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5 mars 2014

Révolutions Colorées/Printemps Du Chaos Calqués Sur Les Bouleversements Historiques Instigués Par Les "Protocoles".


 En 1798, un fonctionnaire de l'empire Ottoman démontre plus de lucidité et de perspicacité que nombre d'observateurs et d'analystes contemporains, lors de commentaires sur la Révolution Française. L'abolition de la royauté est l’œuvre du pouvoir occulte réuni autour des banquiers juifs (Rothschild) et utilisant les loges Judéo-maçonniques comme centres de recrutement des troupes de la subversion qui encadrent la populace déchainée. 
Une abondante littérature est publiée depuis 1789 rendant compte des intrigues instigateurs de la Révolution et leurs motifs non déclarés pour son déclenchement. Les chroniques d'historiens non officiels, dans la mesure où ils ne rédigent pas les manuels scolaires sous contrôle et censure des dictateurs juifs, dévoilent les faits obscurs et les vrais motifs des bouleversements historiques qui ont marqué le monde moderne. Les "Protocoles" énoncent clairement les méthodes utilisées pour préparer et initier les complots que les Juifs Talmudes ont de tout temps médités pour étendre leur pouvoir.
La démocratie sous les slogans de "liberté-égalité-fraternité" et les élections qui donnent le pouvoir au peuple ignorant, un pas vers l'anarchie. Quelques extraits,
Protocoles, Chapitre-Séance 01:
«Un plan vaste et clair ne peut être élaboré que par un seul homme ; il coordonne tous les rouages des mécanismes de la machine gouvernementale. On en doit conclure qu'il est préférable pour le bien-être, d'un pays que le pouvoir soit concentré entre les mains d'un seul individu responsable. La civilisation ne peut exister sans le despotisme absolu, car elle n'est pas l’œuvre des masses, mais de leurs chefs, quels qu'ils soient. La foule est barbare, elle le prouve en toute occasion. Aussitôt qu'elle s'empare de la liberté (de l'idée de liberté), elle la transforme immédiatement en anarchie, qui est le plus haut degré de barbarie »
Protocoles, Chapitre-Séance 06 :
«Il faut admettre que la liberté pourrait être inoffensive et durable si elle reposait sur des principes de croyance en Dieu, de fraternité humaine, exempte de l'idée d'égalité – celle-ci va contre les lois de la nature qui prescrivent la hiérarchie. Gouverné par une telle foi, le peuple marcherait paisiblement et humblement sous la tutelle des prêtres, soumis aux règles divines disposant de leur sort ici-bas. C'est pour cela que nous devons saper la foi, arracher de l'esprit des goyim toute idée de Dieu et de l'âme et la remplacer par des formules mathématiques, par des convoitises et des intérêts matériels.»
 Ci-dessus "l'article", impressionnant par la tangibilité de son contenu !
La Révolution française analysée par un musulman en 1798
Le droit naturel, trait-d’union des peuples (vendredi 7 février 2014 par MabBlavet)
Ahmed Atif Efendi est un haut fonctionnaire de l’Empire Ottoman. En 1798, il écrit un mémorandum destiné à fournir des arguments pour contrer les avances de Bonaparte — conquérant éphémère de l’Égypte — qui cherche à rallier les musulmans à la République française. L’envahisseur ne prétend-il pas que les Français sont de bons musulmans pour avoir chassé le pape de Rome et détruit l’Ordre de Malte ? Parce qu’il s’appuie sur la loi naturelle — accessible à tous les hommes par la seule raison —, Ahmed Atif Efendi contaste que la Révolution « fait disparaître la vergogne et la pudeur, préparant ainsi la voie à la réduction du peuple de France à l’état de bétail. »
Le memorandum d’Ahmed Atif Effendi, Rais-al-Kuttab
Les gens bien informés n’ignorent pas que la conflagration de sédition et de scélératesse qui éclata il y a quelques années en France, projetant des étincelles et des flammes de trouble et de tumulte dans toutes les directions, avait été préparée de longue date dans l’esprit de certains hérétiques maudits (note perso: les éternels conspirateurs maudits par dieu et Ses Prophètes, les Juifs Talmudes) et était un mal sous-jacent qu’ils cherchaient à toutes les occasions de réveiller. De la sorte, les célèbres athées Voltaire et Rousseau, et d’autres matérialistes de leur acabit avaient édité et publié divers ouvrages consistant, Dieu nous en préserve, en insultes et calomnies contre les purs prophètes et les grands rois, réclamant la suppression et l’abolition de toute religion, et pleins d’allusions à la douceur de l’égalité et du républicanisme, tout cela exprimé dans des mots et des phrases aisément intelligibles, sous forme de moquerie, dans le langage du peuple.
Séduits par la nouveauté de ces écrits, la plupart des gens, jusqu’aux jeunes et aux femmes, ont eu de l’inclination pour eux et y ont accordé une grande attention, de sorte que l’hérésie et la scélératesse se sont répandues comme la syphilis dans les artères de leur cerveau et ont corrompu leurs croyances. Lorsque la révolution s’intensifia, personne ne se formalisa de la fermeture des églises, de l’assassinat et de l’expulsion des moines, et de l’abolition de la religion et de la doctrine : ils avaient tourné leur cœur vers l’égalité et la liberté, par lesquelles ils espéraient atteindre la parfaite félicité en ce monde, selon les enseignements mensongers de plus en plus colportés dans le peuple par cette pernicieuse équipe qui a fomenté la sédition et le mal par égoïsme ou intérêt.
Nul n’ignore que l’ordre et la cohésion de tous les États reposent avant tout sur la solidité des racines et des branches de la sainte loi, de la religion et de la doctrine ; que seuls les moyens politiques ne suffisent pas à assurer la tranquillité du pays et l’obéissance des sujets ; que la nécessité de la crainte de Dieu et le respect du châtiment dans les cœurs des esclaves de Dieu sont un des décrets divins les plus indéracinables ; que jadis comme aujourd’hui chaque État et chaque peuple a sa propre religion, vraie ou fausse.
Pourtant, les chefs de la sédition et des maux surgis en France, avec une ampleur sans précédent, afin de faciliter l’accomplissement de leurs projets néfastes, et dans le plus complet mépris de leurs redoutables conséquences, ont ôté au peuple la peur de Dieu et du châtiment, ont autorisé toutes sortes d’actions abominables et entièrement fait disparaître la vergogne et la pudeur, préparant ainsi la voie à la réduction du peuple de France à l’état de bétail.
Non contents de se satisfaire de cela, ils ont partout cherché leurs semblables, afin d’occuper les autres États à la protection de leurs propres régimes et ainsi prévenir une attaque contre eux, ils ont fait traduire dans toutes les langues et publier en tous lieux la déclaration rebelle qu’ils appellent les « droits de l’homme » et se sont efforcés d’inciter le peuple de toutes les nations et de toutes les religions à se rebeller contre les rois dont ils sont les sujets.
Ahmed Atif Efendi, rais-ul-Kuttab
Ce texte est cité par Bernard Lewis in Islam et Laïcité - Fayard - Paris - 1988 - p. 64-65.
Bernard Lewis est un orientaliste anglo-américain, spécialiste de l’Orient médiéval et de la Turquie ottomane. Auteur de nombreux ouvrages, dont plusieurs ont été traduits en français, il est, dit-on, l’inspirateur de la politique de Georges Bush au Moyen Orient. En 1995, il a été condamné par le Tribunal de Grande Instance de Paris pour négationnisme du génocide arménien. Il apparaît, donc, comme fort éloigné du courant de pensée légitimiste.
MabBlavet

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