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26 oct. 2013

Algérie-Proposition : Les Avocats Des Printemps Arabes Devraient Être Mobilisés Aux Postes De Frontière Avancés (GGF).

La vague de "révolutions" et de changements de régime anarchiques a valu aux pays concernés l'instauration du chaos et la main mise sur le pouvoir par des groupes composés entre autres de mercenaires de l'OTAN et d'agents au service des CIA/MOSSAD. Cette réalité est amplement documentée, il n'y a pas lieu de la rabâcher même pour ceux qui s'alimentent des chroniques de l'information diffusées à travers les canaux des média dominants. Les réseaux de communication internationaux monopolisés par la Kosher-Nostra possèdent des antennes ici même, en Algérie, réémettant les versions officielles fabriquées dans les rédactions juives mondiales.
Au moment du déclenchement des "printemps arabes", les
deux interfaces de la dialectique hégélienne thèse-anti thèse (islam-mimique/démoncratique) actionnées par les tenants du Nouvel Ordre Mondial Juif, réagirent de manière inattendue, puisqu'ils optèrent pour une position identique : leur soutien aux révolutions (*). Pour des prétextes différents, des partis politiques et des médias d'influence, se retrouvèrent associés dans la même tache : induire l'opinion en erreur en lui brossant un tableau inexacte des enjeux et des conséquences de l'offensive de l'OTAN et de ses alliés naturels (Israël et la Talmuderie internationale) contre les pays aujourd'hui ravagés par l'instabilité, l'insécurité, la faillite économique/sociale/financière, en un mot anéantis par le chaos. Un déferlement incroyable de critiques souvent acerbes furent émises sur la passivité de l'Algérie face au combat pour la démocratie mené par le peuple libyen (sic). Des voix malintentionnées s'étaient élevées pour accuser l'Algérie, son gouvernement et son président, d'apathie. La règle de neutralité et le principe de non-ingérence dans les affaires internes d'autres pays, dans ce cas voisins, réfutait les tentatives locales et internationales visant à entrainer l'Algérie dans les conflits qui se succédèrent, Tunisie, Libye, Mali, etc...
Exemple :
(SlateAfrique) «Le politologue Hasni Abidi, spécialiste (sic) de la Libye et auteur du «Manifeste des arabes», explique pourquoi le départ de Kadhafi va contraindre le régime algérien à la démocratie.» (Voir également LeMatindz, SlateAfrique)

Revues aujourd'hui les décisions et déclarations du gouvernement sont mieux perçues et grandement appréciées, et la sagesse qui a gouverné lors de la polémique initiée par les média de la perfidie, devient manifeste et indéniable. L'énorme service rendu à l'Algérie et à son peuple, à son présent et à son futur, devrait être commémoré comme "fête nationale" (ainsi d'ailleurs que tous les grands accomplissements majeurs enregistrés depuis 1999 ! Voir article au Lien, pour plus amples détails).
Trois ans plus tard le langage tenu par les mêmes média (de la subversion) s'est magiquement et naturellement métamorphosé, s'adaptant à une nouvelle donne géopolitique. Feignant l'innocence et prétextant l'inquiétude, El-Watan, (un cas d'école parmi de nombreux autres) publiait (le 23 oct 2013) :
- Et déclarait :
«Même si la situation demeure tendue au Nord-Mali, où la Minusma doit avoir le renfort prochainement d’un contingent néerlandais, la plus grande inquiétude pour l’Algérie vient du côté libyen. La détérioration continue de la situation en Libye aurait contraint les forces régulières de ce pays à se replier sur les grandes villes, cédant la protection des frontières aux milices.»
- En un mot l'anarchie totale ! 
Un concentré de communiqués (au lien)

-«Dans un communiqué rendu public, le Front des forces socialistes voit dans la chute du régime du guide libyen «une bonne nouvelle pour les militants de la liberté et de la démocratie dans le monde». «Le FFS qui a fait du Maghreb démocratique un élément stratégique de son engagement politique, a pris une position conjointe avec d’autres partis magrébins, afin de soutenir le mouvement du peuple libyen sur la voie de son émancipation du joug autoritaire»
Le Mouvement de la société pour la paix a salué la fin du régime de Kadhafi. Mohamed Djemaa, chargé de communication du parti a félicité le peuple libyen «pour avoir retrouvé sa liberté et tourné la page du passé». Selon lui, ce n’est que justice rendue pour un peuple qui «42 ans durant, a vu ses libertés individuelles et collectives confisqués et ses richesses spoliées». Cela dit, M. Djemaa a estimé que le chemin reste encore long et surtout difficile pour bâtir un État à la hauteur des sacrifices du peuple libyen.»
-D'un candidat à la présidence 2014 (débile et dangereux) : «Le Font national algérien a qualifié de «réussite» la chute du régime de Kadhafi. Son président, Moussa Touati, ne semble point inquiet quant à l’avenir des relations entre Alger et Tripoli. Pour la bonne raison que la philosophie de la diplomatie algérienne est basée sur un credo : le soutien des États et non des régimes.»
-D'El-Islakh : «Le Mouvement El Islah est plus que jamais optimiste quant au rétablissement de bonnes relations entre Alger et Tripoli. Son secrétaire général, Hamlaoui Akouchi a affirmé que le départ du régime est «la concrétisation de la volonté du peuple libyen».
Du côté des personnalités nationales, Abdelhamid Mehri, l’ancien secrétaire général du FLN n’a pas manqué de souligner récemment que l’Union du Maghreb arabe passe impérativement par la chute de régime de Kadhafi. "Nous ne pouvons pas imaginer l’Union du Maghreb avec Kadhafi".»
- Un nostalgique : «L’ancien ambassadeur Abdelaziz Rahabi a noté que ces erreurs sont dues, entre autres, à l’absence de fonctionnement institutionnel de la diplomatie algérienne et du pays de manière générale. Ce qui pose un problème primaire de la gestion des affaires du pays : non seulement les positions officielles privilégient les intérêts du régime sur ceux du pays, mais de plus, l’Algérie ne dispose pas des structures en mesure de s’adapter à une situation mouvante, comme le fut la crise libyenne. Les institutions algériennes ne fonctionnent même plus en temps normal. Comment peuvent-elles fonctionner correctement en temps de crise ?»
-Fawi Ali Rebaine Ahd 54 : «Par ailleurs, l’ancien candidat à la présidentielle de 2009 pense que la diplomatie algérienne, dans sa gestion de la crise libyenne, a renié la tradition algérienne qui consistait à soutenir les peuples en lutte pour leur liberté. «C’est tragique de voir l’Algérie soutenir un dictateur qui tire sur son peuple» 
Puis quelques lignes plus tard, contradiction :

«Et si le pouvoir persiste dans cette logique d’autosatisfaction, le chaos risque d’être inévitable. Les exemples tunisien et égyptien sont là et la crise libyenne est à nos portes. Il faut prendre la mesure et la gravité de la situation.»
                           _________________
Quand aux commentaires des média, il n'y a pas lieu de s'étendre sur le sujet, rappelant seulement que la majorité fonctionnait en "chambres de résonance" des média extérieurs (AFP, REUTERS, Le MONDE, ...), applaudissant la révolution suicidaire déclenchée par l'OTAN/CIA/Mossad et leurs mercenaires. 
Avec son enthousiasme habituel pour la promotion du nihilisme, Kamel Daoud chargea ses chroniques et discours anti-islam, anti-arabe, pro-sioniste, avec le même message d'exhortation aux troubles. Tout en affichant son mépris coutumier et se délectant du spectacle affligeant que la crise offrait au monde entier, il s'empara de l'occasion pour fustiger l'attitude réservée de l'Algérie. Remplissant convenablement sa mission de provocateur et son rôle d'incendiaire au sein des rédactions de SlateAfrique, Algérie-Focus et QuotidienD'Oran. 
N'est pas fortuite l'éloge que lui accorde SlateAfrique, le site juif, administré par les juifs pour la consommation des naïfs Goyim. Ou celle d'ARTE que je rapporte dans la photo suivante :



Conclusion :
Ce retour sur des tristes événements, dont les conséquences désastreuses ne sont pas toutes recensées, ni l'impact à long terme évalué, a pour but de suggérer aux responsables en charges de sécurité à nos frontières d'étudier la décision de mobiliser toutes les personnes qui ouvertement ou du bout des lèvres, exprimèrent leur soutien aux "révolutions démocratiques ".
-Dans quel but ?
-Pour leur faire goûter la potion qu'ils recommandaient aux autres.
Assis confortablement dans leur fauteuil, ils n'avaient pas ménagé les encouragements aux rats de Benghazi d'alors. Les uns voyant en eux la naissance du califat wahhabite, les autres une victoire du peuple sur la dictature.
La situation en Égypte a encore une fois donné l'occasion à des célébrations publiques malgré la déconvenue libyenne.
En réponse à leur persistance dans l'erreur et à titre de rétribution pour leur insouciance du préjudice porté au pays par leur propagation de la désinformation, l'autorité responsable devrait décréter leur entière responsabilité pour les opinions et les écrits relatifs à toute crise majeure passée ou à venir.
Cette tentative de manipulation de l'opinion était malicieusement accompagnée d'incitation à la débauche (du peuple) et à la révolte aveugle. L'oxymore révolution / printemps / destruction était soigneusement enveloppée dans les utopies "liberté", "changement", "victoire du peuple", "démocratie", "renaissance de l'Islam", "instauration du califat", etc...
Les grands défis à relever dans un futur immédiat sont :
-premièrement, celui de reconnaitre les personnalités /charlatans de la politique et de l'information qui ont vanté la "descente en enfer" des pays cités;
-deuxièmement, de s'assurer que ceux parmi ces délinquants, opportunistes et ignorants qui ont démontré leur irresponsabilité lors des événements graves (qui se déroulent toujours sous nos yeux), n'aient jamais le pouvoir de décider de notre avenir ou de gérer nos affaires, tant leur nuisance connue ou prévisible est devenue manifeste. 
N'oublions pas de déclarer nos louanges à Allah pour la bénédiction dont Il nous entoure et écartant cette nébuleuse néfaste qui aspire aujourd'hui à la gouvernance et au pouvoir de décision (présidentielles) !
Notons leurs noms et soyons sur nos gardes chaque fois qu'ils tenterons de nous leurrer par leurs discours démagogiques et leurs critiques calomnieuses du "système"
Bouteflika !
Autre suggestion à nos responsables de la défense nationale :
Touati et Rebaine à la frontière malienne.

Soufiane Djilali à la frontière libyenne.

Attachez ces brebis galeuses ou "chèvres de MrSeguin" aux endroits frontaliers potentiellement dangereux (activité et incursions terroristes) en espérant qu'ils attirent les terroristes coupeurs de têtes et permettre l'éradication des hordes de mercenaires qui rodent près de nos frontières. C'est le seul service que ces pourfendeurs et ennemis furtifs du pays pourraient rendre à la patrie.
_______________________________
(*) Note :
Comme "l'homme a tendance à vite oublier", il est intéressant de jeter un regard rétrospectif sur ces crises arabes et juger de l'entrain de nos média et des personnalités politiques locales et internationales à nous trainer dans le merdier déposé par l'OTAN, BH Levi et ses coreligionnaires, et les agents locaux (El Watan, etc...).
Le grand service rendu au chercheur par l'internet est la facilité de tracer les documents de la période et constater le peu de fiabilité et les intentions diaboliques des média et du monde politique qui militaient en faveur d'une ingérence de l'Algérie dans les crises des pays voisins. Ceci après qu'ils aient échoué à entrainer l'opinion dans la même aventure "printanière" !
Quel aperçu de "l'histoire vivante" nous avons entre nos mains avant que ne soit diffusée celle "morte" dite aussi "officielle", livrée par la Kosher Nostra !
Les moteurs de recherche sont infaillibles pour ce genre de travail, et des résultats impressionnants sont au bout d'un clic de souris.
-Cherche (le traitre), tu trouves !

                                À Suivre.......



22 oct. 2013

Algérie : Les Apprentis Présidents Poussent Comme Des Champignons (suite 3)

Proposant quelques analyses personnelles sur les candidats aux élections présidentielles de 2014 je tente d'avertir le lecteur occasionnel de ce blog sur les enjeux que représente l'agitation médiatique qui est dédiée uniquement à leurrer l'opinion et à l'induire en erreur.
-Tout d'abord "qui leurre qui" ? Une question à la mode que je tente d'élucider depuis 5 ans et qui est clairement citée dans la description de ce blog. Objectif : exposer le pouvoir de l'ombre d'essence et d'allégeance juive qui contrôle les médias. Il actionne à volonté les moyens de communication pour manipuler l'opinion et l'orienter vers des choix qui lui sont préjudiciables. C'est là un résumé schématique, mais suffisamment éloquent et qui nous arme pour confronter l'agression de la juiverie internationale qui s'est attelée à son agenda principale : nous détruire. Moralement, spirituellement, et physiquement, les prédateurs "enfants de Satan" tentent de nous anéantir. Toute campagne massive des média a un objectif non déclaré qu'il est important de tenter de décoder. L'attitude à prendre dès le début de ces vagues de news, d'interviews, de reportages, d'articles écrits, sur un sujet donné, est de marquer une pause et d'éviter tout jugement hâtif. Évitez bien sûr d'accepter le message que tente de faire passer les média, spécialement d'abord ceux connus mais également ceux furtifs, qui sont au service du monopole juif. cette méthode de prospection est empirique au départ puis progressivement un modèle se dessine qui permet instinctivement de se prémunir de la manipulation qui est opérée.
Ce modèle est utile dans le cas de la situation qui règne en Algérie depuis la "fameuse maladie de Bouteflika" qui a déclenché un tsunami médiatique au contenu et à la forme douteux. Tentant de prendre de vitesse l'opinion et la dérouter, avant l'échéance prévue d'Avril 2014 des élections présidentielles, la tempête médiatique déclenchée présentait des "candidats aux élections" parachutés sur la scène à l'improviste, sans préavis, eux mêmes ignorants les facteurs inédits de cette situation. Pressés de s'embarquer dans le train, il fallait signaler sa présence au conducteur (la presse) en agitant des articles de la constitution, des cris d'alarme sur la situation du pays, les risques de troubles sociaux, enfin n'importe quoi pour attirer l'attention. Situation burlesque rassemblant des clowns échappés d'un cirque ambulant !
Pour briguer le poste de chef d'état dans la conjoncture actuelle (régionale et internationale) marquée par des dangers multiples (militaires, politiques, économiques, financières) que seul l'aveugle ne perçoit pas mais dont il a certainement entendu parler, ils auraient dû par respect et décence contenir leur enthousiasme et tempérer leurs ambitions. La "tempête" médiatique provoquée pour l'occasion était dès le premier abord suspecte et révélatrice d'une tentative de détournement de l'opinion du rôle prépondérant du président Bouteflika dans la stabilité du pays. Campagne malveillante instiguée et véhiculée par les média de la subversion, média dont je dénonce le travail de sape psychologique, la propagande mensongère et le danger qu'ils font peser sur notre avenir (se reporter à n'importe quel article antérieur de ce blog pour en avoir une esquisse).
A.Benflis comme signalé précédemment (Lien) avait bondi dans le wagon des élections dès le 08 Juin comme le précisait un sondage publié sur son site dont le serveur (http://www.alibenflis2014.com/fr/) est depuis hier, étrangement et subitement,   mort (?!?)
Les élections et les candidats :
Il y a lieu de distinguer trois catégories de candidats aux élections devant désigner le président de la république.
- 1- les apprentis, élève de l'école maternelle (de l'éducation primaire politique) qui veulent sauter des classes en convoitant un poste de professorat à la haute académie des sciences de la gouvernance. Parmi eux les opportunistes et les judas qui s'infiltrent dans la cour des grands ou s'investissent dans les partis "fond-de-commerce".
-2- ceux qui n'apprendrons jamais ce qu'est la science et l'art de la politique, perdus dans leurs rêves (utopie), occupés à gérer les débats stériles, ou absorbés par la polémique interminable et la distribution de l'injure gratuite.
-3- les professionnels qui ont rejoint un maitre enseignant devant lequel ils montrent humilité et modestie, s'arment de patience, obéissent aux ordres, et s'attachent à accomplir les missions qu'on leur assigne. Ces étudiants scrupuleux et attentifs, de tout âge, mus par le patriotisme d'abord, font leur apparition et constitueront l'avant garde de la gouvernance du pays où devrait régner la paix, la sécurité et la prospérité.
Retour sur l'histoire des élections de 2004 :
Accusé par un visiteur du nom de Chahla Sahraoui d'être un mythomane, je me détacherais pour un moment de mon romantisme politique pour me tourner vers le passé authentique et revoir un passage de la campagne électorale de 2004, un film documentaire avec pour acteurs principaux A.Benflis et Anissa Esther Boukharouba, dans lequel A.Benflis utilise une mascotte/gri-gri (Mme Anissa Boukharouba est l'ex-première dame du régime dictatorial communiste enduré de 1962 à 1980.). Raviver les fantasmes populaires associés avec le règne de l'ancien tyran et en tirer des voix était l'objectif. 
Le documentaire n'est pas d'un style hollywoodien mais vaut bien quelques clics de souris  pour le visionner. 
Remarque :
Le "porte bonheur" trimballé à Biskra, Batna et à l'est du pays n'a apparemment pas produit le magnétisme souhaiter.
Pour épargner aux visiteurs la tache laborieuse de lire mes réflexions sur le film je propose en échange d'observer une BD que j'espère plus distrayante.





















      À suivre............

20 oct. 2013

Algérie : Les Apprentis Présidents Poussent Comme Des Champignons (suite 2)

Le retour du Président Bouteflika démontre que les mystères divins sont intarissables. La meute lancée à ses trousses et le poursuivant jusqu'à son lit d’hôpital est revenue bredouille de son impitoyable chasse à l'homme et commence à regretter leur ardeur à enterrer le vieux lion....vivant.
Le virtuose du dialogue et du rassemblement qui a géré des situations bien plus ardues dont celle extrêmement grave de la faillite générale qui régnait en 1999, regarde avec indulgence l'agitation qui s'est emparée de ce petit monde de l'opposition qui sous différents subterfuges a rejeté ses appels à la concertation et à la coopération et s'est lancé dans la vindicte aveugle.
- Quels sont les motifs de leur refus à coopérer et leur repli dans la dissension ?
- Énumérés tout au long de ce blog, les raisons sont multiples et filtrent à travers l'étalage de prétextes, faux fuyants, mensonges, démarches opportunistes, intérêts occultes, plans subversifs, rancunes ancestrales, tares hérités des clans déchus du pouvoir, etc...
L'indisponibilité du président a aiguisé la cupidité des envieux et des assoiffés de domination. Tous se sont précipités pour l'enterrer vivant au mépris de toute les règles d'éthique et de retenue morale. Ils ont dévoilé leur haine et leur aigreur et démontré l'hypocrisie de leur patriotisme de façade motivé uniquement par la rancune maladive et l'esprit de vendetta. La défense des intérêts nationaux et l'instauration des utopiques liberté, démocratie, égalité, justice sont des médiocres slogans publicitaires servant leur fonds de commerce réel : la soif du pouvoir et de ses privilèges.
Bouteflika revenu, la panique s'est emparée d'eux; la peur les habite et les désoriente au point de ne plus contrôler leurs émotions qu'ils tentent de dissimuler derrière des déclarations tapageuses. Le plus déplorable dans cette mascarade, est leurs efforts à se mettre en évidence non pas en adressant les questions importantes et en proposant des réponses, mais en proférant des critiques dont la prétention est de tenir haut la calomnie et la diffamation. L'indignité règne. Le peuple devra en tenir compte et se prémunir de ces ambitieux aigris et débordant de rancoeur.
Les exemples de politicien qui se trémoussent pour attirer l'attention en sacrifiant leur dignité et piétinant les règles de déontologie sont repérables sur pratiquement tous les média en guerre contre le président depuis 1999.
- Soufiane Djillali (Lien) revu par "jiljadidbejaia.unblog.fr" : «Sofiane Djilali, 53 ans, a claqué la porte  du PRA en 1999, lorsque Nordine Boukrouh a décidé unilatéralement de participer au premier gouvernement mis en place par Bouteflika (refus du dialogue parce que contraire à son "agenda" ). En 2004, il s’est lancé dans une aventure avec Ali Benflis (Aventure ? La question n'est pas fortuite.) 
L’échec est cuisant et va coûter sa vie politique à l’ex-patron du FLN (dis moi qui tu fréquentes...). Sans détours, Sofiane Djilali assume son choix tout en dénonçant le déficit démocratique dont souffre le pays. Mais il ne baisse pas les bras. 2011, il lance Jil Jadid, qui célèbre en ce mois de mars son deuxième anniversaire.»
Soufiane "lance" beaucoup de choses, mais ce dont il a la spécialité est la diatribe stérile irrecevable même chez le commun des mortels car axée sur le commérage, le badinage, et les supputations telles de prêter des intentions à autrui:
- «Jil Jadid accuse le «système bouteflikien» de vouloir se perpétuer».
- «Réquisitoire qui le mènera à faire le procès du chef de l’Etat qu’il accuse de "mener la nation vers un abîme"»
- «Maintenant, en ce qui concerne Jil Jadid, nous partons de l’idée que ce pouvoir et, surtout le régime de Bouteflika, a complètement annihilé toute forme de pensée politique. Nous étions dans le parti unique, avec Monsieur Bouteflika, on est passé  à la pensée zéro. Donc, aujourd’hui, il  s’agit de reconstruire, de retisser de nouveau un lien social. Il faut que les Algériens apprennent à vivre ensemble, à travailler ensemble, à avoir des objectifs ensemble.
Il faut recréer un courant de pensée nouveau avec des instruments politiques et doctrinaires complètement nouveaux et endogènes à la société algérienne. Il ne s’agit pas d’importer des concepts, des idées ou des doctrines et vouloir les plaquer sur la société algérienne. Mais, tout au contraire, il faut profiter d’une vague qui monte, d’une nouvelle génération qui a été plus ou moins instruite, qui est ouverte à ce qui se passe dans le monde, qui a une nouvelle approche du fait social ; c’est ce courant -là qu’il faudra alors traduire en une pensée politique.

Dans quelques années, dans cinq ou dix ans, en Algérie, on ne parlera plus de réformisme musulman, de néolibéralisme, d’islamisme et de socialisme, mais on parlera de quelque chose de tout à fait nouveau (On y arrive enfin. Le NOM ?) qui correspondra à la conception et la perception de cette nouvelle génération qui sera à ce moment-là, malgré les blocages du régime, au pouvoir.»
Remarque: Un argument majeur qui confirme la faiblesse de tels individus à même prétendre diriger leur propres affaires avant d'envisager de conduire celles du pays, est la nature des liens qu'ils tissent avec des associés douteux. Dans le cas de Soufiane Djilali, des membres fondateurs du "club JilJadid", dont Zoheir Rouis (photo) :

-A.Benbitour : qui n'est plus à présenter et que même les tentatives de lifting publicitaire ne pourront plus réhabiliter vu son statut de Cheval de Troie des banksters talmudes, comme je l'ai souligné à plusieurs occasions (Lien, Lien, Lien, Lien). En plus du fait qu'il se soit gouré dans ses calculs il devra tout réviser pour démontrer sa fameuse formule "hydrocarbures = malédictions", projet qui l'occupera certainement pour encore 20 ans .

- A.Benflis : Aux dernières nouvelles, il se revitalisait par la pratique du yoga (ce qu'il a annoncé sur la chaine III) en prévision des échéances d'Avril 2014. Il écrit des livres et a chargé DE. Benfreha, le webmaster de son site internet (Lien) de la publicité pour sa campagne électorale. Là aussi il est impératif de signaler le bruit de fond assourdissant des média, les sites internet et la presse de la subversion en tête (Algérie-focus 1 2, TSA, Algérie-Express, algerie360, algérie1, algérienews.info, forumdesdemocrates, intelligence-info, etc, etc... 
Le pouvoir de l'ombre a donc désigné son candidat !

Remarque :
Voilà un vrai homme du serail, juge à 24 ans (tribunal Blida-1969), a négocié adroitement sa promotion tout au long de l'abomination de la dictature (Boukharouba) au sein du ministère de la justice (procureur), ministre dans différents gouvernements, durant une période où les plus graves violences furent commises contre le peuple algérien.
Judas assis à la table de Bouteflika, il tente de saborder le programme contracté entre le président et le peuple (1999). Responsable de la débâcle "Al-Khalifa" suite à sa campagne de libéralisation-privatisation qui fut le motif de sa destitution. Candidat à la présidence en 2004, écoutez le déclarer :
 «Nous allons libérer le pays de ces despotes, nous allons libérer la justice, la télévision et allons restituer au citoyen sa dignité(Lien). 
Puis dans dans un interview fictif :
- Libérer la justice ? 
- «1969-2004, soit 35 ans d'ancienneté au sein du "consortium" et à tous les échelons de sa hiérarchie, est un long parcours pour arriver enfin à faire ma confession en reconnaissant que la justice était "prisonnière", et ceci sous ma propre autorité ! »
- Prisonnière de quoi ? De qui ? Donnez-nous des explications, pas des slogans électoraux, Mr Benflis !
- « C'est un secret d'état ! Mais je peux seulement vous dire que ça relève de la fraude du socialisme spécifique...»
Et le suspense théâtral que vous entretenez sur votre éventuelle candidature ? 
- «Un autre épisode de mes chicaneries mensongères, puisque dès Juin 2013, j'ai entamé les préparations de ma campagne en prévision du "décès certain" de Bouteflika ! (lien -mon site, ou Sondage de JeuneAfrique loué par mes services).»

Notez la date : 08 Juin 2013 !
Inutile de s'étaler sur les tripotages enregistrés au cours du parcours de notre revenant de Batna, deux phrases suffisent pour réfuter ses  :
"Chassez le naturel il revient au galop" et " L'arbre arrivé à maturité, son tronc mal-formé ne peut plus être redressé " !
Personnage énigmatique et évasif, Benflis tire de sa manche son jocker, le militantisme politique, la bravoure, et le sacrifice suprême des nobles Chouhadas membres de sa famille (dont son père, Allah yarahmouh). Un capital moral à préserver et à respecter en adhérant aux idéaux et principes défendus par les martyrs de la lutte contre le colonialisme.
Benflis voulant s'en servir, a-t-il le droit d'en récolter les dividendes moraux après en avoir tirer pendant 40 ans les bénéfices matériels ?
Son argumentation est-elle recevable ? Le rappel au "souvenir" des martyrs a été une astuce de manipulation des masses que Boukharouba et le FLN ont à grande échelle abusivement exploitée. Benflis qui y a été associé pendant 50 ans, n'a jamais soulevé d'objection à ce commerce mémoriel !  Pour citer quelqu'un de bien placé, à savoir le président martyr M. Boudiaf (Yarhamouh Allah), son appréciation de la fraude du parti unique dirigé par le dictateur : «le FLN est mort en 1962, ce qu'il en reste n'est qu'un alibi
- Alibi ?
- Une définition qui élucide le jugement de Boudiaf : «Excuse, justification, d'une conduite jugée répréhensible ou inhabituelle.»
Slate.Afrique faisant écho à un article d'Algérie-Focus,  site d'intox sioniste-juive mijotée par le...MOSSAD (Lien, Lien).

Une histoire identique circule dans les média à propos du soutien à Benflis de l'ex-président-général Zéroual.
- Erreur de sa vie qui risque d’endommager sa réputation  ! 
- Car le pouvoir de l'ombre a besoin d'un bouc émissaire au cas où la situation tournait à la catastrophe nationale ! Le traitement réservé par le pouvoir occulte au défunt président Chadli Bendjedid (Allah Yarhamouh) devrait servir d'avertissement à Zéroual qui est loin d'appréhender les risques de son association avec ces démons de l'intrigue ! 
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                                                À Suivre....

16 juil. 2012

Guerre Tranquille Et Armes Silencieuses : Éducation Détournée Et Pillage Organisé.

Mr Chitour aborde certes le thème de la déliquescence de l'éducation en observateur critique et en professionnel averti (Lien). Ses propositions sont instructives et pertinentes concernant la revalorisation des matières scientifiques Maths + Physique, et des formations ingénieurs et techniciens. Mais il esquive très diplomatiquement la confrontation avec la hiérarchie en ignorant les vraies causes et solutions au problème. Car c'est au sein de sa structure qu'il pourrait aider à dénicher les responsables de la destruction programmée et planifiée de l'éducation. Ceci n'est pas particulier à l'Algérie, des militants engagés, de part le monde, dénoncent le NOM juif et démontrent que cette opération de dévalorisation du contenu des programmes et de dépréciation du système éducatif n'est ni fortuite, ni accidentelle, ni aléatoire, mais relève d'un agenda dicté par la Juiverie/Franc Maçonnerie en guerre contre le reste de la population des tubes digestifs de la planète. 
Pourquoi Mr Chitour hésite-il à débattre des questions de fond en se limitant aux apparences et aux spéculations, là où son expérience et son ancienneté lui permettent d'en élucider les vrais causes ? 
Il le dit de manière claire en faisant allusion dans un article de "Liberté" à ajouter à son crédit de pédagogue, peut être à son intégrité morale et professionnelle, “Nous formons pour la France” :
«Or, avec la mise en place de la sélection par ordinateur, on a eu tendance à faire croire aux jeunes bacheliers qu’il peuvent choisir en toute liberté. Je pense que le recours à cette méthode est une erreur.»
L'orientation par ordinateur est un désastre sur tous les plans et une dilapidation de ressources et de talents.
J'ajouterais : l'ordinateur est un paravent à la malveillance des forces occultes qui contrôlent la bureaucratie de l'enseignement. La situation est bien plus grave, on fait face à des criminels qui se sont introduits avec ou sans la connivence de ministres souvent incompétents ou complices. L'administration qui dirige de facto s'est déchargée de ses responsabilités et obligations d'éducateurs en se dissimulant derrière l'outil informatique et faire croire que le travail d'orientation se fait équitablement et objectivement. 
-Parce que la "machine n'a pas de parti pris et ne ment pas". 
-Faux ! La machine ne produit que ce que le programmeur exige d'elle ! Or les paramètres et données choisis par ces délateurs sont partiels et partiaux, arbitraires, et illégitimes ! On ne peut scientifiquement et objectivement évaluer les performances d'une scolarité couvrant 12 ans d'étude en se basant sur un examen et les notes accolées à 6-10 matières, lorsqu'on sait les conditions particulières traumatisantes résultat du conditionnement excessif et de la pression psychologique sociétale, qui relève de la démence  ou du sadisme, exercée sur les candidats avant le baccalauréat
Le baccalauréat est un test parmi une multitude imaginable d'autres outils d'évaluation. La colonisation nous a légué un Frankenstein qui n'existe nulle part ailleurs ! (voir Wikipedia, Lien et Lien)     
Étape suivante de cette cabale est le gâchis opéré une fois obtenu l’accès à l'université où l'étudiant est soumis à un barrage d’agressions multiples et d'obstacles souvent insurmontables. Il endure des injustices indéfendables et des pratiques inqualifiables! La fin justifiant les moyens, le diplôme est un démon a qui il faut tendre des offrandes et faire des concessions :
Copinage, favoritisme, régionalisme, paternalisme/mandarinat administrateurs/enseignants siégeant en tyrans implacables, sans conscience car nombreux ces enseignants qui ont troqué leur âme à l'idole de la science/connaissance. 
Le paternalisme et l'abus d'autorité brutalisent ces jeunes innocents et les poussent vers des choix extrêmes aux conséquences imprévisibles :
-le reniement total de leur citoyenneté et la préparation pour le départ en exil.     
-l'engagement impulsif dans le nihilisme politique ou l'anarchisme, ou l'adhésion à des idéologies sectaires, arabophobie/islamophobie (MIK-MAK), le djihad/Wahhabisme (dont les agents sillonnent les cités universitaires), le marxisme révolutionnaire illusoire, etc..
-les stigmates indélébiles marqueront des générations de jeunes algériens dont la rancune est le gage de leur démobilisation de tout projet social et de leur désengagement civique.   
-la corruption morale qui se répand  est l'incitation à la débauche d'innocentes victimes leurrées par la façade brillante de l'université que la vermine humaine infiltrée en son sein a pourrie. 
-Dépravation de l'institution (universités et écoles supérieures)est pointée du doigt dans les articles (Lien, Lien) de ce blog, y ai fait allusion et en révélant la présence de la Franc Maçonnerie satanique à Tlemcen, dans le cercle VIP de nos chantres de la littérature (Lien et Lien) 
Traumatisés et trahis, les jeunes étudiants sont poussés au bord du désespoir et voient leurs ambitions dégénérés en cauchemar !
Un exemple édifiant :
L'explosion de gaz à l'université de Tlemcen, qui a tourné en drame, avec le décès d'une douzaine d'étudiants. La réaction des ministères, des services publiques concernés et de ceux touchés par la tragédie a été exemplaire. Les déclarations de Hachemi Djiar rassurantes : « cet accident, qui a coûté la vie de nos enfants ne passera  pas sans punition ».
-Wait and see ! Ou disons "Chiche"  !
Présent sur les lieux quelques heures après l'incident, j'étais en mesure de constater la grande motivation des autorités à réparer cette catastrophe, avec compassion et un sens élevé du devoir d'entre-aide et de la solidarité. Les commentaires des hauts responsables, les moyens gigantesques mobilisés, signalent la mise en pratique de nouvelles mœurs de gestion qui les honorent. 
Mais suivra l'enquête et apparaitra sur scène le pouvoir occulte liant la magistrature et le corps universitaire (Rotary, Maçonnerie), un précédent est signalé sur le web à propos de "l'Affaire Maison de la culture Mohamed Dib. (Lien
Le cas d'El Khalifa en est un autre; ici en Algérie, et en Angleterre où Abdoulmoumen s'est refugié, la "fraternité" le couvre, son père en était membre, fonctionnaire à la présidence de la République !
Constat personnel à Tlemcen:
Des échanges de vue avec quelques étudiants ont été édifiants.
Ils dévoilèrent des aberrations dans la gestion de l'université inacceptables dans les prémices de ce temple de la pensée et des sciences et traduisent un fait alarmant : l'université a été détournée par des forces malveillantes parasitaires qui s'attachent à la détruire et à démobiliser les étudiants qu'elle devait servir.
 Deux catégories d'étudiants échappent à cette règle : les enfants privilégiés et ceux de la "fraternité".  Peut être quelques génies à la carapace de tortue qui surmontent les obstacles dressés devant eux et décrochent un diplôme !
-les premiers sont inscrits en majorité à "l'École préparatoire en sciences économiques, commerciales et sciences de gestion", une porte sur le marketing (kabala juive), pour assurer la relève dans le business et la gouvernance économique en Algérie, en prévision de l'instauration intégrale du NOM;
-les seconds, diplômés sont un capital humain pisté et signalé aux universités étrangères et vendu au plus offrant ! Un marché parallèle rentable d'esclaves que les recruteurs locaux (siégeant dans les directions de faculté) négocient en échange de "friandises" en espèces versées à l'étranger sous formes de services.  Manière sûre de vider le pays de ses ressources humaines et éliminer toute concurrence aux "enfants à papa" de l'élite maçonnique qui seront parachutés au bon poste, convaincus de leur bon droit à gouverner le monde !
 Ceci pendant que nos jeunes diplômes sont leurrés par l'Éldorado occidental et cajolés pour rejoindre les loges françaises et canadiennes de la caste des enfants de Satan !
Quelques faits alarmants :
-Le stress vécu par des jeunes adultes (âgés de 18 à 20 ans) cause fréquemment des défaillances physiques certaines : le diabète, l'hypertension, les risques cardiaques aigus. Drainant des nouveaux inscrits à la sécurité sociale, bénéficiaires d'une carte "Chiffa" d'invalides souffrant de maladie chronique ! Les statistiques médicales disponibles sont choquantes. 
-l'injustice infligée aux bacheliers algériens, ceux dont la note moyenne au bac dépasse les 14/20 et qui ont suivi au lycée des cours principalement en Arabe et une moindre maitrise du Français, sont subitement, sans préavis, confrontés à un cursus entièrement francophone ! Aucune aide ne leur est offerte pour les assister à opérer cette mutation linguistique brutale. Froidement et sans remords, ils rayés des effectifs. Ceux qui ont eu la "chance" de maitriser la langue ou ont opté pour ce choix par conviction culturelle ou politique (les égarés de l'amazighité) survolent plus facilement les épreuves.
Remarque :
Les "chers frères" qui ont conçu ce schéma crapuleux doivent se réjouirent de leur habilité à confondre le commun des moutons. Avertis ils ont eux rodé leurs enfants à la pratique du français, grâce à la "fraternité", l'entre-aide internationale, les échanges culturels et l'accueil à l'étranger.
Conséquence immédiate, durant les 1ère-2ème-et-3ème année le niveau de la déperdition et l'abandon des cours est alarmant, une situation qui ne semble mouvoir ni les responsables directs de l'administration, ni la tutelle.
Les moyens/ressources colossaux dédiés à assurer l'avenir de la nation sont dilapidés.
Dés l'annonce de l'accident l'anarchie au sein de l'administration universitaire qui suivit est révélatrice de l'insouciance qui y régnait, vu que les fuites de gaz dans le resto avait été signalées sans effet et aucune mesure ne fut prise pour éviter le pire. L'égoïsme d'autres  responsables furent exposé au grand jour, abusant carrément des budgets d'étude, pratique qui entache la gestion du staff en charge, à l'image du Pr Benhabib directeur de l'école qui sollicité pour avis urgent était introuvable, plus précisément à Boston (USA) ! Et ceci en plein phase d'examens de fin d'année ! S'initiait-il à quelque formule incantatoire de la Kabale talmudique qui aller révolutionner la science du management à l'école ?  Le crypto-juif s'initiait-il à un nouveau degré de la "hiérarchie" ? 
Certaines carences sont indéfendables.
 Exemple de ce professeur de " comptabilité " en 1ère année d'économie/commerce/gestion, qui lors d'une révision des corrigés d'exercices abordés durant les Travaux Dirigés de toute l'année 2011-2012, s’aperçut que les solutions remises aux étudiants par l'assistant en charge étaient TOUTES fausses. À trois jours de l'examen !
Le professeur repris les exercices, tache qu'il aurai dû accomplir régulièrement durant l'année, pas tardivement au mois de Juin. Il colmata le navire en détresse avec quelques heures supplémentaires pour la correction ! Ceci ne peut pas réparer  l'infamie première du recrutement de l'assistant, sans aucun doute quelque fils à papa ("cher frère") recruté par téléphone ! 
Les étudiants déroutés étaient incapables de redresser la barre à cause du peu de temps disponible, et ils ne reçurent même pas des excuses ! Loin d'eux l'espoir que ce Ramsés II de la comptabilité aille les rassurer et leur jeter une bouée de sauvetage, sous forme d'un réaménagement de l'emploi du temps ou carrément d'un report de l'examen ! L'échec dans la matière "comptabilité" les vouant à l'exclusion de cette débauchée d'institution qu'on surnomme "Haute école" ! Tans pis pour eux ! Qu'ils sauvent l'année ou qu'ils se noient, il n'est pas dans les prérogatives de ce pharaon de faire de l'humanitaire, ou même de la pédagogie.
Imaginez l'état de ces jeunes filles et jeunes garçons juste sortis de l'adolescence, qu'on a  trimbalés d'un bout à l'autre du pays, la majorité sont issus de wilayas éloignées et ont enduré les supplices du voyage  (600 à 2200 km parcourus,  6 et même 12 fois en une année) ceci au nom de réformes pseudo-élitistes soufflées par quelque talmudipède de Boston dans l'oreille de nos Terminators de l'enseignement. Dans notre exemple ci-dessus, nos étudiants poussés au désespoir par faute d'un assistant incompétent et d'un professeur négligeant, trouveront-ils un moyen de défense légitime contre le système d'éducation qui les broient  !
Autre déconvenue : les bourses d'étude n'ont été versées qu'au mois de Mai ! 
C'est dans cette atmosphère de violence et d'agression psychologique, et après un parcours de commando, que survivront quelques rescapés de l'épreuve finale.  Meurtris dans leur chair et chargés de rancune envers "le système", système qu'ils confondent avec "gouvernement", "pays", "Bouteflika", etc...
Le travail de sape conduit adroitement par l'ennemi de l'intérieur aura atteint ses objectifs. Le diplômé/survivant est alors psychologiquement "cuit à point" pour subir une dernière manœuvre pernicieuse : son transfert vers l'étranger dans la joie et la délivrance. Comptons combien de nos jeunes pleins d'enthousiasme à l'idée d'étudier et de réussir, ont subi ce travail de sape programmé, organisé, et planifié ! Ils sont des centaines de milliers, et celà dure depuis des décennies !
-Les causes ?
-Les loges et obédiences tiennent les rênes du pays, et de l'éducation !
Mr Chitour fait peut être, de manière très diplomatique et sans le précisé, allusion à ce travail subversif de destruction lorsqu'il lance son cri de détresse : «Nous formons pour la France» (Lien). Si c'est le cas, cet article devrait lui valoir une décoration pour mérite professionnel et patriotisme si seulement son message parvenait à sa tutelle ou à quelqu'un en haut lieu venait à l'écouter. Mais son appel ne trouvera aucun écho chez les mêmes responsables, qui tous ou en grande partie, sont engagés dans l'agenda maçonnique de subversion/ guerre secrète contre le pays!
Conclusion :
Je conteste certes quelques pensées/idées du professeur sur d'autres sujets qu'il reprend dans ses publications ou ses déclarations médiatiques qui meublent son parcours littéraire mais  sa dénonciation des carences du système éducatif, pièce maitresse de l'édifice national, est louable.
En réalité, les outils de sabotage,  "oxymorés" et présentés sous l'appellation de "méthodes scientifiques de classement et d'orientation", s'avèrent être un fléau.
Les Harkis illettrés qui s'engagèrent dans l'armée française font figure d'enfants de chœur en comparaison à ces mercenaires au service de la franc maçonnerie internationale !  
Répétons-le : les difficultés lors de l'orientation deviennent insurmontables et sont cause d'un gaspillage indescriptible et d'une injustice monstrueuse. Présentées par les tenants de la politique du mandarinat et de l'élitisme/suprématisme comme un tamis de sélection conçue pour élever le niveau et la qualité de l'enseignement supérieur il est en fait la source première de déperdition, d'exclusion sociale, de démobilisation, et de la plus ruineuse gestion de ressources humaines. L'éloignement résidentiel pénible, les désagréments physiques et moraux, la fatigue et le stress, ruinent les capacités d'adaptation du candidat et l'éloignent de son objectif. Ceci s'ajoute à la frustration d'une vocation rêvée non achevée par faute d'un logiciel non performant et de critères d'évaluation arbitraires. 
Conséquence immédiate est l'exil de nos plus brillants étudiants, et la déperdition de ceux aussi brillants qui ne parviennent pas à surmonter le barrage de la bureaucratie et du harcèlement pédagogique.  Une hémorragie causant à notre économie des pertes nettes d'un montant exorbitant.
Pointons du doigt la complaisance tacite des responsables de l'administration devant la fuite des cerveaux. Des licenciés et ingénieurs talentueux au potentiel exceptionnel sont livrés aux universités européennes et américaines, à la recherche et à l'industrie des pays développés. Ce pillage s'opère souvent en connivence avec les chargés d'étude, vrais "chasseurs de têtes" rétribués pour les "grosses prises" par le versement de commissions diverses, des invitations aux conférences, des voyages d'étude, et même des rançons en banque ! Et j'assume ce que je déclare, pas uniquement au niveau des universités, mais également au niveau d'institutions privées liées aux fondations américaines et européennes. Voir pour confirmation un échantillon de ce maraudage/pillage avec la complicité de MDI-Business School à l'article dédié à la manigance du marketing/management (Lien /article suivant) 
Le pillage à ciel ouvert !
Un Avant-goût de l'attention humanitaire réservée à nos futures managers. Un trafic humain pratiqué au vu et su de tous, avec la complicité de nos média, dont le plus perfide "El Watan" publie un article intitulé " Un émigré sur deux est une femme ", de la plume de Nordine Grim (Lien). Le criminel déclare: «L’insécurité, qui avait prévalu en Algérie durant les années 1990, et la mauvaise gouvernance du pays, qui en avait suivi durant la décennie 2000, feront exploser le taux de féminisation de l’émigration qui passera d’environ 36% en 1982 à 51% aujourd’hui, selon ce même institut. Le même phénomène serait perceptible au Québec, selon la sociologue Myriam Hachimi Alaoui, qui a publié à ce sujet une intéressante étude dans la revue NAQD (n°28). Selon l’auteure qui y a effectué des investigations très poussées, le Québec est devenu une terre d’asile pour des milliers d’Algériennes pour la plupart hautement diplômées et politiquement impliquées dans divers processus de lutte, fuyant seules ou en famille les persécutions des islamistes et, dans certains cas, des services de sécurité algériens»
Islamistes ? Services de sécurité ?
La vérité est que le trafic est opéré dans un cadre organisé, un réseau maffieux  inscrit aux oeuvres charitables d'organisations caritatives ou éducatives. La preuve de nocivité du harki Grim est qu'il est membre professionnel de MIDI-Business School !! 
(Photo ci dessus)
Liste de bienfaiteurs qui militent pour l'excellence !  Ferhat M'Henni, un membre compromettant, et visiblement compromis, a été exclu de la liste.

Photo ci-dessus :
Les liens étrangement et exclusivement étrangers, sont listés en référence ci dessus. Cadre indigène s'abstenir !

Les cerveaux appâtés par le leurre des bourses, des échanges scientifiques, des stages de perfectionnement, des emplois dans la recherche, etc..., fuient la fournaise en rejoignant des cieux meilleurs sous lesquels les maquignons des sciences et de la technologie les guettent pour les étriller. Les offres d'emploi à MDI-Business proviennent de partenaires.  Lesquels ? Jugez vous même (photo)
   
Comment ne pas s'interroger de l'attitude équivoque de l'administration et du ministère devant l’hémorragie des compétences, de la mauvaise gestion des infrastructures sociales,
de l'arbitraire et du despotisme incontrôlé caractérisant nombre d'enseignants qui violent impunément toutes les règles pédagogiques élémentaires et font souvent de la querelle personnelle leur vertu, et des représailles leur vendetta ?
 Pourquoi aucune mesure préventive n'est envisagée pour mettre un terme à ce pillage et protéger nos jeunes de la souricière tendue par la franc maçonnerie internationale qui les embrigade dans leurs rangs et les détourne de la participation au progrès national ?
La destruction programmée de l'école et de l'université est un acte de guerre contre la nation. N'est-ce pas là un sujet de dissertation enrichissant que Pr Chitour pourrait développer et publier chez "mondialisation.ca", au risque de déranger le sérail et les "compagnons"  ?
   
                                                                       (A Suivre)....
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21 juil. 2010

La Vérité Est Fille Du TEmps Non De L'Autorité, A Propos de "Dette extérieure, réserves de change...."

Lire sans délais un article de Abdelmadjid Bouzidi au lien "Le SoirD'Algérie.com", dont extrait :
«Après avoir été toute proche d’une situation de faillite, l’économie algérienne est aujourd’hui une économie désendettée. Rappelons-nous :
en 1994, durant le premier trimestre, le service de la dette, c’est-à-dire le paiement du principal et des intérêts dus par L'Algérie à ses créanciers, était de 100 %. Ceci signifie que l’Algérie devait consacrer l’intégralité de ses recettes d’exportation à ses créanciers pour le paiement de sa dette. Cette situation a conduit le pays à demander le rééchelonnement de sa dette extérieure après un accord signé avec le FMI qui imposait une réduction des dépenses publiques, un blocage des salaires, une réduction des subventions aux produits de première nécessité et une libéralisation des prix, une forte dévaluation du dinar. Les Algériens s’en rappellent bien ! Tout cela, dans un contexte de crise sécuritaire sans précédent. L’Algérie a ainsi rééchelonné 16 milliards de dollars à rembourser sur une période de près de 11 ans, sur une dette extérieure totale de plus de 30 milliards de dollars. Le pays a pu sortir ainsi du «piège de la dette» dans lequel il s’était enfermé et qui l’amenait à s’endetter pour rembourser la dette : les crédits mobilisés servaient non pas à financer le développement économique mais à rembourser la dette.» Etc.....
(WebOfdebt.com)
  Toutes nos félicitations à l'auteur de ce bref mais concis rapport financier et les commentaires qu'il y associe. Encourageant et réconfortant de découvrir quelqu'un qui  partage son savoir avec autrui. Pour les efforts consentis depuis deux ans à vouloir divulguer une vérité occultée par les média dominants et dissimulée derrière des aberrations  économiques et financières, l'article m'a revigoré de son éclatante intégrité et honnêteté. La vérité appuyée de statistiques, remet de l'ordre dans la maison et balaye les ordures jetés sur le pas de porte par des voisins malveillants . La clôture de l'opération de paiement par anticipation de la dette devrait être décrétée jour férié et fête nationale ! L'Algérie a retrouvé son indépendance !  Et comme l'a déclaré publiquement Bouteflika : «Jamais ! Plus jamais !». Entendre: «nous ne tomberons jamais plus dans cette trappe!». 
Les maitres de l'intox et opportunistes intéressés (Benbitour et ses théories mensongères subversives) parlent eux de "richesse appauvrissante ", "de mauvais placements bancaires", et refusent de reconnaitre la portée et la valeur des décisions prises, historiques et combien opportunes dans le contexte actuel de crise financière mondiale. Le problème à résoudre par tous les algériens est celui de l'éradication de la corruption et des détournements de biens publiques, un cancer qui ronge l'économie depuis 1962, pas seulement 1999 ! Héritage que beaucoup d'intellectuels malhonnêtes souhaitent injustement et arbitrairement léguer au seul Président Bouteflika.
Lire impérativement l'article."Le SoirD'Algérie.com".