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4 janv. 2012

Média 2012 : Mensonges Et Diversion A La Poursuite De L’agenda Du Nouvel Ordre Mondial.(1ère Partie)


Énumérons les thèmes principaux qui alimentent l’actualité et examinons le contenu et l’appréciation offerte par différents commentateurs et observateurs.
On constate que la réalité prend diverses formes, en fonction de la source qui la présente. Un choix s’impose, celui de distinguer les motifs et les intérêts, connus ou cachés qui conditionnent le travail des rédactions à l’origine de l’information.
La crise financière et économique mondiale est le premier sujet qui fait couler beaucoup d’encre dans les chroniques spécialisées, de la plume d’experts et de commentateurs avisés. Beaucoup d’autres, par contre, diffusent leurs idées comme support d’une manipulation voulue des masses dont le mécontentement gronde, ce que les banquiers craignent et tentent de neutraliser. Les experts s’accordent sur la gravité de la situation économique internationale et par déduction, de l’état de la planète menacée par les conflits déclenchés par le NOM, en rupture avec toutes les règles régissant les relations entre états. Justice et légalité sont ignorées par les USA et ses alliés, proxy des banquiers talmudes, par la multiplication de centres de tension ou d’agressions directes pour s’accaparer les ressources naturelles et installer des gouvernements fantoches.
Pour les activistes engagés dans le combat pour la vérité, il ne s’agit pas de jouer à l’oracle du désespoir en voulant prévenir l’opinion des dangers qui pointent à l’horizon, mais de la réveiller et l’éduquer en revendiquant :   
-la dignité humaine,
-la vérité sans fard, libre de la manipulation et de l’intox,
-les droits définis par les décrets divins et non ceux, déceptifs et discriminatoires, promulguées par les ONG scélérates,
-la justice pour tous, et des normes universelles respectées par tous, pas la loi du plus fort ou du plus riche,
-et toutes autres valeurs promotrices de l’homme, non celles propagées par l’élite satanique qui œuvre à la destruction morale, spirituelle et physique de l’humanité.
L’année 2012 s’annonce avec en arrière plan, le pire scénario d’une 3eme guerre mondiale, au vu des manœuvres militaires de l’OTAN qui ont lieu dans les zones sensibles de tous les continents, selon un plan de déploiement que beaucoup d’observateurs jugent alarmant, sinon follement hasardeux et provocant, puisque même la Chine et la Russie n’échappent pas à l’encerclement belliqueux des bases de l’OTAN-US.
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Remarque et conseil :
Une lecture incontournable : les articles d’autorités, auteurs, historiens, analystes exposant les grandes lignes de politique internationale et les événements majeurs marquant l’avenir de l’humanité et de la planète est disponible entre autres, sur les sites Globalresearch.ca (Anglais), ou son site mirroir Mondialisation.ca (Français), Tarpley.net , voltairenet.org.
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- James Petras (Mondialisation.ca) «La perspective économique, politique et sociale de 2012 est profondément négative. Quasiment tous les économistes orthodoxes de la pensée dominante sont pessimistes en ce qui concerne l’économie mondiale. Bien que, là aussi, leurs prédictions sous-estiment l’étendue et la profondeur de la crise, il y a de grandes raisons de croire que 2012 sera le début d’un déclin plus important que celui engendré par la Grande Récession de 2008-2009. Avec moins de ressources, plus de dette et une résistance populaire croissante, les gouvernements ne pourront pas sauver le système
- Bob Chapman (Globalresearch.ca) «Sombres perspectives économiques pour 2012: bouleversements sociaux, défaillance des banques et chaos financier»
«2012 va être une année de la chute d’économies, au Royaume-Uni, en Europe, aux Etats-Unis, en Chine, au Japon et dans le reste de l'Asie. L'Amérique latine et le Mexique en comparaison devraient généralement se porter assez bien. L’Angleterre est prise dans une spirale de la mort. L’Europe suivra ; les États-Unis ne sont pas loin derrière ; la Chine et le Japon vont bientôt rejoindre le groupe d’écartelés. Nous nous apprêtons à assister à la fin d’une aire historique qui s’est développée depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale. Cette fin s’opérant économiquement, financièrement, socialement et politiquement. La transition vers l'avenir va naitre après le chaos. Si vous avez le moindre doute il suffit de regarder la récente loi votée aux États-Unis permettant au président d’arrêter et d'incarcérer les dissidents, les torturer ou les assassiner. Les Américains pouvant être étiquetés de « terroristes » pour n’importe quelle prétexte imaginaire si le gouvernement le décide.»
Les commentaires analysant la situation passée et offrant des prévisions pour l’année qui débute ne manquent pas, il est recommandé pour tout citoyen consciencieux et doté d’un brin de respect de soi même, de s’informer impérativement en consultant des sources fiables de la Toile. Les média dominants sont inévitablement amarrés à la machine de propagande juive talmude qui maintient l’opinion dans l’aliénation et l’illusion chimérique, pendant que se trament des complots aux dimensions planétaires en se jouant de la crédulité populaire et acheminant les goyim vers l’étape décisive planifiée par les tenants du NOM : la dictature des des banquiers talmudipèdes. Les enjeux majeurs et les défis qui confrontent les citoyens du monde est un sujet qui n’est pas abordé pas la machine à mensonge regroupant les chaines de Tv, la presse, et les sites internet des réseaux contrôlés par la Kosher Nostra. Mondialement ou localement, les gens doivent apprendre à distinguer les agences d’information inféodés au NOM et à se départir du conditionnement culturel préconisant de croire en tout ce que publient les journaux ou annonce la télé.
Thèmes actuels soumis à un tapage médiatique suspect :
Après la campagne libyenne, la machine à mensonges s’est tournée vers d’autres horizons, à savoir la Syrie, l’Iran, la Somalie, le Yémen, les élections présidentielles prévues en France, aux USA, la crise économique et financière, etc…
La Syrie cible du NOM est sujet de la même campagne que celle précédente, dirigée contre la Lybie, menée par les acteurs OTAN + Israél + USA + ONG + ONU + Pays du Golf (Qatar !!),  accompagnés par les agences sionistes + Aljazeera + les média locaux partisans des printemps arabes (en Algérie, El Watan, El Khabar, Echhourouk,…). Pour les partis engagés traditionnellement dans les conflits meurtriers visant les Musulmans-Arabes, la propagande et les prétextes avancés sont prévisibles et visibles car provenant de l’ennemi de toujours, le sionisme-talmudisme international et ses proxies, « de mes ennemis je me charge ». Mais là où la méfiance s’impose est dans le traitement de l’info produite par l’ennemi de l’intérieur, dans ce cas : « protège moi de mes amis ». Les pays arabes du Golf et Moyen Orient inféodés aux USA-GB, et depuis peu à Israél (relations et accords secrets) , sont passés du rôle de simples alliés logistiques offrant des bases militaires de soutien à la machine de guerre de l’OTAN-US, à celui de partenaires à part entière, sur le plan militaire, politique et diplomatique. Les prophéties se confirment concernant l’avénement du Qarn-Eshaitan au Najd, la région actuelle des 6 (666 !) pays du Conseil de Coopération du Golfe.  Sur le plan médiatique, la chaine Aljazeera est l’outil de propagande agissant comme diffuseur de mensonges et d’agitateur des foules, un rôle prévu par ses fondateurs les frères David et Jean Frydman, qui rapelons-le, sont deux juifs franco-israéliens (Lien, voltaire.net) qui s’associèrent à l’émir du Qatar pour lancer la chaine ! (Lire impérieusement texte intégral ci-dessus, publication de voltairenet.org

                                       …..A suivre  ----> 2em Partie



Wadah Khanfar, Al-Jazeera et le triomphe de la propagande télévisuelle


Al-Jazeera, la chaîne d’information qatariote qui s’est imposée en 15 ans dans le monde arabe comme une source originale d’information, s’est soudainement engagée dans une vaste opération d’intoxication visant à renverser les régimes libyen et syrien par tous les moyens. Ce revirement, démontre Thierry Meyssan, n’est pas le fruit de la conjoncture, mais a été préparé de longue date par des personnalités qui ont su cacher leurs intérêts personnels au grand public. Révélations…

Réseau Voltaire | Beyrouth (Liban)

Wadah Khanfar 
La chaîne qatariote Al-Jazeeraa annoncé la démission de son directeur général, Wadah Khanfar, et son remplacement par un membre de la famille royale, cheikh Hamad Ben Jassem Al-Thani, le 20 septembre 2011.
Cheikh Hamad est un cadre de Qatargas. Il a travaillé pendant un an à Paris-La Défense au siège de Total. Il présidait par le passé le Conseil d’administration d’Al-Jazeera.
Cette nouvelle est présentée dans la presse atlantiste de trois manières différentes : soit comme une démission forcée et une reprise en main de la chaîne par l’État, soit comme une vengeance de l’Autorité palestinienne après la diffusion des Palestinian Papers, soit enfin comme une conséquence des fuites de Wikileaks exposant certaines des connexions de M. Khanfar avec les États-Unis.
Si toutes ces interprétations peuvent contenir une part de vérité elles masquent la raison principale : le rôle du Qatar dans la guerre contre la Libye. Ici, un retour en arrière est nécessaire.

L’origine d’Al-Jazeera : une volonté de dialogue

Al-Jazeera a été conçu par deux personnalités franco-israéliennes, les frères David et Jean Frydman, après l’assassinat de Yitzhak Rabin, dont ils étaient proches. Selon David Frydman [1], l’objectif était de créer un média où des Israéliens et des Arabes pourraient débattre librement, échanger des arguments, et apprendre à se connaître, alors que ceci était interdit par la situation de guerre et bloquait toute perspective de paix.
Pour créer la chaîne, les frères Frydman bénéficièrent d’un concours de circonstances : la compagnie saoudienne Orbit avait conclu un accord avec la BBC pour créer un journal télévisé en arabe. Mais les exigences politiques de la monarchie absolue saoudienne se révélèrent vite incompatibles avec la liberté de travail des journalistes britanniques. L’accord fut résilié et la majorité des journalistes arabisants de la BBC se retrouvèrent au chômage. Ils furent donc récupérés pour fonder Al-Jazeera.
Les frères Frydman tenaient à ce que leur télévision soit perçue comme une chaîne arabe. Ils parvinrent à convaincre le nouvel émir de Qatar, Hamid bin Khalifa al-Thani, qui, avec l’aide de Londres et de Washington, venait de renverser son père —accusé de sentiments pro-Iraniens—. Cheikh Hamad bin-Khalifa comprit rapidement les avantages qu’il pouvait tirer à se trouver au centre des discussions israélo-arabes, qui duraient depuis un demi-siècle déjà et s’annonçaient encore longues. Au passage, il autorisa l’ouverture à Doha d’un bureau du ministère israélien du Commerce, à défaut de pouvoir ouvrir une ambassade. Surtout, il vit l’intérêt pour le Qatar de concurrencer les riches médias saoudiens pan-arabes et de disposer d’un média qui critique tout le monde, sauf lui.
Le montage financier initial prévoyait à la fois une mise de fonds des frères Frydman et un prêt de l’émir de 150 millions de dollars sur 5 ans. C’est le boycott des annonceurs organisé par l’Arabie saoudite et l’absence de revenus significatifs de la publicité qui a conduit à modifier le schéma initial. En définitive, l’émir est devenu le bailleur de fonds de la chaîne et donc son commanditaire.

Des journalistes exemplaires

Durant des années, l’audience d’Al-Jazeera a été tirée par son pluralisme interne. La chaîne s’enorgueillissait de laisser dire une chose et son contraire. Sa prétention n’était pas de dire la vérité, mais de la faire surgir du débat. Son émission phare, le talk show de l’iconoclaste Faisal al-Qassem, intitulé « L’Opinion contraire », se régalait à bousculer les préjugés. Chacun pouvait trouver des motifs de se réjouir de certains programmes et d’en déplorer d’autres. Peu importe, ce bouillonnement interne a eu raison du monolithisme de ses concurrents et a bouleversé le paysage audio-visuel arabe.
Le rôle héroïque des reporters d’Al-Jazeera en Afghanistan et durant la troisième guerre du Golfe, en 2003, et leur travail exemplaire contrastant avec la propagande des chaînes satellitaires pro-US, transforma l’image de la chaîne d’une station polémique en média de référence. Ses journalistes payèrent au prix fort leur courage : George W. Bush hésita à bombarder les studio de Doha, mais fit assassiner Tareq Ayyoub [2], arrêter Tayseer Alouni [3] et incarcérer Sami el-Hajj à Guantanamo [4].

La réorganisation de 2005

Cependant les meilleures choses ont une fin. En 2004-05, après le décès de David Frydman, l’émir décida de réorganiser complètement Al-Jazeera et de créer de nouveaux canaux, dont Al-Jazeera English, alors que le marché mondial se transformait et que tous les grands États se dotaient de chaînes d’information satellitaires. Il s’agissait clairement d’abandonner l’effervescence et les provocations du début, de capitaliser une audience atteignant désormais les 50 millions de téléspectateurs, pour se positionner comme un acteur du monde globalisé.
Cheikh Hamad bin-Khalifa fit appel à un cabinet international qui lui avait dispensé une formation personnelle en communication. JTrack s’était spécialisé dans l’entraînement des leaders arabes et d’Asie du Sud-Est pour leur apprendre à parler le langage de Davos : comment donner aux Occidentaux l’image qu’ils ont envie de voir. Du Maroc à Singapour, JTrack a ainsi formé la plupart des responsables politiques soutenus par les États-Unis et Israël —souvent de simples fantoches héréditaires— pour en faire des personnalités médiatiquement respectables. L’important n’est pas qu’ils aient quelque chose à dire, mais qu’ils sachent manier la langue de bois globale.
Toutefois, le Pdg de JTrack, ayant été appelé à de hautes fonctions gouvernementales en Afrique du Nord, il dût se retirer avant d’avoir achevé la transformation du Al-Jazeera Group. Il confia la suite des opérations à un ancien journaliste de Voice of America qui travaillait depuis plusieurs années déjà pour la chaîne qatariote et appartenait à la même confrérie musulmane que lui : Wadah Khanfar.
À la fois professionnellement compétent et politiquement sûr, M. Khanfar s’attacha à donner une couleur idéologique à Al-Jazeera. Tout en donnant la parole à Mohamed Hassanein Heikal, l’ancien porte-parole de Nasser, il fit de cheikh Yusuf al-Qaradawi —qui avait été déchu de sa nationalité égyptienne par Nasser— le « conseiller spirituel » de la chaîne.

Le virage de 2011

C’est avec les révolutions en Afrique du Nord et dans la péninsule arabique que Wadah Khanfar a brutalement modifié la ligne éditoriale de sa rédaction. Le Groupe a joué un rôle central dans l’accréditation du mythe du « printemps arabe » : les peuples, avides de vivre à l’occidentale, se seraient soulevés pour renverser des dictateurs et adopter des démocraties parlementaires. Rien ne distinguerait les événements de Tunisie et d’Égypte, de ceux de Libye et de Syrie. Quant aux mouvements du Yémen et de Bahreïn, ils n’intéresseraient pas les téléspectateurs.
En réalité, les Anglo-Saxons se sont efforcés de surfer sur des révoltes populaires pour rejouer le vieil air du « printemps arabe » qu’ils avaient organisé dans les années 1920 pour s’emparer des anciennes provinces ottomanes et y installer des démocraties parlementaires fantoches sous contrôle mandataire. Al-Jazeera a donc accompagné les révoltes tunisienne et égyptienne pour écarter la tentation révolutionnaire et légitimer de nouveaux gouvernements favorables aux États-Unis et à Israël. En Égypte, il s’est même agi d’une véritable récupération au profit d’une seule composante de la contestation : les Frères musulmans, représentés par le prêcheur star de la chaîne… cheikh Yusuf al-Qaradawi.
Indignés par cette nouvelle ligne éditoriale et par le recours de plus en plus fréquent au mensonge [5], certains journalistes comme Ghassan Ben Jedo claquent la porte.

Qui tire les ficelles de l’info ?

Quoi qu’il en soit, il faut attendre l’épisode libyen pour que les masques tombent. En effet, le patron de JTrack et mentor de Wadah Kanfhar n’est autre que Mahmoud Jibril (le "J" de "JTrack", c’est "Jibril"). Ce manager aimable, brillant et creux, avait été conseillé à Mouammar Kadhafi par ses nouveaux amis états-uniens pour piloter l’ouverture économique de la Libye après la normalisation de ses relations diplomatiques. Sous le contrôle de Saif el-Islam Kadhafi, il avait été nommé à la fois ministre du Plan et directeur de l’Autorité de développement, devenant de facto le numéro 2 du gouvernement, et ayant autorité sur les autres ministres. Il mena au pas de charge la dérégulation de cette économie socialiste et la privatisation de ses entreprises publiques.
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Mahmoud Jibril avec son ami et partenaire en affaires Bernard-Henri Lévy, dans Tripoli conquise.
À travers l’activité de formation de JTrack, Mahmoud Jibril avait noué des relations personnelles avec presque tous les dirigeants arabes et d’Asie du Sud-Est. Il disposait de bureaux à Bahreïn et à Singapour. M. Jibril avait aussi créé des sociétés de négoce, dont une chargée du commerce du bois de Malaisie et d’Australie avec son ami français Bernard-Henri Lévy.
Mahmoud Jibril avait suivi ses premières études universitaires au Caire. Il y avait fait la connaissance de la fille d’un des ministres de Nasser et l’avait épousée. Il avait poursuivi ses études aux États-Unis, où il avait adopté les thèses libertariennes qu’il essaya d’introduire dans l’idéologie anarchiste d’el-Kadhafi. Surtout, M. Jibril avait rejoint la confrérie des Frères musulmans en Libye. C’est à ce titre qu’il avait placé les Frères Wadah Kanfhar et Yusuf al-Qaradawi à Al-Jazeera.
Durant le premier semestre 2011, la chaîne qatariote est devenue l’instrument privilégié de la propagande pro-occidentale : elle a nié autant que possible l’aspect anti-impérialiste et anti-sioniste des révolutions arabes et a choisi dans chaque pays les protagonistes qu’elle soutenait et ceux qu’elle conspuait. Sans surprise, elle a soutenu le roi de Bahreïn —un élève de Mahmoud Jibril— qui faisait tirer sur la foule, tandis que cheikh al-Qaradawi appelait à l’antenne au Jihad contre el-Khadafi et el-Assad, accusés mensongèrement de massacrer leur propre peuple.
M. Jibril étant devenu le Premier ministre du gouvernement rebelle libyen, le sommet de la mauvaise foi aura été atteint avec la construction dans des studios à Doha de répliques de la Place verte et de Bab el-Azizia où furent tournées de fausses images de l’entrée des « rebelles » pro-Us dans Tripoli. Que n’ai-je lu comme insultes lorsque j’ai annoncé cette manipulation dans les colonnes de Voltairenet.org ! Pourtant Al-Jazeera et Sky News diffusèrent ces fausses images le second jour de la bataille de Tripoli, semant le désarroi parmi la population libyenne. Ce ne fut en réalité que trois jours plus tard que les « rebelles » —presque exclusivement les Misrata— entrèrent dans Tripoli dévastée par les bombardements de l’OTAN.
Il en va de même avec l’annonce par Al-Jazeera de l’arrestation de Saif el-Islam Kadhafi et de la confirmation de cette capture par le procureur de la Cour pénale internationale Luis Moreno-Ocampo. Je fus le premier, sur les ondes de Russia Today, à démentir cette intoxication. Et là encore, je fus l’objet de quolibets dans certains journaux jusqu’à ce que Saif el-Islam vienne réveiller en personne les journalistes enfermés au Rixos et les conduise sur la vraie place Bal el-Azizia.
Interrogé sur ces mensonges par le canal arabe de France24, le président du Conseil national de transition (CNT), Mustafa Abdul Jalil revendiqua une ruse de guerre et se réjouit d’avoir ainsi accéléré la chute de la Jamahiriya.

Quel avenir pour Al-Jazeera ?

Le détournement d’Al-Jazeera en instrument de propagande pour la recolonisation de la Libye ne s’est pas fait à l’insu de l’émir de Qatar, mais sous sa houlette. C’est le Conseil de coopération du Golfe qui, le premier, a appelé une intervention armée en Libye. Le Qatar a été le premier membre arabe du Groupe de contact. Il a acheminé des armes pour les « rebelles » libyens, puis a envoyé son armée au sol, notamment lors de la bataille de Tripoli. En échange, il a obtenu le privilège de contrôler tout le commerce des hydrocarbures effectué au nom du Conseil national de transition.
Il est encore trop pour savoir si la démission de Wadah Khanfar marque la fin de sa mission au Qatar, ou si elle annonce une volonté de la chaîne de retrouver la crédibilité qu’elle avait mis 15 ans à gagner et 6 mois à perdre.
[1] Cf. entretiens avec l’auteur.
[2] « La guerre contre Al-Jazeera », article de Dima Tareq Tahboub résumé dans notre ancienne rubrique « Tribunes et décryptages », Réseau Voltaire, 6 octobre 2003.
[3] « La presse arabe dans la ligne de tir », Réseau Voltaire, 15 septembre 2003.
[4] Voir notre dossier Sami el-Hajj.
[5] Par exemple : « Al-Jazeera met en scène une manifestation monstre à Moscou contre Bachar el-Assad », Réseau Voltaire, 2 mai 2011.

29 déc. 2011

Bilan 2011 : L'humanité à un tournant décisif de son Histoire

L'humanité à un tournant décisif de son Histoire :
sous le joug du Nouvel Ordre Mondial Talmude l'impunité des délits majeurs commis par les hommes de main du sionisme international siégeant aux gouvernements occidentaux et leurs alliés, est devenue la règle, et non l'exception. La gestion des affaires internationales a pris une tournure dramatique durant l'année écoulée, sous l'impulsion de la politique d'agression militaire de l'empire judéo-talmude et de ses valets, le bloc de l'OTAN et l’infâme ONU, la nouvelle forme de colonialisme embaumée dans l'oxymore de "défense des droits humanitaires" est légalisée. Le monde musulman et arabe est la première cible et la victime de cette offensive de destruction massive des nations et du génocide des populations. 
Mais parallèlement, l'instauration de la dictature dans les pays occidentaux a fait un bond en avant, sous l'euphémisme de "guerre contre le terrorisme". Les droits FONDAMENTAUX des peuples "développés" s'effritent à vue d’œil. Les spécialistes et observateurs avertis s'évertuent, sans répit, à tirer l'alarme et informer leurs concitoyens de la suppression programmée de leurs libertés et droits politiques, économiques et sociaux. Sans succès, la masse des moutons de la bergerie de la consommation effrénée, ou "tubes digestifs" jetables, insistent aveuglément pour prouver leur obéissance au système sur le chemin qui les mène à l'abattoir talmude. Consulter les articles sur la nature du système mis en place aux USA, "The US Becomes Just Another Military Dictatorship" (MarketOracle)(GlobalResearch).

«L'Empire et les mensonges des Média Dominants. Vivons-nous dans un paradis illusoire? »(Lien)
William Bowles, au site "globalresearch.ca", résume de manière pertinente l'année 2011:
«Eh bien, 2011 a été mouvementée,  mais franchement malgré tous les "occuper ceci" ou "occuper celà", il ne s'agit pas d'une bonne année pour nous progressistes ou pour la planète entière. L'Empire agit avec une impunité croissante, pas décroissante,  désespéré d'essayer de garder une avance sur les événements, de peur que les événements le prennent sous leur contrôle
La grande illusion : la manipulation de masse par le biais des média.
W.Bowles :«Une question lancinante me hante: Sommes-nous tous, y compris les gens de gauche, en train de réagir à l'action d'une réalité conçue entièrement par l'ingénierie sociale, et dont nous nourrissent les média qui envahissent tout ?  Nous sommes ballotés d'un coté ou d'un autre à la façon et de manière déterminé par quelque "événement" que les médias mondialisés décident de nous faire avaler.  "Mystérieusement", "l'événement" disparaît pour être remplacé par un autre "événement". 
Le cri du vieil anarchiste "N'adaptez pas votre esprit , car il y a une faille dans la réalité" prend un tout nouveau type de signification étant donné le pouvoir des médias à déterminer ce qui est "réel" pour nous.»
La crise économique et financière :
Un autre volet de la situation surréelle dans laquelle la populace est maintenue grâce
à la propagande. L'urgence du désastre qui s'annonce est intentionnellement occultée par les médias, pendant que l'ambiance de liesse de fin d'année est artificiellement mijotée et infusée au troupeau sous anesthésie. Dans les coulisses le pillage organisé des fonds publiques se poursuit sous couvert de plans de sauvetage des banques juives, institutions à l'origine de la crise, avec la complicité de politiciens véreux ou des membres de la Kosher Nostra contrôlant la finance et les marchés boursiers.   

10 déc. 2011

CIA-MOSSAD-MI6 : Activité combinée Des Agences d'espionnage en Syrie.

CIA-MOSSAD-MI6 : Activité combinée Des Agences d'espionnage en Syrie.(english.pravda.ru)

De Damas, Webster Tarpley dénonce la CIA, le Mossad et M16 agissant ensemble en Syrie.
Les pays occidentaux font tout leur possible pour perturber la paix civile en Syrie, a dénoncé l'écrivain et journaliste américain, Webster Tarpley (Vermelho,. Voltaire) à Damas, la capitale syrienne à la télévision RT (Russia Today). Selon lui, les civils syriens ont à traiter quotidiennement avec des escadrons de la mort et le terrorisme aveugle, ce qui est typique des actions secrètes de sabotage et de déstabilisation utilisée par la CIA. A l'origine de cette stratégie de déstabilisation on retrouve l'ambassadeur américain Ford, un "spécialiste" talmude du monde arabe.
 Photo: 
L'ex-ambassadeur américain en Syrie, Robert S. Ford * ( à droite), est, selon des sources fiables **, le fonctionnaire clé du Département d’État américain,et a été responsable du recrutement de terroristes arabes pour créer des «escadrons de la mort», généralement avec des militants d'Al-Qaïda (l'organisme financé par la CIA) pour ces mêmes unités comme en Afghanistan, en Irak, au Yémen et en Tchétchénie, pour lutter maintenant contre l'armée syrienne et la police en Syrie et à créer une guerre civile dans ce pays.
Pour comprendre et apprendre l'Histoire en se servant de son bon sens, pas des manuels scolaires "fabriqués" par la Kosher Nostra, re-lisons les écrits d'observateurs neutres (Lien).Une traduction publiée par Silviacattori.net :

Un Talmudipède, ennemi de l'humanité.
   Wayne Madsen a été informé par des sources fiables que l’ambassadeur américain en Syrie, Robert S. Ford, est le fonctionnaire clé du Département d’État responsable du recrutement d’ « escadrons de la mort » arabes auprès des unités affiliées à Al-Qaïda en Afghanistan, en Irak, au Yémen, et en Tchétchénie, pour lutter contre l’armée et les forces de police syriennes dans la Syrie assiégée. Ford a servi comme « Political Officer » à l’ambassade des États-Unis à Bagdad de 2004 à 2006 sous l’ambassadeur John Negroponte qui fut ambassadeur des États-Unis au Honduras de 1981 à 1985. Negroponte a été un personnage clé dans le programme secret des États-Unis pour armer les Contras du Nicaragua et dans le soutien aux unités paramilitaires criminelles au Salvador et au Honduras qui lui a valu le surnom de « Mr. Death Squad » (« Monsieur Escadron de la Mort ») .
Negroponte a chargé Ford de mettre en œuvre l ’« option El Salvador » en Irak, par l’utilisation de milices chiites irakiennes et de Pechmergas kurdes pour assassiner, enlever, et torturer des dirigeants irakiens de l’insurrection, en Irak et à travers la frontière avec la Syrie. L’opération a été baptisée d’après les opérations d’Escadrons de la Mort de Negroponte en Amérique centrale dans les années 1980.
Ford est devenu le pivot du recrutement d’Arabes et de musulmans du Moyen-Orient et d’ailleurs pour mener la guerre contre les forces de sécurité loyales au président syrien Bachar al-Assad. Les terroristes soutenus par les États-Unis ont non seulement mené des attaques contre les forces de sécurité syriennes, mais ont aussi massacré des civils dans des opérations sous « faux drapeau » attribuées par la suite aux forces du gouvernement syrien. WMR a été informé que les opérations de Ford en Syrie étaient menées avec l’aide du Mossad israélien.
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(*) ne vous fiez pas au patronyme anglais, l'agent criminel du gouvernement US est un pure pédigrée talmude. Un modèle version américaine du Juif-français BH.Levi, affecté au monde arabe, avec comme couverture la fonction d'ambassadeur et au service uniquement du sionisme-talmudisme !
(**) Suggère les liens suivants (Lien, Lien, Lien) pour confirmation du type d'activité ces diplomates américains exercent : la subversion directe nivelant le terrain à l'agression militaire. Toutes les règles traditionnelles régissant les relations et accords internationaux sont bafoués en ces temps
où la justice est piétinée sous les bottes des armées du Nouvel Ordre Mondial Juif. ____________________________
Pendant son séjour en Algérie, Ford trouva des collabos (harkis) prêt à lui offrir leur service. Dans les média, El Watan et ses acolytes des média indépendants, et un nombre d'autres personnalités politiques dont j'en citerai le plus en vue alors, Said Saadi le copain à BHL.
El Watan remplissant le rôle de porte parole de Ford et publiant en grands titres les déclarations malveillantes que ce criminel de guerre annonçait  (18 Déc 2010) : «.M. Ford estime que ses interlocuteurs ont dépeint une image "d’un régime algérien fragile comme il ne l’a jamais été par le passé, en proie à un manque de vision atteignant des niveaux de corruption sans précédent et à des rumeurs sur des divisions au sein de l’armée". Qualifiant ses contacts algériens de "souvent grincheux", l’ambassadeur souligne qu’il arrive, aujourd’hui plus qu’avant, de les voir parler de "l’incapacité du gouvernement à faire face aux problèmes politiques, économiques et sécuritaires". M. Ford, dans son mémo datant du 19 décembre 2007, soit quelques jours après le double attentat du 11 décembre à Alger, souligne : "L’image d’un Président isolé – un processus de réformes stagnant et une approche incertaine contre le terrorisme – vient à un moment où des efforts sont déployés par le gouvernement pour faire passer l’option du troisième mandat." Et de dire : "Nous n’avons pas l’impression qu’il sera question d’une explosion à venir tout de suite. Mais nous voyons un gouvernement à la dérive, qui tâtonne à aller de l’avant."
...«Le 3 décembre 2007, Ford reçoit le président du Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD), Saïd Sadi, qui dit avoir présenté un aperçu sombre du régime qu’il accuse de manquer de vision et de capacité. Sadi aurait dit à Ford que "le contexte actuel fait état de stagnation dans les domaines économique et politique, les institutions de l’Etat souffrent de corrosion de l’intérieur et perdent beaucoup de leurs meilleurs cadres".»
..«Le même X se dit d’accord avec l’analyse de Saïd Sadi comparant le gouvernement à «la secte de Tikrit et dans laquelle un nombre disproportionné de ministres et de généraux provient de la région de l’Ouest et de Tlemcen comme le président Bouteflika». Saïd Sadi, note Ford, aurait mis en garde les Etats-Unis contre le silence sur la détérioration de l’état de la démocratie en Algérie. Le président du RCD, indique M. Ford, voit un soutien de l’extérieur comme essentiel à la survie de la démocratie. "Si les Etats-Unis sont complices du changement de la Constitution et pour permettre à Bouteflika un troisième mandat, ils risquent de perdre les jeunes qui sont la force de l’avenir", met en garde Saïd Sadi.»
...«Ford a rappelé à Sadi les multiples efforts fournis pour maintenir ouvert le bureau du National Democratic Institut (NDI) et avoir soulevé à plusieurs reprises les problèmes du processus électoral et sa crédibilité. L’ambassadeur a exhorté le RCD – et d’autres partis politiques qui demandent un soutien américain – à faire mieux entendre leurs voix : "La démarche américaine pour demander la levée des obstacles à la démocratie ne serait crédible que si les partis politiques algériens élevaient eux-mêmes la voix." Lors d’un dîner, le 18 décembre, l’ancien ministre et magistrat, Leïla Aslaoui, a estimé qu’il y a une démobilisation de la part d’une partie de la société algérienne sur la lutte contre le terrorisme.
Elle a confié à M. Ford que le gouvernement lui a avait demandé d’organiser une marche pour dénoncer le terrorisme après ces attentats et elle a refusé car, a-t-elle dit, «si c’était dans les années 1990 elle n’aurait pas hésité à le faire, mais maintenant elle dit avec amertume ne rien vouloir faire pour aider l’approche sécuritaire du gouvernement» 

7 déc. 2011

La Conspiration Juive Contre La Syrie S'Appuye Sur Le Mensonge Et L'Intox Des Média, Armes Classiques De La Subversion.


Articles à parcourir pour s'informer des événements en Syrie, et d'autres pour s'éduquer. Faire circuler l'information importante sans plagier leurs auteurs est faire preuve d'entre-aide pour s'opposer à l'instauration de la tyrannie talmude.
Oubliez les média dominants, ils sont à la solde de l'oligarchie juive.
-1-Un article de journalistes indépendants publié par "Mondialisation.ca" une référence modérée du web par son opposition au Nouvel Ordre Mondial :(Lien) «Dans la vallée de l'Oronte : Où en est l’agression contre la Syrie ? Témoignage.
Extrait : «Au pays du goulag levant (USA), la législation 1867 qui prévoit la détention indéfinie et la torture des citoyens par l’armée passe le sénat avec 93% de voix ! »
 

5 déc. 2011

Dictature Militaire Décrétée Aux USA : Omerta Des Média "Démocratiques" Qui Occultent L’Évènement !!

Le forcing du Nouvel Ordre Mondial Juif se poursuit pour déstabiliser la Syrie : les proxies de tout genre s'acharnent sur ce pays au nom des "Droits de l'Homme" que les États Unis brandissent comme arme de destruction massive. Le ridicule dans la posture des agents impliqués dans cette campagne mensongère (Lien très éducatif à impérativement consulter  !) est qu'ils tentent de justifier une nouvelle agression militaire similaire à celle perpétrée contre la Libye, sous la direction du pays qui s’enorgueillit d'être le champion de la démocratie, les USA. Alors que par le biais d'un vote du Sénat US passant la "Senate Bill 1867", il est dorénavant permis à l'armée américaine de détenir illégalement (sans procès) et au besoin d'assassiner les opposants antigouvernementaux qui manifestent dans les villes américaines ! (Lien, Lien, Lien, Lien
 Mike Adams, "the Health Ranger",écrit :
(Lien)«..." the National Defense Authorization Act" qui autorise le gouvernement à exercer la détention, l'assassinat des manifestants OWS (Occupy wall Street), d'hôtes de talk-show, des blogueurs, des journalistes et de toute personne qui soutient un point de vue soi-disant  "anti-gouvernemental". Ceci est la déclaration ouverte et flagrante de guerre contre tous ceux qui s'opposent 
-aux voyous du TSA (scanner de sécurité dans les aéroports), jetant leurs mains  au bas de votre pantalon, 
-au pillage économique de la nation par Goldman Sachs, 
-l'arrestation secrète et la torture de citoyens américains, 
-et d'autres actes de tyrannie absolue menée par un gouvernement hors de tout contrôle.»
Ceci n'est qu'un exemple, parmi des milliers, de la réaction de patriotes américains, d'analystes avisés(Lien, Résistance 71), d'observateurs avertis (Lien, mondialisation.ca !!), devant le tsunami qui balaie les USA sous forme de remous sur les fronts sociaux-financiers-économiques-politiques, et qui a finalement mené au "putch" militaire opéré furtivement par les tyrans de l'oligarchie talmudipède.
Quelques images choquantes (Lien source, Le Guardian-GB)  du traitement subi par les manifestants. ( Le mécréant Said Said et sa troupes de révoltés du Dimanche, devraient les consulter et peut être se repentir des insultes professées contre notre "Système" et remercier Allah d'avoir placé le clément Boutéflika à la tête de l'Algérie ! )
-1-   Une manifestante "saisie" par les robocops !
  -2- Jet de "bombe au poivre" !
-3- Une botte dans le dos pour immobiliser la dame !
 -4- Une "kazzoula" pour calmer l'opposant !

-5- Un bâton pour exorciser les démons !

-6- Un opposant qui tente de résister pour ne pas être "arrêter"  !

-7- Du football américain, ou une partie de wrestling (lutte) ?


Etc, etc...
Le comble dans cette situation politique critique, dans une certaine mesure surréaliste, est que les média dominants ne réservent pratiquement aucune couverture réelle aux chaos qui se développe au pays de l'élite talmudienne. Pour occulter la panique qui suivrait la diffusion de ces événements dramatiques, tragiques et alarmants, les médias occultent ou minimisent la nature du "changement" promis depuis 2001,  un putch militaire pure et dure, qui se déroule sous nos yeux et qui a pour théâtre les USA ! La Syrie sert entre autre de paravent pour couvrir les crimes commis par Rockefeller et le CFR contre le peuple américain qui, depuis deux mois et le "Occupy Wall Street" (un mouvement qui touche plusieurs dizaines de villes majeures), découvre la vraie nature du système de gouvernance bâti par les banksters talmudipèdes au détriment du reste des 99 % de simples citoyens (les "tubes digestifs sur deux pieds" honnis par Henry Kissinger !)
Les média algériens, ceux de profession indépendante, à façade démocratique, n'ont toujours pas reçu de sommation de l'AFP pour annoncer l’institutionnalisation du diktat des banksters sur tous les pouvoirs constitutionnels et l'instauration de leur tyrannie aux USA. Ils attendent les ordres, en bons et disciplinés chevaux de Troie Rothschildiens. Leur vision des incidents internationaux se focalisent  sur Damas et réclament une "ouverture démocratique", après celle qu'ils ont sponsorisée pour ..... Tripoli.
Omar Belhouchet, un passionné défenseur des droits de l'homme, en terre d'islam , cultive son amour des libertés seulement pour l'Arabe et le Musulman; un sentiment qu'il ne réserve à aucune autre communauté. Même pas à celle de l'Oncle Tom !  Dans la foulée des rédactions d'El Khabar et Echourouk avec lesquelles il partagent étrangement la même exaltation, Belhouchet a (consécutivement à ses déboires avec l'Égypte, la Tunisie et la Libye) sombré dans la désillusion (les salafistes ont, comme prévu, pris les rennes du pouvoir), mais sa passion ne semble pas pour autant éteinte. Il entame une nouvelle aventure avec la Syrie, soucieux de ne pas chagriner son commanditaire (la main qui le nourrit), le bankster Rothschild.  Parer du prix décerné par la "Freedom House" et de son grand mérite dans la maitrise de l'intox il ambitionnerait un autre "Grand Prix International", si la belle Syrie...."tombait".
Un de ses sous fifres, au nom de Salim Mesbah, prévoyait dans la dernière curée d'El Watan, dite du "weekend" (02/12/2011) :
«En attendant Hillary» (Clinton)
««Les Américains mettent la pression sur le
pouvoir algérien pour que les réformes politiques et économiques soient rapidement engagées,confie un ancien membre du gouvernement sous couvert de l ’anonymat. Ils conseillent aux responsables algériens de profiter de cette relative accalmie pour désamorcer une éventuelle explosion. Ils disent aux responsables algériens que l'Algérie ne pourra pas éviter une très grave crise s’ils n’entreprennent pas tout de suite des réformes politiques. La Tunisie et l’Egypte leur sert
d’exemples pour imposer leur démarche.»
Et ce n'est pas fini :
«..."les Américains craignent que les Algériens jouent avec le feu et tentent de miner l’expérience islamiste menée actuellement en Tunisie et au Maroc, et que certains cercles du pouvoir voient d’un très mauvais œil. Les Américains sont favorables à une intégration plus importante des islamistes dans le jeu politique des pays arabes et conseillent fortement aux dirigeants algériens de ne pas les exclure de la vie politique ", souligne un ancien cadre du pouvoir.»
Nous vivons décidément dans un monde où règne un surréalisme déroutant qui nous fait découvrir El Watan dans le rôle d'avocat d'El Qaida et de ses héritiers, les coupeurs de têtes anoblis par le Nouvel Ordre Mondial  !
Entre les lignes, l'insensé et impudique Mesbah professe des menaces et tente d'exercer un chantage, en brandissant comme un épouvantail le vampire talmudipède (grande prêtresse  du NOM qui non désaltérée du sang libyen, sillonne le monde musulman à la poursuite de nouvelles victimes.)
Conclusion :
La trahison chez El Watan, s'étale au grand jour, mais le quotidien feigne toujours la victimisation, une technique d'ingénierie sociale réservée aux faussaires juifs maitres de la débauche de l'Histoire (mythe de la Shoah-banana). L'harcèlement et la pression médiatique sur l'autorité est une autre pratique talmude, pour tenter de provoquer et d'induire en erreur le "système". Qu'importe l'intox et le mensonge, "la fin justifie les moyens" (Talmude) ! Toutes les mesures concrètes de démocratisation de la vie politique sont systématiquement dénigrées et dévalorisées, en extirpant sincérité et intégrité des textes. L'objectif : démobiliser et aliéner l'opinion. Car la foule, est l'enjeu des campagnes d'intox et la force aveugle que les "Protocoles des Démons de Sion" préconisent comme arme ultime pour précipiter la nation dans l'anarchie. El Watan et ses acolytes des médias indépendants (la jonction entre laïcité et "islam_mimique" ayant été convenue dans les hautes sphères du NOM) s'activent à fomenter le mécontentement et la colère au sein de la population, dévoilant leur perfidie par l'exercice arrogant du mercenariat intellectuel.
Pour les révoltés potentiels, les inconscients qui érigent des barrages et provoquent des désagréments à autrui, une campagne d'information et d'éducation devrait être entreprise à leur égard par les média intègres et surtout la puissante télévision nationale, dont les personnels devraient sortir de leur torpeur et faire preuve d'un peu d'imagination pour combler le vide que les harkis de la presse s'empressent d'occuper.