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16 nov. 2010

Dévaluation du dollar : L'imagination, une Faculté que l'Amérique a perdue et sa population subit un lavage de cerveau pour faire le jeu des "élites". Les ONG Sont Complices.

Dollar Breakdown, America Has Lost its Imagination, Its Population Brainwashed to Do the Elites Bidding.

 8 Novembre 2010, un article de Anthony J. Stills, sur le site "http://www.marketoracle.co.uk", dévoile certaines vérités sur la situation politique, financière et économique de la "plus grande démocratie de la planète", celle à laquelle réfèrent  souvent nos chroniqueurs des fictifs média "indépendants" (sic) qui se prosternent devant les ONG qui y siègent. Ces organisations intimement liées à celles qui réunissent les membres de l'OTAN, décrètent les normes de la bonne gouvernance. En maîtres absolus ils imposent leur diktat aux nations pauvres exigeant d'elles le respect d'une panoplie de conditions politiques et sociales qu'elles-mêmes transgressent ouvertement en Palestine, Irak, Afghanistan, Pakistan, et également dans beaucoup de pays "développés". En chœur et sans pudeur de leur part, ces "défenseurs des droits de l'homme" classent les états qui méritent des sanctions et des expéditions internationales punitives pour leur mépris des lois et règlements internationaux, dans la caste des démocraties et sont cités en exemple même dans les chroniques de l'Histoire officielle et les manuels scolaires. Les nations dont les méfaits et la belligérance atteignent le seuil de la barbarie sont "grondés" par quelques vagues déclarations Onusiennes qui déforment les faits en endossant le blâme aux belligérants, confondant agresseur et victime, spécialement lors des conflits qui opposent Israël et ses voisins.Pourquoi devrait-on accorder à ces institutions le crédit qu'elles ne méritent pas ? Et pourquoi continuer à leur attribuer une autorité morale qu'elles ne cessent d'abuser et d'utiliser à mauvais escient ? 

La farce des Prix Nobel de la paix est une autre illustration de l'arrogance de ces gardiens d'enclos internationaux qui balisent les réactions de l'opinion en empêchant les condamnations trop dures à l'encontre du temple du sionisme-talmudisme, Israël. 

Obama en est la dernière cuvée!

Au site suivant -Lien- une démonstration du "deux poids, deux mesures" d'Amnistie Internationale est partiellement (hélas superficiellement exposée) avec les arguments classiques de l'analyse journalistique qui n'aborde pas le fond du problème car ne mentionnant jamais "l'éternel conspirateur judéo-talmude", mais préfère accabler la paire fictive USA-Israël, qui en réalité est un même pouvoir. Les faits énumérés par Paul de Rooij, du journal Counter punch valent la peine tout de même d'être connus.

Là où le sujet devient inquiétant, est lorsque des journalistes s'engagent dans des querelles partisanes pour dénoncer les abus qu'ils jugent excessifs, dans leur propres pays, en élevant avec un enthousiasme douteux, les ONG, bras du Nouvel Ordre Mondial Juif, au rang de juge suprême dont ils font l'écho des condamnations arbitraires qui servent à amoindrir l'autorité de la nation concernée à travers des campagnes qui ont l'allure de représailles non fondées. Les journalistes d'El-Watan illustrent  parfaitement cette situation équivoque qui s'apparente à une forme de complicité avec ces organisations étrangères scélérates, pour ne pas dire une association dans un acte de trahison grave !

Un sourire Kosher  dans tous ses éclats !

Lisons ce que publie El Watan sous la plume du pestiféré Hacen Ouali, dans un article du 11 Nov.2010, sous le titre «L'Algérie est économiquement prospère, mais la population vit mal » dans lequel il résume l'interview de Souhyar Belhassen, une Israélite tunisienne, élue par ses pairs au poste de "Présidente de la Fédération Internationale des Droits de l'homme" et dont l'objectif assigné à sa mission est de libérer la femme arabe (Lire son discours d'inauguration- Lien) comprendre la débaucher pour l'aligner sur les normes morales et sociales occidentales, un objectif important du combat judéo-talmude dirigé contre le pilier de la famille musulmane, la femme, trop pudique aux yeux des militants du dogme religieux de la fin des temps, le laïcisme-laxisme. 

«La population vit mal» dit-elle. La donzelle dont le cerveau ne pèse pas plus que les perles qui pendent à ses oreilles et qu'elle arbore si fièrement, signe de reconnaissance à ses coreligionnaires les adorateurs du veau d'or ! 

Un refrain d'ailleurs répété inlassablement par El-Watan (voir mon article Lien), un quotidien qui ne se lasse pas de se lamenter sur notre sort en essayant de nous alerter sur notre état psychologique déplorable, qui frôle la schizophrénie et la dépression collectives ! Son diagnostique arrêté, notre infatigable psychiatre  s'est attelé bénévolement à nous imposer un traitement de choc : une cure de "gaité" à base de laïcité permissive et de libertinage démocratique sous les hospices de la maison de débauche des dames de compagnie onusiennes réunies sous l'égide de la "Freedom House" de Brezinjsky, une organisation que les proxénètes juifs talmudes entretiennent pour assoir leur autorité sans partage sur les réseaux maffieux planétaires ! 

Et  ces heureux Algériens qui refusent toujours de reconnaitre leur malheur malgré toute l'attention que leur réserve El-Watan, "quotidien de l'intox, cheval de Troie Rothschildien et agent médiatique de l'usurier BNP Paribas, le diable personnifié qui tente de s'infiltrer dans le pays !"

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