La horde est lâchée depuis 1999 contre Bouteflika, indépendamment de sa politique, de ses décisions, de ses discours, de l'état de la nation, de la situation financière du pays, des libertés individuelles et collectives, de la sécurité, du niveau de vie des algériens; indépendamment de tous les paramètres et des normes d'évaluation des performances de l'économie, de la défense nationale, de l'agriculture, et de tous les secteurs d'activité imaginables.
Pour dénaturer les performances enregistrées, celles que tous les observateurs de la planète et les organisations internationales (mêmes ceux traditionnellement hostiles) jugent être favorables au démarrage économique, il est fait usage de prétextes sous forme de révélations et d'accusations sur la corruption, les conflits entre clans au sein du système, la mauvaise gestion, etc.... Ceci pour tenter déstabiliser sa gouvernance éclairée. Parfois authentiques, les faits dénoncés ne font pas l'objet de débat dans le but d'élever une voix citoyenne contre les abus et les excès, et dénoncer les coupables, mais uniquement pour accabler Bouteflika et lui faire endosser ces malversations ! Abusant de la liberté d'expression dont ils se disent faussement sevrés, mais dont ils ont fait une arme offensive dirigée principalement contre celui même qui l'a institutionnalisée et s'est soumis à ses règles! Depuis son hospitalisation en France, les écrits relevés dans une grande majorité de média fournissent suffisamment d'évidences justifiant contre leurs auteurs des poursuites judiciaires passibles de peines sévères.
Honorablement et en s'inspirant du proverbe "Les chiens aboient et la caravane passe", le Président et le gouvernement observent de haut ce chahut rabbinique et assument dignement leurs tâches : gérer les affaires du pays et poursuivre la marche vers le progrès, loin des polémiques stériles et des commérages de concierges("tayyabates el hamam").
Une vraie campagne de dénigrement basée sur les techniques de manipulation vulgarisées par les organisations liées à l'Open Society de Georges Soros, et des fondations juives étasuniennes, cible les pays "réfractaires" au Nouvel Ordre Mondial juif.
Les pays qui affichent leur indépendance vis-à-vis du pouvoir financier international talmude et ont les moyens de leur politique ont été anéantis après les "printemps", et ceux qui survivent à la guerre tranquille menée avec les armes silencieuses se défendent selon leurs moyens.
-Quelles sont les raisons de l'acharnement médiatique (d'El-Watan en particulier et celui des média "dits" indépendants) contre Bouteflika ?
Les explications sont décelables si l'on arrive à se distancer du contexte actuel, de l'agitation hystérique d'acteurs publiques ou ceux de l'ombre, réunis dans une opposition obstinée, doctrinale, et fermée à tout dialogue. Les média campent sur leurs positions, occupées dès 1999, et ne les ont pas révisées malgré les changements majeurs enregistrés, ce qui démontrent leur adhésion à un agenda rigide, car leur participation aux campagnes de propagande est coordonnée avec les sources externes internationales pour donner au contenu mensonger de leur message un cachet d'authenticité et de véracité. Les rumeurs, les "on-dit", les suppositions, les "selon des sources officielles", les "selon les experts", les "selon l'AFP", sont des formules clés utilisées pour manipuler l'opinion et la préparer psychologiquement à la désobéissance civile, au désespoir, à l'ingratitude, et plus tard à l'anarchie. Leurs slogans jurent de leur engagement à instaurer la liberté d'expression au service de l'information, déclarations fallacieuses et trompeuses. En réalité cette opposition adverse ne dissimule plus son intention de nuire et a aggravé son statut d'agent de l'intox lorsqu'elle dévoile ses liens et affinités naturelles avec des réseaux étrangers (ONG). Indépendamment de leur crédo, isla-mimiques, laïcs modernistes, amazighs sectaires, ils ont clairement démontré la consistance de leur collaboration avec différentes organisations sponsorisées par la juiverie internationale et œuvrant à achever un objectif commun. La Libye et la Syrie sont les pays où ce constat a été le plus révélateur au travers des conférences des "amis" (oxymore d'ennemis) alignant les proxies d’Israël et les nouvelles recrues d’Israël (Qatar et l'Arabie Saoudite). La neutralité de l'Algérie lors des votes de sanction contre la Syrie en particulier, s'est avérée exemplaire et honore ses principes de non -ingérence et de recherche du dialogue, attitude réconfortée par celle de la Russie, de la Chine et de nombreux pays. La situation qui prévaut dans les pays où règne le chaos et la guerre civile nous donne un aperçu du gouffre dans lequel l'Algérie a failli chuter durant les années '90. Les événements relevés à travers l'actualité dans les pays "en faillite" illustrent la férocité de l'offensive du NOM, de ses agents (ONU, OTAN, Alliés et Israël, ONG), de ses outils (les dérisoires "droits" de l'homme, démocratie), de ses supports médiatiques (El-Watan, en Algérie), et de ses acolytes judéo-maçonniques.
Les bouleversements des 20 dernières années sont définitivement mieux perçus à la lecture des "Protocoles " car tout autre document inédit, ou analyse singulière, ne peuvent qu'être partiels sinon destinés à détourner l'attention des enjeux réels.
L'Algérie et les changements de trois décennies (1980-2010) :
Dans un contexte géostratégique plus large et ceci depuis 1980, le Nouvel Ordre Mondial a réservé une attention particulière à l'Algérie après l'annonce par le défunt Président Chadli de son intention de changer de cap politique en se distançant de l’infâme arnaque socialiste (communisme talmudique), et par son refus de rallier les 124 pays membres de "l'Alliance contre l'Irak". Des dispositions spéciales ont été alors prises à l'encontre de ce pays rebelle, concrétisées par une série d'opérations et de manœuvres de grande ampleur :
1- provoquer une faillite financière programmée avec la complicité de
- l'OPEP (le saoudien Yamani),
- les ministres algériens véreux (souvent membres de la maçonnerie),
- les crypto-juifs infiltrés dans les rouages de l'état ,
- les militaires partisans de l'Algérie française (dont les fameux DAF), et
- hélas la naïveté de feu Chadli Bendjidid entouré de renégats de toute nature;
2-entrainer dans une chute vertigineuse de l'économie dans la trappe de l'endettement corrélée à la gabegie de gestion des prêts inopérants (Clubs Paris/Londres) et de "l'aide" internationale (des FMI/Banque Mondiale);
3- l'activation de l'islam wahhabite dormant (depuis Ben Badis et Bachir El Ibrahimi), accompagnée d'une prise en charge des agents formés à Londres (Abbassi Madani) ou ceux des écoles salafistes saoudiennes, tous gracieusement financés en (pétro-dollars), conditionnés jusqu'à la moelle par les prêtres najdi au djihad, et finalement, endurcis après un stage pratique en Afghanistan;
4- la suite des ingrédients résultant de 1/2/3, à savoir : chômage - pénuries - troubles sociaux - polarisation de la société - etc...; soit une recette complète du plat mijoté dans les cuisines du NOM juif et de ses officines.
Résultat transitoire : Les années '90 caractérisées par les conditions alors réunies d'un déchainement des forces de l'apocalypse et l'instauration du Syndrome Afghan, modèle/étape du "Ordo Ab Chaos " judéo-maçonnique.
Inutile de citer les malheurs endurcis par la population durant ces années, et les séquelles qui en subsistent, car les mémoires en sont toujours marquées, même si l'opposition subversive insiste pour en effacer les traces de peur que le souvenir de l'horreur amènent l'opinion à louer le Créateur pour Sa Bénédiction : le règne actuel de paix et de sécurité, un des accomplissements de la politique du Président Bouteflika.
Pourquoi Bouteflika est-il l'objet de cet acharnement médiatique ?
Tous les observateurs, avertis ou néophytes, constatent l'offensive généralisée, mobilisant les mass-média , et battant son plein surtout depuis son hospitalisation en France. Rien n'échappe à la vindicte formulée en des termes déloyaux, péjoratifs, insultants, cruels contre tout ce qui peut être relevé et ciblé : son état de santé, sa famille, sa biographie, sa politique, son bilan, etc...
On lui attribue tous les malheurs et toutes les défaillances enregistrés au cours de 14 ans de gouvernance, et on s'évertue à l'accabler des crimes commis par les judas de son entourage, sinon ceux du pouvoir de l'ombre hérité du socialisme spécifique. La presse, les radios /télévisions, les sites web, les ONG, sont inscrits au barreau des défenseurs des droits de l'homme, et harcèlent l'opinion de sermons et réquisitoires condamnant la dictature, la tyrannie, l'absolutisme, le totalitarisme, le fascisme, le despotisme de...Bouteflika. Selon eux, l'homme réunirait en une seule personne Hitler, Staline, Néron, Caligula, et autres monstres de l'histoire. À croire qu'on nage dans la fiction ou le surréalisme !
Les raisons de cette vendetta :
Le NOM fait subir des représailles à l'homme qui a mis en échec le travail de sape et ruiné les préparatifs longuement élaborés (points 1, 2, 3, 4 ci-dessus) destinés à faire sombrer ce pays dans le chaos, parce qu'il a dispensé des remèdes prohibés par la réglementation talmudique :
Antidote N°1 : il a regroupé les membres de l'OPEP et permis une revalorisation des hydrocarbures, un levier de pouvoir aidant la relance de l'économie;
Antidote N° 2 : il a liquidé la dette extérieure, que certaines personnes douteuses qualifiée de "mal nécessaire" (Benbitour et les fraudeurs de la finance), et permis au pays de sortir de l'emprise des shylocks:
Antidote N° 3 : il a dissipé les rancunes et les animosités extrêmes qui divisaient la population grâce à la politique de concorde nationale, au travers d'un référendum (appréciez la nature démocratique de la procédure) pour la Charte de la réconciliation nationale. Ceci, parallèlement à la modernisation de l'armée et de ses équipement, pour assurer la sécurité du pays face au terrorisme latent, aux menaces internes (le printemps juif local) et extérieures (les printemps juifs voisins);
Antidote N° 4 : les plans de développement sont lancés pour remédier aux carences du chômage, du déficit en logements - écoles - hôpitaux - infrastructures - etc...
Conclusion :
J'espère avoir brièvement mais clairement exposé les raisons de la vendetta qui cible notre Président, et je voudrais insister sur le fait qu'à travers lui l'Algérie est visée.
Remarque :
Croire en les discours des ennemis de toujours qui disent nous souhaiter la paix et la prospérité en nous servant leur élixir du bonheur (empoisonné dans les mains de prédateurs), élixir intitulé "droits humains", ou "démocratie", ou "modernité", c'est démontrer :
-une totale naïveté,
-une ignorance irrémédiable,
-une irresponsabilité caractérisée, et
-une cécité physique et mentale devant les dangers qui planent sur le pays.
Conseil final :
Apprenons à repérer l'ennemi et à le combattre !
La victoire est proche !