Qui dit que la laicité n'opère pas des miracles ? |
"l'injustice" et la "discrimination" dont fait l'objet la femme, car le statut que lui réserve Allah n'est pas conforme à celui de la laïcité mère-des-abominations, établissant la confusion anarchique des genres sous l'euphémisme "d'égalité".
Elle déclare :«Considéré comme un sujet tabou, le système d’héritage contenu dans le code de la famille comporte des inégalités flagrantes. D’abord entre les enfants, puisque le fils hérite du double par rapport à la fille, mais également entre les époux.»
Porte de tous les affronts et sacrilèges, des utopies abstraites nées de la philosophie (voir note1), du culte de la "lumière" occulte maçonnique et de l'islamologie des orientalistes. Il est accablant de constater la cécité dont font preuve ces dégénérés des sociétés musulmanes qui embrassent les idées des premiers venus "philosophes" qui les subjuguent de leur verbiage savant (cas de M.Arkoun) et les mystifient par l'appel à la raison (par opposition à la foi, alors que l'un n'exclut pas l'autre), les privant de convictions saines garantes de leur bonheur, sur Terre et dans la Vie Éternelle. Hélas, c'est ce choix qui différencie foi du croyant et reniement de l'impie. L'Islam reconnait cette divergence, la tolère aussi longtemps que les infidèles n'adoptent pas d'attitude et de politique belligérante et ne s'organisent pour combattre ouvertement ou sournoisement l'organisation et l'harmonie de la société musulmane.
La mission d'information attribuée à El Watan, à ses acolytes indépendants ainsi qu'à de nombreux journalistes compromis a été détournée au profit d'un engagement idéologique subversif. Par les attaques incessantes contre l'Islam et sous couvert de combat démocratique, ils sont politiquement actifs et loin de répondre aux attentes d l'opinion. Une minorité d'Algériens qui militent, complotent, manigancent et œuvrent pour transformer notre société et la mouler selon des préceptes définis dans les cercles occultes de la juiverie-maçonnerie internationale au détriment des gens concernés qui tardent à se réveiller et sortir de leur sommeil pour prendre conscience de l'enjeu, le pouvoir oppressant de l'information livrée aux mains de renégats . Ces agents et chevaux de Troie de forces étrangères qui se chargent de la "déconstruction", "transgression", "rajeunissement", "modernisation" de l'Islam (termes employés par Arkoun, Lien et Lien) doivent être dénoncés et confrontés. Si l'approche du dogme qu'ils proposent, avait profité aux sociétés occidentales où elle sévit, en lieu de les sanctionner, par une disparition de la foi, la destruction de la cellule familiale, l'atteinte à la dignité de la femme et de l'homme, la confusion génocidaire des genres, l'injustice sociale et économique, l'aliénation culturelle, l'égoïsme aveugle, et le syndrome du matérialisme-consumérisme, les philosophes et autres penseurs-chercheurs, initiateurs de ces systèmes utopiques, devraient d'abord démontrer la justesse de leurs opinions en affichant un bilan positif et les bienfaits enregistrés chez eux ! Mais c'est l'opposé qu'on constate ! Les utopies qui produisent des criminels de guerre majoritairement juifs, dont les victimes se comptent par dizaines de millions, sont des leurres, des diversions, des fraudes. L'Histoire est là pour attester de la malédiction qui a affecté l'humanité depuis que les philosophes et penseurs humanistes, tous adeptes de la laïcité et des abstractions de la "raison", ont pris en main les destinées de l'homme, en s'opposant aux commandements divins divulgués par les prophètes et les livres sacrés.
Notre "pas saine du tout" Salima nous dit en un mot :
"Après 15 siècles d'égarement, les théologiens des quatre rites Sunnites, ceux des Ibadites-Shia-Muttazila-Wahabbites, sont mis en demeure et ordonnés de rétablir les droits de la femme ou d'être déclarés laiquement hérétiques !"
Pas moins que ça !
L'audacieuse théologienne a saisi sa plume après avoir déchiffré le Coran, en moins de temps qu'elle enroule son chignon, ou à cette occasion son turban, et après avoir jaugé le code de la famille aux normes et aux méthodes scientifiques (Traité d'Islamologie Épidermique Appliquée) léguées par notre défunt héro national et international M.Arkoun) elle décide de déconstruire le tabou de l'héritage en Islam. Elle s'engage avec effronterie à démontrer que tout le monde a tort, même Allah dans le Coran, et qu'elle seule détient la vérité pour légiférer sur la question ! Pas trace d'humilité, ni de pudeur, ni crainte de blasphème, ou d'offense aux Musulmans, à Allah et à Son Prophète (SAAWS). Un vrai démon lâché dans l'espace médiatique publique d'un pays comptant 99,99 % de croyants. Dans le langage des militants combattant le Nouvel Ordre Mondial, ceci s'appelle CHUTZPAH. (consultez Wikipedia-Lien , pour une définition !)
Les questions essentielles que soulève ce genre de vindicte contre l'Islam dans la conjoncture actuelle
sont les suivantes :
-1- Que se passe-t-il exactement dans les coulisses, du cheval de Troie Rothschildien, El Watan qui justifie le branle bas de combat de la laïcité, monté sous couvert de "rendez-vous " et débats sur l'islamologie ?
-2-Pourquoi et par qui sont organisées ces incursions médiatiques belliqueuses coordonnées et devenues fréquentes, de "dé-construction" de l'Islam (lire "tentative de démolition progressive, pierre par pierre") ?
-3- D'où provient cette agressivité retrouvée des chroniqueurs des média "indépendants" contre différents pans de notre société, de ses lois et pratiques religieuses, mais également de sa stabilité ? Quelles sont leurs objectifs, principalement par l'usage de l'ingénierie sociale ciblant le pourrissement programmé de "l'humeur de l'opinion" ?
L'insistance exagérée sur les carences nationales, modérées comparativement à celles présentes dans une majorité de pays du Sud et du Nord, et la dépréciation voulue de la situation économique, soulève des questions sur les intentions non avouées motivant cette offensive massive, pas innocente ni fortuite, dissimulée derrière des campagnes de "combat" pour les libertés et la démocratie. A se demander : "qui combat qui, et pour qui?"
Ignorons les explosions périodiques, du genre déclenché par cette tarte écervelée visiblement contrôlée à distance et servant d'agent provocateur, et essayons plutôt de découvrir le plan des initiateurs qui commandent ces campagnes, spécialement lorsqu'on sait que ces organes de presse sont généreusement financés par des parties réputées pour leur prédation financière et leur animosité millénaire à notre encontre. Restons alertes, les évènements qui secouent le monde, à l'image de "wikileaks", devraient justifier une vigilance accrue sur ce qui fait bouger les média, les dirigent, et sur ce qu'ils publient !
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Note1 Philosophie (Wikipedia, Lien) Définir la philosophie ?
Ces courants forment autant de pratiques différentes et d'opinions divergentes sur la nature de la philosophie, qui interdisent de donner une définition unique acceptable par tous. S'il y a aujourd'hui plusieurs traditions philosophiques, aucune ne peut prétendre résumer l'activité philosophique à elle seule, ni décrire l'activité philosophique de façon consensuelle.
Les difficultés à définir la philosophie sont en outre de nature épistémologique, car il est difficile de délimiter rigoureusement méthodes, thèmes et objets de la philosophie. Historiquement, elle a pu en effet s'inspirer d'autres disciplines (des mathématiques, voire des sciences positives). Pourtant, elle n'a jamais réussi à développer une méthode ou un ensemble de méthodes qui auraient réussi à s´imposer parmi les philosophes (comme la méthode expérimentale s'est imposée en physique et en chimie par exemple). En outre les amalgames entre la philosophie et d'autres disciplines sont de plus favorisés par une tradition de philosophes aux intérêts très divers. Ainsi Aristote aura été aussi bien logicien, que philosophe ou naturaliste. Déterminer le philosophe par sa fonction sociale n'est donc pas aisé. La plupart des activités autrefois appartenant à la discipline sont devenues aujourd'hui autonomes (psychologie, sciences naturelles, etc.), et la part propre de la philosophie s'est réduite.
Mais il est également délicat de déterminer l'essence de la philosophie, soit parce que son statut dans la société est lui-même difficile à cerner, soit qu'elle a été ramenée à d'autres disciplines apparemment proches. Dès l'Antiquité, par exemple, Socrate était confondu dans Les Nuées d'Aristophane avec les sophistes, que Platon nous présente pourtant comme ses adversaires dans ses dialogues. Et même sans tomber dans un quelconque pathos du philosophe incompris par ses contemporains, on peut se demander quelle est sa fonction dans la société. En tant que discipline théorique, son intérêt semble limité parce qu'elle est sans portée pratique et sans fondements scientifiques. En tant que recherche de la sagesse, elle s'adresse à l'individu plus qu'à la communauté.
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