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13 mars 2012

Déontologie En Péril : El Watan, l'Arnaque Rothschildienne À 15 Dinars, S'Enlisse Dans La Contradiction Et Sombre Dans La Confusion.

Mensonges, âneries, et malhonnêteté Intellectuelle, dégoulinent de cette machine à fabriquer l'intox, car le "menteur a coutume d'oublier le mensonge d'hier et affirme son contraire le lendemain."
Avant de citer les faits qui démontrent la mauvaise foi chronique des quotidiens dans la diffusion de ce qu'ils présentent comme "information", qui n'est en fait que l'émission continue de propagande subversive et la tentative de manipulation de l'opinion, rappelons quelques règles de déontologie adoptées par le syndicat des journalistes et résumées dans la "Charte de l’éthique et de la déontologie des journalistes algériens" (Lien - pdf)
Parmi de nombreuses recommandations pertinentes, des "devoirs" sont énumérés qui honorent les auteurs du document, et imposent le respect de l'opinion envers ces professionnels qui s'évertuent à INFORMER le public via leurs écrits.
Ceci, hélas n'est pas toujours le cas, au grand désarroi des lecteurs et au grand dam des professionnels intègres qui voient en la chronique malhonnêteté de certains de leurs collègues une dévalorisation de leur noble vocation.
Extraits de la Charte :
1-«La responsabilité du journaliste vis-à-vis du public prime (sur) toute autre responsabilité, en particulier à l'égard de son employeur et des pouvoirs publics.»
Vrai théoriquement, mais en pratique inconcevable car utopique, le gagne pain primant sur la responsabilité.
La ligne rédactionnelle souvent idéologique, est pré-déterminée , on y adhère ou on quitte la boite !
La responsabilité envers les pouvoirs publiques est ambiguë, elle peut être recommandable pour l'intérêt national dans des situations particulières réunissant un consensus général, mais peut être détournée par un pouvoir abusif.
Le comble et le plus incompréhensible est la pratique courante de la "responsabilité envers l'employeur", plus grave si l'employeur dépend d'un organisme étranger pour son financement ! Plus gravissime et soulevant des questions préoccupantes est le constat que cette "responsabilité" est intimement liée aux centres du pouvoir occulte international, les banques sionistes talmudipèdes (ex. BNP Paribas) ou celles des autocraties du Golf (ex. Qatar) vassales de l'empire Judaique Anglo-Saxon. Ces pouvoirs sont connus pour être emblématiques d'une stratégie internationale menaçant les intérêts de ce pays ainsi que ceux de la zone "MENA". 
-Qu'en est-il de la réalité ? Une étude détaillée serait nécessaire. Elle nécessite un espace autre que celui offert par ce modeste blog et mobiliserait les ressources et données classées dans l'administration des ministères gérant l'agrément des intervenants médiatiques. 
2- «Librement acceptées et démocratiquement adoptées, ces règles doivent servir de guide de
conduite à la pratique du journalisme.
Un conseil supérieur de l'éthique et de la déontologie composé de pairs veille au respect de
ces principes.»
3- «Déclaration des devoirs :
Le journaliste se fait un devoir de :
Respecter la vérité quelles qu'en puissent être les conséquences pour lui-même et ce en raison
du droit que le public a de la connaître.»....
Dans son état actuel la vérité appelle à un lifting chirurgical qui arriverait trop tard, au vue des abus et viol collectif perpétré par les voyous de la plume. Des cyniques délinquants descendus des bas fonds du champ médiatique. Une vraie menace pour l'opinion !    
..«Séparer l'information du commentaire.»...
Incroyable ! Les quotidiens désinfectés déclareraient faillite si cette règle était respectée, le remplissage étant chez les rédactions un artifice littéraire assurant la survie de l'édition et des dilettantes qui y subsistent. Des profanes arborant des titres "d'experts en quelque chose", répètent en boucle les dépêches des agences sionistes ( Reuters, AFP).
El Watan détient le palmarès du nombre de perruches. 
Hassan Moali, en est une.  Tirant à boulets rouges sur Bouteflika, dans un style journalistique empestant la rancune personnelle, la vendetta, et au contenu diffamatoire, écrit (Lien- 07/04/2011) :
-«A partir de 2005, Bouteflika, malade, commençait à perdre la voix à l’étranger. Que ce soit au niveau de la Ligue arabe, de la Méditerranée ou même de l’Afrique, la voix de l’Algérie paraissait de moins en moins audible. Les enjeux géopolitiques ont aussi évolué pendant que notre diplomatie «révolutionnaire» demeurait un dogme.»  
...Bla Bla Bla..
...«C’est l’ultime acte d’une «doctrine» diplomatique qui a atteint la ménopause.»
Plus loin, il affirme le contraire. L'évidence devenue flagrante, il baisse le pantalon et se lance dans une curée de verbiage infect pour blanchir (apologie de la violence) ses sponsors de Washington des innombrables méfaits ayant occasionné les pires calamités aux pays musulmans. 
À contre coeur il susurre :
En visite à Alger en octobre 2011, le secrétaire d’Etat adjoint pour les Affaires du Proche-Orient, Jeffrey Feltman, avait déclaré que «l’Algérie est un leader en matière de gestion des problèmes transfrontaliers de trafic d’armes, nous sommes donc désireux de renforcer cette coopération afin d’empêcher et de maîtriser ce trafic à partir de la Libye».
Visiblement, pour les USA, la stabilisation de la situation en Libye et dans toute la région ne peut se faire sans le concours d’Alger, comme en témoigne la valse des responsables américains en charge des dossiers sécuritaires.»
L'Algérie, un partenaire souverain et maitre de ses décisions, serait-elle devenue une force incontournable, dérangeant la talmuderie internationale et ses proxies ? La diplomatie éclairée de son Président l'ayant menée à ce stade grâce à sa gouvernance avertie et prudente, sous la tempête militaro-impérialiste qui ravage la planète. Ce que Moali asphyxié par la rancune ne peut admettre. Ses commentaires ne s’encombrent pas de respect de la vérité, il est partisan de l'ingérence et réclame la participation de l'Algérie dans l'invasion de la Libye ! Il se désavoue ultérieurement mais ne salue pas la diplomatie algérienne pour sa retenue, au début pendant et après les hostilités. À quoi est dû  l'acharnement de ces médias contre le système et son gouvernement ?
La simple raison est qu'il (le Président de tous les Algériens) a extrait le pays des griffes des banksters, ce qui contrarie les agents de la désinformation talmude, liés par leurs engagements financiers, à alimenter les circuits de la subversion médiatique, en déversant un flot fluant et incessant de rumeurs, de commentaires abusifs, de prétendues expertises fallacieuses, d'analyses frelatées, d'échos de la propagande d'agences sionistes (AFP), etc..   Rien ne les arrêtent.  Pas la contradiction, ni la diffamation, ni la fabrication de scoops douteux, ni le maquillage des statistiques, ni l'omission volontaire de faits pertinents, ni la confection de matériel fictif, ni .... les règles déontologiques. Leur unique soucis est que la boue jetée sur le système lui colle, et que les mensonges répétés finissent par être perçus comme information fiable et qu'elle "circule". C'est à quoi s'attèlent les agents de l'intox, les harkis de la plume au service des éternels prédateurs.
La grande arnaque
 La majorité des naïfs lecteurs qui payent 15 DA pour les doses d'arsenic que distillent les quotidiens "indépendants" dits d'opposition, ne perçoivent pas l'arnaque financière qu'ils subissent en accordant pas moins de 5 Da aux banksters shylocks (BNP) qui renflouent leurs trésorerie sur leur dos grâce à la complicité de chevaux de Troie (Belhouchet, Djeri et compagnie). 
L'absurde, le ridicule, l'inconcevable et le plus révoltant, est que les lecteurs contribuent en grande partie (*) à
- régler la dette bancaire de ces organes envers les vampires talmudipèdes, 
- couvrir les frais des conférences-débats, 
- sponsoriser la remise de "prix" aux lauréats les plus productifs de mensonges, 
- financer les galas de la presse,
-casquer pour les méchouis au Sheraton offerts aux experts en visite, 
- subventionner les voyages de Belhouchet à Paris , tous les weekends, pour se "régénérer moralement" au près de ses commanditaires (BHL et c°)
- payer les salaires des scribouillards/comploteurs des quotidiens subversifs
De cette transaction non équitable (le versement de 15 DA) aucun gage d'une information intègre et impartiale n'est obtenu, et c'est l'opposé qui se produit :
sous l'euphémisme de révolutions printanières (instiguées de NewYork/Paris/Londres/TelAviv/Doha/Ryad) visant l'instauration de la démocratie Dejjalienne, les pauvres lecteurs arnaqués sont submergés d'intox qui œuvre à diviser/aliéner/entre-déchirer l'opinion, et à préparer le terrain au diktat du NOM et de ses proxies. Saignés et tournés en bourriques, nos aspirants à la démocratie se défoulent dans leurs ébats littéraires sur les forum et média on-line. Le contenu et les tendances des débats sont des outils de sondage d'opinion qui jaugent l'humeur du peuple et l'état des mentalités. Information très pertinente pour le MOSSAD et ses experts de la guerre psychologique.   
  Qu'en est-il des fameuses règles ? 
...«Publier uniquement les informations vérifiées. S'interdire d'altérer l'information. S'efforcer de
relater les faits en les situant dans leur contexte.
S'interdire de diffuser des rumeurs.
Rectifier toute information diffusée qui se révèle inexacte.»
...«S'interdire le plagiat, la calomnie, la diffamation et les accusations sans fondement.»
«Ne pas confondre le métier de journaliste avec celui de publicitaire ou de propagandiste; n'accepter aucune consigne, directe ou indirecte, des annonceurs.»...
...«S'interdire de faire l'apologie, sous quelque forme que ce soit, de la violence, du terrorisme,
du crime, du fanatisme, du racisme, du sexisme et de l'intolérance.» 
Et la colonisation ? L'occupation armée étrangère ? Les bombardements massifs des populations civiles ? Pourquoi ces délits ne sont-ils pas mentionnés ?
-Qu'en est-il de l'apologie d'El Watan depuis février 2011 de l'agression talmude génocidaire des CIA/MOSSAD/OTAN/MI6/CCG contre la Libye, et plus récemment contre la Syrie ?  Sagirait-il d'une offensive de démocratisation des goyim réfractaires à l’œuvre bienfaitrice de la colonisation ? 
-Comment est-il possible qu'El-Watan d'habitude si prompte à dénoncer tout "penchant Islamiste" dans les démarches et discours de personnes/groupes politiques (et à les fustiger), devint aveugle et muet devant les crimes des islamimiques coupeurs-de-têtes débarqués par l'Otan en Libye et qui, une fois leur mission accomplie, sont recyclés dans l'opposition syrienne !?
Tant de questions qui demandent réponse, et attendant l'intervention  «du conseil supérieur de l'éthique et de la déontologie composé de pairs qui veille au respect de
ces principes.»
___________________________________
(*) Une autre bonne partie provenant des dons des ONG, fondations étasusiennes, philanthropes humanistes talmudipèdes (Soros, Kissinger, Brejzinsky, Rothschild).

17 févr. 2012

Média Et Mensonge :L’Algérie Soumise Au Pressing De la Nébuleuse Subversive (2ème Partie)(complétée)

La venue du juge Marc Trividic est annoncée à coup de trompette, Buffalo Bill sur sa monture médiatique.
Les films western d'antan et les BD des années 50-60 firent du caractère mythique de la conquête de l'ouest un célèbre héros  (lire un criminel, participant au génocide des Amérindiens glorifié par Holly-Yahude) .
Ce rôle convient à merveille à la star des tribunaux. Car ne déclarait-t-il pas : (Lien )  :«Je suis un juge cow-boy qui s'intéresse aux Indiens... Pas uniquement pour les avoir dans la ligne de mire, mais aussi pour comprendre comment ils évoluent, comment on devient Indien, qu'est-ce qu'on a dans la tête quand on est Indien 
Et pour préciser (lien) : «Il y a de plus en plus d'Indiens, chez nous, dans nos sociétés. Des jeunes, souvent ce sont des convertis, qui se laissent abuser plus facilement par l'Islam radical. Parce qu'il y a Internet, parce que c'est aguicheur : le Djihad, l'Irak, l'Afghanistan. Ailleurs, ça ne change pas, il y a autant d'Indiens. »
Au Lien il répond :
-«Pourtant vous vous déclarez en faveur du maintien des soldats occidentaux en Afghanistan...»
-«Ce n'est pas très politiquement correct de dire ça car la France n'a pas vocation à s'y implanter durablement. Mais partir aujourd'hui, c'est la garantie du retour des talibans et d'Al-Qaeda à la tête du pays.»
Le profil du juge se dessine au fur et à mesure qu'il se prononce. Il suffit de garder l'écoute sur les agitations médiatiques que lui réserve la talmuderie des ondes et de la presse pour constater son engagement militant dans le "clash des civilisations" et toutes les aberrations qu'il diffuse sournoisement. L'une d'elle démontre l'adoption du juge de l'imposture de la "menace d'Al Qaida", une organisation contrôlée et dirigée par les CIA-MOSSAD. Le mensonge, apparat du magistrat, expose sa mauvaise foi et son parti pris en faveur de la doctrine génocidaire du Nouvel Ordre Mondial juif illustré par la  destruction en cours de pays entiers, la Libye, L'Irak, L'Afghanistan, le Liban, la palestine, etc...
Il se spécialise dans la chasse aux musulmans qu'il calque sur le stéréotype du terroriste islamique diabolisé par une intense propagande, et même mystifié par Holly-Yahood,  argument de l'alibi de la guerre déclarée par le criminel de guerre Bush et ses commanditaires Néo-con, prolongée par Obama. Pêle-mêle, l'Irak, l'Afghanistan, la Palestine, le Liban sont sur sa liste de centres de formation à surveiller. Il vomit son préjudice flagrant contre ces pays, confirmant son rôle d'agent provocateur au service des éternels prédateurs. Le terrorisme israélien n'occupe aucune place dans ses dossiers. Les assassinats et crimes commis par le MOSSAD ne l'intéressent pas. En bref, notre juge d'instruction est programmé par la talmuderie de France pour chasser les indiens basanés qui constituent la menace fictive que le NOM  a montée de toute pièce pour justifier son occupation et colonisation des pays actuellement sous l'emprise de l'OTAN. Pour lui accorder un peu plus de crédit, on lui a taillé sur mesure un prestige de juge indépendant, qui "dérange le système", un leurre médiatique pour étoffer encore plus une réputation surfaite.
«Marc Trévidic a toujours été un bon élève. Fin juriste, gros bosseur et discipliné lorsqu'il était au parquet antiterroriste. Mais, depuis qu'il a pris la suite du cabinet d'instruction de Jean-Louis Bruguière, il est devenu le juge le plus détesté de la classe politique. Lucide, indépendant et tenace.» (Lien-Rue 89)
Il est impossible que ce pieds nickelé de la justice ait pu se dresser contre son géniteur la toute puissante kosher nostra qui contrôle l'institution judiciaire de France, depuis la révolution française, et qui a enfanté un ministre de la justice talmudipède de la stature et de la malveillance d'Isaac Moïse Adolphe Crémieux.
Crémieux-Trevidic, dans la longue tradition de la  fraude historique  talmude .
Rue 89, quadrillée par les  élus de Yahweh.

De l'éloge distillée par David Servenay de Rue 89, notre  personnage de film western, serait donc un redresseur de tort au service de la Vérité. En réalité, son palmarès témoigne  en faveur du rôle de gardien d'enceinte, un personnage utile aux politiciens criminels du pouvoir talmude de l'ombre, qui s'en servent pour orienter les enquêtes et mystifier l'opinion, loin des faits qui dérangeraient leur oligarchie. Rien de révélateur ne transpire du travail volumineux du juge, dont les sorties médiatisées et sa verve littéraire rendent ce personnage à fortiori suspect. Preuve de sa mauvaise foi et duplicité professionnelle, les affaires se succèdent sur son bureau (rue Copernic = Mossad; Ruanda; terrorisme islam-mimique; Karachi, etc...) mais la vérité elle, n'a jamais levé son voile pudique et s'avère aussi élusive que le souhaitent les principaux responsables des délits examinés.
Ruanda : étude de faisabilité du génocide fratricide; désinformation; omerta et confusion planifiée.  
C'est un autre classique de l'étude critique des événements historiques contemporains sous l'optique de la recherche des vrais acteurs (occultes et de l'ombre) et de leurs motivations. Ceci selon le modèle pertinent  applicable aux cas des génocides perpétrés depuis l'ère de la colonisation et de l'esclavage et plus spécialement durant le 20-ème siècle. Une fois nettoyés du fard officiel, la révolution bolchevique, les 2 guerres mondiales, la multitude de conflits menés par proxy interposé (sous la conduite des éternels prédateurs shylocks), pointent un doigt accusateur vers les éternels prédateurs, maitres de la manigance et du mensonge.  
Sortons des chemins battus de la propagande officielle et survolons l'internet et sa myriade de sites éducatifs, tel celui à l'adresse  "bitin.fr" et examinons les vues de parties qui se sont penchées sur le massacre à grande échelle qui a lieu en 1994. L'un d'eux (Lien), où est diffusé un film de TéléLiberté , enregistrement de la conférence du journaliste d'enquête J-F Dupaquier, où il présente le résultat de son investigation et analyse du génocide ruandais qu'il publie dans son livre 
"L’agenda du génocide. Le témoignage de Richard Mugenzi ex-espion rwandais".
Dans la présentation de l'auteur et de son livre, nous lisons :
«L’agenda du génocide" est un ouvrage important.
Il rappelle le rôle déterminant de la France au début des années 90 dans la mise en place de l’entreprise génocidaire au Rwanda mais il apporte aussi de nouvelles preuves de la planification rigoureuse du génocide reposant sur un système sophistiqué, préparé de longue date et qui se révéla d’une efficacité terrifiante. Ce travail est salutaire au moment où l’évidence historique de l’extermination des Tutsi du Rwanda en 1994 est de plus en plus contestée par des auteurs négationnistes et des responsables politiques ou militaires qui tentent ainsi de minimiser leur implication.»
Un point important décortiqué au début de l'exposé par le journaliste démontre le rôle des média dans le conditionnement et la préparation des différentes parties impliquées dans le drame, à les faire participer au génocide, drame culminant dans l'implication d'enfants qui exécutèrent d'autres enfants, des religieux-religieuses qui aidèrent dans l’incendie de bâtiments abritant des civils, etc...  !!
 
Dans la "Nuit Rwandaise" (Lien), on apprend qu'une commission rwandaise indépendante a publié un rapport (Rapport Mucyo) :«La livraison de la cinquième édition de La Nuit rwandaise est un numéro spécial consacré à la publication du Rapport Mucyo sur les responsabilités françaises dans le génocide des Tutsi du Rwanda en 1994.»
Une information capitale est révélée dans un rapport (Lien) : «Origine de l’idéologie génocidaire:
L’idéologie diffusée avant et pendant le génocide s’inspire du mythe hamitique selon lequel les Tutsi sont une race à part, venue d’Éthiopie, qui a envahi le Rwanda. Cette croyance a été enseignée par les missionnaires catholiques, les Pères blancs en particulier, avec d’autant plus de force que c’est eux qui ont inventé la forme écrite de la langue parlée par tous, le kinyarwanda, modelant ainsi les esprits des éduqués suivant leurs théories. Ils ont d’abord suggéré aux colonisateurs européens que les Tutsi étaient une race supérieure qu’il fallait utiliser pour administrer le pays, percevoir les impôts, rendre la justice et convertir la population à la foi chrétienne. Mais lorsque, dans les années 1950, cette élite tutsi se mit à revendiquer l’indépendance du pays et à contester le monopole de l’Église sur l’enseignement, une nouvelle génération de missionnaires, voulant sauver ce royaume chrétien du péril communiste, se mit à dénoncer dans les Tutsi des féodaux aristocrates qui opprimaient les Hutu et les réduisaient en esclavage. Ils persuadèrent les Hutu qu’ils devaient se débarrasser du « joug féodal » des Tutsi.
Ils allèrent même jusqu’à dénoncer les Tutsi comme des colonisateurs, s’octroyant à eux-mêmes et aux Belges le rôle d’émancipateurs des Hutu.»
Un petit pays africain ose mettre en accusation une grande puissance. Le rapport de la Commission nationale indépendante rwandaise, chargée de rassembler les preuves montrant l’implication des talmudipèdes-représentants de l’État français dans le génocide perpétré au Rwanda en 1994, est à bien des égards un document exceptionnel.
A travers les documents consultés, on arrive à percevoir les raisons de la vaste opération médiatique enclenchée autour du génocide et les faits que les centres du pouvoir occulte en France tentent d'offusquer. Le plus révoltant est la découverte du rôle assigné aux pantins qui s'agitent sous les mains de la talmuderie française, à l'image de ce juge cow boy. Ces agents ne sont au service ni de la France, dont ils tenteraient de sauver la renommée ou l'honneur, ni de la vérité qu'ils ne peuvent en aucune manière rendre publique car ils seraient liquidés physiquement. Leur véritable rôle lorsqu'ils sont dépêchés est de "brouiller" les pistes, détourner les recherches vers des faits insignifiants, et au besoin, détruire tout indice révélateur et gênant .
Leur objectif est de dissimuler les vrais protagonistes et principaux coupables, et éventuellement, d'innocenter les complices accusés "par erreur" du génocide. Les principaux suspects : les personnalités politiques d'alors, dont nombreux aujourd'hui demeurent en activité et au devant de la scène politique.
 Mitterrand, accompagné des nombreux talmudipèdes de son gouvernement "socialiste" (une idéologie héritée génétiquement de l'émanation diabolique du bolshevisme des Marx, Lénine,Trotsky et compagnie). On y retrouve Baladur, Juppé, Sarkosy, en bref, les "cousins " qui gouvernent la France. Kouchner le grand humaniste y récolte des orphelins. Frappant, mais interdit de toute citation, le génocide est occulté, car la loi Gayssot est promulguée en 1994 (interdisant la négation de la shoah-banana). Diversion du public, mais aussi parce qu'il n'y a pas de place pour le génocide Ruandais dans le coeur de l'opinion (qu'on manipule), les sanglots sont réservés exclusivement au peuple auto-élu !
Des tonnes de documents sont disponibles,(Lien), (Lien), (Lien), (Lien) qui  dénoncent la complicité, sinon l'entière responsabilité des cousins de France et le silence de l'ONU (comme coutume). Le génocide n'est pas un accident de l'histoire, c'est un évènement organisé et planifié, de la main des enfants de Satan, virtuoses de ce genre de destruction massive de la vie humaine, une offrande à leur "petit architecte". Ironiquement , celle-ci est officiellement à inscrire dans les annales des "œuvres civilisatrices de la colonisation" (Sarko-sionisation de l'histoire). Pages d'histoire écrites sous l'autorité de décrets présidentiels et approuvées par les les idiots utiles de l'assemblée nationale.   Omerta sur le massacre de 800 000 Ruandais : oeuvre des experts de la manipulation et de leurs agents locaux. Les criminels et génocidaires talmudipèdes présents dans tous les drames stigmatisant les peuples victimes de ces sacrifices humains. Le peuple " choisi " ne saurait être " élu " sans  posséder une licence kosher pour ce genre de besogne. Au fait une tribu aussi élitiste ne saurait admettre qu'on la dépossède du monopole de la compassion (aveugle) populaire, surtout pendant les temps qui courent où le mythe de la Shoah bat son plein en France ( pour avoir transporter des juifs vers l'Allemagne, les locomotives et leurs conducteurs, sont l'objet d'une vendetta institutionnalisée et sont trainés devant les tribunaux de sanhédrins - ( Lien et Lien important)
  Dans le rayon "désinformation", un autre gardien 
d'enceinte, le perfide "JeuneAfrique". Cette fois sans pudeur et avec désinvolture, le magazine prêche l'oubli et l'amnistie-amnésie générale, ainsi que l'indulgence envers les criminels. Insidieusement, tentant de décevoir et tromper les victimes. La désinformation en pleine action, "l'arme silencieuse pour guerre tranquille".  JA continue dans la lancée :
«Tout indique donc que l'instruction ouverte par le juge Bruguière puis manifestement contredite par ses successeurs depuis 2008 s'achèvera à terme sur un non-lieu général. Un nouveau chapitre, enfin positif, s'ouvrira alors entre Paris et Kigali, même si rien ne sera plus jamais comme avant 1994. Il restera alors à la France et à tous ceux, ministres et officiers généraux, qui eurent à connaître du génocide rwandais, à exorciser les démons du passé. Après tout, l'autocritique n'a jamais été synonyme de déshonneur, bien au contraire.»
Et la justice dans tout celà ? Trop luxueuse pour les misérables Africains ?
Dépêché sur les lieux du crime, notre Buffalo Bill ne fait aucune allusion à l'implication de la France, détournant l'attention de l'opinion et noyant le poisson, il dirige les débats vers un casse tête d'analyse balistico-chimique qui sert à brouiller les pistes, objet de sa mission.
Le juge est accompagné de Fabienne Pous. A propos de la doyenne des juges d'instruction de Paris, lire une lettre qui lui a été adressée par un plaignant Michel Dakar(Lien) qui dévoile le parti pris pro-sioniste de la magistrature, et donne un aperçu du quadrillage institutionnalisé de la justice française par la Kosher Nostra. Cette dénonciation lui a valu, violence et répression sioniste le poursuivant quotidiennement,  l'obligation de passer un examen psychiatrique !
  Extrait de la lettre :
« Par contre, il est clair que ma requête dérange la Cour européenne des droits de l’homme, car elle met en évidence que la justice française est totalement inféodée aux sionistes, qui commandent ses magistrats, tant ceux du siège que ceux du parquet, qu’au le ministre de la justice, ce qui implique directement que le gouvernement français est inféodé aux sionistes, et que les sionistes utilisent l’appareil judiciaire français pour étouffer toute dénonciation de leur génocide sur la population palestinienne.
Ainsi, la doyenne des juges d’instruction de Paris, Mme Fabienne POUS, innove dans sa fonction, en ignorant totalement ma plainte contre le CRIF et M. Roger CUKIERMAN. En effet, au mépris du code de procédure pénale qu’elle a pourtant l’obligation de respecter, elle ne constate même pas l’existence de cette plainte, alors qu’elle doit, en respect de ce code, émettre dès la réception d’une plainte, une ordonnance de constat en attestant l’existence.
L’une concernera le Procureur général près la Cour d’appel de Paris, M. Yves BOT, pour faux en écriture publique, et le juge du siège de la 17ème chambre du Tribunal de grande instance de Paris, M. Nicolas BONNAL, pour complicité de faux en écriture publique dans cette même affaire. Ces faux ont permis de me condamner à 5000 euros d’amende et à 1 mois de prison avec sursis, cela dans le but de me faire abandonner mes dénonciations judiciaires du génocide des Palestiniens par les juifs sionistes. Ma plainte contre le CRIF, qui a organisé ces faux, a été déposée devant la doyenne des juges d’instruction de Paris, Mme Fabienne POUS. Cette plainte a été contrecarrée par Mme POUS, par l’émission d’une ordonnance de consignation de 6000 euros que j’aurais dû verser si j’avais voulu que cette plainte soit étudiée en apparence. »
 Une tradition chez le n°1 de la lutte contre le terrorisme, est de faire des déclarations fracassantes, tout en fixant  des bornes qu'il ne saurait transgresser, car inviolables et sacrées; exemple : oser murmurer le nom des talmudipèdes impliqués dans les opérations de prédation financière, des magouilles politiques, des abus de pouvoir, de désinformation, de manipulation sociale. Il ne peut pas, même s'il le souhaitait. Le rapport de force est trop déséquilibré. Des hommes intègres ont essayé et fini, soit dans le fourgon mortuaire, le déshonneur, ou totalement désavoués par l'opinion sous le coup de diffamations et de mensonges montés par les média à la solde de la Kosher Nostra.        
Pour son enquête sur le meurtre des Moines de Tibhirine, l'objectif est autre. Buffalo Bill se met au service d'une opération d'intox qui se prépare, nivellant le terrain pour l'ingérence du NOM dans les affaires intérieures de l'Algérie.
L'ouverture des tombes des Moines décapités risque-t-elle de dévoiler l'existence de quelque armes de destruction massive que les Moines auraient peut être découvertes ? Ce qui aurait précipité leur exécution ? Un scénario idéal pour le prétexte d'une campagne de culpabilisation contre l'Algérie.
Au stade où le mensonge officiel gravite, dans les milieux de la subversion internationale, l'imagination ne manque pas pour démontrer la justesse de la logique
du criminel :  "lorsqu'on veut noyer son chat...",
ou celle du loup : "si ce n'est pas toi, c'est ton frère !"
Le plus répugnant et nauséabond dans ce stratagème de Satan et de sa progéniture, est le ralliement des média indépendants locaux à la campagne d'intox.
Nos démoncrates d'El Watan, d'El Khabar, de TSA et de la myriade de chevaux de Troie du talmudisme belliqueux, nous dévoilent dans quel camp ils se positionnent, via leur participation au vacarme audio visuel entourant l'autopsie archéologique post-mortem lancée de Paris-Seine, ou spirituellement parlant Paris-Aviv (capitale de la France colonisée).
L'objectif est de régler des comptes avec le pays des Martyrs, sous couvert de "combat pour la liberté et la démocratie", un vernis du travail de sape sociale, un masque de leur sournoiserie, au rythme des largesses de BNP Paribas, leur sponsor et financier.  
Viendra le moment opportun pour les juger. Pendant ce temps, qu'on se souvienne de leur choix, délibéré et malveillant, car la trahison est leur profession. 
La TRAHISON parmi nous, qui dure depuis 20 ans !
 
                                A Suivre.... 

31 janv. 2012

Les Mercenaires De La Plume Relancent La Campagne D’Émulation Du Syndrome Bouazizi. L’Immolation De Musulmans Ne Mérite Toujours Pas Leur Compassion !

"Arts et lettres", pour psychopathes
démoniaques ?
Le drame de l'inconscience juvénile ou tout simplement humaine ne soulève aucun émoi chez les criminels harkis de la plume qui sont de nouveau à l'oeuvre pour accomplir la mission de sape socio-psychologique que l'ingénierie sociale talmude leur a assignée : les infos sur l'immolation par le feu sont de nouveau rediffusées dans le but de propager le syndrome qui afflige des inconscients mal inspirés et ayant un penchant vers l'imitation aveugle. Par la banalisation de ce phénomène beaucoup de média assument un rôle génocidaire, en accord avec leur ligne rédactionnelle dictée par leur commanditaires et sponsors talmudes (Rothschild, BNP, Freedom House, NED, et autres organismes de la subversion juive internationale).
Un article rédigé le 22 Janvier 2011, intitulé
dans lequel je lançais l'avertissement : "Troublant le rôle, l'importance et l'influence des tendances, des goûts, des modes, des utopies, des mensonges enrobés du verbiage "d'experts", lorsqu'on examine leur impact sur le monde réel et sur la perception de la réalité." 
La complaisance affichée et la légèreté du traitement  par certains organes de presse (El Watan !) de ce phénomène dramatique traduit toute la malveillance des harkis de la plume dont la subordination est réservée aux maitres de l'intrigue, les talmudipèdes sataniques, qu'ils servent sans réserve et dont ils exécutent les plans d'ingénierie sociale préconisant la destruction par l'utilisation "d'armes silencieuses" dont ils ont développé les techniques. La caricature reproduite 
ci-dessus symbolise, au même titre que celles déjà publiée en Janvier 2011 (voir mon article Lien), l'indifférence envers la victime, le mépris de la vie humaine, le manque de responsabilité, l'arrogance du criminel devant la loi car appuyé et sponsorisé par le puissant de l'heure, le cartel juif talmude mondial (Rothschild). Ces dessinateurs sous le prétexte de pratiquer l'humour, sont en fait de puissants agents promotant la vulgarisation et  la banalisation de stéréotypes, de clichés, qui façonnent les usages, l'humeur, et la perception du public. Dans ce cadre, un grand tapage médiatique a accompagné l'affectation de Dilem au quotidien "Le Monde".  L'idiot utile et consentant (tyrannisé par les pulsions du ventre), pour la simple raison que le travail subversif du transfuge, accompli à El Watan-TV5, lui a assuré une promotion chez la juiverie sioniste de France; il est programmé en préparation du travail qu'on lui dictera lorsque les tambours de la guerre raisonneront en direction de l'Algérie (voir articles " Lien" et "Lien") 
Mensonge, perfidie et sournoiserie, les drones "armes silencieuses" dirigées contre nous. La guerre est déclarée. Réveillez-vous !

21 janv. 2012

Media 2012: L’Algérie Soumise Au Pressing De la Nébuleuse Subversive Des Réseaux Talmudes.

 Ces réseaux recrutent des sous-fifres parmi
-1- les Harkis de la plume (principalement agents des Rothschilds-BNP Paribas dans la presse),
-2- les mercenaires islam-mimiques locaux dirigés principalement de Londres, et plus récemment de Qatar,
-3- des adhérents aux utopies mondialistes(*) dont se réclament les ONG sponsorisées par les fondations US (Brezjinsky-Soros-Kissinger), et leurs ramifications dans certains partis politiques séculaires, sectaires ou autonomistes,
-4- la multitude de "chers frères" dont l'allégeance est, exclusivement, sous serment, réservée à la hiérarchie de leur obédience maçonnique (loges françaises et italiennes !) et dont le trait principal est la poursuite des jouissances terrestres et les rétributions matérielles,
  tendues de la main de la haute hiérarchie de la franc-maçonnerie (étrangère). Quel pauvre transaction que leur commerce, qui s'effectue, généralement à leur insu, sous l'autorité du "petit architecte", l'éternel Grand Menteur.
Rien que ça ! 
-5- Ceci sans compter les ennemis traditionnels qui travaillent d'arrache pied, à travers les canaux diplomatiques officiels et secrets, et harcèlent le gouvernement pour le soumettre au diktat du NWO, en exigeant par exemple, et pour le provoquer, sa participation, sinon son approbation, aux opérations menées depuis 2003 en Afghanistan, Irak, Liban, Libye, et autres pays. Tous aujourd'hui détruits et soumis à la domination des proxies sous les ordres des démons de Sion.
Devant la multitude et la variété des forces subversives qui œuvrent à instaurer sur toute la planète le chaos, prélude au nuevo ordem mundial,  l'Algérie est confrontée à une tentative de déstabilisation identique à celle exercée contre les pays qui occupent le devant de la scène médiatique, Iran, Syrie, Somalie, Liban, et hier, la défunte Libye. Plus subtile cette campagne, contre le pays des martyrs béni et défendu par le Tout Puissant Allah, et présente une particularité dans ce qu’elle ne trouve pas l'occasion d'avancer un prétexte qui puisse servir de motif à l'adversité, grâce à la transparence de la politique extérieure algérienne, à son respect de la légalité internationale, et à son refus d'ingérence dans les affaires d'autrui. Il en découle que le pays vogue sans heurt entre les écueils qui se dressent sur sa course, et navigue sereinement vers un avenir radieux. Le gouvernail est, par la bénédiction divine, aux mains d'un commandant de bord prédestiné pour cette mission périlleuse qui exige la maitrise dans les manœuvres délicates dans une conjoncture difficile et hostile, de cette fin des temps.
Le miracle est manifeste, dans l'environnement  tumultueux de crises et de tragédies humaines marquant la scène internationale. Cette réalité est hélas occultée intentionnellement sous un barrage de mensonges et d'intox déversés sans répit par les média affiliés à la nébuleuse de la désolation, selon les techniques d'ingénierie sociale élaborées,  maniant l'oxymore et la destructive tournure "bouteille à moitié vide" qui est à la base du travail de sape et le catalyseur du mécontentement populaire.  Depuis l'ouverture du champ médiatique en 1989, la presse indépendante (majoritairement financée de l'étranger !) a investi et occupé les canaux de l'information, avec la complicité d'un gouvernement suspect (Hamrouche) qui a livré l'opinion à la manipulation d'experts en intox. La présence de BNP Paribas (Rothschild !) comme financier de quotidiens imposants, est suffisamment éloquent de leur duplicité. Dans la mesure où les banquiers juifs contrôlent les organes d'information de la planète, vérité devenue aujourd'hui une lapalissade, et ont utilisé ce monopole pour assoir leur domination, il serait naïf de croire qu'ils font une exception de l'Algérie et s'y sont introduits uniquement pour nous associer à la grande kermesse démon-cratique qu'ils organisent en notre honneur... 
Une majorité de nos concitoyens sont victimes du travail de sape et d'aliénation des chevaux de Troie rothschildiens qui déroutent volontairement l'esprit des citoyens "moyens" et faussent leur perception saine du monde. L'opinion publique devrait, sans l'influence néfaste de ces média, préfigurer objectivement les bienfaits dont elle jouit depuis 1999,  mais absorbés par leurs préoccupations quotidiennes (légitimes),elle n'est  pas consciente des dangers qui la menacent. 
Des traitres(**) à la nation, agents provocateurs,  manipulateurs de l'information, et des mercenaires de la plume, les guettent pendant qu'eux, innocents "h'chicha talaba el m'iicha", s'affairent paisiblement au train-train routinier des activités qui assurent leur existence et survie. Leur état d'assoupissement est le résultat de plusieurs contraintes. Entre autres: la fainéantise,  l'ignorance, la démobilisation, l'aliénation, la désinformation, le conditionnement, soient brièvement, les causes de ce détachement psychologique et de l'indifférence qui les affligent. Ceci, en dépit des dangers qui les menacent et des ennemis sournois, à l'affut, qui rassemblent leurs forces en ce début d'année et mijotent une situation propice à quelque nouvelle tentative d'agression. L'expérience nous enseigne que leur agitation est loin de signaler des intentions bienfaisantes, et les millions de victimes de part le monde qui endurent dans la chair leurs sévices sont témoins de leur haine et hostilité contre l'humanité, particulièrement envers les Musulmans et Arabes.
Je tenterais dans ce qui suit, de recenser et d'énoncer les périls et leurs initiateurs,majoritairement des traitres(**) de la pire espèce, qui brandissent des stylos au lieu de fusils, et qui nous menacent individuellement et collectivement. Je tenterais de démontrer aussi clairement que possible comment et pourquoi tous les patriotes de ce digne pays doivent prendre conscience des enjeux authentiques qui se dessinent à l'horizon en ce début d'année.
Par soucis d'organisation de cet exposé, et de façon à le présenter méthodiquement, je procéderai par étapes en réservant un chapitre à chacun des groupes potentiellement nuisibles qui s'activent sur la scène publique, via les média. Ils se présentent comme les acteurs importants de la campagne qui s'annonce et qui cible l'opinion en lui faisant miroiter différents slogans et projets politiques mensongers. 
Remarque :
Tout au long de ce blog vous trouverez l'essentiel des informations qui élucident les complots que les disciples de Satan,  adulateurs du NWO, fomentent contre l'Algérie. Vous y découvrirez, si vous prenez la peine de le consulter, l'essentiel des grands axes de la conspiration talmude et des réseaux qui s'attèlent à détruire le pays, de l'intérieur et de l'extérieur. 
En vain !  Car, soyons ré-assurés le pays est protégé, défendu et fortifié !

                                                 A suivre..............>
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(*)Les idiots utiles en Algérie, affiliés au mouvement se réclamant de la défense de la démocratie, des droits de l'homme, des égalités multiformes, des libertés, et autres abstractions sociales et abominations morales cultivées par les Rabbins dans le Talmude et résumées dans les "Protocoles des Démons de Sion ". 
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(**) Le terme est modéré n'est pas excessif, car l'appellation "ennemis de l'intérieur" leur convient le mieux, comme le décrit si pertinemment Cicéron, dans une citation que j'aime à rappeler :« Une nation peut survivre à ses imbéciles, et même à ses ambitieux. Mais elle ne peut survivre à la trahison de l'intérieur. Un ennemi aux portes est moins redoutable, parce qu'il est connu et il porte ses bannières ouvertement. Mais le traître se déplace parmi ceux dans l'enceinte, librement. Ses chuchotements astucieux bruissant par toutes les ruelles, entendues dans les halls mêmes du gouvernement. Parce que le traître n'apparaît pas traître, il parle dans des accents familiers à ses victimes, et il porte leur visage et leurs vêtements, et il fait appel à la bassesse qui se situe profondément aux cœurs de tous les hommes. Il décompose l'âme d'une nation, il travaille secrètement et en inconnu pendant la nuit pour miner les piliers de la cité, il infecte le corps politique de sorte qu'il ne puisse plus lui résister. Un meurtrier est moins à craindre que le traitre.»

5 janv. 2012

Média 2012 : Mensonges Et Diversion A La Poursuite De L’agenda Du Nouvel Ordre Mondial (2ème Partie)

Comme mentionné dans la 1ère Partie, une campagne mensongère semblable à celle ayant précédé la colonisation de la Libye a été lancée par tous les média affilés au NOM talmude. Al-Jazeera, propriété de l'émirat de Qatar, nouvelle recrue de l'impérialisme, que certains qualifient de "proxy sioniste" (insinuant peut être "un pays qui travaille pour un proxènéte juif ") est le fer de lance de l'offensive mondialiste contre les pays musulmans non-affiliés au gouvernement mondial des Rothschild.
Justes ou injustes, démocratiques ou pas, légitimes ou dictatoriaux, représentatifs ou non de leur peuple, les gouvernants des pays ciblés par les armées de l'OTAN-Israél-USA sont critiqués pour leur contrôle et monopole du pouvoir. Prétendant être soucieux d'aider les peuples persécutés par des responsables qui ne se plient pas aux normes (élastiques) de la démocratie virtuelle clamée par l'oligarchique "communauté internationale" (sic) et regroupée autour de l'hypocrite ONU et les banquiers shylock (dont FMI et BM), les défenseurs des droits de l'homme devraient consulter les peuples et connaitre leur opinion sur un choix de système de gouvernance. Pourquoi ces pays devraient- ils accepter un modèle étranger véhiculant des valeurs allogènes ? N'est-ce pas là une forme de dictat hégémonique,  oppressif et contredisant les déclarations frauduleuses des porte paroles mondialistes (ONG et gouvernements sous joug talmude). Nul besoin de souligner que ces campagnes sont menées étrangement par la classe des arrogants criminels de guerre de la trempe des Bush, Obama, Sarkosy, Pérés, Cameron, qui eux défient toutes les lois et conventions internationales, sans craindre d'être accusés, jugés, encore moins d'être condamnés pour leurs décisions politiques meurtrières. Car couverts et protégés par les chaines de télé, les agences (Reuters, AFP, etc..) la presse écrite et leurs «miroirs  on-line», majoritairement et traditionnellement liés aux réseaux juifs sionistes. Les média n'ont pas de marge de manœuvre, ils exécutent les instructions des services spécialisés, gérés par les experts de la communication des Mossad-CIA-MI6. Ceci est une opération complexe associant les équipes de scientifiques maitrisant l’ingénierie sociale à un degré insoupçonné du public. Pauvre public, balloté d’un "événement" à l’autre au gré du programme de l’heure dicté par les orientations des élites du NOM et des mises en forme grand public produites par les ouvriers des centres de reflexion (think-tank). Mensonges, oxymores, diversions, manipulations psychologiques et souvent occultes, les "tubes digestifs" sont soumis à un bombardement de données erronées au point où la confusion suprême règne dans leur esprit. Et si les effets recherchés ne sont pas perceptibles (lors de sondages), les plateaux des débats recrutent des hordes de "personnalités" accréditées, dont l'autorité servira à "convaincre", entendre dérouter les récalcitrants à l'idéologie officielle, les "révisionnistes" potentiels. Une technique médiatique actuelle de manipulation, très en vogue, consiste à minimiser la situation mondiale critique en maintenant le public dans le "faire croire" en un semblant de bien être et de bonheur illusoire; et en l'isolant des "mauvaises nouvelles" (réservées à la famine en Somalie) et en présentant toujours l'information par la voix de journalistes dont le visage est figé derrière un sourire idiot, même lors d'annonce de catastrophes de tout genre, économiques, financières, fiscales, et même météorologiques ! Rennes de l'humeur de l'opinion, les flash d'information ou les journaux télévisés ont pour rôle d'éviter d'inquiéter la populace. L’inquiétude suivie de peur risque de stimuler la réflexion, peut être même d'encourager la pensée indépendante, un danger pour l'oligarchie qui répugne l'individualisme créatif qui dévierait de la ligne officielle et de l'encadrement de la matrice sociale confectionnée par les démons de Sion. Parallèlement, l'insistance est sur les émotions canalisées dans les faits divers, d'intérêt mineur. Un assassinat, un suicide d'adolescent, un cambriolage, un règlement de compte; ces événements mobilisent la nébuleuse du mensonge qui orchestre les réactions et se joint aux pleureuses, en déversant ses sanglots et larmes de crocodile, orientant le mécontentement et le…racisme. Toujours loin des enjeux réels: la dilapidation des finances publiques au profit des banques (trop importantes pour être abandonnées à la faillite, parce-que kosherisées); des budgets militaires extravagants, secrets, et desservant les intérêts nationaux; des affaires de corruption impliquant les talmudistes, sinon leurs idiots utiles (les très chers frères des loges maçonniques); la mainmise de la gente talmudipède sur les média; la défense privilégiée des intérêts d’Israël au détriment de ceux du pays concerné, etc… Une autre technique, élaborée et testée dans les laboratoires d'ingénierie sociale, est celle de la fabrication de bulles médiatiques, gonflées par la pression verbale de la tromperie "des auto-élus", virtuoses millénaires de la calomnie, de l'imposture et de la sournoiserie. Elle consiste donc à amplifier un événement anodin, lui attribuant une importance fictive, et drainant dans son sillage l'opinion embarquée dans des polémiques et des débats sans fin, et sans fond, jusqu'à épuisement des énergies cérébrales et l'éreintement des protagonistes. Le médiateur, un cousin journaliste en charge, conclut alors, et débite l'information mijotée et préconçue, destinée à marquer et à demeurer dans le subconscient de l'assistance. Fin des débats stériles, le message est passé, et la démo-crétinerie en est réconfortée.

Les Protocoles des Démons de Sion décrivent ce truc comme "tourner l'opinion en bourrique", "la mener par le nez", "la conduire par l'oreille". Au fait j'oubliais de rappeler que le manuel de la subversion kosher, le Talmud, instruit ses adeptes de traiter le public Goyim comme un "troupeau d'ânes", auquel est réservé, naturellement le traitement "du bâton et de la carotte".



A Suivre…….

4 janv. 2012

Média 2012 : Mensonges Et Diversion A La Poursuite De L’agenda Du Nouvel Ordre Mondial.(1ère Partie)


Énumérons les thèmes principaux qui alimentent l’actualité et examinons le contenu et l’appréciation offerte par différents commentateurs et observateurs.
On constate que la réalité prend diverses formes, en fonction de la source qui la présente. Un choix s’impose, celui de distinguer les motifs et les intérêts, connus ou cachés qui conditionnent le travail des rédactions à l’origine de l’information.
La crise financière et économique mondiale est le premier sujet qui fait couler beaucoup d’encre dans les chroniques spécialisées, de la plume d’experts et de commentateurs avisés. Beaucoup d’autres, par contre, diffusent leurs idées comme support d’une manipulation voulue des masses dont le mécontentement gronde, ce que les banquiers craignent et tentent de neutraliser. Les experts s’accordent sur la gravité de la situation économique internationale et par déduction, de l’état de la planète menacée par les conflits déclenchés par le NOM, en rupture avec toutes les règles régissant les relations entre états. Justice et légalité sont ignorées par les USA et ses alliés, proxy des banquiers talmudes, par la multiplication de centres de tension ou d’agressions directes pour s’accaparer les ressources naturelles et installer des gouvernements fantoches.
Pour les activistes engagés dans le combat pour la vérité, il ne s’agit pas de jouer à l’oracle du désespoir en voulant prévenir l’opinion des dangers qui pointent à l’horizon, mais de la réveiller et l’éduquer en revendiquant :   
-la dignité humaine,
-la vérité sans fard, libre de la manipulation et de l’intox,
-les droits définis par les décrets divins et non ceux, déceptifs et discriminatoires, promulguées par les ONG scélérates,
-la justice pour tous, et des normes universelles respectées par tous, pas la loi du plus fort ou du plus riche,
-et toutes autres valeurs promotrices de l’homme, non celles propagées par l’élite satanique qui œuvre à la destruction morale, spirituelle et physique de l’humanité.
L’année 2012 s’annonce avec en arrière plan, le pire scénario d’une 3eme guerre mondiale, au vu des manœuvres militaires de l’OTAN qui ont lieu dans les zones sensibles de tous les continents, selon un plan de déploiement que beaucoup d’observateurs jugent alarmant, sinon follement hasardeux et provocant, puisque même la Chine et la Russie n’échappent pas à l’encerclement belliqueux des bases de l’OTAN-US.
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Remarque et conseil :
Une lecture incontournable : les articles d’autorités, auteurs, historiens, analystes exposant les grandes lignes de politique internationale et les événements majeurs marquant l’avenir de l’humanité et de la planète est disponible entre autres, sur les sites Globalresearch.ca (Anglais), ou son site mirroir Mondialisation.ca (Français), Tarpley.net , voltairenet.org.
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- James Petras (Mondialisation.ca) «La perspective économique, politique et sociale de 2012 est profondément négative. Quasiment tous les économistes orthodoxes de la pensée dominante sont pessimistes en ce qui concerne l’économie mondiale. Bien que, là aussi, leurs prédictions sous-estiment l’étendue et la profondeur de la crise, il y a de grandes raisons de croire que 2012 sera le début d’un déclin plus important que celui engendré par la Grande Récession de 2008-2009. Avec moins de ressources, plus de dette et une résistance populaire croissante, les gouvernements ne pourront pas sauver le système
- Bob Chapman (Globalresearch.ca) «Sombres perspectives économiques pour 2012: bouleversements sociaux, défaillance des banques et chaos financier»
«2012 va être une année de la chute d’économies, au Royaume-Uni, en Europe, aux Etats-Unis, en Chine, au Japon et dans le reste de l'Asie. L'Amérique latine et le Mexique en comparaison devraient généralement se porter assez bien. L’Angleterre est prise dans une spirale de la mort. L’Europe suivra ; les États-Unis ne sont pas loin derrière ; la Chine et le Japon vont bientôt rejoindre le groupe d’écartelés. Nous nous apprêtons à assister à la fin d’une aire historique qui s’est développée depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale. Cette fin s’opérant économiquement, financièrement, socialement et politiquement. La transition vers l'avenir va naitre après le chaos. Si vous avez le moindre doute il suffit de regarder la récente loi votée aux États-Unis permettant au président d’arrêter et d'incarcérer les dissidents, les torturer ou les assassiner. Les Américains pouvant être étiquetés de « terroristes » pour n’importe quelle prétexte imaginaire si le gouvernement le décide.»
Les commentaires analysant la situation passée et offrant des prévisions pour l’année qui débute ne manquent pas, il est recommandé pour tout citoyen consciencieux et doté d’un brin de respect de soi même, de s’informer impérativement en consultant des sources fiables de la Toile. Les média dominants sont inévitablement amarrés à la machine de propagande juive talmude qui maintient l’opinion dans l’aliénation et l’illusion chimérique, pendant que se trament des complots aux dimensions planétaires en se jouant de la crédulité populaire et acheminant les goyim vers l’étape décisive planifiée par les tenants du NOM : la dictature des des banquiers talmudipèdes. Les enjeux majeurs et les défis qui confrontent les citoyens du monde est un sujet qui n’est pas abordé pas la machine à mensonge regroupant les chaines de Tv, la presse, et les sites internet des réseaux contrôlés par la Kosher Nostra. Mondialement ou localement, les gens doivent apprendre à distinguer les agences d’information inféodés au NOM et à se départir du conditionnement culturel préconisant de croire en tout ce que publient les journaux ou annonce la télé.
Thèmes actuels soumis à un tapage médiatique suspect :
Après la campagne libyenne, la machine à mensonges s’est tournée vers d’autres horizons, à savoir la Syrie, l’Iran, la Somalie, le Yémen, les élections présidentielles prévues en France, aux USA, la crise économique et financière, etc…
La Syrie cible du NOM est sujet de la même campagne que celle précédente, dirigée contre la Lybie, menée par les acteurs OTAN + Israél + USA + ONG + ONU + Pays du Golf (Qatar !!),  accompagnés par les agences sionistes + Aljazeera + les média locaux partisans des printemps arabes (en Algérie, El Watan, El Khabar, Echhourouk,…). Pour les partis engagés traditionnellement dans les conflits meurtriers visant les Musulmans-Arabes, la propagande et les prétextes avancés sont prévisibles et visibles car provenant de l’ennemi de toujours, le sionisme-talmudisme international et ses proxies, « de mes ennemis je me charge ». Mais là où la méfiance s’impose est dans le traitement de l’info produite par l’ennemi de l’intérieur, dans ce cas : « protège moi de mes amis ». Les pays arabes du Golf et Moyen Orient inféodés aux USA-GB, et depuis peu à Israél (relations et accords secrets) , sont passés du rôle de simples alliés logistiques offrant des bases militaires de soutien à la machine de guerre de l’OTAN-US, à celui de partenaires à part entière, sur le plan militaire, politique et diplomatique. Les prophéties se confirment concernant l’avénement du Qarn-Eshaitan au Najd, la région actuelle des 6 (666 !) pays du Conseil de Coopération du Golfe.  Sur le plan médiatique, la chaine Aljazeera est l’outil de propagande agissant comme diffuseur de mensonges et d’agitateur des foules, un rôle prévu par ses fondateurs les frères David et Jean Frydman, qui rapelons-le, sont deux juifs franco-israéliens (Lien, voltaire.net) qui s’associèrent à l’émir du Qatar pour lancer la chaine ! (Lire impérieusement texte intégral ci-dessus, publication de voltairenet.org

                                       …..A suivre  ----> 2em Partie



Wadah Khanfar, Al-Jazeera et le triomphe de la propagande télévisuelle


Al-Jazeera, la chaîne d’information qatariote qui s’est imposée en 15 ans dans le monde arabe comme une source originale d’information, s’est soudainement engagée dans une vaste opération d’intoxication visant à renverser les régimes libyen et syrien par tous les moyens. Ce revirement, démontre Thierry Meyssan, n’est pas le fruit de la conjoncture, mais a été préparé de longue date par des personnalités qui ont su cacher leurs intérêts personnels au grand public. Révélations…

Réseau Voltaire | Beyrouth (Liban)

Wadah Khanfar 
La chaîne qatariote Al-Jazeeraa annoncé la démission de son directeur général, Wadah Khanfar, et son remplacement par un membre de la famille royale, cheikh Hamad Ben Jassem Al-Thani, le 20 septembre 2011.
Cheikh Hamad est un cadre de Qatargas. Il a travaillé pendant un an à Paris-La Défense au siège de Total. Il présidait par le passé le Conseil d’administration d’Al-Jazeera.
Cette nouvelle est présentée dans la presse atlantiste de trois manières différentes : soit comme une démission forcée et une reprise en main de la chaîne par l’État, soit comme une vengeance de l’Autorité palestinienne après la diffusion des Palestinian Papers, soit enfin comme une conséquence des fuites de Wikileaks exposant certaines des connexions de M. Khanfar avec les États-Unis.
Si toutes ces interprétations peuvent contenir une part de vérité elles masquent la raison principale : le rôle du Qatar dans la guerre contre la Libye. Ici, un retour en arrière est nécessaire.

L’origine d’Al-Jazeera : une volonté de dialogue

Al-Jazeera a été conçu par deux personnalités franco-israéliennes, les frères David et Jean Frydman, après l’assassinat de Yitzhak Rabin, dont ils étaient proches. Selon David Frydman [1], l’objectif était de créer un média où des Israéliens et des Arabes pourraient débattre librement, échanger des arguments, et apprendre à se connaître, alors que ceci était interdit par la situation de guerre et bloquait toute perspective de paix.
Pour créer la chaîne, les frères Frydman bénéficièrent d’un concours de circonstances : la compagnie saoudienne Orbit avait conclu un accord avec la BBC pour créer un journal télévisé en arabe. Mais les exigences politiques de la monarchie absolue saoudienne se révélèrent vite incompatibles avec la liberté de travail des journalistes britanniques. L’accord fut résilié et la majorité des journalistes arabisants de la BBC se retrouvèrent au chômage. Ils furent donc récupérés pour fonder Al-Jazeera.
Les frères Frydman tenaient à ce que leur télévision soit perçue comme une chaîne arabe. Ils parvinrent à convaincre le nouvel émir de Qatar, Hamid bin Khalifa al-Thani, qui, avec l’aide de Londres et de Washington, venait de renverser son père —accusé de sentiments pro-Iraniens—. Cheikh Hamad bin-Khalifa comprit rapidement les avantages qu’il pouvait tirer à se trouver au centre des discussions israélo-arabes, qui duraient depuis un demi-siècle déjà et s’annonçaient encore longues. Au passage, il autorisa l’ouverture à Doha d’un bureau du ministère israélien du Commerce, à défaut de pouvoir ouvrir une ambassade. Surtout, il vit l’intérêt pour le Qatar de concurrencer les riches médias saoudiens pan-arabes et de disposer d’un média qui critique tout le monde, sauf lui.
Le montage financier initial prévoyait à la fois une mise de fonds des frères Frydman et un prêt de l’émir de 150 millions de dollars sur 5 ans. C’est le boycott des annonceurs organisé par l’Arabie saoudite et l’absence de revenus significatifs de la publicité qui a conduit à modifier le schéma initial. En définitive, l’émir est devenu le bailleur de fonds de la chaîne et donc son commanditaire.

Des journalistes exemplaires

Durant des années, l’audience d’Al-Jazeera a été tirée par son pluralisme interne. La chaîne s’enorgueillissait de laisser dire une chose et son contraire. Sa prétention n’était pas de dire la vérité, mais de la faire surgir du débat. Son émission phare, le talk show de l’iconoclaste Faisal al-Qassem, intitulé « L’Opinion contraire », se régalait à bousculer les préjugés. Chacun pouvait trouver des motifs de se réjouir de certains programmes et d’en déplorer d’autres. Peu importe, ce bouillonnement interne a eu raison du monolithisme de ses concurrents et a bouleversé le paysage audio-visuel arabe.
Le rôle héroïque des reporters d’Al-Jazeera en Afghanistan et durant la troisième guerre du Golfe, en 2003, et leur travail exemplaire contrastant avec la propagande des chaînes satellitaires pro-US, transforma l’image de la chaîne d’une station polémique en média de référence. Ses journalistes payèrent au prix fort leur courage : George W. Bush hésita à bombarder les studio de Doha, mais fit assassiner Tareq Ayyoub [2], arrêter Tayseer Alouni [3] et incarcérer Sami el-Hajj à Guantanamo [4].

La réorganisation de 2005

Cependant les meilleures choses ont une fin. En 2004-05, après le décès de David Frydman, l’émir décida de réorganiser complètement Al-Jazeera et de créer de nouveaux canaux, dont Al-Jazeera English, alors que le marché mondial se transformait et que tous les grands États se dotaient de chaînes d’information satellitaires. Il s’agissait clairement d’abandonner l’effervescence et les provocations du début, de capitaliser une audience atteignant désormais les 50 millions de téléspectateurs, pour se positionner comme un acteur du monde globalisé.
Cheikh Hamad bin-Khalifa fit appel à un cabinet international qui lui avait dispensé une formation personnelle en communication. JTrack s’était spécialisé dans l’entraînement des leaders arabes et d’Asie du Sud-Est pour leur apprendre à parler le langage de Davos : comment donner aux Occidentaux l’image qu’ils ont envie de voir. Du Maroc à Singapour, JTrack a ainsi formé la plupart des responsables politiques soutenus par les États-Unis et Israël —souvent de simples fantoches héréditaires— pour en faire des personnalités médiatiquement respectables. L’important n’est pas qu’ils aient quelque chose à dire, mais qu’ils sachent manier la langue de bois globale.
Toutefois, le Pdg de JTrack, ayant été appelé à de hautes fonctions gouvernementales en Afrique du Nord, il dût se retirer avant d’avoir achevé la transformation du Al-Jazeera Group. Il confia la suite des opérations à un ancien journaliste de Voice of America qui travaillait depuis plusieurs années déjà pour la chaîne qatariote et appartenait à la même confrérie musulmane que lui : Wadah Khanfar.
À la fois professionnellement compétent et politiquement sûr, M. Khanfar s’attacha à donner une couleur idéologique à Al-Jazeera. Tout en donnant la parole à Mohamed Hassanein Heikal, l’ancien porte-parole de Nasser, il fit de cheikh Yusuf al-Qaradawi —qui avait été déchu de sa nationalité égyptienne par Nasser— le « conseiller spirituel » de la chaîne.

Le virage de 2011

C’est avec les révolutions en Afrique du Nord et dans la péninsule arabique que Wadah Khanfar a brutalement modifié la ligne éditoriale de sa rédaction. Le Groupe a joué un rôle central dans l’accréditation du mythe du « printemps arabe » : les peuples, avides de vivre à l’occidentale, se seraient soulevés pour renverser des dictateurs et adopter des démocraties parlementaires. Rien ne distinguerait les événements de Tunisie et d’Égypte, de ceux de Libye et de Syrie. Quant aux mouvements du Yémen et de Bahreïn, ils n’intéresseraient pas les téléspectateurs.
En réalité, les Anglo-Saxons se sont efforcés de surfer sur des révoltes populaires pour rejouer le vieil air du « printemps arabe » qu’ils avaient organisé dans les années 1920 pour s’emparer des anciennes provinces ottomanes et y installer des démocraties parlementaires fantoches sous contrôle mandataire. Al-Jazeera a donc accompagné les révoltes tunisienne et égyptienne pour écarter la tentation révolutionnaire et légitimer de nouveaux gouvernements favorables aux États-Unis et à Israël. En Égypte, il s’est même agi d’une véritable récupération au profit d’une seule composante de la contestation : les Frères musulmans, représentés par le prêcheur star de la chaîne… cheikh Yusuf al-Qaradawi.
Indignés par cette nouvelle ligne éditoriale et par le recours de plus en plus fréquent au mensonge [5], certains journalistes comme Ghassan Ben Jedo claquent la porte.

Qui tire les ficelles de l’info ?

Quoi qu’il en soit, il faut attendre l’épisode libyen pour que les masques tombent. En effet, le patron de JTrack et mentor de Wadah Kanfhar n’est autre que Mahmoud Jibril (le "J" de "JTrack", c’est "Jibril"). Ce manager aimable, brillant et creux, avait été conseillé à Mouammar Kadhafi par ses nouveaux amis états-uniens pour piloter l’ouverture économique de la Libye après la normalisation de ses relations diplomatiques. Sous le contrôle de Saif el-Islam Kadhafi, il avait été nommé à la fois ministre du Plan et directeur de l’Autorité de développement, devenant de facto le numéro 2 du gouvernement, et ayant autorité sur les autres ministres. Il mena au pas de charge la dérégulation de cette économie socialiste et la privatisation de ses entreprises publiques.
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Mahmoud Jibril avec son ami et partenaire en affaires Bernard-Henri Lévy, dans Tripoli conquise.
À travers l’activité de formation de JTrack, Mahmoud Jibril avait noué des relations personnelles avec presque tous les dirigeants arabes et d’Asie du Sud-Est. Il disposait de bureaux à Bahreïn et à Singapour. M. Jibril avait aussi créé des sociétés de négoce, dont une chargée du commerce du bois de Malaisie et d’Australie avec son ami français Bernard-Henri Lévy.
Mahmoud Jibril avait suivi ses premières études universitaires au Caire. Il y avait fait la connaissance de la fille d’un des ministres de Nasser et l’avait épousée. Il avait poursuivi ses études aux États-Unis, où il avait adopté les thèses libertariennes qu’il essaya d’introduire dans l’idéologie anarchiste d’el-Kadhafi. Surtout, M. Jibril avait rejoint la confrérie des Frères musulmans en Libye. C’est à ce titre qu’il avait placé les Frères Wadah Kanfhar et Yusuf al-Qaradawi à Al-Jazeera.
Durant le premier semestre 2011, la chaîne qatariote est devenue l’instrument privilégié de la propagande pro-occidentale : elle a nié autant que possible l’aspect anti-impérialiste et anti-sioniste des révolutions arabes et a choisi dans chaque pays les protagonistes qu’elle soutenait et ceux qu’elle conspuait. Sans surprise, elle a soutenu le roi de Bahreïn —un élève de Mahmoud Jibril— qui faisait tirer sur la foule, tandis que cheikh al-Qaradawi appelait à l’antenne au Jihad contre el-Khadafi et el-Assad, accusés mensongèrement de massacrer leur propre peuple.
M. Jibril étant devenu le Premier ministre du gouvernement rebelle libyen, le sommet de la mauvaise foi aura été atteint avec la construction dans des studios à Doha de répliques de la Place verte et de Bab el-Azizia où furent tournées de fausses images de l’entrée des « rebelles » pro-Us dans Tripoli. Que n’ai-je lu comme insultes lorsque j’ai annoncé cette manipulation dans les colonnes de Voltairenet.org ! Pourtant Al-Jazeera et Sky News diffusèrent ces fausses images le second jour de la bataille de Tripoli, semant le désarroi parmi la population libyenne. Ce ne fut en réalité que trois jours plus tard que les « rebelles » —presque exclusivement les Misrata— entrèrent dans Tripoli dévastée par les bombardements de l’OTAN.
Il en va de même avec l’annonce par Al-Jazeera de l’arrestation de Saif el-Islam Kadhafi et de la confirmation de cette capture par le procureur de la Cour pénale internationale Luis Moreno-Ocampo. Je fus le premier, sur les ondes de Russia Today, à démentir cette intoxication. Et là encore, je fus l’objet de quolibets dans certains journaux jusqu’à ce que Saif el-Islam vienne réveiller en personne les journalistes enfermés au Rixos et les conduise sur la vraie place Bal el-Azizia.
Interrogé sur ces mensonges par le canal arabe de France24, le président du Conseil national de transition (CNT), Mustafa Abdul Jalil revendiqua une ruse de guerre et se réjouit d’avoir ainsi accéléré la chute de la Jamahiriya.

Quel avenir pour Al-Jazeera ?

Le détournement d’Al-Jazeera en instrument de propagande pour la recolonisation de la Libye ne s’est pas fait à l’insu de l’émir de Qatar, mais sous sa houlette. C’est le Conseil de coopération du Golfe qui, le premier, a appelé une intervention armée en Libye. Le Qatar a été le premier membre arabe du Groupe de contact. Il a acheminé des armes pour les « rebelles » libyens, puis a envoyé son armée au sol, notamment lors de la bataille de Tripoli. En échange, il a obtenu le privilège de contrôler tout le commerce des hydrocarbures effectué au nom du Conseil national de transition.
Il est encore trop pour savoir si la démission de Wadah Khanfar marque la fin de sa mission au Qatar, ou si elle annonce une volonté de la chaîne de retrouver la crédibilité qu’elle avait mis 15 ans à gagner et 6 mois à perdre.
[1] Cf. entretiens avec l’auteur.
[2] « La guerre contre Al-Jazeera », article de Dima Tareq Tahboub résumé dans notre ancienne rubrique « Tribunes et décryptages », Réseau Voltaire, 6 octobre 2003.
[3] « La presse arabe dans la ligne de tir », Réseau Voltaire, 15 septembre 2003.
[4] Voir notre dossier Sami el-Hajj.
[5] Par exemple : « Al-Jazeera met en scène une manifestation monstre à Moscou contre Bachar el-Assad », Réseau Voltaire, 2 mai 2011.