Un bref survol de la controverse :
Ali Benouari (*) puis Mohand Tahar Yala, s'inscrivent dans les annales de l'histoire de l'Algérie moderne comme deux individus sans scrupules rendus coupables de haute trahison !
Adresser une lettre à une autorité étrangère en lui accordant le rôle de juge dans les affaires du pays et demander de sa part des sanctions contre le président élu, est le paroxysme de la trahison tacite sinon l'intention d''exposer la nation au ridicule.
Pourquoi ce clan de militaires en retraite et de ministres expatriés, que le devoir de réserve aurait du restreindre dans leurs critiques de Bouteflika fondées ou non fondées soient-elles, aient décidé de sortir de leur tanière pour dévoiler des informations nuisibles aux intérêts nationaux sinon à son prestige. Puisque ces algériens restés dans l'ombre jusqu'à présent sont venus à nous, allons les accueillir !
Les généraux de carrière Lamine Zeroual, Hocine Benhadid (Lien, Lien), Mohand Tahar Yala (s’exhibe même sur la chaine renégate Al Magharibia), le colonel Ahmed Bencherif se découvrent des âmes de démocrates et s'attaquent à Bouteflika en rendant publique certaines manigances internes de l'ANP.
On la savait minée par les conflits de personne et d'intérêts, situation léguée par le régime qui prit le pouvoir dès 1962, à savoir l'armée des frontières et les DAF ramenés dans la valise de Boukharouba, mais quand à se servir de l'ANP et de la sécurité nationale comme tremplin médiatique et s'adresser à John Kerry pour mendier son aide, la barrière de la décence a été franchie ! L'institution a toujours développé une culture où le clanisme et le régionalisme ont primé sur le professionnalisme ! Dues à l'emprise d'inaptes DAF sur l'ANP, les carences ont mis en danger la survie du pays, pendant des décennies. La rémanence de l'Algérie est redevable de l'engagement et au sacrifice des sous officiers et djounouds qui accomplirent leur devoir avec dévouement (contre le terrorisme) et non à l'esprit éclairé des hauts gradés. Le comble dans cette éruption intempestive de nos ex-généraux sur la scène politique est qu'ils se réclament du combat démocratique et de la défense des intérêts du pays. Ayant bénéficié de promotions "carriéristes", donc administratives et comme le veut l'usage souvent complaisantes, ils ont naturellement jouis de privilèges spéciaux accordés par la dictature militaire imposée à la majorité pendant 40 ans.
Aucun d'eux n'a jamais contesté le système en vigueur durant la fraude politique de la suprématie de l'armée sur le reste de la population qui en majorité était reléguée au statut d'intouchable susceptible de servir de réservoir d'esclaves, tel dans le cadre du service nationale. Rappelons par exemple que lors d'un décès de "l'appelé", ses parents recevaient une indemnité ou "capital décès" limité à 40.000 DA, ceci en 1985 !
Les ex-généraux font éruption sur la scène médiatique, via les média de Rothschild El-Watan et El-Khabar !
- Pourquoi cette soudaine explosion verbale calculée, prémédité et apparemment coordonnée ?
- La nostalgie de l'emprise militaire sur les affaires du pays ?
- Ou une réponse à un déclenchement mécanique à distance, sous forme d'ordres issus de commanditaires lointains supervisant les changements souhaités par l'ennemi éternel ?
Bouteflika a collaboré avec tous sans distinction dans le but de rallier les forces du pays en mesure de participer à la renaissance de l'état et à sa reconstruction. Il a accordé le bénéfice du doute à ceux accusés de crime contre l'humanité et les a inclus parmi les bénéficiaires de la loi sur la réconciliation et la concorde, à un moment où les mêmes média (El Watan) répercutaient les insinuations étrangères de "qui tue qui ?"
Voila que ces mêmes média deviennent les porte paroles d'ex-généraux de circonstance qui dans un geste de désespoir sortent de leur réserve et se prosternent devant Kerry !
- À qui renouvellent-ils leur allégeance réelle, au pays ou à quelque nébuleuse occulte ? La mouvance régionaliste séparatiste ? Ou à la franc-maçonnerie administrant Saint-Cyr ?
Pendant que ces bras-cassés manigançaient dans les coulisses du Ministère de la défense les coups bas dont ils ont le secret, l'Algérie failli s'effondrer dans le couloir des nations défuntes. Arriva le rédempteur qui s'attela à la tache du redressement national sous tous ses volets, dont celui de la défense. Défense qu'il réorganisa pour lui accorder un statut professionnel et en finir avec l'amateurisme et le bricolage qui l'accablaient depuis l'indépendance. Tout en accompagnant les derniers dinosaures vers la retraite ou le tombeau et en évitant adroitement de les confronter, non par peur mais pour éviter les troubles internes contre productifs qui risquaient inutilement de dévier l'élan de la marche vers le changement radical et le progrès. Formation, restructuration, mises à la retraite des cadres improductifs, modernisation et renouvellement des matériels et armements, esquive des manœuvres étrangères menaçantes, etc, etc...
Les résultats allaient se confirmer sur les plans de la sécurité interne du pays et aux frontières, avec l’éradication des dernières poches du terrorisme, le contrôle des frontières et la lutte contre le crime organisé qui au paravent profitait de la perméabilité des 7000 kms frontaliers. La vision lointaine, et les mesures préventives entamées depuis 1999 par Bouteflika, allaient s'avérer décisives lorsqu'en 2011 débutèrent les "Printemps du désordre et de l'anarchie" dans les pays voisins donc à nos portes : Tunisie, Libye, Mali. Ajoutons à ces derniers le Maroc et sa traditionnelle animosité et on commencera alors à mieux apprécier la perspicacité du stratège et l'acuité de homme politique qui présidait aux destinés du pays ! Il n'est pas nécessaire d'élaborer plus succinctement les réalisations achevées dans ce domaine, tant elles sont
évidentes pour l'expert et le néophyte. L'attentat d'In- Amenas allait démontrer la justesse des orientations accumulées durant 14 ans et de la maitrise technique acquise par notre armée. Combien pitoyable est l'intervention de ces anciens généraux, mieux placés que quiconque pour apprécier la métamorphose de l'institution. Apparaitre sur la scène politique pour dénigrer le travail accompli et souhaiter le retrait de l'architecte, responsable de son organisation et exécution.
Conclusion :
Les motifs de ce refus de témoigner équitablement sur une question aussi sensible peuvent être élucidés en énumérant différentes hypothèses, certaines pas flatteuses du tout !
- l'envie et la jalousie de personnages aigris qui non pas pu et pas su s'inscrire dans les pages glorieuses de l'Histoire et ont échoué dans les oubliettes du passé;
- ne sont pas et non jamais été des professionnels ayant occupé des responsabilités leur permettant de s'épanouir et d'acquérir un savoir englobant les connaissances sur la géostratégie, la défense préventive/dissuasive, la gestion des ressources humaines et matérielles, des relations internationales, ou simplement l'art de la guerre. En un mot, ces gens ont dilapidé leur existence, ont abusé le peuple naïf en prétendant assumer des responsabilités dont ils n'avaient pas les compétences;
- sont des ennemis dormants et non déclarés de la nation, qui ont été activés par quelque pouvoir occulte ou par des commanditaires qui tentent une dernière chance de déstabilisation en profitant de l'état de santé du Président ! Une conclusion grave qui confirmerait les soupçons de nombreux patriotes qui qualifient la situation actuelle de très dangereuse au vue de l'intensification des agissements subversifs d'agents locaux sournoisement associés à toute une nébuleuse internationale qui s'acharne sur le pays !
___________________________
(*)Une petite note pour un médiocre opposant, le Suisse Ali Benouari :
Ancien ministre du gouvernement, il a été soumis à une analyse du blog (19.03.2014), et sans regret dénoncé pour sa totale irrecevabilité comme candidat à la présidence 2014. Ce personnage, comme démontré dans l'article, ne garde de son identité que le nom et l'état civil. Naturalisé suisse, adepte de la laïcité, soldat embrigadé dans l'armée des usuriers shylocks, il est impossible de flairer dans ce damné le moindre relent d'algérianité, d'Islam, ou de culture algérienne. "M'Tourné" comme on dirait communément ! Triste constat que celui-ci, mais le destin trace à chacun sa voie et gare à celui qui persiste à suivre les voies tortueuse de la défiance envers Allah et le mépris de sa noble religion. Sans vouloir tourner le couteau dans la plaie et verser dans un sadisme déguisé, ce caractère illustre la défaillance du système éducatif instauré sous le socialisme spécifique, produisant des déracinés confortables dans la culture européenne décadente mais totalement étrangers et distants de leurs racines. Plus inquiétant est le constat envers nos institutions aient pu approuver la nomination de ce genre d'organisme socialement modifié à des postes stratégiques relevant des finances de l'état ! La gabegie de la gestion gouvernementale n'est plus qu'évidente dans ce cas, carence assumée par le responsable de ce choix absurde, le premier ministre de l'époque le vénérable Sid-Ahmed Ghozali, modèle de sainteté de l'opposition le "padrino" de Sonatrach qu'il a géré comme épicerie familiale.
Ali Benouari (*) puis Mohand Tahar Yala, s'inscrivent dans les annales de l'histoire de l'Algérie moderne comme deux individus sans scrupules rendus coupables de haute trahison !
Adresser une lettre à une autorité étrangère en lui accordant le rôle de juge dans les affaires du pays et demander de sa part des sanctions contre le président élu, est le paroxysme de la trahison tacite sinon l'intention d''exposer la nation au ridicule.
Pourquoi ce clan de militaires en retraite et de ministres expatriés, que le devoir de réserve aurait du restreindre dans leurs critiques de Bouteflika fondées ou non fondées soient-elles, aient décidé de sortir de leur tanière pour dévoiler des informations nuisibles aux intérêts nationaux sinon à son prestige. Puisque ces algériens restés dans l'ombre jusqu'à présent sont venus à nous, allons les accueillir !
Les généraux de carrière Lamine Zeroual, Hocine Benhadid (Lien, Lien), Mohand Tahar Yala (s’exhibe même sur la chaine renégate Al Magharibia), le colonel Ahmed Bencherif se découvrent des âmes de démocrates et s'attaquent à Bouteflika en rendant publique certaines manigances internes de l'ANP.
On la savait minée par les conflits de personne et d'intérêts, situation léguée par le régime qui prit le pouvoir dès 1962, à savoir l'armée des frontières et les DAF ramenés dans la valise de Boukharouba, mais quand à se servir de l'ANP et de la sécurité nationale comme tremplin médiatique et s'adresser à John Kerry pour mendier son aide, la barrière de la décence a été franchie ! L'institution a toujours développé une culture où le clanisme et le régionalisme ont primé sur le professionnalisme ! Dues à l'emprise d'inaptes DAF sur l'ANP, les carences ont mis en danger la survie du pays, pendant des décennies. La rémanence de l'Algérie est redevable de l'engagement et au sacrifice des sous officiers et djounouds qui accomplirent leur devoir avec dévouement (contre le terrorisme) et non à l'esprit éclairé des hauts gradés. Le comble dans cette éruption intempestive de nos ex-généraux sur la scène politique est qu'ils se réclament du combat démocratique et de la défense des intérêts du pays. Ayant bénéficié de promotions "carriéristes", donc administratives et comme le veut l'usage souvent complaisantes, ils ont naturellement jouis de privilèges spéciaux accordés par la dictature militaire imposée à la majorité pendant 40 ans.
Aucun d'eux n'a jamais contesté le système en vigueur durant la fraude politique de la suprématie de l'armée sur le reste de la population qui en majorité était reléguée au statut d'intouchable susceptible de servir de réservoir d'esclaves, tel dans le cadre du service nationale. Rappelons par exemple que lors d'un décès de "l'appelé", ses parents recevaient une indemnité ou "capital décès" limité à 40.000 DA, ceci en 1985 !
Les ex-généraux font éruption sur la scène médiatique, via les média de Rothschild El-Watan et El-Khabar !
- Pourquoi cette soudaine explosion verbale calculée, prémédité et apparemment coordonnée ?
- La nostalgie de l'emprise militaire sur les affaires du pays ?
- Ou une réponse à un déclenchement mécanique à distance, sous forme d'ordres issus de commanditaires lointains supervisant les changements souhaités par l'ennemi éternel ?
Bouteflika a collaboré avec tous sans distinction dans le but de rallier les forces du pays en mesure de participer à la renaissance de l'état et à sa reconstruction. Il a accordé le bénéfice du doute à ceux accusés de crime contre l'humanité et les a inclus parmi les bénéficiaires de la loi sur la réconciliation et la concorde, à un moment où les mêmes média (El Watan) répercutaient les insinuations étrangères de "qui tue qui ?"
Voila que ces mêmes média deviennent les porte paroles d'ex-généraux de circonstance qui dans un geste de désespoir sortent de leur réserve et se prosternent devant Kerry !
- À qui renouvellent-ils leur allégeance réelle, au pays ou à quelque nébuleuse occulte ? La mouvance régionaliste séparatiste ? Ou à la franc-maçonnerie administrant Saint-Cyr ?
Pendant que ces bras-cassés manigançaient dans les coulisses du Ministère de la défense les coups bas dont ils ont le secret, l'Algérie failli s'effondrer dans le couloir des nations défuntes. Arriva le rédempteur qui s'attela à la tache du redressement national sous tous ses volets, dont celui de la défense. Défense qu'il réorganisa pour lui accorder un statut professionnel et en finir avec l'amateurisme et le bricolage qui l'accablaient depuis l'indépendance. Tout en accompagnant les derniers dinosaures vers la retraite ou le tombeau et en évitant adroitement de les confronter, non par peur mais pour éviter les troubles internes contre productifs qui risquaient inutilement de dévier l'élan de la marche vers le changement radical et le progrès. Formation, restructuration, mises à la retraite des cadres improductifs, modernisation et renouvellement des matériels et armements, esquive des manœuvres étrangères menaçantes, etc, etc...
Les résultats allaient se confirmer sur les plans de la sécurité interne du pays et aux frontières, avec l’éradication des dernières poches du terrorisme, le contrôle des frontières et la lutte contre le crime organisé qui au paravent profitait de la perméabilité des 7000 kms frontaliers. La vision lointaine, et les mesures préventives entamées depuis 1999 par Bouteflika, allaient s'avérer décisives lorsqu'en 2011 débutèrent les "Printemps du désordre et de l'anarchie" dans les pays voisins donc à nos portes : Tunisie, Libye, Mali. Ajoutons à ces derniers le Maroc et sa traditionnelle animosité et on commencera alors à mieux apprécier la perspicacité du stratège et l'acuité de homme politique qui présidait aux destinés du pays ! Il n'est pas nécessaire d'élaborer plus succinctement les réalisations achevées dans ce domaine, tant elles sont
évidentes pour l'expert et le néophyte. L'attentat d'In- Amenas allait démontrer la justesse des orientations accumulées durant 14 ans et de la maitrise technique acquise par notre armée. Combien pitoyable est l'intervention de ces anciens généraux, mieux placés que quiconque pour apprécier la métamorphose de l'institution. Apparaitre sur la scène politique pour dénigrer le travail accompli et souhaiter le retrait de l'architecte, responsable de son organisation et exécution.
Conclusion :
Les motifs de ce refus de témoigner équitablement sur une question aussi sensible peuvent être élucidés en énumérant différentes hypothèses, certaines pas flatteuses du tout !
- l'envie et la jalousie de personnages aigris qui non pas pu et pas su s'inscrire dans les pages glorieuses de l'Histoire et ont échoué dans les oubliettes du passé;
- ne sont pas et non jamais été des professionnels ayant occupé des responsabilités leur permettant de s'épanouir et d'acquérir un savoir englobant les connaissances sur la géostratégie, la défense préventive/dissuasive, la gestion des ressources humaines et matérielles, des relations internationales, ou simplement l'art de la guerre. En un mot, ces gens ont dilapidé leur existence, ont abusé le peuple naïf en prétendant assumer des responsabilités dont ils n'avaient pas les compétences;
- sont des ennemis dormants et non déclarés de la nation, qui ont été activés par quelque pouvoir occulte ou par des commanditaires qui tentent une dernière chance de déstabilisation en profitant de l'état de santé du Président ! Une conclusion grave qui confirmerait les soupçons de nombreux patriotes qui qualifient la situation actuelle de très dangereuse au vue de l'intensification des agissements subversifs d'agents locaux sournoisement associés à toute une nébuleuse internationale qui s'acharne sur le pays !
___________________________
(*)Une petite note pour un médiocre opposant, le Suisse Ali Benouari :
Ancien ministre du gouvernement, il a été soumis à une analyse du blog (19.03.2014), et sans regret dénoncé pour sa totale irrecevabilité comme candidat à la présidence 2014. Ce personnage, comme démontré dans l'article, ne garde de son identité que le nom et l'état civil. Naturalisé suisse, adepte de la laïcité, soldat embrigadé dans l'armée des usuriers shylocks, il est impossible de flairer dans ce damné le moindre relent d'algérianité, d'Islam, ou de culture algérienne. "M'Tourné" comme on dirait communément ! Triste constat que celui-ci, mais le destin trace à chacun sa voie et gare à celui qui persiste à suivre les voies tortueuse de la défiance envers Allah et le mépris de sa noble religion. Sans vouloir tourner le couteau dans la plaie et verser dans un sadisme déguisé, ce caractère illustre la défaillance du système éducatif instauré sous le socialisme spécifique, produisant des déracinés confortables dans la culture européenne décadente mais totalement étrangers et distants de leurs racines. Plus inquiétant est le constat envers nos institutions aient pu approuver la nomination de ce genre d'organisme socialement modifié à des postes stratégiques relevant des finances de l'état ! La gabegie de la gestion gouvernementale n'est plus qu'évidente dans ce cas, carence assumée par le responsable de ce choix absurde, le premier ministre de l'époque le vénérable Sid-Ahmed Ghozali, modèle de sainteté de l'opposition le "padrino" de Sonatrach qu'il a géré comme épicerie familiale.
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