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12 nov. 2014

ALGÉRIE : DÉCIDEMMENT CE 1ER NOVEMBRE EST TRÈS SPÉCIAL ET REMUE DES SOUVENIRS TRÈS PÉNIBLES !


«À ALLAH NOUS APPARTENONS ET À LUI NOUS RETOURNONS.» TELLE EST LA DEVISE DES CROYANTS. « LA MORT EST UNE, ET LES CAUSES NOMBREUSES».
CERTAINS OBSERVATEURS ONT VITE FAIT D'EMBOITER LE PAS AU FANTASME DES ORACLES ET ALLÉGREMENT SPÉCULER SUR LES EXPLICATIONS IMAGINAIRES DU DÉCÈS DU PRÉSIDENT BOUKHAROUBA (ALIAS BOUMEDIÈNE). RAPPORTÉE PAR LES COMMENTATEURS DE LA PRESSE NATIONALE, DONT LES "TAYYABATA-L-HAMMAM " D'EL WATAN,  UNE NOUVELLE THÈSE SUR LA MORT DU ZAIM  EST PROPAGÉE.  

«Le colonel Houari Boumediène, arrivé au pouvoir en Algérie en 1965 après un coup d’Etat militaire contre Ahmed Ben Bella, n’est pas décédé de mort naturelle. Il aurait été empoisonné. C’est la thèse défendue par le documentaire.  Boumediène, un révolutionnaire qui construit un État (SIC), de Fethi Jouadi, projeté lundi soir à la salle El Mougar à Alger, à la faveur des 5es Journées cinématographiques d’Alger (JCA).»

LE VÉNÉRABLE Dr A.TALEB EL IBRAHIMI, USANT DE SES TALENTS DIVINATOIRES (TALEB) ET DE SA FORMATION DE MÉDECIN GÉNÉRALISTE, DÉCLARA EN MARGE DE LA PROJECTION :
«La manière avec laquelle son corps a changé au moment où il était déjà tombé dans le coma prouvait qu’il y avait quelque chose d’anormal. Et si l’on voit ce qui est arrivé à Arafat plus tard, on peut sérieusement croire à un empoisonnement de Houari Boumediène»
- INSINUAIT-IL QUE LES MÉDECINS SOVIÉTIQUES L'AVAIENT EMPOISONNÉ ?
- LUI-MÊME SOUFFRANT D'UN COMA.......POLITIQUE, LE DOCTEUR ET SES CAPACITÉS D'ANALYSE SONT À CAUTIONNER AVEC MODÉRATION, VUE LE MANQUE D'ÉVIDENCE APPUYANT UNE TELLE HYPOTHÈSE.
LE SCRIBOUILLARD D'EL-WATAN FAYCAL MÉTAOUI PLIA SON CHIFFON EN AJOUTANT:
 «Le documentaire revient également longuement sur l’épisode du colonel Mohamed Chaâbani (qui était chef de la Wilaya VI historique), "jugé" et condamné à mort par le colonel Boumediène. Chaâbani, selon plusieurs intervenants dans le film, dont Lakhdar Bouregraâ, a été voué aux gémonies et "éliminé" par Boumediène pour avoir critiqué et dénoncé "la mainmise" des officiers déserteurs de l’armée français (DAF) sur l’armée algérienne après l’indépendance du pays en 1962.
Dans ses mémoires, Tahar Zbiri a rappelé que Chaâbani ne voulait pas que les DAF contrôlent les structures sensibles de l’armée algérienne. Boumediène, un révolutionnaire qui construit un Etat, de Fethi Jouadi, a été co-produit par l’Algérie, la Tunisie, le Qatar et la Grande-Bretagne. Il a été diffusé par la chaîne Al Jazeera Al Wathaïkia le 31 octobre dernier. »
LES SPÉCULATIONS ALLANT BON TRAIN, NE SERAIT-IL PAS PLUS JUDICIEUX ET SAGE DE CLORE CE DÉBAT STÉRILE EN AFFIRMANT SIMPLEMENT QUE BOUKHAROUBA A TOUT SIMPLEMENT REÇU LA RÉTRIBUTION DIVINE ?
RÉTRIBUTION DUE À SON MÉPRIS DE LA VIE HUMAINE DONT CELLE DES CENTAINES DE DJOUNOUDS QUE LUI ET BOUSSOUF AVAIENT JUGÉS ET EXÉCUTÉS PAR STRANGULATION AU FIL DE FER (LES MUNITIONS ÉTANT RARES) ET POUR L'ÉLIMINATION DU "LION DU DÉSERT" LE COLONEL CHAABANI, ENFIN RÉ-INTRODUIT DANS LES ANNALES DE L'HISTOIRE OFFICIELLE.




   

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