sioniste.
Durant son débat à  (Lien) «la rencontre s’est terminée par la lecture du poème de Primo Levi, que Boualem Sansal a introduit dans son livre à la page 68 (poème imagée dédié à l'holocauste) :
     «...Qui ne connait pas de repos,
       Qui se bat pour un quignon de pain,
       Qui meurt pour un oui pour un non.
       Considérez si c'est une femme
       Que celle qui a perdu son nom et ses cheveux
       Et jusqu'à la force de se souvenir,
       Les yeux vides et le sein froid
       Comme une grenouille en hiver.
       N'oubliez pas que cela fut,
       Non, ne l'oubliez pas:
       Gravez ces mots dans votre coeur.
       Pensez-y chez vous, dans la rue,
       En vous couchant, en vous levant;
       Répétez-les à vos enfants.
»

Durant son interview à "Akadem", notre "penseur" : 
«Les systèmes dominants, le capitalisme, l’Eglise, la Mosquée produisent le discours.»
«Nous, nous ne faisons qu’entendre et on se laisse positionner. Dans les pays démocratiques, ce conditionnement se fait mais on a la liberté de choisir : choisir un parti politique, militer, entrer en débat …»
Demandez Mr Sansal, aux militants qui luttent contre la dictature juive-sioniste en France et ailleurs, et défendent leur droit démocratique d'étudier et d'analyser scientifiquement et rationnellement l'histoire de la 2ème guerre mondiale, si la possibilité leur est offerte de débattre publiquement de l'holocauste et du dogme religieux de la Shoah ! La plus part sont emprisonnés, harassés, menacés physiquement et agressés, limogés des universités, soumis au déluge de feux des média Kosher, ces mêmes presse-télévision-site internet qui vous offrent leur crachoir pour "récupérer" le venin qui dégouline de votre typique Chutzpah (effronterie) de crypto juif.
«Dans un système totalitaire, non. Une autorité produit le discours qui vous dit qui vous êtes, ce que vous devez penser…et le seul choix qu’on vous laisse c’est celui d’exécuter. En Algérie, depuis l’indépendance, nous sommes dans un système totalitaire avec un parti unique dont le discours nous a dit : le peuple algérien est arabe, le peuple algérien est musulman… et vous devez être ce qu’on vous dit.»
(Notez l'amalgame : capitalisme, système totalitaire, parti unique, arabe, musulman..., les mots ne sont pas fortuits et l'association qu'on en fait également, le conditionnement de la pensée en est une résultante, a force de répétition Islam est devenu dans la conscience populaire de la masse des moutons de la planète lié à terrorisme-attentat-bombe-etc...) 
Il ajoute dans le même registre : «Les Algériens se sont laissé piéger par ce système totalitaire qui au départ vous impose des définitions ; vous finissez par y croire et vous êtes convaincu. Le système totalitaire n’a plus besoin de vous surveiller : vous vous définissez vous-même comme étant arabe, musulman …etc… Et là vous devenez votre propre bourreau, vous devenez un relais du système totalitaire. Dans cette lettre, je dis à mes compatriotes : réveillez-vous ! Je prends les éléments l’un après l’autre pour démontrer qu’ils sont faux. Par exemple, le premier point : dire que l’Algérien est un Arabe. Avant le jour de l’indépendance, nous étions français, de culture française. Avant l’arrivée des Français nous étions ottomans. Avant encore nous étions sous la domination du Caire, de Damas … et avant ça nous étions Byzantins, et avant nous étions Romains et encore avant des Berbères… On est passé par toutes ces étapes. Je prends comme ça ce que le gouvernement appelle « les constantes nationales » et je les décortique… Je dis à mes compatriotes de refuser les définitions. Il appartient à l’individu de se réapproprier cette liberté de se définir lui-même, sachant qu’on peut changer sa définition au fil des années.» 
N'oublions pas que Sansal critique avec virulence les "constantes nationales", se gargarisant de sa perspicacité et bon sens, mais est si généreux et tolérant envers "l'inconstant, inconsistant et capricieux, majoritairement sectaire et raciste mystification" de l'épopée mythologique berbère qu'il glorifie dans son livre "Petit éloge de la mémoire. Quatre mille et une années de nostalgie." 
Sansal excelle donc dans tout le répertoire musical des instruments jouant la division et  la propagande qui menace la cohésion nationale en Algérie, il n'est ni le premier ni le dernier, un parmi les nombreux "prix internationaux' qui sillonnent les média juifs à bord de la navette "Laicité-démocratie-amazighité-droits de l'homme". Il est cependant un des rares à recevoir tant de soutien moral et financier (pour son verbiage qualifié de publication littéraire) de la part de l'oligarchie juive, dont son hôte convivial et chaleureux, "Akadem.org" est un représentant significatif !  Retour glorieux parmi les siens ou pure exhibitionnisme intellectuel, pour ne pas dire strip tease ? Un avis qui soulèvera des réprobations parmi nos amis intellectuels de la laïcité et tolérance baisse culotte, dont la largesse d'esprit ne s'embarrasse pas de ces considérations "conspirationnistes" flirtant avec l'antisémitisme, un péché capital en ces temps de tyrannie juive. 

Pour confirmation et analyse plus détaillée consultez la vidéo au lien "akadem.org", ou téléchargez l'enregistrement audio (MP3).