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16 juil. 2012

Chems Eddine Chitour et ses 50 ans d'errance.

L'Algérie du XXIe siècle : Un demi-siècle d'errance
 Chems Eddine Chitour   Lien
«A l'Indépendance, nous étions tout feu, tout flamme et nous tirions notre légitimité internationale de l'aura de la glorieuse Révolution de Novembre. La flamme de la Révolution s'est refroidie en rites sans conviction, pour donner l'illusion de la continuité. L'Algérie actuelle, qu'est-ce- que c'est? Un pays qui se cherche, qui n'a pas divorcé avec ses démons du régionalisme, du népotisme? Qui peine à se déployer, qui prend du retard, qui vit sur une rente immorale car elle n'est pas celle de l'effort, de la sueur, de la créativité? C'est tout cela en même temps! Le pays s'enfonce inexorablement dans une espèce de farniente trompeur tant que le baril couvre notre gabegie. Après, ce sera le chaos.
Cinquante ans après l'Indépendance, nous n'avons plus le droit de continuer à diaboliser les autres et les rendre responsables de notre gabegie actuelle. Si le devoir d'inventaire est toujours d'actualité avec l'ancienne puissance coloniale, nous ne pouvons pas l'incriminer chaque fois que nous échouons dans la plus pure tradition de la théorie du complot. Si complot il y a, c'est que notre «défense» était poreuse, nous n'avons pas été à la hauteur. Pourquoi? Pourtant la guerre de Libération a été pour nous une source de ressourcement. Le grand tort est que nous n'avons pas su prendre les virages rendus nécessaires par l'évolution rapide du monde.»
Cet article à "www.mondialisation.ca", de la plume du Pr Chems Eddine Chitour, a provoqué un sursaut d'orgueil en moi face à la diatribe que l'auteur lance contre le "système" en confondant les phases historiques distinctes couvertes par l'Algérie depuis l'indépendance.
L'auteur, dont les travaux étoffés et recherchés révèlent des connaissances multi-disciplinaires certaines, pèche par sa précipitation à généraliser uniformément un constat mitigé de la gestion du pays durant 50 ans de gouvernance, indépendamment de la politique en vigueur pour chaque période. Ceci entraine une mutilation de la vérité à travers des analyses et des opinions qui s'avèrent donc souvent biaisées et subjectives. Tout le monde est libre d'écrire ce qu'il juge répondre à ses convictions ou à ses desiderata, mais lorsque son envergure médiatique de journaliste ou d'écrivain s'étend au delà de son lectorat direct local, sa notoriété l'érige en figure publique et l'expose à la critique.  Avec quelque regret je réclame ce droit, tout en espérant ne pas en abuser.
Tout chercheur qui aborde autant de thèmes et de sujets liés à une multitude de domaines spécialisés de la politique-économie-histoire-sociologie-anthropologie-religion-géostratégie-analyse prévisionnelle- et même divinations (sic) s'expose à l'égarement, au sophisme, et finit par heurter un écueil qui saborde son navire. Ceci en dépit de sa perspicacité et de son intelligence.
Ce qui nous amène à affirmer que par excès d'enthousiasme l'auteur finit souvent par laminer les règles d'objectivité et de cohérence que son esprit "scientifique" devrait soutenir comme prémisse à toute affirmation. 
Comme exemple, la confusion qu'il introduit dans la présentation des étapes historiques distinctes caractérisant les changements enregistrés en Algérie depuis 1962, ce qui le point de rupture de sa démarche car la partialité de son approche uniformisant et généralisant un bilan des années 1962-1979, de 1979-1999 et de 1999-2012, est contestable sinon catégoriquement réfutable.
Même solidement perché sur une tour d'ivoire professorale, il ne suffit pas de déverser un flot de détails puisés dans l'océan des données multiples disponibles dans l'univers de l'édition et des média pour défendre des idées authentiques et éviter de sombrer dans le pédantisme stérile.
Ma remarque ne se veut pas désobligeante, elle est destinée à éclaircir le flou qui règne dans la vue du professeur Chitour cause d'un grave préjudice dans l'analyse de la situation générale du pays en dévalorisant les acquis authentiques enregistrés depuis 1999 grâce à une nouvelle forme de gouvernance.
L'auteur observant la scène avec dédain et dissertant avec une pitié pieuse ("horreur sacrée") sur le thème d'actualité : "les 50 ans d'indépendance de l'Algérie". omet de préciser les origines des carences qu'il énumère : à savoir le socialisme frauduleux du Zaim Boukharoba. Ce dernier prit le pays en otage après les coups d'état de 1963 et 1965, en suivant une démarche qui aujourd'hui ferait cas d'école dans les Yeshiva. Comme un classique de la duperie politique et historique pour avoir servi à  l'instauration d'un pouvoir totalitaire et despotique fondé d'abord sur la démagogie et le populisme, et ultérieurement, sur la légitimation de l'oppression et de la violence . Même les techniques et méthodes professées dans le Talmude ne peuvent prétendre à des résultats aussi visibles, dans un laps de temps aussi réduit, dans la transfiguration globale d'une nation et dans son aliénation sur les plans idéologique/culturel/ religieux/économique/social. La manipulation à grande échelle d'une population naïve fut certes aisée au vue de l'ignorance héritée des ténèbres du colonialisme et de l'illusion que l'indépendance acquise était l'ultime accomplissement d'une nation.  Mr Chitour ne dissimule pas sa ferveur pour la politique des années de la révolution socialiste, signalant en lui sans doute des stigmates ou séquelles du travail d'intox subi dans les camps de volontariat estudiantin (note/*). Les fantasmes et la ferveur révolutionnaires exaltés par les discours du guide de la révolution d'alors, mystifiant un peuple crédule et convaincu de la grandeur de sa nation au point de croire, à travers les discours provocateurs du Zaim, de son invincibilité militaire face à l'impérialisme américain (sic) !  La guerre du Vietnam offrant l'occasion au maitre de la "Mecque des révolutionnaires" de hausser son prestige sous l'oeil complice de Kissinger qui en bon talmudipède se réjouissait du travail destructeur que le socialisme insufflait dans les valeurs authentiques ancestrales du peuple algérien, en l'aliénant grâce aux utopies marxistes.
L'illusion de l'utopie tiers-mondiste, folie des grandeurs de lilliputien, soigneusement entretenue par celui qui dans le monde réel du business, entretenait des relations privilégiées avec l'Oncle Sam (via son courtier Zeghar et les  "économies" investies à New York, à savoir les retombées des "contrats du siècle" Boeing / El Paso). 
Note : Sur ce dernier point, "contrat du siècle" liant la Sonatrach et El-Paso (USA) pour la livraison de gaz naturel, une remarque sera accolée au texte à venir lors du survol de la biographie de Boukharoba. (Lien)
Le bilan discutable que le Professor Chitour dresse de la situation du pays ne fait qu'amplifier les voix de la chorale des pleureuses qui occupent le devant de la scène en se lamentant sur le modèle de développement économique dépendant excessivement des hydrocarbures. Les oiseaux de mauvaise augure utilisent
péjorativement le terme "rente", un euphémisme que les  avocats du Stakhanovisme  communiste rabâchent pour aborder le thème des richesses naturelles, fruits de la bénédiction divine qui submerge l'Algérie.  Sur la lancée il confirme son adhésion aux hallucinations benbitouriennes, dans «Quelle est la situation en Algérie? (Lien) : «On dit souvent que le pétrole est une malédiction pour le peuple algérien. A plus d’un titre, nous allons montrer que ce n’est pas faux. En effet, depuis 1971, nous avons extrait du sous-sol environ 2 milliards de tep, qui ont été responsables à des degrés divers d’une pollution de 4 milliards de tonnes de CO2 qui stationneront dans l’atmosphère encore pendant 120 ans.»
L'auteur souffrerait-il de sado-masochisme en s'infligeant de l'auto flagellation ? Ou sombrerait-il carrément dans le nihilisme lorsqu'il déclare ? 
«...qui vit sur une rente immorale car elle n'est pas celle de l'effort, de la sueur, de la créativité.»
Exercice de purification du péché de la rente.
Ou encore :
 «..qui fait de nous des handicapés moteurs et mentaux au point qu'il ne nous reste que deux neurones, ceux qui nous permettent de coordonner nos gestes pour nous nourrir de nourriture imméritée car elle est volée à la nature et surtout aux générations futures à qui il ne restera rien.» 
La réfutation de l'hystérie de la pénurie : Le pétrole n'est pas un composant fossile non-renouvelable !
C'est ce qu'affirment et défendent d’imminents scientifiques qui, données et relevés en main, expliquent la formation des hydrocarbures  : 
(Lien1) «La théorie abiotique affirme, en revanche, que les hydrocarbures sont naturellement produits sur une base continue dans le système solaire, y compris au sein du manteau de la terre. Les partisans croient que le pétrole suinte à travers les fissures du substratum rocheux et se dépose dans les roches sédimentaires. Ils disent que les pétro-géologues traditionnels ont confondu la roche  source/émettrice avec le dépositaire/récipient d'hydrocarbures
 (Lien2NASA découvre que le pétrole n'est pas un combustible fossile. Le "pic pétrolier" confirmé comme étant un canular»
Une recherche sur Google confirme la controverse. Les voix fusent des universités/laboratoires/bureaux d'étude pour dénoncer le canular du "peak oil" que les compagnies pétrolières propagent en s'appuyant sur l'hypothèse spéculative que les hydrocarbures résultent de la décomposition de dépouille de dinosaures et d'anciennes forêts ! Très dérangeant pour les oracles du malheur qui prédisent la pénurie et se lamentent sur notre sort   ! 
Un leurre et une fraude qui rejoignent les canulars défendus par le cartel des compagnies pétrolières US, propriétés des maitres de l'oligarchie talmude (NOM). Nos perruches de l'opposition répercutent l’irrecevable, qu'il ait trait aux changement et réchauffement climatiques, à l'émission de CO2, au mythe juif de la Shoah/Holocauste, à la démocratie de façade sous contrôle Talmude/Maçonnique, aux égalités et libertés utopiques laïques brandies comme illusions destructrices des fondations saines de la société, etc.. . 
Professor Chitour, expert en énergies fossiles, devrait donc modérer son pessimisme et mettre un terme à ses ruades contre la politique actuelle de l'énergie qui est accusée de spéculer sur l'avenir de nos enfants. Son cursus de formation semble s'être flétrie et sa mission éducative détournée au profit de propagande économique élaborée par les maitres de l'imposture, les tenants du NOM Juif/Talmude, lesquels prêchent pour un "pic des hydrocarbures". Un recyclage s'impose à lui en priorité pour sauvegarder sa carrière, et une simple recherche sur Google servirait de bon départ à sa repentance scientifique.  Celà  s’accompagnant  bien sûr d'un peu de modestie et de l'abandon des "séances" divinatoires sur l'avenir de l'Algérie, imprégnées de "l'illumination" du discours apocalyptique benbitourien  ! 
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Remarque concernant les grandes escroqueries   :
Les relations/affinités entre les maitres talmudes et leurs idiots utiles ont débuté et atteint leur apogée durant l'ère Boukharouba. Les contrats El Paso et Boeing, les plus documentés, ne sont que la tête de l'iceberg. La farce des 4000 DA découvert dans son compte CCP, seule richesse léguée par le Zaim, est un canard digne de la propagande des dictateurs bouffons du communisme du siècle dernier. La tendance est toujours à la mode, les héritiers du socialisme ont rejoint la file des traitres à la nation, tous motivés par la cupidité et les pulsions du ventre.
 A l'image de Chakib Khellil et Ahmed Benbitour agents des Shylocks/FMI/Banque Mondiale, et Shell/Philips Petroleum, candidats à l'oscar des renégats qui s'inscrivent sur une liste qui s'allonge au fur et à mesure que l'histoire dévoile ses dessous et que l'on observe leurs méfaits, leurs manœuvres de diversion, leurs associations suspectes, leurs intérêts crapuleux.  
Le pillage organisé des biens publiques s'effectue en réalité à travers les réseaux de "chers frères" infiltrés dans les moindres rouages de l'état, tous réunis dans les associations maçonniques "caritatives", telles les plus en vue Rotary/LyonsClub. 
Un autre cas est celui de l'enfant prodigue Rafik de la banque Khalifa.  Les complices de ses malversations se situent dans le cercle de cette nébuleuse satanique pratiquant un culte luciférien  qui étend ses tentacules sur la planète.
Certainement et naturellement à la justice de la nouvelle Babylone, le Royaume Uni.  La magistrature du pays des Rothschild est une "blanchisserie qui lave plus blanc". 
Les tribunaux sont le théâtre d'une mise en scène publique pour flouer l'opinion. Elle a pour but d'amortir les peines des fripouilles et même d'accorder l'immunité aux affiliés du culte. La cour de Westminster n'est-elle pas entrain de freiner toute les procédures d'extradition, en élaborant des prétextes juridiques pour protéger l'escroc ? Pas un quelconque escroc, mais le  fils d'un ancien ministre du sérail socialiste de la clique "Boukharrouba". 
Les média arabes-sionistes lui réservent des reportages spéciaux spécieux car en présumant son innocence,  en redorant son blason, et en créant la zizanie pour détourner les regards accusateurs vers d'autres cibles imaginaires, ils dénigrent les revendications légitimes du peuple algérien qui réclame son dû et un châtiment du coupable . Les complices en Algérie s'ils existent, sont à dénicher dans le cercle Benflis, Premier Ministre au moment du scandale, qui avait accordé illégalement et secrètement des garanties aux banques étrangères créancières, et ceci en violation de la réglementation. 
-L'ancien Ministre de la Justice est un adepte de la FM et un gardien d'enceinte !
-La franc maçonnerie ne désigne-t-elle pas cette institution comme "son pilier et son bouclier" ? 
Remettons les pendules à l'heure :
Pourquoi spéculer sur l'avenir et occulter la réalité présente ?
En projetant des images d'une pénurie fictive d'hydrocarbures et en créant une situation de panique, les théoriciens auteurs de cette fraude souhaitent manipuler les émotions des gens pour les empêcher d'avoir une vision claire des réalités en cours. Des réalités qui, si elles venaient à être connues, provoqueraient une révolte contre le système en construction : celui de la dictature mondialiste juive maçonnique ! Durant les années de révolution socialiste le slogan favori de la propagande mensongère résidait dans les paradigmes " d'horizon 1970", " plans quinquennaux" et autres mirages/projets de société. Le transport vers l'avenir du regard du troupeau de moutons servait à occulter le présent, la réalité sur laquelle les tyrans gardaient une emprise sure pour accomplir leurs méfait principal : le pillage à outrance !  
Au sujet de l'avenir des jeunes générations les égoïstes prédateurs/serviteurs de Satan s'enfoutent ! Sauf peut être par calcul, lorsque l'avenir de leur progéniture est lié au destin collectif. Les universités, les hautes écoles, les professions libérales, la finance, la justice, sont modulées à leur convenance à travers des privilèges illicites et abusifs, des passe-droits clandestins, des mots et des signes de reconnaissance secrets. 
L'état dans l'état c'est eux ! 
Le fameux "système" que toutes les langues fourchues accablent en faisant allusion à la gouvernance en Algérie, c'est encore eux.
Réveillez-vous innocents citoyens ! L'Algérie n'est pas à l'abri des conspirations dénoncées sur le web par les observateurs/analystes engagés. Le Nouvel Ordre Mondial juif s'active à nous détruire, et à ses ordres ses agents/chevaux de Troie sont parmi nous !
Pour appréhender cette menace monumentale, commençons par ignorer les leurres "Hizb França", "Bâathistes",  "Francophiles", "Arabophiles", " Amazighs", "islamistes", et tous les épouvantails politiques ou idéologiques secondaires érigés par les média mercenaires pour nous brouiller la vue et nous détourner de la réalité. Ces courants politiques forment un seul bloc occulte, différent de celui dépeint par les journalistes. Le pouvoir réel est aux mains des "chers frères" que la présidence actuelle dérangent mais sur laquelle ils n'ont pas de prise et pas de moyen de rétorsion.
Pour illustrer cette affirmation, un événement significatif nous aidera à percevoir l'étendue de l'emprise de la FM sur le pays :
LE PRÉSIDENT INTERNATIONAL DE ROTARY, KALYAN BANERJEE : “Je suis venu en Algérie pour remettre les pendules à l’heure. L’objectif de ma visite, comme toutes les visites que j’effectue dans le monde, s’inscrit dans un cadre apolitique. Il faut savoir que c’est la première fois qu’un président international de Rotary visite l’Algérie et rencontre ses vis-à-vis pour évoquer les objectifs à tracer ensemble”.
Notez l'arrogance des propos de cet enfant de Satan qui débarque en territoire conquis. Les cupides rotariens qui ont vendu leur âme pour quelques friandises (les échanges) et les privilèges qu'offrent les réseaux internationaux; doivent se sentir tout petits devant leur chef qui débarque pour leur tirer l'oreille. Leur gestion des "affaires" des districts, des collectes d'argent et le manque assiduité aux "tenues" sont sujettes à des mesures disciplinaires. Vous imaginez-vous la situation dégradante dans laquelle ces félons ont sombré ? Tellement compromis dans leur intégrité, les traitres à la nation ne reçoivent aucuns égards; la situation des Harkis en France est présente à l'esprit et illustre parfaitement la manière dont les maitres traitent leurs esclaves/serviteurs. 
Un adorateur de vaches sacrées sans tact, ni le moindre respect des règles de l'hospitalité, se pavane devant ses sous fifres, des égarés qui se disent Musulmans, en brandissant sa cravache et en menaçant de mettre de l'ordre. De l'ordre dans quel désordre ?  
La jouissance terrestre a ses déconvenues.  Mais comment faire entendre à ces idiots utiles, dont certains se qualifient de   "penseurs", à l'intelligence certaine, mais qui gaspillent leur existence en rabâchant des utopies, du scientisme stérile, et des opinions religieuses douteuses dont l'adoration du "petit architecte"  est le dindon de la farce !
Leçon :
La mission des intellectuels/éducateurs est de dispenser, dans le cadre de leur service au pays, une éducation rationnelle servant la formation de citoyens qualifiés, avertis des enjeux réels, armés de perspicacité et de lucidité, vigilants devant l'ennemi.
Car la richesse du pays réside dans la formation de patriotes, gardiens de la justice et défenseurs de la vérité, jaloux de leur indépendance nationale, confiants en leurs valeurs et imperméables aux influences allochtones néfastes.
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(*) Pour souligner cette difformité intellectuelle de complaisance envers le despotisme et l'autocratie, notons que Mr Chitour a apparemment un penchant biaisé pour ce genre de personnage historique douteux, qu'il ménage, réservant ses attaques  au "système", entendre Bouteflika. La biographie de Boukharoba dévoilera les dessous de l'histoire d'Algérie que nombres d'historiens abordent enfin sans complaisance et sans la crainte de représailles.
                                                                                A suivre....