Publié sur Facebook un complément de données généalogiques de la famille Sellal. (lien)
Résumé : Adul Rahman Sellal envoya ses deux fils, Mohand Areski et Hamoud combattre dans l'armée française qui sévit contre la révolte d'El Moqrani. Après 1871 trouvant la vie difficile à Ighil Ali et craignant les représailles des alliés d'El Moqrani, Hamoud se déplaça à B'ni Yenni (Tizi Ouzou) puis à El-Harrach (Alger), pendant que Mohand Arezki s'installa à Constantine, accompagné de ses enfants dont Moussa le père de Abdelmalek Sellal.
La branche qui s'est installée à Constantine affecta ses fils dans l'administration française, notamment dans le "2em bureau" des services de renseignement français, chargés de la communication avec le peuple musulman !
Remarque :
Le présence de collabos et de leurs enfants dans l'administration algérienne n'est pas étrange, car TOUTE l'administration de l'ère de Boumédienne alias Boukharrouba avait intégré en plus des DAF, les anciens SAS et forces locales dans ses effectifs, clause opaque des accords secrets avec la France (en dehors des accords d'Évian), une entente entre le Zaim et son vis à vis De Gaulle.
Retour à Sellal.
Sellal Kabyle on le savait, mais crypto Berbériste, ceci est dévoilé dans un lapsus en 2017. Quarante (40) ans dans l'administration, ambassadeur, ministre de l'intérieur, de l'hydraulique, premier Ministre, et pas un mot correct d'arabe dans son vocabulaire !
Sellal : «ressusciter nos morts»! (ceux du dit printemps berbère). Un symbole ou une symbol-renault pour comprendre les dessous des agissements de la dictature berbériste.
Son bilan : Gestion catastrophique et moquerie du peuple; la propagande médiatique lavigeriste feignant de le dénigrer pour mieux abuser l'opinion manipulée, avec en toile de fond les blâmes à Bouteflika pour son choix de chef de gouvernement! Il a le dos large notre Président !
Note : Des affres, parmi tant d'autres, des intrigues de Sellal et C°, sont exposées dans l'article suivant dans un aperçu des manigances de Farida, l'épouse Sellal, et son escroquerie de l'IMZAD targui. (une affaire juteuse a suivre...)
Résumé : Adul Rahman Sellal envoya ses deux fils, Mohand Areski et Hamoud combattre dans l'armée française qui sévit contre la révolte d'El Moqrani. Après 1871 trouvant la vie difficile à Ighil Ali et craignant les représailles des alliés d'El Moqrani, Hamoud se déplaça à B'ni Yenni (Tizi Ouzou) puis à El-Harrach (Alger), pendant que Mohand Arezki s'installa à Constantine, accompagné de ses enfants dont Moussa le père de Abdelmalek Sellal.
La branche qui s'est installée à Constantine affecta ses fils dans l'administration française, notamment dans le "2em bureau" des services de renseignement français, chargés de la communication avec le peuple musulman !
Remarque :
Le présence de collabos et de leurs enfants dans l'administration algérienne n'est pas étrange, car TOUTE l'administration de l'ère de Boumédienne alias Boukharrouba avait intégré en plus des DAF, les anciens SAS et forces locales dans ses effectifs, clause opaque des accords secrets avec la France (en dehors des accords d'Évian), une entente entre le Zaim et son vis à vis De Gaulle.
Retour à Sellal.
Sellal Kabyle on le savait, mais crypto Berbériste, ceci est dévoilé dans un lapsus en 2017. Quarante (40) ans dans l'administration, ambassadeur, ministre de l'intérieur, de l'hydraulique, premier Ministre, et pas un mot correct d'arabe dans son vocabulaire !
Sellal : «ressusciter nos morts»! (ceux du dit printemps berbère). Un symbole ou une symbol-renault pour comprendre les dessous des agissements de la dictature berbériste.
Son bilan : Gestion catastrophique et moquerie du peuple; la propagande médiatique lavigeriste feignant de le dénigrer pour mieux abuser l'opinion manipulée, avec en toile de fond les blâmes à Bouteflika pour son choix de chef de gouvernement! Il a le dos large notre Président !
Note : Des affres, parmi tant d'autres, des intrigues de Sellal et C°, sont exposées dans l'article suivant dans un aperçu des manigances de Farida, l'épouse Sellal, et son escroquerie de l'IMZAD targui. (une affaire juteuse a suivre...)