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23 juil. 2010

Kamel Daoud Et Le Diagnostique Du Vétérinaire : Accoutumance Due À L'Excés de Franco-folie.

Le web nous fait découvrir l'existence d'autres algériens, autrement plus qualifiés en ce qui concerne la critique littéraire, qui ont une réaction semblable devant l'offensive orchestrée par cette campagne calomnieuse lancée par les chroniqueurs du Quotidien D'Oran sous les thèmes "littéraires" développés par Kamel Daoud, Mourad yelles, etc...
La Rédaction du QO en vacance.

Un coup de force médiatique monté habilement pour tester les résistances de l'opinion, briser les défenses sociales et entamer une autre phase de la sape des valeurs morales et des constantes nationales.
Exemple de personne alerte qui prenne conscience des dangers que représente cette offensive laïque, A.Bellakehal à "Hoggar.Org"
dans une lettre intitulée "La sérénité d’un musulman face à son glorieux passé".
Kamel Daoud mis KO !
 L'auteur écrit : «Mais ce qui est vraiment navrant, c’est de constater que notre élite intellectuelle se prenne au jeu de l’ennemi implacable et se livre à une auto flagellation en règle. Faire son mea culpa peut constituer une preuve de courage et valoir des circonstances atténuantes. Mais courir vers le banc des accusés, et s’autoproclamer coupable d’un crime imaginaire, sournoisement suggéré par une presse, une intelligentsia furieusement tendancieuse, voila une conduite aussi incompréhensible que peu glorieuse, une attitude foncièrement masochiste.» (plus exactement névrotique ).
«Les Arabes « chameliers fiers et exclus… pour séduire les cohortes de Dieux (sic) »  ont-ils plagié la tradition juive pour sortir de l’anonymat, pour émerger du « Quart vide » ? Mohammad le Messager a-t-il, comme vous le dites, tenté de « réparer une histoire » qui a ignoré son peuple en prenant « les livres des autres, les pages volantes, les petites ratures de leurs manuscrits, leurs chants liturgiques tronqués et transformer le tout en une épopée qui n’attend plus que le bon peuple pour se déclencher comme un effet de dominos » ?
«Votre titre évocateur lève le voile sur un trouble profond, presque pathologique, telle une nausée saisissant un « réveillonneur » ayant ingurgité des huîtres polluées, oui il vous donne des haut le cœur ce passé, immangeable (c’est votre titre), vous n’arrivez pas à le gober, la ficelle est trop grosse, nos historiens nous ont tellement abreuvés de légendes, de mythes, de contes des mille et une nuits bricolés à partir de Gilgamesh, d’épopées hébraïques, de récits grecs arabisés. Et c’est maintenant que vous en prenez conscience ; après avoir tété au sein de Marianne, absorbé goulûment le fiel de cette culture si splendidement laïque, débarrassée de la gangue catholique qui la tenait enracinée au Ciel. Séculier, l’esprit affranchi, humaniste, jusqu’au bouts des « orteils », vous volez dans les cimes de la lucidité et de proclamer haut et fort votre mépris de la chose sacrée. On ne peut s’empêcher songer à Taha Hussein revenant dans son Saïd Natal tout ébloui par les « Lumières » de Paris déclamant à tue tête « c’est le pays des djinns et des anges », à Ali Abderrazek cet sommité « az’harienne » proposant prescrivant une bonne dose de laïcité française au monde musulman terrassée par une décadence carabinée, à Youssef Seddik ce bon « philosophe tunisien » faisant le parallèle entre la sourate de « Joseph » avec les aventures incestueuses d’Oedipe le parricide, à Benzine, Arkoun, Meddeb, à l’auteur du « Dictionnaire amoureux de l’Islam », à « nos » anthropologues de France 2, de la Cinquième et d’Arte, à toute cette cohorte d’intellectuels autoproclamés « nouveaux réformateurs » se proposant d’apporter un regard neuf sur l’Islam, un Islam désacralisé, l’Islam de « France » tel qu’en rêvent les Bayrou, Sarkozy et autres chroniqueurs du Nouvel Obs. ; « un islam sans le Ciel », vraiment terre à terre, aseptisé, facile à « digérer », sans contraintes, une religion rendue « tolérante » s’accommodant de Bacchus, de la fornication, assortie d’un jeûne modéré proscrivant uniquement la viande à la table diurne d’un Ramadhan devenu Carême.»
 
Sublime la bastonnade que ce magnifique Ali Bellakehal inflige à DaÔud, et combien réconfortant pour le néophyte littéraire que je suis de retrouvé, au plan des idées, soit l'essentiel, une similitude dans les conclusions de l'analyse de ce névrosé : la fraude littéraire qui se dévoile nue au public en exposant son antipathie à l'Islam et l'arabité, antipathie résultant de l'indigestion de la francophilie. Un conseil utile au ragotard : retournes à l'école  !
Les candidats ne doivent pas être sujet à des tares connues !
 Un rappel : Les gens qui sous estiment la gravité des attaques opérées par Kamel Daoud, distillées dans son verbiage littéraire, ont intérêt à sortir de leur torpeur et prendre les armes pour défendre les fondements de notre authentique "algérianité" basée sur l'Islam, l'Arabité, et l'Amazéghité, unis et indissociables. Les brèches que tente de pratiquer ce démon, à l'aide de sa plume, dans les fortifications de la maison "Algérie", ne sont pas fortuites, anodines ni accidentelles, mais visent à obtenir des concessions. Une concession amenant une autre, la descente vers l'enfer de la dégénérescence humaine est un procédé qui est souvent conditionné par l'effet d'accoutumance et la banalisation, instillées méthodiquement dans l'opinion, elles entrainent une apathie devant les violations répétées de nos valeurs humaines existentielles et civilisationelles. La pente de la déchéance morale est le chemin  que tente de nous faire emprunter cet écrivain, et sa plume satanique est une épée qui transperce le cœur des léthargiques pour anéantir toute résistance future devant l'agression des forces occultes qui souhaitent dominer le Monde. Que ceux qui souhaitent sauvegarder leur dignité et celle de leurs enfants sachent que le dogme de la laïcité est une religion fondée sur la négation de l'existence d'Allah.
Les convictions des adeptes de la laïcité cohabitent avec celles de l'athéisme, du communisme, du"gayisme", des cultes sataniques occultes, de la franc maçonnerie adoratrice d'un "être suprême" autre qu'Allah (que tous les historiens s'accordent à désigner comme Satan), et de toutes les abominations dissimulées sous le couvert de la tolérance et du laxisme décadent. C'est une arme de destruction massive silencieuse, dirigée contre l'humanité toute entière, qui a déjà  anéanti une bonne partie de la population du globe.  Fiction ou réalité ? Fruit de l'imagination ? Délire "conspirationniste" ?
Visitez les sites qui dissèquent le "Nouvel Ordre Mondial", le "sionisme", le "judaïsme talmudien", "l'ingénierie sociale",  "l'eugénisme-génocide" et autres "conspirations" qui œuvrent  à asservir les peuples, et vous constaterez de vous même que cet anodin pamphlétaire du Quotidien, Kamel Daoud, cadre parfaitement avec les visées de l'agenda judéo-talmude. Je lance le défi à qui le souhaite d'avancer une réfutation à cette assertion ! 
Toutes les lois naturelles qu'Allah a imposées à l'homme, pour assurer son bonheur et la bonne marche des affaires de ce Monde sont la cible  de la laïcité, et Daoud en est l'agent et une figure de proue !
Ne manquez pas de rendre visite à Ali Bellakehal pour une excellente lecture du diagnostique clinique effectué sur K.Daoud !

21 juil. 2010

La Vérité Est Fille Du TEmps Non De L'Autorité, A Propos de "Dette extérieure, réserves de change...."

Lire sans délais un article de Abdelmadjid Bouzidi au lien "Le SoirD'Algérie.com", dont extrait :
«Après avoir été toute proche d’une situation de faillite, l’économie algérienne est aujourd’hui une économie désendettée. Rappelons-nous :
en 1994, durant le premier trimestre, le service de la dette, c’est-à-dire le paiement du principal et des intérêts dus par L'Algérie à ses créanciers, était de 100 %. Ceci signifie que l’Algérie devait consacrer l’intégralité de ses recettes d’exportation à ses créanciers pour le paiement de sa dette. Cette situation a conduit le pays à demander le rééchelonnement de sa dette extérieure après un accord signé avec le FMI qui imposait une réduction des dépenses publiques, un blocage des salaires, une réduction des subventions aux produits de première nécessité et une libéralisation des prix, une forte dévaluation du dinar. Les Algériens s’en rappellent bien ! Tout cela, dans un contexte de crise sécuritaire sans précédent. L’Algérie a ainsi rééchelonné 16 milliards de dollars à rembourser sur une période de près de 11 ans, sur une dette extérieure totale de plus de 30 milliards de dollars. Le pays a pu sortir ainsi du «piège de la dette» dans lequel il s’était enfermé et qui l’amenait à s’endetter pour rembourser la dette : les crédits mobilisés servaient non pas à financer le développement économique mais à rembourser la dette.» Etc.....
(WebOfdebt.com)
  Toutes nos félicitations à l'auteur de ce bref mais concis rapport financier et les commentaires qu'il y associe. Encourageant et réconfortant de découvrir quelqu'un qui  partage son savoir avec autrui. Pour les efforts consentis depuis deux ans à vouloir divulguer une vérité occultée par les média dominants et dissimulée derrière des aberrations  économiques et financières, l'article m'a revigoré de son éclatante intégrité et honnêteté. La vérité appuyée de statistiques, remet de l'ordre dans la maison et balaye les ordures jetés sur le pas de porte par des voisins malveillants . La clôture de l'opération de paiement par anticipation de la dette devrait être décrétée jour férié et fête nationale ! L'Algérie a retrouvé son indépendance !  Et comme l'a déclaré publiquement Bouteflika : «Jamais ! Plus jamais !». Entendre: «nous ne tomberons jamais plus dans cette trappe!». 
Les maitres de l'intox et opportunistes intéressés (Benbitour et ses théories mensongères subversives) parlent eux de "richesse appauvrissante ", "de mauvais placements bancaires", et refusent de reconnaitre la portée et la valeur des décisions prises, historiques et combien opportunes dans le contexte actuel de crise financière mondiale. Le problème à résoudre par tous les algériens est celui de l'éradication de la corruption et des détournements de biens publiques, un cancer qui ronge l'économie depuis 1962, pas seulement 1999 ! Héritage que beaucoup d'intellectuels malhonnêtes souhaitent injustement et arbitrairement léguer au seul Président Bouteflika.
Lire impérativement l'article."Le SoirD'Algérie.com".