Une étude dévoile que même pas un seul enfant moins de 18 ans est mort en Allemagne pendant les 15 premiers mois de la pandémie de coronavirus Wuhan (Covid-19).
Translate
10 déc. 2021
ÉTUDE : Les « vaccins » contre le Covid n'apportent aucun bénéfice aux enfants.
3 déc. 2021
Supervision/classification effets secondaires suite vaccins anti-covid en Algérie : responsables et institutions les ignorent ou...les occultent ?
Preuve des absences d'attention, de compassion, et même de pitié pour 43 millions de citoyens : en Algérie les responsables de la santé refusent de créer les procédures et les routines de recueil des statistiques pertinentes énumérant les effets secondaires de la vaccination, pour les médicaments/vaccins en général et en particulier pour les anti-covid 19. Leur malveillance (*) est flagrante.
Partout dans le monde ces procédures sont essentielles et permettent d'analyser et d'évaluer l'efficacité ou la nocivité des médicaments et en priorité les vaccins (surtout ceux actuels, à ARN-messager, affectant le génome).
Pourtant l'Institut Pasteur répond favorablement aux exigences étrangères (OMS) lorsque ce dernier exige des comptes rendus détaillés, tel celui de la surveillance de la résistance anti virale du virus Influenza aux traitements. L'équipe Derrar s'exécute (étude détaillée 2009-2014). (Lien), statistiques relevées par le centre de collecte de données GROG (Groupe Régional d’Observation de la Grippe).
L'étude est bourrée de contre vérités scientifiques et d'observations mensongères telle "La vaccination annuelle est la méthode la plus efficace en Algérie pour prévenir l'infection par le virus de la grippe saisonnière. " Prévenir est une insanité, dire plutôt "l'incapacité à prévenir" puisque les vaccinés sont contraints de subir l'injection tous les ans (pour accélérer les chaines de production des harma) !
(*)Note: Motif de ce mépris et malveillance envers le peuple algérien ? La cause est que le pays est pris en otage par les lavigeristes (enfants de l'Église, agents des jésuites), ennemis jurés de la majorité musulmane (99 %) !)
Ces responsables partagent un seul trait commun et propagent le même discours: la diffusion de la peur et la promotion tout azimut de la vaccination. Ils n'abordent jamais le sujet des remèdes prouvés efficaces, ni l'importance de l'immunité personnelle naturelle, un capital bio-génétique à préserver à tout prix (puissant chez les enfants).
Les sujets scientifiques primordiaux sont détournés (diversion) et les débats orientés vers "la disponibilité-et-l'acquisition des millions de doses, et la gestion politique de la pandémie (restrictions sociales, mesures préventives, etc..)."
La sécurité sanitaire est un pilier de la souveraineté nationale.
Refus d'établir des procédures de suivi et de surveillance de la vaccination anti-covid, ou monopolisation des données et statistiques pour utilisatio personnelle (ppublication dans des revues scientifiques) ?
S'en remettre aux slogans publicitaires des pharma uniquement intéressés par l'écoulement de leurs vaccins, est un acte de trahison envers la nation.
Plus grave s'en remettre à des organismes étrangers et à leur appréciation de l'efficacité des vaccins, est un acte d'abandon de la souveraineté nationale et une violation du devoir de protection de la santé publique. Le contrat moral-social-politique liant ces responsables au peuple est foulé du pied.
Illustration
1-Institut Pasteur d'Algérie : « Il n’y a pas de retard en matière d’acquisition de vaccins »(Diversion)
Et selon El Moudjahid du 12/03/2021.
Le directeur général de l'Institut Pasteur d'Algérie, le Dr Fawzi Derrar, a annoncé mercredi à l'APS, le parachèvement des négociations pour l’acquisition du vaccin anti-Covid-19 avec les laboratoires américains Pfizer, Johnson & Johnson (récemment accrédité) et « Novavax» dont l'autorisation de mise sur le marché est en cours de validation par l'Agence américaine du médicament (FDA). Le laboratoire « Novavax » s'est engagé, selon le Dr Derrar, à « fournir cette matière à l'Algérie en premier ».
2- APS, 11 Avril 2021 :
Dr. Derrar a annoncé, d'autre part, le parachèvement des négociations avec les laboratoires américains Pfizer, Johnson-Johnson (récemment accrédité) et "Novavax" dont l'autorisation de mise sur le marché est en cours de validation par l'Agence américaine du médicament (FDA).
---------------------------------------------------------------------------------------------
Preuve ci-dessus confirmant l'analyse sur le danger de s'en remettre à la FDA et au CDC (départements centraux de la santé et du médicament aux USA) :
- 02 Décembre 2021, un document hautement confidentiel révèle les manigances d'un pharma (Pfizer) et leur dissimulation de l"ampleur de la nocivité de leur vaccin après les rapports recensant les effets secondaire néfastes survenus dans au moins 76 pays . Le document fut communiqué au début de 2021(février) à la ...FDA, qui ne l'a pas rendu public et plus grave n'en a pas tenu compte dans l'octroi d'autorisation d'urgence et de validité de l'efficacité des vaccins Pfizer, exposant donc l'humanité à un désastre amplifié durant le temps écoulé depuis février 2021 !
"Grâce aux efforts d'un groupe appelé Public Health and Medical Professionals for Transparency , nous avons maintenant des documents confidentiels fumants qui montrent que Pfizer et la FDA savaient au début de 2021 que les vaccins à ARNm de pfizer tuaient des milliers de personnes et provoquaient des avortements spontanés tout en endommageant trois fois plus de femmes que d'hommes.
Un document confidentiel en particulier faisait partie d'une publication ordonnée par un tribunal de dossiers de la FDA, que la FDA a combattu en affirmant que l'agence devrait avoir 55 ans pour publier cette information. Un juge du tribunal n'était pas d'accord et a ordonné la publication de 500 documents par mois, et le tout premier lot de documents contenait cette bombe intitulée "Analyse cumulative des rapports d'événements indésirables post-autorisation".
Pfizer a déclaré à la FDA que ses vaccins pouvaient tuer des gens et qu'elle n'avait aucune information sur l'efficacité des vaccins , pourtant la FDA a frauduleusement poussé le vaccin comme « sûr et efficace » de toute façon. Pfizer a même déclaré à la FDA qu'elle n'avait aucune information de sécurité sur l'utilisation chez les femmes enceintes, mais la FDA (et Fauci, le CDC, etc.) ont tous poussé le vaccin pour les femmes enceintes, malgré le manque total d'informations sur la sécurité.
Sur la base de ce document, il semble que la FDA elle-même ait été impliquée dans un complot criminel visant à cacher la vérité sur les blessures et les décès dus aux vaccins tout en accordant des autorisations d'utilisation aux mêmes sociétés qui ont ouvertement déclaré à la FDA que ses produits tuaient des gens.
Notez également que l'ensemble du complexe des médias d'entreprise a menti dès le premier jour, affirmant à tort que le vaccin n'avait tué personne. Ils sont, bien entendu, complices de cet holocauste vaccinal .
À suivre .....
2 déc. 2021
Astra-Zeneca l'affirme sans détour : le marché algérien est juteux.
Interview du représentant de la firme pharmaceutique ici
Dont extrait :
-Question du journaliste Santenews-dz.com : AstraZeneca est lié aussi au domaine de la fabrication de vaccin anticovid, qu’en est-il réellement de ce nouvel antidote récemment découvert par votre Laboratoire ?
RAMI SCANDAR : «Bien qu’il paraisse pour le commun
des gens comme un vaccin, mais en réalité, le nouvel antidote
récemment découvert et qui a réussi aux trois essais cliniques, n’est
pas réellement considéré comme un sérum».
------------------------------------------------------------------------------------
Remarque 1: de quel sérum s'agit-il ? Celui mentionné le 15 Juin 2021 par Clinical Trials Artena qui rapportait l'échec annoncé par Astra Zeneca :
"AstraZeneca a annoncé que sa
combinaison d'anticorps à longue durée d'action (LAAB), AZD7442, n'a pas
atteint le critère d'évaluation principal de l'étude de phase III STORM
CHASER impliquant des personnes récemment exposées au virus SARS-CoV-2.
L'essai est conçu pour évaluer l'innocuité et l'efficacité de l'AZD7442 dans la prévention des symptômes du Covid-19 dans cette population d'étude."
AstraZeneca a annoncé que sa combinaison d'anticorps à longue durée d'action (LAAB), AZD7442, n'a pas atteint le critère d'évaluation principal de l'étude de phase III STORM CHASER impliquant des personnes récemment exposées au virus SARS-CoV-2.
L'essai est conçu pour évaluer l'innocuité et l'efficacité de l'AZD7442 dans la prévention des symptômes du Covid-19 dans cette population d'étude."
En règle générale, les pharma font des tests de phase-3 sur des cobayes humains, publient les résultats biaisés en faveur de leur produit et le lance sur le marché. Ceci sans assumer le risque d'indemniser les victimes éventuelles puisque les gouvernements déchargent les laboratoires de toute responsabilité et des poursuites judiciaires en cas"d'accidents".
Remarque 2 :
De facto, l'Algérie accordent donc aux laboratoires ce privilège légal de non redevabilité devant la loi en réponse à des poursuites judiciaires initiées par des victimes de médicaments nocifs, tous homologués et achetés par nos départements de la santé eux aussi non redevables devant la loi. Mais de toute manière il n'existe pas d'organismes experts pour le recensement des victimes de pratique non éthiques, non déontologiques, ni les canaux leur permettant d'enregistrer leurs doléances ou leur plainte; le citoyen peut crier son désarroi, il n'est entendu par aucun organisme officiel, ni par les associations de défense des consommateurs appendice du ministère du commerce.
Note : Pendant ce temps en Australie ...
"L'Australie va ARRÊTER la fabrication locale du vaccin mortel AstraZeneca" (Lien)
Vacciné ou non-vacciné : qui se porte le mieux ?
1-Dr Fawzi Derrar (Institut Pasteur) à santenews-dz : «Il faut savoir que nous observons actuellement 50 000 décès par semaine
dû au covid dans le monde, et ces décès concernent essentiellement
les populations qui ne sont pas encore vaccinées.»
- Loi scientifique basée sur la collecte, l'observation et l'analyse de quelles statistiques et données ? Obtenues de quelle source ?
- Aucunes ! Les stats n'existent même pas au niveau de son département! Il faut pieusement croire le directeur de l'Institut Pasteur, sur parole.
- Par contre ce que l'on sait de par le monde, dans les pays les plus exigeants en terme de relevé des statistiques relevant du suivi de la gestion de la pandémie (exemple USA, UK, Allemagne, pays scandinaves, Israël), les personnes vaccinées enregistrent les plus grands taux de décès imputés aux 1ère-2nde-3eme doses ! Ceci sans mentionner les effets secondaires ruineux pour la santé, conséquence du vaccin dont la fiabilité est le credo publicitaire des pharma dégradé par les annonces officielles gouvernementales de ces pays, et par les experts scientifiques indépendants. Ces derniers démontrent par ailleurs que les chiffres réels des vaccinés souffrant d'effets secondaires perverses et nocifs sont manipulés à la baisse.
2- Emporté par son flot de désinformation, le Dr Derrar déclare : «
« Les non-vaccinés sont les principaux réservoirs du covid ».
- Comment le sait-il, une campagne de test de ces non-vaccinés a-t-elle été effectuée dans ce sens ?
- Pas que l'on sache ! Le test à grande échelle n'a jamais été pratiqué !
Le directeur volontairement ou non, diffuse de la désinformation, dans ce secteur stratégique qu'est la sécurité sanitaire publique, ses propos constituent une négligence grave et un délit mettant la vie de 40 millions de citoyens en danger et risquent d'induire en erreur les gestionnaires politiques de la pandémie!
Dans le monde réel, les organismes OFFICIELS de la santé présentent des faits différents reconnus par des centaines de sources compétentes et intègres (ex. premier ministre Singapour) :
-Ex.1 "Singapour signale un nombre record d'infections au COVID-19 bien que le pays soit presque entièrement vacciné" !
Le premier ministre Lee Hsien Loong :
- «Les Singapouriens doivent mettre à jour leur état d'esprit concernant le COVID-19 et ne pas être paralysés par la peur».
-« Donc, pour 98% d'entre nous, si nous attrapons COVID-19, nous pouvons récupérer par nous-mêmes à la maison, comme nous le ferions si nous avions la grippe"».
- « Vous pouvez vous rétablir dans un cadre familial familier, sans le stress et la peine de vous admettre dans un établissement de soins.»
- Le COVID-19 étant devenu une maladie gérable, M. Lee a déclaré que «Singapour devrait désormais simplifier « drastiquement » ses protocoles de santé.»
-«Fini les organigrammes compliqués», a-t-il déclaré. « Les gens doivent savoir clairement quoi faire s'ils sont positifs ou s'ils entrent en contact avec une personne infectée. »
-Il a ajouté que «chacun doit également assumer une responsabilité personnelle et sociale, comme se tester si nécessaire, s'auto-isoler s'il est positif ou consulter un médecin s'il présente des symptômes.»
- « Savoir quoi faire, nous ne trouverons plus COVID-19 comme une maladie aussi effrayante »- Ex.2 "ÉCHEC DU VAX : les nations avec le plus de vaccins COVID administrés voient les hospitalisations et les décès les plus élevés" !
Le territoire britannique de Gibraltar, avec une population de 34 000 habitants, a commencé à vacciner ses citoyens en décembre 2020. Il a utilisé le vaccin Pfizer sur la majorité des Gibraltariens, avec un petit pourcentage de doses d'AstraZeneca. Selon un communiqué du gouvernement , le vaccin AstraZeneca était réservé aux « personnes souffrant d'allergies médicamenteuses multiples ».
La Gibraltar Health Authority a commencé les injections de COVID-19 alors que le territoire ne comptait que 1 040 cas confirmés et cinq décès. Cependant, le nombre de nouveaux cas a quintuplé pour atteindre 5 314 après que Gibraltar ait atteint une couverture vaccinale de 115 pour cent. Le nombre de décès a également été multiplié par 19, atteignant un total de 97.
-Ex.3 Israël, autre exemple parfait de pourquoi la vaccination ne fonctionne pas
- La vague de cas de COVID après la vaccination en Israël. La nation du Moyen-Orient a fait la une des journaux après son injection réussie du vaccin COVID de Pfizer sur la majorité des Israéliens. "Israël, champion de l'injection Pfizer, jadis partout cité en exemple d'efficacité, est désormais durement rappelé à la réalité et est désormais le modèle de l'échec vaccinal", a déclaré Delpine le médecin français.
Selon Delépine, 70 pour cent de la population israélienne avait reçu au moins une dose, tandis que près de 90 pour cent avaient terminé le vaccin Pfizer à deux doses. Malgré cette réalisation, plus de 11 000 nouveaux cas ont été enregistrés le 14 septembre, dépassant de près de moitié le nombre élevé signalé en janvier de cette année.
Le médecin français a noté que la vague post-vaccination de nouveaux cas en Israël « s'accompagne d'une augmentation des hospitalisations où les vaccinés représentent la majorité des personnes hospitalisées ». Il a souligné que 71% des Israéliens gravement atteints du COVID-19 étaient complètement vaccinés.
- Le médecin israélien, le Dr Kobi Haviv, en a attesté, avertissant qu'un pourcentage énorme de patients COVID-19 hospitalisés dans le pays avaient reçu le vaccin. Il a déclaré à Channel 13 News : «Je comprends que la plupart des patients sont vaccinés, même les patients 'graves'.»
-Ex.4 Les données de Johns Hopkins PROUVENT que la distribution des vaccins COVID-19 a conduit à des pics d'infections et de décès.
Les données recueillies par l'Université Johns Hopkins prouvent définitivement que les vaccins contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19) ont aggravé la pandémie, et ces tirs dangereux sont à l'origine de maladies et de décès .
Les données recueillies par l'Université Johns Hopkins prouvent définitivement que les vaccins contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19) ont aggravé la pandémie, et ces tirs dangereux sont à l'origine de maladies et de décès .
C'est selon Joel Smalley, un analyste de données quantitatives du Royaume-Uni, qui a publié une vidéo intitulée « Décès COVID avant et après les programmes de vaccination ». Dans la vidéo, Smalley analyse les données de Johns Hopkins prouvant que les pays du monde entier ont connu des pics massifs de nouvelles maladies et décès liés au COVID-19 après avoir reçu un grand nombre de vaccins COVID-19.
26 nov. 2021
Inventeur du vaccin à ARN : QU'ONT EN COMMUN LE COVID, LE VIH ET DE NOMBREUX RHUMES ?
QU'ONT EN COMMUN LE COVID, LE VIH ET DE NOMBREUX RHUMES ?
Écrit par les Drs Jill et Robert W. Malone
Les coronavirus et autres virus à ARN simple brin sont classés comme brin positif ou négatif selon la polarité de l'ARN. On peut considérer la polarité de l'ARN comme un peu comme lire une phrase de gauche à droite (polarité positive) ou de droite à gauche (polarité négative). La machinerie des cellules qui fabrique les protéines à partir de l'ARN lit l'ARN (message) de gauche à droite. Donc, pour devenir vraiment technique, les coronavirus sont un type de virus à ARN enveloppé simple brin de polarité positive, c'est-à-dire que les protéines virales peuvent être produites directement à partir du génome de l'ARN en le lisant de gauche à droite. L'ARN n'a pas besoin de passer par un autre cycle de réplication (comme cela est requis pour les génomes viraux à ARN de polarité négative) pour revenir à une forme qui peut être lue de gauche à droite pour produire des protéines après avoir infecté une cellule. D'un point de vue pratique, cela signifie également que le génome à ARN d'un coronavirus peut être infectieux ; l'ARN seul, s'il est transféré dans une cellule, peut amener cette cellule à produire de nouveaux coronavirus complets et infectieux. C'est pourquoi les vaccins à ARNm n'utilisent qu'un fragment du génome de l'ARNm, de sorte que l'ARNm ne peut pas reproduire le virus.
L'utilisation de l'ARN comme matériel génétique est très efficace (un simple brin est plus facile et moins cher à fabriquer que deux !), mais il est également très probable qu'il développe des erreurs lors de la réplication par rapport à l'utilisation d'ADN double brin (comme l'utilisent les êtres humains). Entre autres problèmes avec cette stratégie virale, cela signifie que les virus qui utilisent l'ARN mutent souvent très rapidement. Heureusement que les êtres humains utilisent l'ADN pour stocker leurs informations génétiques !
Les virus à ARN font fonctionner ce taux de mutation élevé pour eux. Le taux de mutation élevé des virus à ARN est l'une des raisons pour lesquelles il est difficile de fabriquer des vaccins efficaces contre bon nombre de ces types de virus.
Les virus à ARN à sens positif représentent une grande partie de tous les virus humains connus, y compris de nombreux agents pathogènes bien connus tels que le VIH (le virus du sida), le virus de l'hépatite C (cancer du foie), les rhinovirus (rhume), le virus du Nil occidental, la dengue virus, Zika, coronavirus du SRAS et du MERS, et COVID-19. Même si la stratégie de l'ARN simple brin pose le problème d'un taux de mutation élevé, ces virus se répliquent si efficacement et produisent tellement de virus si rapidement que cela ne les ralentit pas. En fait, le taux de mutation élevé est en quelque sorte un avantage pour les virus - il leur permet d'évoluer et de s'adapter facilement à un nouvel hôte (vous et moi) très rapidement, et de s'adapter pour échapper à l'immunité chez les animaux qu'ils infectent ( y compris nous). Certains virus à ARN ont des régions conservées qui permettent de fabriquer plus facilement des vaccins contre eux, mais d'autres non.
Il a été rapporté que le génome du virus était différent à différents moments chez un individu. Un autre virus à ARN doté de cette capacité que nous connaissons tous est le VIH. Il est communément admis que c'est la raison pour laquelle il n'existe pas de vaccin contre le VIH et le rhume. De plus, comme le virus subit une pression du vaccin avec une cible d'une seule protéine (spike dans ce cas), il mutera pour échapper au vaccin et ces mutants d'échappement deviendront souvent plus mortels. Avec certains virus, le virus mute rapidement à partir d'un vaccin (comme dans le cas du VIH et du SRAS-Cov-2). C'est l'une des raisons pour lesquelles il n'y a jamais eu de vaccin efficace contre le VIH. Lorsque cela se produit, cela provoque un décalage entre le vaccin et le virus. Cela s'est déjà produit avec le SRAS-Cov-2. Nombreux sont ceux qui pensent que cela peut provoquer l'évolution de mutants d'évasion qui échapperont au vaccin et pourraient le rendre plus mortel. Le temps nous le dira.
(écrit par le Dr Jill Malone pour un public averti, qui ne sont pas des virologues. J'ai essayé de simplifier les concepts mais toutes les erreurs dans ce blog sont les miennes.)
25 nov. 2021
6700 médecins et scientifiques: la gestion politique de la vaccination est remise en cause, même jugée de dangereuse.
Des milliers de médecins et de scientifiques médicaux signent la « Déclaration de Rome » en signe de protestation et lancent une nouvelle plate-forme d'information.
Plus de 6 700 médecins et scientifiques du monde entier ont signé la « Déclaration de Rome » pour alerter les citoyens sur les conséquences mortelles du comportement sans précédent des décideurs politiques et des autorités médicales de Covid-19 ; des comportements tels que refuser aux patients l'accès à des traitements précoces qui sauvent des vies, perturber la relation sacrée médecin-patient et supprimer les discussions scientifiques ouvertes à des fins de profit et de pouvoir.
La Déclaration a été créée par des médecins et des scientifiques lors du Sommet de Rome sur le Covid, et a immédiatement catalysé le soutien de médecins du monde entier. Ces professionnels, dont beaucoup sont en première ligne du traitement d'une pandémie, ont subi des menaces de carrière, l'assassinat de personnalité, la censure d'articles scientifiques et de recherches, des comptes de médias sociaux bloqués, des résultats de recherche en ligne manipulés, des essais cliniques et des observations de patients interdits, et leurs CV professionnel et leurs travaux minimisées dans les médias universitaires et grand public.
23 nov. 2021
Bekkat Berkani, président de "l'ordre" des médecins, autre oracle et utopiste de l'illusoire "immunité collective" via l'hasardeuse vaccination massive !😈
Immunité collective, un mythe repris en choeur par de nombreux responsables.
Ces bureaucrates incarnent les faux prophètes de la santé prêchant dans le désert intellectuel de l'illettrisme collectif régnant. Profile scientifique vain et stérile, pas le moindre apport à la recherche et au progrès de la médecine, ils règnent illégitimement sur l'information médicale et compromettent la santé de 43 millions de personnes. Ils balbutient des stratégies sanitaires suicidaires que les experts indépendants dans le monde réfutent de manière irrévocable.
Notons que les peuples se révoltent et rejettent
- la vaccination massive décrétée pour toutes les tranches d'âge, vaccins expérimentaux ciblant mêmes les 5-12 ans, les nourrissons, les femmes enceintes,
- les restrictions et mesures prouvées inefficaces, le pass-sanitaire, imposées par les politiciens,
- l'ingérence du pouvoir financier composé d'acteurs non qualifiés auto-proclamés philanthropes et sauveurs de l'humanité, avec la complicité d'organismes internationaux soudoyés par ces intrus (Bill Gates dans OMS-Gavi),
- le mondialisme et ses objectifs eugéniques (en un mot génocide),
Conclusion :
Bekkat Barkani en caisse de résonance hi-fi raccordée au chahut mondialiste, énonce des prétendues lois et remèdes traitant de l'épidémie Covid 19, aujourd'hui prouvés tous faux, erronés, révolus, ceci sans le moindre scrupule pour modérer ses recommandations et mesures menaçant le bien être et la vie de tout un peuple. L'immunité naturelle, les traitements testés et prouvés efficaces, sont ignorés, jamais mentionnés.
Dans l'interview, au lien suivant, il préconise la nécessité de la vaccination des enfants, s'appuyant sur des études internationales " ! Lesquelles ? Il ne les citent pas. Et plus grave, il juge la vaccination d'anodine. Bekkat serait plus compétent et mieux informé que les 5200 spécialistes et chercheurs de la santé (dont le Dr Robert W. Malone) signataires du Sommet mondial sur le Covid (Rome) " appelant les autorités a mettre fin à la vaccination ?
Exemple 1 (vidéo): Dr Vernon Coleman : «Enfin ! Preuve médicale que le vaccin anti Covid est meurtrier»
Exemple 2 : à lire impérativement :
"Les arguments en faveur de la vaccination des enfants sont là , mais ce n'est pas convaincant pour le moment. La variante Delta (B.1.617.2) pourrait changer le calcul en fonction des données à venir du Royaume-Uni, de Singapour et de l'Inde, où la variante pourrait démontrer des propriétés plus contagieuses et virulentes chez les jeunes. À présent, nous devrions tous savoir qu'il est important d'avoir de l'humilité face à ce virus. Une augmentation des cas au Royaume-Uni au cours des derniers jours est préoccupante et devrait être quelque chose que nous suivons de près.
Pour en revenir à la discussion sur le risque COVID-19 pour les enfants (âgés de 0 à 12 ans) en ce moment, il vaut la peine d'agréger les meilleures données disponibles à ce jour. En examinant la littérature médicale et les reportages, et en discutant avec des pédiatres à travers le pays, je ne suis pas au courant d'un seul enfant en bonne santé aux États-Unis qui soit décédé de COVID-19 à ce jour. Pour approfondir l'enquête, mon équipe de recherche à Johns Hopkins s'est associée à FAIR Health pour étudier les décès pédiatriques dus au COVID-19 en utilisant environ la moitié des données d'assurance maladie du pays. Nous avons constaté que 100 % des décès pédiatriques dus au COVID-19 concernaient des enfants atteints d'une maladie préexistante, ce qui consolide le cas pour vacciner tout enfant présentant une comorbidité.
Étant donné que le risque de décès d'un enfant en bonne santé est compris entre zéro et infiniment rare, il est compréhensible que de nombreux parents se demandent à juste titre, pourquoi vacciner les enfants en bonne santé ?
À lire .......article suivant.22 nov. 2021
Immunité collective, mythe propagé comme justificatif falacieux de la vaccination anti-covid massive.
Covid 19 : Rien à voir avec la Variole ! Se trompent ceux qui affirment que le bilan jugé positif de la vaccination anti-variole (ou autre vaccin traditionnel) peut être extrapolé à la vaccination anti-covid 19, sont irresponsables et malveillants, ou complices d'un "agenda ", et exposent la santé de tout un peuple à de graves conséquences.
Pr Jacques Fantini, professeur à l'université Aix Marseille, et Institut Univ. de France.
Extrait : «Là nous avons un virus ADN qui mute avec des réserves "animaux", vous pouvez vacciner 200% de la population mondiale il n'y aura pas, là vraiment je met ma main à couper, il n'y aura pas, il ne peut pas y avoir d'immunité collective ! C'est un mythe....c'est presque un mythe en virologie. C'est qcq qui est discutée depuis très longtemps, mais pour moi en tout cas je trouve que ce n'est pas sérieux que de prétendre vouloir atteindre l'immunité collective, ce n'est pas que moi qui le dit, de très grands scientifiques qui disent "non mais c'est bon on y arrivera pas, on y renonce". Mais bon voilà... »
7 sept. 2021
Immunité collective, mythe ou réalité ? Faits et statistiques concluent : "c'est un mythe et sa politique sanitaire est un échec" !
Immunité collective : Grande Bretagne /UK et Suède l'ont définie comme objectif de leur politique sanitaire permettant de résoudre la crise de la pandémie Covid, mais son échec les a désavoués.
Suède : https://www.lasuedeenkit.se/la-suede-et-limmunite-collective-mythe-ou-realite/
Quelques illustrations :
- https://www.levif.be/actualite/sante/covid-l-immunite-collective-est-un-mythe/article-normal-1458073.html?cookie_check=1631002668
28 juin 2020
Une langue nationale et des langues régionales: la solution incontournable.
Pr Zerhouni champion de la santé US libérale-mondialiste! Cheval de Troie des Big-Pharma/OMS ?
En 1978 les pays sous développés avaient déjà tenté de se libérer de ce que l’on appelé « un cas de totalitarisme technologique », imposé par des programmes de vaccination destinés aux pays du Sud.
Un article d’une grande valeur et extrêmement pertinent, signé par le Pr Debabar Banerji (Inde), est avant coureur dans la dénonciation des pratiques internationales entourant la vaccination (à lire impérativement) : Lien
– « Comme on pouvait s’y attendre, la réaction des pays riches à cette téméraire déclaration d’indépendance de la part des pays pauvres a été cinglante et immédiate. Revenant à leur approche condescendante, technocentrique et créatrice de dépendance, ils ont proposé ce qu’ils ont appelé les « Soins de Santé Primaires Sélectifs », ce qui est contradictoire dans les termes mêmes. »
De nombreux spécialistes éminents venus de différentes parties du monde ont exprimé leur profonde inquiétude vis-à-vis de cette tentative flagrante de faire marche arrière par rapport aux accords d’Alma Ata : un groupe de 40 spécialistes en santé publique, réuni à Anvers à l’Institut de Médecine Tropicale en 1985 s’est déclaré résolument opposé à une approche sélective. À la suite de cette déclaration la revue Social Science in Medicine a publié un numéro spécial sur ces soins de santé primaires (n » 9, vol. 26, 1988), soulevant d’importantes interrogations quant à la valeur (solidité) d’une approche sélective.
En dépit de cela, inébranlable, l’OMS se joignit à l’UNICEF pour devenir même encore plus « sélective » dans son approche en transformant son précédent Programme Elargi de Vaccinations en un programme global avec échéance fixe (1990) qui vise à contrôler six maladies contre lesquelles un vaccin existe – diphtérie, tétanos, coqueluche, poliomyélite, rougeole et tuberculose – voire même à les éradiquer totalement de la surface du globe. »
Cet article a pour but d’enrichir la question de la sécurité sanitaire
débattue massivement pas le média, après l’annonce de la création de l’agence dirigée par les professeurs technocrates Sanhadji et Zerhouni, sans argumentation ni justificatifs scientifiques solides mais uniquement promotionnée par une campagne de marketing masquée par la notoriété des personnes chargées de ce projet, tous liés de près ou de loin aux organismes et centres de promotion de la médecine dominée par le Nord et son industrie pharmaceutique. Ce qui nous amène à questionner les prérogatives floues de cette agence et sa stratégie de ré-organisation de la santé. Son équipe d’experts/chercheurs conditionnés par les objectifs opaques qu’on prête aux tenants de la doctrine du Nouvel Ordre Mondial, champions de la généralisation de la vaccination, de la manipulation génétique, du transhumanisme, et nombreuses technologies informatiques, aux conséquences médicales insoupçonnées et souvent condamnées par les opposants à cette doctrine mondialiste.
9 avr. 2020
Gestion du COVID-19 : des questions légitimes exigent des réponses.
12 févr. 2020
Les Lavigeristes-Amazighs-Zouaves jouissent de l'aide des maisons d'édition catholiques, donc des jésuites (Vatican).
===> https://www.lemonde.fr/economie/article/2014/03/20/le-groupe-artege-rachete-desclee-de-brouwer-et-les-editions-du-rocher_4386810_3234.html