LES OPPOSANTS À BOUTEFLIKA SE DONNENT DE L'ALLURE.
UN REPORTER SPORTIF D'EL-JAZIRA (AÂCHAKOUM), CONNU POUR SES BRAIMENTS EN LIEU DE COMMENTAIRES INTELLIGENTS A DÉCOUVERT LE LANGAGE HUMAIN ET NE CONTRÔLE PLUS SON VERBE. REPUS DE DOLLARS QATARI, IL A LE TEMPS DE TENIR UNE RUBRIQUE CHEZ L'INDIGENT AGENT MÉDIATIQUE DE LA SUBVERSION TSA ET DONNE DES COURS DE ....POLITIQUE.
TOUT COMME LES CHIENS, LES CHEVAUX OU LES CHATS, IL EXISTE CHEZ LES ÂNES DES RACES BIEN DÉTERMINÉES, FRUITS DE SIÈCLES D'ADAPTATION À CERTAINS TERROIRS, MAIS SON ESPÈCE DÉFINITIVEMENT D'ORIGINE BERBÈRE NE REMPLIS AUCUN CRITÈRE DE CLASSIFICATION, AUSSI NOUS L'APPELLERONS ALGÉRO-QATARI !
L'ENTRAINEMENT N'AYANT JAMAIS TRANSFORMÉ UN ÀNE EN CHEVAL DE COURSE, NI UN STYLO, QU'IL FUT EN OR, SON PROPRIÉTAIRE EN UN ÉCRIVAIN.
SA VINDICTE CONTRE BOUTEFLIKA A PRIS UNE TOURNURE BURLESQUE, D'ABORD INEXPLICABLE PUISQU'IL NE MÉNAGE NI INSULTES, NI ACCUSATIONS DIFFAMATOIRES, ET C'EST DE L’ABRI DES STUDIOS D'EL-JAZIRA QU'IL A TOURNÉ SES BRAIMENTS CONTRE L'ALGÉRIE ! UN RECUEIL DE SES SONS.
(NOTE :L'homme a très tôt remarqué les cris particuliers poussés par l'âne, animal domestiqué depuis la plus haute antiquité. Il était d'usage de fendre une narine de l'âne pour empêcher le braiment? ceci fut partiqué durant la Première Guerre mondiale pour éviter de signaler sa présence à l'ennemi allemand.)
QUI AURAIT UN COUTEAU SVP ?
DANS UN ARTICLE DE TSA :
«– Je n’aime pas cette Algérie qui bâillonne la liberté d’expression pour la presse, les femmes et les hommes libres qui s’opposent au système, critiquent ses pratiques et ne tolèrent plus que l’Algérie et son président soient otages d’un groupe qui fait main basse sur tout;
– Je n’aime plus cette Algérie qui se plie devant toute personne qui descend dans la rue. Cette Algérie qui s’agenouille devant la France. On en vient même à avoir honte de lire et d’entendre ce qui circule dans les médias sur les concessions et les mépris dont elle fait face !
– Je n’aime plus cette Algérie où la justice se place en téléspectateur pour regarder défiler le long cortège des scandales de corruptions et de malversations, de Khalifa à Sonatrach en passant par ceux de l’autoroute Est-Ouest, le métro, le programme de soutien à l’agriculture et autres scandales qui nuisent à l’Algérie et à son peuple !
– Je n’aime plus cette Algérie qui n’a pas construit d’usines, de stades, d’hôpitaux et d’infrastructures touristiques et culturelles avec toutes les ressources financières engrangées pendant quinze ans. Je ne l’aime plus car les gouvernants ne possèdent ni un projet de liberté ou de démocratie, et encore moins celui d’une justice sociale.
Tout comme pour les chiens, les chevaux ou les chats, il existe chez les ânes des races bien déterminées, fruit de centaines de siècles d'adaptation à certains terroirs.»
ETC, ETC...