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19 mars 2010

EL Watan-Supplément-Economie. Avocat du FMI ? Complice et Agent Subversif Qui Pue La Trahison.


Le supplément Hebdomadaire "Economie" d'El Watan, est révélateur de la ligne éditoriale de sa rédaction: une caisse de résonance des campagnes envahissantes, menaçantes et toujours paternalistes des FMI-BM.  Inlassablement, le quotidien harcèle son lectorat en ventilant les doléances des organismes financiers cités. Ne passe un jour, une publication, un article "d'expert" complice, sans que soient reportées les déclarations de DS Kahn  (FMI) , de R.Zoellick (BM), ou quelque autre obscure employé de ces organismes, avec les photos et posters de ces prédateurs talmudiens, brandis pour nous narguer de leur arrogante chupatz
L'attitude d'El Watan amalgame son  activité déclarée de journalisme "indépendant", avec celui de l'engagement doctrinaire au service du Nouvel Ordre Mondial. Cette posture soulève les questions capitales suivantes:
Pourquoi cette obstination ? Est-elle purement conjoncturelle ou partie intégrante d'une stratégie permanente dirigée de New-York et Washington par les deux institutions ? El Watan joue-t-il localement un rôle et  remplie-t-il une mission, au service des intérêts de ces empires financiers mondiaux ?
Les Algériens gardent le souvenir amer des politiques intolérables d'austérité qu'ils ont endurées sous l'inquisition financière de Michel Camdessus. Tous les experts indépendants dénoncent son œuvre destructrice de l'économie des pays endettés. Les études objectives et détaillées condamnent toutes, la cupidité et voracité insatiables des banquiers qui dirigent le pillage financier effectué sous la façade trompeuse "d'aide au développement", "coopération", ou autre euphémisme frauduleux. Administrateurs des relations monétaires  internationales et  des règles d'échange, les deux organisations sont motivées par le profit et le gain et aucuns scrupules ou éthiques ne les freinent dans la poursuite de leurs objectifs. 
Le vernis officiel qui les agrémente est un leurre que peu de gens perçoivent , et quand les experts avertis le découvrent , peu ont le courage d'exposer sa vraie nature. Il est inconcevable de la part des journalistes algériens spécialistes de la question de couvrir les méfaits de cette pègre de l'argent  après que l'Algérie ait enduré ses sévices et  son ingérence prédatrice.
Sans tarder examinons un exemple de la malveillance de plumes nocives qui s'évertuent à diffuser des concepts financiers erronés et frauduleux, gravement préjudiciables aux intérêts de ceux qui auraient l'imprudence de les assimiler ou de  les endosser.
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De manière suspecte, EW fait  fi de l'avertissement  de Nadjia Bouaricha dans une édition plus ancienne, datée du Mardi 16 mars 2007, «Le poids pesant du sur-endettement des ménages algériens.»
«Mais dans cette aubaine que constitue le crédit à la consommation, il y a le revers de la médaille, et c’est le sur-endettement. Les consommateurs se trouvent en proie à des charges de dépenses supplémentaires fragilisant leur capacité à faire face à différentes formes de dépenses quotidiennes. Pour l’achat d’une voiture ou d’un logement, le consommateur se voit tenu de rester endetté et son salaire partagé avec la banque prêteuse des années durant. La Banque d’Algérie estime à 40% le taux des crédits octroyés par les banques qui vont vers le crédit à la consommation. Plus de 200 milliards de dinars ont été injectés en 2006 dans le portefeuille des crédits au logement et à la consommation. Et dans ce magma de crédits, l’absence de mécanisme de protection des consommateurs risque de mettre les débiteurs dans une situation de surendettement, donc d’appauvrissement.»

«Le crédit à la consommation est l’attrape-nigaud de l’Algérien qui veut consommer in»

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Notre chambre de résonance titrait récemment (Lien): «Crédit à la consommation : Le FMI demande à l’Algérie de lever l’interdiction.» Le débat stérile sur la décision souveraine de l'Algérie est conduit par EW,  qui en spécialiste de la méthode Delphi, collabore avec l'avocat FMI et les faux témoins à charge dans sa plaidoirie en faveur des victimes, les banquiers philanthropes.
-Clore le débat, en soutenant l'abandon définitif des mesures gouvernementales de crédits à la consommation, volet  "véhicules particuliers" ? 
-Non EW s'y refuse!  EW revient à la charge et relance la polémique par la voix de son spécialiste de l'intrigue économique, El Kadi Ihsane.
(El Watan, 08Mars 2010) : «Comment, un jour, le crédit à la consommation sera rétabli ! » )
-Une idée fixe de l'auteur ? L'obsession du chercheur à résoudre une question d'ordre théorique ou pratique dont l"importance est cruciale pour l'avenir de l'Algérie, sinon de l'humanité ?
- Rien de tout celà ! L'auteur est un pantin actionné par la relance et l'insistance du FMI dans sa tentative d'écorcher une nouvelle victime au seul bénéfice des banques étrangères, avec qui le fond, partage les mêmes intérêts ! Les intérêts de qui ? De ceux qu'on nomment Banksters, un sobriquet dans le jargon anglophone, combinant,  "banker" et "gangster".
Un titre révélateur et qui démontre l'acharnement des pouvoirs (occultes) bancaires  à  renverser la décision souveraine algérienne d'abroger les "crédits à la consommation"  ce que Salah Mouhoubi, (édition du l'édition du 27 Février 2010 d'EW), avait modestement élucidé et clairement réfuté,  car les arguments du FMI (publiés avec sympathie par EW). 
étaient irrecevables. Selon lui : "Quant aux autres banques, dites algériennes à capitaux étrangers, ce sont, à mon avis, les établissements financiers qui ont profité le plus de ces crédits à la consommation." (Société Générale, BNP Paribas, etc...)
Observons par ailleurs  quelques commentaires de  l'ancien Senior Vice Président et Économiste en Chef de la Banque Mondiale, Joseph Stiglitz (Prix Nobel). Il est connu pour sa vision critique de la gestion de la mondialisation, des économistes du libre marché (qu'il appelle des «fondamentalistes du marché libre") et certaines institutions internationales comme le Fonds monétaire international et la Banque mondiale.:«Pour une majorité dans le monde la mondialisation telle qu'elle a été gérée ressemble à un pacte avec le diable. Quelques pays sont devenus plus riches. Les statistiques du PIB, pour ce qu'elles valent, rehaussent les apparences mais les modes de vie et les valeurs fondamentales sont menacées .... Ce n'est pas la façon dont elles devraient être.»
Ou : «Lors de sa réunion en Septembre à Singapour (2006), le FMI a reconnu les lacunes dans sa gouvernance (même si elle a sévèrement critiqué la gouvernance dans les pays en développement), et a donné plus de pouvoir de vote à quatre des plus sous-représentés des pays en développement.  Mais certains des défauts les plus importants existent toujours- les États-Unis reste le seul pays avec le droit de veto, la façon dont son directeur est choisi ne concorde pas avec les types de procédures démocratiques que nous tenons pour acquis dans nos propres démocraties, et il n'est toujours pas conformes aux principes de la transparence qui sont reconnus aux États-Unis, la Suède, et d'autres démocraties.»
El Kadi dans son apologie burlesque du FMI flatte..... la bienfaisance du fond :
«Le conseil d’administration du FMI est bienveillant avec l’Algérie. Il lui a recommandé très prudemment de rétablir le crédit à la consommation «lorsque la centrale des risques liée aux crédits aux particuliers deviendra opérationnelle ». 
«Motif : l’interdiction des prêts à la consommation constitue un obstacle au développement du secteur financier.»(sic. Le pillage serait selon lui une bénédiction dont nous prive la loi complémentaire.)

«L’argumentaire du ministre des Finances algérien aurait donc évoqué le risque de sur-endettement des ménages comme cause principale de l’interdiction. Tout le monde sait qu’il n’en est rien.»(Mensonge typique de l'analyse perfide qu'il distille. Les premiers à le savoir sont les consommateurs US qui sont tombés dans le traquenard du crédit attractif et démesuré. Leur famille règle la facture de leur folie.. Ils méditent leur malheurs dans les villes de toile (tentes) qu'ils occupent aux abords des mégapoles américaines !)

Les taux de recouvrement des banques en Algérie pour ce type de crédit sont les meilleurs en Méditerranée. (Raison supplémentaire qui aiguise l'appétit des banquiers, ceux qui commanditent notre scribouillard louche).
La vraie raison de l’interdiction du crédit à la consommation est irrationnelle. Comme la peur. La peur des déficits externes, par gonflement des importations en temps de reflux des recettes énergétiques. Une peur saisonnière.
(Très juste, car "qui a peur, vit en paix ". Notez l'incursion freudienne subversive  qui tente de défier l'orgueil des décideurs et provoquer un sursaut de courage ou de.....témérité. Enfantin ! Prudence et sagesse conviendraient mieux comme attributs. Qui devant le gouffre financier engloutissant récemment  les puissances financières de la planète ne serait pas appréhensif des risques  encourus par la poursuite de mesures hasardeuses ?)


«Qui va passer, avec le retour du baril à 100 dollars »( prévision ou  prophétie ? )

«La plupart des décisions de politiques économiques sont prises sur ce modèle univoque. Un risque, une riposte. Dans le cas des prêts à l’importation, les effets collatéraux n’ont jamais été examinés. Ils sont très certainement de plus d’impact que du seul effet restrictif sur les seules importations. Un exemple, l’arrêt du développement des réseaux bancaires (les prédateurs) à cause d’un plan d’affaires sabré. Un autre exemple, la sanction contre les producteurs locaux de biens électroniques et électroménagers, de meubles et de toutes sortes de produits dont la commercialisation a bénéficié ces dernières années du coup de pouce du crédit à la consommation. Un troisième exemple, le sentiment d’appauvrissement des couches moyennes qui ont commencé à s’équiper à crédit, notamment en voitures, et qui subitement réalisent qu’elles ne peuvent plus anticiper l’amélioration prévue de leurs revenus. La détermination des enseignants, mais aussi des médecins, à voir immédiatement des rattrapages conséquents sur leurs fiches de paie, pourrait bien illustrer les effets inattendus de la décision hystérique du mois d’août 2009. Comme cela est de coutume, les effets indésirables imposent leurs nuisances. Et le gouvernement recule. Plutôt tard que tôt. Scénario en lice déjà. Le ministre des Finances a admis, après la recommandation du FMI, que l’Algérie "aura à apprécier cette demande " de revoir sa décision au sujet des crédits à la consommation. »
«Mais quel est donc ce développement du secteur financier que veut préserver le FMI à travers sa recommandation ?»
«Ce n’est plus une priorité du gouvernement. Ni même d’ailleurs de la banque d’Algérie qui met en moyenne plus de six mois pour délivrer l’agrément d’une nouvelle agence bancaire après visite des locaux, comme si les extensions de réseau – notamment des banques privées – lui donnait plus de tracas.» 
 (la juste mesure, serait qu'elle mette 60 ans avant de la délivrer. 
Ce naif El Kadi serait-il victime du FMI, le maître chanteur institutionnalisé de la planète ?  Ou lui verse-t-il des primes pour ces exercices de voltige  intellectuelle et ses débordements lacrymaux   ?)

L’agence d’El Koléa de Société Générale Algérie a attendu de janvier 2009 à janvier 2010 son agrément bancaire. Tout était prêt, les locaux et les équipements bien sûr, mais aussi, les équipes et les produits. Un an de jachère pour cause administratif. Et c’est ainsi partout. (Arrêtez le, il vas nous faire chialer !)

«L’Algérie était, en 2009, classée au 135e rang planétaire par la Banque mondiale en matière d’attribution des crédits. Cela ne s’améliorera pas en 2010. Même si le crédit immobilier à taux 1% déboule dans le paysage.»( Mais c'est le plus important, aveugle ! La construction est stimulée et l'économie tourne à plein rendement
Ce qui n'est pas le cas pour les voitures, un produit fini. Dont le commerce de bazar génère peu ou presque pas d'emplois et n'est pas un investissement physique productif. Les usines de montage, le vrai investissement, la France les a réservées à ses....colonies.)

«Pourquoi ? Parce que le Premier ministre n’est pas intimement convaincu qu’il doit soutenir la demande solvable par le crédit. Pourquoi ? Parce qu’il ne sait pas très bien ou va aller l’argent qu’il va prêter aux Algériens. L’offre de produits locaux ne décolle pas. Ce sont les importations qui vont en profiter. Eternel cycle malthusien.» (Erreur ! C'est la fin du pillage camouflé et du détournement de ressources au dépens de l'économie nationale,  vers l'étranger via les importation et les profits exorbitants de l'usurerie !)

 «Nous ne savons pas élargir l’offre de produit, mais nous savons réduire les importations.»( parce que nous sommes maîtres chez nous et avons nos priorités  !)

«Le crédit à la consommation sera rétabli un jour.» (Non ! Et qu'ils cessent de nous harasser , lui et son employeur de l'ombre. L'opportunité pour monter nos véhicules ici, n'a jamais été aussi propice).

 «Avant même que la centrale des risques ne soit mise en place. Inutile d’en chercher la raison. Elle sera tout aussi irrationnelle.» (Irrationnelle ? Oui, après la vague de désinformation  qui a ciblé l'opinion, heureusement sans résultat.  Mais pas plus dangereuse que la campagne d'intox des idiots de service, du FMI, qui en d'autres lieux seraient  passible d'exécution, pour.....haute trahison. Pour preuve la
Définition: Crime consistant à entretenir des relations coupables avec une puissance étrangère ou ennemie;  Action de trahir en trompant la confiance de quelqu'un, en manquant à la foi donnée à quelqu'un, à la solidarité envers quelqu'un; résultat de cette action.  Action de trahir en livrant ou en abandonnant une personne, une collectivité. Action de ne pas traduire fidèlement, de déformer, de dénaturer quelque chose. )
  Rappel solennel , en ce 19 mars 2010, de l'ère des Harkis, tenant leur fusil aux poings. Ceux brandissant une plume empoisonnée ouvre un nouveau cycle de trahison au service d'intérêts douteux.
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Dans Supplément-Economie d'El-Watan du15 Mars 2010:
«Lutte anti-corruption en Afrique : le FMI propose son aide».
 N'en croyez pas un mot ! Cette annonce publicitaire doit être un poisson d'Avril, avant terme !
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