«Après avoir été toute proche d’une situation de faillite, l’économie algérienne est aujourd’hui une économie désendettée. Rappelons-nous :
en 1994, durant le premier trimestre, le service de la dette, c’est-à-dire le paiement du principal et des intérêts dus par L'Algérie à ses créanciers, était de 100 %. Ceci signifie que l’Algérie devait consacrer l’intégralité de ses recettes d’exportation à ses créanciers pour le paiement de sa dette. Cette situation a conduit le pays à demander le rééchelonnement de sa dette extérieure après un accord signé avec le FMI qui imposait une réduction des dépenses publiques, un blocage des salaires, une réduction des subventions aux produits de première nécessité et une libéralisation des prix, une forte dévaluation du dinar. Les Algériens s’en rappellent bien ! Tout cela, dans un contexte de crise sécuritaire sans précédent. L’Algérie a ainsi rééchelonné 16 milliards de dollars à rembourser sur une période de près de 11 ans, sur une dette extérieure totale de plus de 30 milliards de dollars. Le pays a pu sortir ainsi du «piège de la dette» dans lequel il s’était enfermé et qui l’amenait à s’endetter pour rembourser la dette : les crédits mobilisés servaient non pas à financer le développement économique mais à rembourser la dette.» Etc.....
en 1994, durant le premier trimestre, le service de la dette, c’est-à-dire le paiement du principal et des intérêts dus par L'Algérie à ses créanciers, était de 100 %. Ceci signifie que l’Algérie devait consacrer l’intégralité de ses recettes d’exportation à ses créanciers pour le paiement de sa dette. Cette situation a conduit le pays à demander le rééchelonnement de sa dette extérieure après un accord signé avec le FMI qui imposait une réduction des dépenses publiques, un blocage des salaires, une réduction des subventions aux produits de première nécessité et une libéralisation des prix, une forte dévaluation du dinar. Les Algériens s’en rappellent bien ! Tout cela, dans un contexte de crise sécuritaire sans précédent. L’Algérie a ainsi rééchelonné 16 milliards de dollars à rembourser sur une période de près de 11 ans, sur une dette extérieure totale de plus de 30 milliards de dollars. Le pays a pu sortir ainsi du «piège de la dette» dans lequel il s’était enfermé et qui l’amenait à s’endetter pour rembourser la dette : les crédits mobilisés servaient non pas à financer le développement économique mais à rembourser la dette.» Etc.....
(WebOfdebt.com) |
Les maitres de l'intox et opportunistes intéressés (Benbitour et ses théories mensongères subversives) parlent eux de "richesse appauvrissante ", "de mauvais placements bancaires", et refusent de reconnaitre la portée et la valeur des décisions prises, historiques et combien opportunes dans le contexte actuel de crise financière mondiale. Le problème à résoudre par tous les algériens est celui de l'éradication de la corruption et des détournements de biens publiques, un cancer qui ronge l'économie depuis 1962, pas seulement 1999 ! Héritage que beaucoup d'intellectuels malhonnêtes souhaitent injustement et arbitrairement léguer au seul Président Bouteflika.