Benchicou, l'Imposteur.
(chap4_mise à jour)
D'emblée entrons dans le vif du sujet et notons les épithètes que le Druide Benchicou attribue à son héro, Bouteflika:
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«dictature à la sud-américaine--Cupidité, soif maladive du pouvoir-- abus sexuels--tyrans--l’homme n’a inspiré aucun auteur---butiné dans le champ politique algérien--science de l’intrigue--ruse bien algérienne--par laquelle nous avons collectionné nos grandes infortunes nationales--l’enfant adultérin d’un système grabataire et d’une démocratie violée--L'imposture--carrière sans relief--une figurine--fabriqué la gloire--auxiliaire militaire--autodidacte inaccompli--maquisard occasionnel--noceur avéré--dignitaire--diviseur--revanchard narcissique--vie si falsifiée--président défaillant et sans envergure--intrigant--coupé de son époque--inapte à l’écoute--dépassé par ses charges--L’homme n’était pas préparé--plus qu’une imposture--une page du désespoir algérien--fatuité de ses créatures--terrible aveu d’impuissance--inauthenticité--accumulation de basses vanités»
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Ouf !Un entracte s'impose pour nous donner le temps de digérer l'invective.Notez que nous avons franchi que 3 pages du "prologue".
L'auteur, "l'œil étincelant et cynique, la lèvre tordue par le quolibet et l'invective" nous prévient:
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Ouf !Un entracte s'impose pour nous donner le temps de digérer l'invective.Notez que nous avons franchi que 3 pages du "prologue".
L'auteur, "l'œil étincelant et cynique, la lèvre tordue par le quolibet et l'invective" nous prévient:
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«Ce livre serait plutôt une chronique d’un temps perdu».
«Ce livre serait plutôt une chronique d’un temps perdu».
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Le temps perdu par l'auteur ? Nous prendrons le risque de
gaspiller le notre, mais retenons notre souffle, car la suite nous réserve des surprises.
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«Ce livre n’est cependant pas un portrait à charge(sic)»
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Le temps perdu par l'auteur ? Nous prendrons le risque de
gaspiller le notre, mais retenons notre souffle, car la suite nous réserve des surprises.
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«Ce livre n’est cependant pas un portrait à charge(sic)»
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La vierge se rebiffe, après cette débauche de grossièretés, elle nous fait le sermon de sa pureté et de sa continence au service de la divinité-vérité.
Simultanément le texte dévoile une chose, le caractère et l'état d'âme de l'auteur, violent, impulsif, haineux et revanchard.
Simultanément le texte dévoile une chose, le caractère et l'état d'âme de l'auteur, violent, impulsif, haineux et revanchard.
Coupable, probablement de tous les pêchés capitaux, l'auteur nous
surprend et soulève quelques doutes sur l'objectivité de ses écrits.
Ne dit-on pas que la colère aveugle ?
Ou serait-ce l'occasion d'effectuer un diagnostique de son psychisme, ce qui est du ressort de la psychiatrie clinique qui n'est pas de mes compétences. Y aurait-il un psychologue aux alentours ?
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«Parce qu’il se situe dans ce débat, bouillonnant, sur la nature du système et sur l’urgence d’en finir, ce livre s’interdit toute prétention à l’opinion définitive.»(sic)
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«Parce qu’il se situe dans ce débat, bouillonnant, sur la nature du système et sur l’urgence d’en finir, ce livre s’interdit toute prétention à l’opinion définitive.»(sic)
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Soulignons la modestie du scribe gêné par sa pudeur, à devoir aborder ce sujet tabou, presque "osé".
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«Il n’est qu’un regard, parmi d’autres, sur nos impasses. Il attend d’être complété, contredit ou appuyé par d'autres enquêtes sur cette inauthenticité qu’on se plaît à nous infliger.»
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Merci Sainte Marie, d'avoir lever votre voile et nous faire l'honneur
de découvrir vos yeux bleus. Ils reflètent les secrets de ce monde que seul votre vision prophétique peut appréhender.
D'autre part si tous les attributs collés à Bouteflika non toujours pas circonscrit sa nature réelle, il est évident que nous avons affaire à une créature monstrueuse extra terrestre , légendaire, mythique, dont le corps est composé d'éléments disparates empruntés à différents êtres réels, et qui est remarquable par la terreur qu'elle inspire. Les Centaures, la Chimère, le Minotaure, les Cyclopes étaient des monstres. Bouteflika serait-il un Galigula-Néron réunis ?
Impatients nous le supplions: qui est donc Bouteflika ?
Benchicou nous le dira plus loin, mais avant écoutons le juge et bourreau faire son auto critique, pour ne pas dire autodafé.
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«Ce livre peut paraître inachevé. Il l’est sans doute : l’impératif de le boucler avant l’échéance de l’élection présidentielle de 2004 a relégué au secondaire un surcroît d’élaboration dans l’écriture ainsi que des compléments de recherche qui auraient aboli certaines imprécisions»
«Ce livre peut paraître partial, ce n’en était pas l’objectif. Ses adversaires parlent plus volontiers de Bouteflika que de ses alliés.Il peut sembler inclément envers l’homme, et il l’est souvent. Sciemment.»
Impatients nous le supplions: qui est donc Bouteflika ?
Benchicou nous le dira plus loin, mais avant écoutons le juge et bourreau faire son auto critique, pour ne pas dire autodafé.
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«Ce livre peut paraître inachevé. Il l’est sans doute : l’impératif de le boucler avant l’échéance de l’élection présidentielle de 2004 a relégué au secondaire un surcroît d’élaboration dans l’écriture ainsi que des compléments de recherche qui auraient aboli certaines imprécisions»
«Ce livre peut paraître partial, ce n’en était pas l’objectif. Ses adversaires parlent plus volontiers de Bouteflika que de ses alliés.Il peut sembler inclément envers l’homme, et il l’est souvent. Sciemment.»
«Je n’ai ressenti aucun devoir d’indulgence à l’endroit d’un personnage qui s’est plu à ce point dans la parodie du pouvoir qu’il en a obligé une nation à abdiquer entre ses mains une dignité pourtant acquise dans le sang.»
«L’ambition de Bouteflika — accumulation de basses vanités — ne se situe pas très haut dans l’échelle des exigences humaines.»
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Retournons à l'ignominie que le journaliste distille tout au long de son factum, nous faisant découvrir "Mr Hide et Dr Jekkil",
alias Bouteflika:
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«Aigri--capricieux--égocentrique---érigé la vengeance en style de gestion--l’encensement en système politique--son tempérament en mode de gouvernance--L’Algérie, sous sa direction, aura constamment frôlé le pire--la marotte--jaser les marionnettistes---activant islamisme--fragilisant le pays par d’infinies flagorneries--brimé le résistant et réhabilité l’assassin--Méditer Bouteflika est vital pour les ultimes diagnostics de nos illusions»
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Fin du prologue(3 pages), le reste du livre (224 pages) nous réserve des surprises. Ma sympathie allant à ceux qui auraient payé pour ce livre après la promotion qu'il a reçu espérant découvrir un Soljenistin algérien rescapé du goulag d'El Harrach, mais se sont sentis dupés par les éditeurs.
Lien ici pour qui souhaiterait le télécharger et économisez la somme due pour vous acheter en échange des gants aseptiques
(par prudence, suivant les recommandations OMS).
Quand à ce que nous concocte le journaliste, concentrons nous sur la lecture, la personne à travers ses pouvoirs de divination et dons d'astrologue, nous livrent en exclusivité les mystères du passé, du présent et bien sur du futur, mettant en scène son héro.
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«Le civil:Jeudi 15 avril 1999, 14 h.
Abdelaziz Bouteflika pique une grosse colère.»
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Prière d'accéder à "l'épisode 1" (lien), pour un aperçu des pouvoirs occultes du Druide Benchicou, celà épicera votre périple au côté de l'apprenti écrivain-historien. Pardon je devrais dire "sur les pas du Maître" .
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«fulminant de rage--son gros chagrin--poulain Bouteflika--
Quitte à faire truquer, autant truquer complètement
pour ma petite personne, semblait dire Bouteflika--
l’acolyte de la hiérarchie militaire-le président
traîne toutefois un douloureux malaise du « mal-élu»--
Bouteflika est un faux civil--Une créature du pouvoir militaire--monarque galonné--un auxiliaire militaire soigneusement camouflé sous une apparence civile--Cette nature bicéphale--Bouteflika cumulait dans une même performance les tares du militaire et du civil--Il a oublié d’avoir du militaire,n’en ayant pas accompli les sujétions, le sens de la subordination aux devoirs majeurs, une certaine grandeur dans l'humilité et l’attachement à la discipline. Il a soigneusement hérité du reste:l’arrogance--le mépris--la tentation totalitaire--le penchant monarchiste--et le goût des règlements de comptes--s’octroyer par la force un pouvoir absolu--en bon putschiste de carrière--asseoir un pouvoir personnel--changer la Constitution».(*)
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(*) Où est l'intrigue que le Druide observe dans sa boule de cristal? Bouteflika avait déclaré souhaiter changer la constitution,
pas pour les raisons que lui prête notre Druide, mais pour réparer la confusion qui y régnait, en particulier dans la dichotomie des responsabilités "président--premier ministre".
«L’ambition de Bouteflika — accumulation de basses vanités — ne se situe pas très haut dans l’échelle des exigences humaines.»
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Retournons à l'ignominie que le journaliste distille tout au long de son factum, nous faisant découvrir "Mr Hide et Dr Jekkil",
alias Bouteflika:
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«Aigri--capricieux--égocentrique---érigé la vengeance en style de gestion--l’encensement en système politique--son tempérament en mode de gouvernance--L’Algérie, sous sa direction, aura constamment frôlé le pire--la marotte--jaser les marionnettistes---activant islamisme--fragilisant le pays par d’infinies flagorneries--brimé le résistant et réhabilité l’assassin--Méditer Bouteflika est vital pour les ultimes diagnostics de nos illusions»
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Fin du prologue(3 pages), le reste du livre (224 pages) nous réserve des surprises. Ma sympathie allant à ceux qui auraient payé pour ce livre après la promotion qu'il a reçu espérant découvrir un Soljenistin algérien rescapé du goulag d'El Harrach, mais se sont sentis dupés par les éditeurs.
Lien ici pour qui souhaiterait le télécharger et économisez la somme due pour vous acheter en échange des gants aseptiques
(par prudence, suivant les recommandations OMS).
Quand à ce que nous concocte le journaliste, concentrons nous sur la lecture, la personne à travers ses pouvoirs de divination et dons d'astrologue, nous livrent en exclusivité les mystères du passé, du présent et bien sur du futur, mettant en scène son héro.
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«Le civil:Jeudi 15 avril 1999, 14 h.
Abdelaziz Bouteflika pique une grosse colère.»
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Prière d'accéder à "l'épisode 1" (lien), pour un aperçu des pouvoirs occultes du Druide Benchicou, celà épicera votre périple au côté de l'apprenti écrivain-historien. Pardon je devrais dire "sur les pas du Maître" .
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«fulminant de rage--son gros chagrin--poulain Bouteflika--
Quitte à faire truquer, autant truquer complètement
pour ma petite personne, semblait dire Bouteflika--
l’acolyte de la hiérarchie militaire-le président
traîne toutefois un douloureux malaise du « mal-élu»--
Bouteflika est un faux civil--Une créature du pouvoir militaire--monarque galonné--un auxiliaire militaire soigneusement camouflé sous une apparence civile--Cette nature bicéphale--Bouteflika cumulait dans une même performance les tares du militaire et du civil--Il a oublié d’avoir du militaire,n’en ayant pas accompli les sujétions, le sens de la subordination aux devoirs majeurs, une certaine grandeur dans l'humilité et l’attachement à la discipline. Il a soigneusement hérité du reste:l’arrogance--le mépris--la tentation totalitaire--le penchant monarchiste--et le goût des règlements de comptes--s’octroyer par la force un pouvoir absolu--en bon putschiste de carrière--asseoir un pouvoir personnel--changer la Constitution».(*)
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(*) Où est l'intrigue que le Druide observe dans sa boule de cristal? Bouteflika avait déclaré souhaiter changer la constitution,
pas pour les raisons que lui prête notre Druide, mais pour réparer la confusion qui y régnait, en particulier dans la dichotomie des responsabilités "président--premier ministre".
Chacun présentant un programme et se rejetant le tort de toute panne dans son application. Bouteflika propose de faire endosser aux candidats à la présidence un programme, pas des promesses démagogiques, héritant des responsabilités les obligeant à établir un bilan comptable de leur mandat à présenter aux électeurs, et au peuple en général. Ce qu'on nomme: démocratie responsable.
A ce propos, demandons des comptes à Bouteflika, ou tout autre président, et exigeons de lui des chiffres, à savoir le taux de réalisation des programmes économiques, financiers, sociaux, et même politiques. C'est d'autre part créer une tradition qui se diffusera jusqu'aux niveaux inférieurs de la hiérarchie gouvernementale et des administrations locales. Le pouvoir de l'ombre n'en veut pas, car lui est l'antinomie de la démocratie, il actionne ses réseaux qui, par le biais des Benchicou feignent d'être les victimes de despotisme et d'abus, jetant le tort sur l'initiateur sincère du changement démocratique.
Et la technique d'ingénierie sociale est déclenchée sous forme de répétition du mensonge, jusqu'à ce qu'il devienne une vérité "admise"(conditionnement pavlovien).
A force de répéter que les "choses ne marchent pas bien", la rumeur et le "téléphone arabe" aidant, finissent par prendre possession de l'opinion et le malaise fictif est inévitablement perçu comme étant réel.
C'est dans ce cadre, que la presse "indépendante" est modulée et affinée pour propager, quotidiennement, l'intox sur la "mal vie", l'insécurité, les scandales financiers. Ne manquant jamais d'associer Bouteflika à toutes les incriminations et supputations, parce qu'il est le trouble fête de l'ordre qui dominait jusqu'à 1999 !
Les amendements à la constitution dérangent ceux nageant en eau trouble , car ce n'est pas le genre de terrain que le (vrai) pouvoir de l'ombre, (déchu après l'élection de 1999) affectionne, il dérange sa gestion politique antérieure opaque, de leurres et d'utopies , des discours creux des "réformateurs", ou des "industries industrialisantes", ou des "révolutions de parti unique" !
L'armée n'est pas ciblée uniquement pour ses carences, car il vrai qu'elle en possède, mais pour son succès dans la défense de l'État lorsque le pays se dirigeait vers le chaos et l'anarchie.
A ce propos, demandons des comptes à Bouteflika, ou tout autre président, et exigeons de lui des chiffres, à savoir le taux de réalisation des programmes économiques, financiers, sociaux, et même politiques. C'est d'autre part créer une tradition qui se diffusera jusqu'aux niveaux inférieurs de la hiérarchie gouvernementale et des administrations locales. Le pouvoir de l'ombre n'en veut pas, car lui est l'antinomie de la démocratie, il actionne ses réseaux qui, par le biais des Benchicou feignent d'être les victimes de despotisme et d'abus, jetant le tort sur l'initiateur sincère du changement démocratique.
Et la technique d'ingénierie sociale est déclenchée sous forme de répétition du mensonge, jusqu'à ce qu'il devienne une vérité "admise"(conditionnement pavlovien).
A force de répéter que les "choses ne marchent pas bien", la rumeur et le "téléphone arabe" aidant, finissent par prendre possession de l'opinion et le malaise fictif est inévitablement perçu comme étant réel.
C'est dans ce cadre, que la presse "indépendante" est modulée et affinée pour propager, quotidiennement, l'intox sur la "mal vie", l'insécurité, les scandales financiers. Ne manquant jamais d'associer Bouteflika à toutes les incriminations et supputations, parce qu'il est le trouble fête de l'ordre qui dominait jusqu'à 1999 !
Les amendements à la constitution dérangent ceux nageant en eau trouble , car ce n'est pas le genre de terrain que le (vrai) pouvoir de l'ombre, (déchu après l'élection de 1999) affectionne, il dérange sa gestion politique antérieure opaque, de leurres et d'utopies , des discours creux des "réformateurs", ou des "industries industrialisantes", ou des "révolutions de parti unique" !
L'armée n'est pas ciblée uniquement pour ses carences, car il vrai qu'elle en possède, mais pour son succès dans la défense de l'État lorsque le pays se dirigeait vers le chaos et l'anarchie.
Anarchie à laquelle Notre Druide et ses acolytes de la presse "libre", avaient contribué par leur verbe acerbe et provocateur, dans leur rôle de catalyseur, de "réaction" qui envenime les conflits et les divisions.
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«Ahmed Benbitour(**), qui fut, en tant que Chef de gouvernement, victime de ces velléités autocratiques du président, est sans nuance dans son jugement : « Nous vivons sous un totalitarisme d'une autre ère, s'appuyant sur le culte de la personnalité, le mépris du peuple et la profanation permanente de la Constitution et de ses institutions. »
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(**)L'employé-agent des FMI-Banque Mondiale ! L'homme qui reçoit les gratifications du Nouvel Ordre Mondial (Google, pour découvrir les fréquentations du cheval de Troie Rothschildien). Armé de son PhD, qu'il brandit comme une bombe lacrymogène aveuglant l'opinion, il a tenté de duper puis de doubler Bouteflika en abusant de ses prérogatives. Sur le plan de la politique économique et financière, qu'il enrobe d'abstractions et de terminologie keynésienne ou monétariste, il a annoncé ses priorités:
-relance de l'économie par la "dépense publique"= lire la dilapidation des ressources, dans les circuits de l'administration et des groupes d'intérêts.
-"investissement par l'emprunt"= lire "dette extérieure". La dette que ses employeurs du FMI confectionnent pour la consommation des esclaves qui pataugent dans la fosse des crédits, "prêts" et "aides" financières internationales.
Bouteflika économe et perspicace, et surtout soucieux de nous libérer de l'hégémonie des banquiers kosher, découvre vite les manœuvres subversives et se débarrasse du félon.
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«Ahmed Benbitour(**), qui fut, en tant que Chef de gouvernement, victime de ces velléités autocratiques du président, est sans nuance dans son jugement : « Nous vivons sous un totalitarisme d'une autre ère, s'appuyant sur le culte de la personnalité, le mépris du peuple et la profanation permanente de la Constitution et de ses institutions. »
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(**)L'employé-agent des FMI-Banque Mondiale ! L'homme qui reçoit les gratifications du Nouvel Ordre Mondial (Google, pour découvrir les fréquentations du cheval de Troie Rothschildien). Armé de son PhD, qu'il brandit comme une bombe lacrymogène aveuglant l'opinion, il a tenté de duper puis de doubler Bouteflika en abusant de ses prérogatives. Sur le plan de la politique économique et financière, qu'il enrobe d'abstractions et de terminologie keynésienne ou monétariste, il a annoncé ses priorités:
-relance de l'économie par la "dépense publique"= lire la dilapidation des ressources, dans les circuits de l'administration et des groupes d'intérêts.
-"investissement par l'emprunt"= lire "dette extérieure". La dette que ses employeurs du FMI confectionnent pour la consommation des esclaves qui pataugent dans la fosse des crédits, "prêts" et "aides" financières internationales.
Bouteflika économe et perspicace, et surtout soucieux de nous libérer de l'hégémonie des banquiers kosher, découvre vite les manœuvres subversives et se débarrasse du félon.
A propos de la dette, Bouteflika : «Jamais, plus jamais !».
C'est la source de toutes les discordes et la raison de l'offensive médiatique acharnée contre lui! Organisée et coordonnée par l'éternel conspirateur, la dictature des banquiers juifs qui contrôlent le Monde. Le menu fretin, qui s'agite et s'exhibe sur le plateau de la scène médiatique, Benchicou et la perfide nébuleuse presse-ONG, ne sont que des exécutants de basse besogne, les décideurs eux sont tapis dans leurs officines de New York, Paris ou Londres !
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Avertissement:Quiconque verrait en ces analyses, de la fiction, le fruit de l'imagination ou l'expression de délire, est excusé et gentillement prié d'économiser son temps, et retourner à sa digestion de l'intox servie par les média "d'opposition", le web en est convenablement submergé. Merci.---------------------------------------------------------------------------
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Fin de Episode 4
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