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4 janv. 2012

Média 2012 : Mensonges Et Diversion A La Poursuite De L’agenda Du Nouvel Ordre Mondial.(1ère Partie)


Énumérons les thèmes principaux qui alimentent l’actualité et examinons le contenu et l’appréciation offerte par différents commentateurs et observateurs.
On constate que la réalité prend diverses formes, en fonction de la source qui la présente. Un choix s’impose, celui de distinguer les motifs et les intérêts, connus ou cachés qui conditionnent le travail des rédactions à l’origine de l’information.
La crise financière et économique mondiale est le premier sujet qui fait couler beaucoup d’encre dans les chroniques spécialisées, de la plume d’experts et de commentateurs avisés. Beaucoup d’autres, par contre, diffusent leurs idées comme support d’une manipulation voulue des masses dont le mécontentement gronde, ce que les banquiers craignent et tentent de neutraliser. Les experts s’accordent sur la gravité de la situation économique internationale et par déduction, de l’état de la planète menacée par les conflits déclenchés par le NOM, en rupture avec toutes les règles régissant les relations entre états. Justice et légalité sont ignorées par les USA et ses alliés, proxy des banquiers talmudes, par la multiplication de centres de tension ou d’agressions directes pour s’accaparer les ressources naturelles et installer des gouvernements fantoches.
Pour les activistes engagés dans le combat pour la vérité, il ne s’agit pas de jouer à l’oracle du désespoir en voulant prévenir l’opinion des dangers qui pointent à l’horizon, mais de la réveiller et l’éduquer en revendiquant :   
-la dignité humaine,
-la vérité sans fard, libre de la manipulation et de l’intox,
-les droits définis par les décrets divins et non ceux, déceptifs et discriminatoires, promulguées par les ONG scélérates,
-la justice pour tous, et des normes universelles respectées par tous, pas la loi du plus fort ou du plus riche,
-et toutes autres valeurs promotrices de l’homme, non celles propagées par l’élite satanique qui œuvre à la destruction morale, spirituelle et physique de l’humanité.
L’année 2012 s’annonce avec en arrière plan, le pire scénario d’une 3eme guerre mondiale, au vu des manœuvres militaires de l’OTAN qui ont lieu dans les zones sensibles de tous les continents, selon un plan de déploiement que beaucoup d’observateurs jugent alarmant, sinon follement hasardeux et provocant, puisque même la Chine et la Russie n’échappent pas à l’encerclement belliqueux des bases de l’OTAN-US.
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Remarque et conseil :
Une lecture incontournable : les articles d’autorités, auteurs, historiens, analystes exposant les grandes lignes de politique internationale et les événements majeurs marquant l’avenir de l’humanité et de la planète est disponible entre autres, sur les sites Globalresearch.ca (Anglais), ou son site mirroir Mondialisation.ca (Français), Tarpley.net , voltairenet.org.
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- James Petras (Mondialisation.ca) «La perspective économique, politique et sociale de 2012 est profondément négative. Quasiment tous les économistes orthodoxes de la pensée dominante sont pessimistes en ce qui concerne l’économie mondiale. Bien que, là aussi, leurs prédictions sous-estiment l’étendue et la profondeur de la crise, il y a de grandes raisons de croire que 2012 sera le début d’un déclin plus important que celui engendré par la Grande Récession de 2008-2009. Avec moins de ressources, plus de dette et une résistance populaire croissante, les gouvernements ne pourront pas sauver le système
- Bob Chapman (Globalresearch.ca) «Sombres perspectives économiques pour 2012: bouleversements sociaux, défaillance des banques et chaos financier»
«2012 va être une année de la chute d’économies, au Royaume-Uni, en Europe, aux Etats-Unis, en Chine, au Japon et dans le reste de l'Asie. L'Amérique latine et le Mexique en comparaison devraient généralement se porter assez bien. L’Angleterre est prise dans une spirale de la mort. L’Europe suivra ; les États-Unis ne sont pas loin derrière ; la Chine et le Japon vont bientôt rejoindre le groupe d’écartelés. Nous nous apprêtons à assister à la fin d’une aire historique qui s’est développée depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale. Cette fin s’opérant économiquement, financièrement, socialement et politiquement. La transition vers l'avenir va naitre après le chaos. Si vous avez le moindre doute il suffit de regarder la récente loi votée aux États-Unis permettant au président d’arrêter et d'incarcérer les dissidents, les torturer ou les assassiner. Les Américains pouvant être étiquetés de « terroristes » pour n’importe quelle prétexte imaginaire si le gouvernement le décide.»
Les commentaires analysant la situation passée et offrant des prévisions pour l’année qui débute ne manquent pas, il est recommandé pour tout citoyen consciencieux et doté d’un brin de respect de soi même, de s’informer impérativement en consultant des sources fiables de la Toile. Les média dominants sont inévitablement amarrés à la machine de propagande juive talmude qui maintient l’opinion dans l’aliénation et l’illusion chimérique, pendant que se trament des complots aux dimensions planétaires en se jouant de la crédulité populaire et acheminant les goyim vers l’étape décisive planifiée par les tenants du NOM : la dictature des des banquiers talmudipèdes. Les enjeux majeurs et les défis qui confrontent les citoyens du monde est un sujet qui n’est pas abordé pas la machine à mensonge regroupant les chaines de Tv, la presse, et les sites internet des réseaux contrôlés par la Kosher Nostra. Mondialement ou localement, les gens doivent apprendre à distinguer les agences d’information inféodés au NOM et à se départir du conditionnement culturel préconisant de croire en tout ce que publient les journaux ou annonce la télé.
Thèmes actuels soumis à un tapage médiatique suspect :
Après la campagne libyenne, la machine à mensonges s’est tournée vers d’autres horizons, à savoir la Syrie, l’Iran, la Somalie, le Yémen, les élections présidentielles prévues en France, aux USA, la crise économique et financière, etc…
La Syrie cible du NOM est sujet de la même campagne que celle précédente, dirigée contre la Lybie, menée par les acteurs OTAN + Israél + USA + ONG + ONU + Pays du Golf (Qatar !!),  accompagnés par les agences sionistes + Aljazeera + les média locaux partisans des printemps arabes (en Algérie, El Watan, El Khabar, Echhourouk,…). Pour les partis engagés traditionnellement dans les conflits meurtriers visant les Musulmans-Arabes, la propagande et les prétextes avancés sont prévisibles et visibles car provenant de l’ennemi de toujours, le sionisme-talmudisme international et ses proxies, « de mes ennemis je me charge ». Mais là où la méfiance s’impose est dans le traitement de l’info produite par l’ennemi de l’intérieur, dans ce cas : « protège moi de mes amis ». Les pays arabes du Golf et Moyen Orient inféodés aux USA-GB, et depuis peu à Israél (relations et accords secrets) , sont passés du rôle de simples alliés logistiques offrant des bases militaires de soutien à la machine de guerre de l’OTAN-US, à celui de partenaires à part entière, sur le plan militaire, politique et diplomatique. Les prophéties se confirment concernant l’avénement du Qarn-Eshaitan au Najd, la région actuelle des 6 (666 !) pays du Conseil de Coopération du Golfe.  Sur le plan médiatique, la chaine Aljazeera est l’outil de propagande agissant comme diffuseur de mensonges et d’agitateur des foules, un rôle prévu par ses fondateurs les frères David et Jean Frydman, qui rapelons-le, sont deux juifs franco-israéliens (Lien, voltaire.net) qui s’associèrent à l’émir du Qatar pour lancer la chaine ! (Lire impérieusement texte intégral ci-dessus, publication de voltairenet.org

                                       …..A suivre  ----> 2em Partie



Wadah Khanfar, Al-Jazeera et le triomphe de la propagande télévisuelle


Al-Jazeera, la chaîne d’information qatariote qui s’est imposée en 15 ans dans le monde arabe comme une source originale d’information, s’est soudainement engagée dans une vaste opération d’intoxication visant à renverser les régimes libyen et syrien par tous les moyens. Ce revirement, démontre Thierry Meyssan, n’est pas le fruit de la conjoncture, mais a été préparé de longue date par des personnalités qui ont su cacher leurs intérêts personnels au grand public. Révélations…

Réseau Voltaire | Beyrouth (Liban)

Wadah Khanfar 
La chaîne qatariote Al-Jazeeraa annoncé la démission de son directeur général, Wadah Khanfar, et son remplacement par un membre de la famille royale, cheikh Hamad Ben Jassem Al-Thani, le 20 septembre 2011.
Cheikh Hamad est un cadre de Qatargas. Il a travaillé pendant un an à Paris-La Défense au siège de Total. Il présidait par le passé le Conseil d’administration d’Al-Jazeera.
Cette nouvelle est présentée dans la presse atlantiste de trois manières différentes : soit comme une démission forcée et une reprise en main de la chaîne par l’État, soit comme une vengeance de l’Autorité palestinienne après la diffusion des Palestinian Papers, soit enfin comme une conséquence des fuites de Wikileaks exposant certaines des connexions de M. Khanfar avec les États-Unis.
Si toutes ces interprétations peuvent contenir une part de vérité elles masquent la raison principale : le rôle du Qatar dans la guerre contre la Libye. Ici, un retour en arrière est nécessaire.

L’origine d’Al-Jazeera : une volonté de dialogue

Al-Jazeera a été conçu par deux personnalités franco-israéliennes, les frères David et Jean Frydman, après l’assassinat de Yitzhak Rabin, dont ils étaient proches. Selon David Frydman [1], l’objectif était de créer un média où des Israéliens et des Arabes pourraient débattre librement, échanger des arguments, et apprendre à se connaître, alors que ceci était interdit par la situation de guerre et bloquait toute perspective de paix.
Pour créer la chaîne, les frères Frydman bénéficièrent d’un concours de circonstances : la compagnie saoudienne Orbit avait conclu un accord avec la BBC pour créer un journal télévisé en arabe. Mais les exigences politiques de la monarchie absolue saoudienne se révélèrent vite incompatibles avec la liberté de travail des journalistes britanniques. L’accord fut résilié et la majorité des journalistes arabisants de la BBC se retrouvèrent au chômage. Ils furent donc récupérés pour fonder Al-Jazeera.
Les frères Frydman tenaient à ce que leur télévision soit perçue comme une chaîne arabe. Ils parvinrent à convaincre le nouvel émir de Qatar, Hamid bin Khalifa al-Thani, qui, avec l’aide de Londres et de Washington, venait de renverser son père —accusé de sentiments pro-Iraniens—. Cheikh Hamad bin-Khalifa comprit rapidement les avantages qu’il pouvait tirer à se trouver au centre des discussions israélo-arabes, qui duraient depuis un demi-siècle déjà et s’annonçaient encore longues. Au passage, il autorisa l’ouverture à Doha d’un bureau du ministère israélien du Commerce, à défaut de pouvoir ouvrir une ambassade. Surtout, il vit l’intérêt pour le Qatar de concurrencer les riches médias saoudiens pan-arabes et de disposer d’un média qui critique tout le monde, sauf lui.
Le montage financier initial prévoyait à la fois une mise de fonds des frères Frydman et un prêt de l’émir de 150 millions de dollars sur 5 ans. C’est le boycott des annonceurs organisé par l’Arabie saoudite et l’absence de revenus significatifs de la publicité qui a conduit à modifier le schéma initial. En définitive, l’émir est devenu le bailleur de fonds de la chaîne et donc son commanditaire.

Des journalistes exemplaires

Durant des années, l’audience d’Al-Jazeera a été tirée par son pluralisme interne. La chaîne s’enorgueillissait de laisser dire une chose et son contraire. Sa prétention n’était pas de dire la vérité, mais de la faire surgir du débat. Son émission phare, le talk show de l’iconoclaste Faisal al-Qassem, intitulé « L’Opinion contraire », se régalait à bousculer les préjugés. Chacun pouvait trouver des motifs de se réjouir de certains programmes et d’en déplorer d’autres. Peu importe, ce bouillonnement interne a eu raison du monolithisme de ses concurrents et a bouleversé le paysage audio-visuel arabe.
Le rôle héroïque des reporters d’Al-Jazeera en Afghanistan et durant la troisième guerre du Golfe, en 2003, et leur travail exemplaire contrastant avec la propagande des chaînes satellitaires pro-US, transforma l’image de la chaîne d’une station polémique en média de référence. Ses journalistes payèrent au prix fort leur courage : George W. Bush hésita à bombarder les studio de Doha, mais fit assassiner Tareq Ayyoub [2], arrêter Tayseer Alouni [3] et incarcérer Sami el-Hajj à Guantanamo [4].

La réorganisation de 2005

Cependant les meilleures choses ont une fin. En 2004-05, après le décès de David Frydman, l’émir décida de réorganiser complètement Al-Jazeera et de créer de nouveaux canaux, dont Al-Jazeera English, alors que le marché mondial se transformait et que tous les grands États se dotaient de chaînes d’information satellitaires. Il s’agissait clairement d’abandonner l’effervescence et les provocations du début, de capitaliser une audience atteignant désormais les 50 millions de téléspectateurs, pour se positionner comme un acteur du monde globalisé.
Cheikh Hamad bin-Khalifa fit appel à un cabinet international qui lui avait dispensé une formation personnelle en communication. JTrack s’était spécialisé dans l’entraînement des leaders arabes et d’Asie du Sud-Est pour leur apprendre à parler le langage de Davos : comment donner aux Occidentaux l’image qu’ils ont envie de voir. Du Maroc à Singapour, JTrack a ainsi formé la plupart des responsables politiques soutenus par les États-Unis et Israël —souvent de simples fantoches héréditaires— pour en faire des personnalités médiatiquement respectables. L’important n’est pas qu’ils aient quelque chose à dire, mais qu’ils sachent manier la langue de bois globale.
Toutefois, le Pdg de JTrack, ayant été appelé à de hautes fonctions gouvernementales en Afrique du Nord, il dût se retirer avant d’avoir achevé la transformation du Al-Jazeera Group. Il confia la suite des opérations à un ancien journaliste de Voice of America qui travaillait depuis plusieurs années déjà pour la chaîne qatariote et appartenait à la même confrérie musulmane que lui : Wadah Khanfar.
À la fois professionnellement compétent et politiquement sûr, M. Khanfar s’attacha à donner une couleur idéologique à Al-Jazeera. Tout en donnant la parole à Mohamed Hassanein Heikal, l’ancien porte-parole de Nasser, il fit de cheikh Yusuf al-Qaradawi —qui avait été déchu de sa nationalité égyptienne par Nasser— le « conseiller spirituel » de la chaîne.

Le virage de 2011

C’est avec les révolutions en Afrique du Nord et dans la péninsule arabique que Wadah Khanfar a brutalement modifié la ligne éditoriale de sa rédaction. Le Groupe a joué un rôle central dans l’accréditation du mythe du « printemps arabe » : les peuples, avides de vivre à l’occidentale, se seraient soulevés pour renverser des dictateurs et adopter des démocraties parlementaires. Rien ne distinguerait les événements de Tunisie et d’Égypte, de ceux de Libye et de Syrie. Quant aux mouvements du Yémen et de Bahreïn, ils n’intéresseraient pas les téléspectateurs.
En réalité, les Anglo-Saxons se sont efforcés de surfer sur des révoltes populaires pour rejouer le vieil air du « printemps arabe » qu’ils avaient organisé dans les années 1920 pour s’emparer des anciennes provinces ottomanes et y installer des démocraties parlementaires fantoches sous contrôle mandataire. Al-Jazeera a donc accompagné les révoltes tunisienne et égyptienne pour écarter la tentation révolutionnaire et légitimer de nouveaux gouvernements favorables aux États-Unis et à Israël. En Égypte, il s’est même agi d’une véritable récupération au profit d’une seule composante de la contestation : les Frères musulmans, représentés par le prêcheur star de la chaîne… cheikh Yusuf al-Qaradawi.
Indignés par cette nouvelle ligne éditoriale et par le recours de plus en plus fréquent au mensonge [5], certains journalistes comme Ghassan Ben Jedo claquent la porte.

Qui tire les ficelles de l’info ?

Quoi qu’il en soit, il faut attendre l’épisode libyen pour que les masques tombent. En effet, le patron de JTrack et mentor de Wadah Kanfhar n’est autre que Mahmoud Jibril (le "J" de "JTrack", c’est "Jibril"). Ce manager aimable, brillant et creux, avait été conseillé à Mouammar Kadhafi par ses nouveaux amis états-uniens pour piloter l’ouverture économique de la Libye après la normalisation de ses relations diplomatiques. Sous le contrôle de Saif el-Islam Kadhafi, il avait été nommé à la fois ministre du Plan et directeur de l’Autorité de développement, devenant de facto le numéro 2 du gouvernement, et ayant autorité sur les autres ministres. Il mena au pas de charge la dérégulation de cette économie socialiste et la privatisation de ses entreprises publiques.
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Mahmoud Jibril avec son ami et partenaire en affaires Bernard-Henri Lévy, dans Tripoli conquise.
À travers l’activité de formation de JTrack, Mahmoud Jibril avait noué des relations personnelles avec presque tous les dirigeants arabes et d’Asie du Sud-Est. Il disposait de bureaux à Bahreïn et à Singapour. M. Jibril avait aussi créé des sociétés de négoce, dont une chargée du commerce du bois de Malaisie et d’Australie avec son ami français Bernard-Henri Lévy.
Mahmoud Jibril avait suivi ses premières études universitaires au Caire. Il y avait fait la connaissance de la fille d’un des ministres de Nasser et l’avait épousée. Il avait poursuivi ses études aux États-Unis, où il avait adopté les thèses libertariennes qu’il essaya d’introduire dans l’idéologie anarchiste d’el-Kadhafi. Surtout, M. Jibril avait rejoint la confrérie des Frères musulmans en Libye. C’est à ce titre qu’il avait placé les Frères Wadah Kanfhar et Yusuf al-Qaradawi à Al-Jazeera.
Durant le premier semestre 2011, la chaîne qatariote est devenue l’instrument privilégié de la propagande pro-occidentale : elle a nié autant que possible l’aspect anti-impérialiste et anti-sioniste des révolutions arabes et a choisi dans chaque pays les protagonistes qu’elle soutenait et ceux qu’elle conspuait. Sans surprise, elle a soutenu le roi de Bahreïn —un élève de Mahmoud Jibril— qui faisait tirer sur la foule, tandis que cheikh al-Qaradawi appelait à l’antenne au Jihad contre el-Khadafi et el-Assad, accusés mensongèrement de massacrer leur propre peuple.
M. Jibril étant devenu le Premier ministre du gouvernement rebelle libyen, le sommet de la mauvaise foi aura été atteint avec la construction dans des studios à Doha de répliques de la Place verte et de Bab el-Azizia où furent tournées de fausses images de l’entrée des « rebelles » pro-Us dans Tripoli. Que n’ai-je lu comme insultes lorsque j’ai annoncé cette manipulation dans les colonnes de Voltairenet.org ! Pourtant Al-Jazeera et Sky News diffusèrent ces fausses images le second jour de la bataille de Tripoli, semant le désarroi parmi la population libyenne. Ce ne fut en réalité que trois jours plus tard que les « rebelles » —presque exclusivement les Misrata— entrèrent dans Tripoli dévastée par les bombardements de l’OTAN.
Il en va de même avec l’annonce par Al-Jazeera de l’arrestation de Saif el-Islam Kadhafi et de la confirmation de cette capture par le procureur de la Cour pénale internationale Luis Moreno-Ocampo. Je fus le premier, sur les ondes de Russia Today, à démentir cette intoxication. Et là encore, je fus l’objet de quolibets dans certains journaux jusqu’à ce que Saif el-Islam vienne réveiller en personne les journalistes enfermés au Rixos et les conduise sur la vraie place Bal el-Azizia.
Interrogé sur ces mensonges par le canal arabe de France24, le président du Conseil national de transition (CNT), Mustafa Abdul Jalil revendiqua une ruse de guerre et se réjouit d’avoir ainsi accéléré la chute de la Jamahiriya.

Quel avenir pour Al-Jazeera ?

Le détournement d’Al-Jazeera en instrument de propagande pour la recolonisation de la Libye ne s’est pas fait à l’insu de l’émir de Qatar, mais sous sa houlette. C’est le Conseil de coopération du Golfe qui, le premier, a appelé une intervention armée en Libye. Le Qatar a été le premier membre arabe du Groupe de contact. Il a acheminé des armes pour les « rebelles » libyens, puis a envoyé son armée au sol, notamment lors de la bataille de Tripoli. En échange, il a obtenu le privilège de contrôler tout le commerce des hydrocarbures effectué au nom du Conseil national de transition.
Il est encore trop pour savoir si la démission de Wadah Khanfar marque la fin de sa mission au Qatar, ou si elle annonce une volonté de la chaîne de retrouver la crédibilité qu’elle avait mis 15 ans à gagner et 6 mois à perdre.
[1] Cf. entretiens avec l’auteur.
[2] « La guerre contre Al-Jazeera », article de Dima Tareq Tahboub résumé dans notre ancienne rubrique « Tribunes et décryptages », Réseau Voltaire, 6 octobre 2003.
[3] « La presse arabe dans la ligne de tir », Réseau Voltaire, 15 septembre 2003.
[4] Voir notre dossier Sami el-Hajj.
[5] Par exemple : « Al-Jazeera met en scène une manifestation monstre à Moscou contre Bachar el-Assad », Réseau Voltaire, 2 mai 2011.

23 août 2011

Crise Économique Et Financière Mondiale. Les Manuels Scolaires Et Ceux Qui En Sont Instruits Sont Incompétents Et N'Offrent Aucuns Remèdes Parce Que Traitant D'Utopies Et Occultant La Réalité.

Introduction :
Dans un environnement économique international hostile la majorité des nations est confrontée à une multitude de problèmes insurmontables et se dirige vers une situation qui frôle l'apocalypse. Cet article n'a pas la prétention de présenter quelque savant traité d'économie, d'économie politique, ou de science financiaire, mais seulement de soulever des questions concrètes et relever des anomalies que tout néophyte moyennement intelligent est en mesure d'appréhender lorsque confronté au volume d'information que les média déversent continuellement sur les ondes, dans la presse, et sur le web. Entre rumeur et vérité, information et propagande il est souvent difficile de distinguer la nature du message transmis par les média, particulièrement lorsque l'intention qui motive sa source est d'influencer, de mystifier, de tromper, de gagner à sa cause, de manipuler, et d'orienter l'opinion. L'information véhicule trois types de données importantes destinées à l'opinion, l'un politique, le second économique et le troisième culturel, et souvent, une combinaison des trois. La diffusion des données possède son arsenal de techniques et d'outils pour moduler l'information en fonction de l'effet recherché et l'impact ciblé, durant un espace temps planifié, chaque étape exigeant un suivi professionnel adapté au besoin d'un agenda, s'étalant sur des années ou voir des décennies.  L'étudiant, le chercheur ou l'expert averti, soucieux de saisir l'aubaine offert par la libre circulation de l'information sur le web, devraient adopter l’approche méthodologique de révision des acquis éducationnels et culturels reçus des canaux officiels, de l'école et des média dominants.
La recherche sur le web de thèses multidisciplinaires "non-officielles", qualifiées péjorativement de "révisionnistes" ou "conspirationnistes", est révélatrice et documente un vaste champ de la connaissance authentique, non orientée.  Un document de base important pour débuter sur le thème de la perception des méthodes employées par le pouvoir occulte qui gère en aval et en amont les processus de contrôle de la pensée, des tendances sociales, de l'éducation, de l'information, des décisions politiques, et l'organisation des agents d'exécution des plans d'ingénierie sociale, est disponible Ici (traduction Fr) et Ici (version anglaise). Alternativement, une recherche dans Google de "Silent weapons for quiet wars" (Armes silencieuses pour des guerres tranquilles) est gratifiante.
Le contenu des débats qui se spécialisent dans l'analyse de la crise multi-sectorielle qui secoue les fondements de la société moderne en ce début du 3em millénaire, est majoritairement une transcription des théories qui souvent s'affrontent sans répit sur le plan intellectuel, des idées, et des avis, et qui s'avèrent stériles et impuissantes. Les discours des nombreux docteurs et professeurs reflètent les cursus de l'éducation qui leur ont été dispensés comme on charge les mules d'encombrants manuels et de travaux de chercheurs accumulés depuis des siècles, et ceci dans la confusion totale. Le "diviser pour régner" appliqué à ce domaine, celui de la pensée ajoute à l'égarement du gentile (non juif), victime du conditionnement exercé par les maitres de la fourberie, les suprématistes talmude qui œuvrent secrètement à l'instauration du Nouvel Ordre Mondial. Les causes et effets de la crise sont connus exclusivement par ses créateurs, les exécutants des "Protocoles des Sages de Sion". La source et l'origine de la crise sont dévoilées par les militants qui luttent contre le pouvoir tyrannique qui tient les reines des commandes des affaires mondiales, menant l'humanité vers le chaos, selon le plan énoncé dans les déclarations verbales et les écrits des protagonistes de ce complot satanique, le "Nouvel Ordre Mondial".
Les symptômes, économiques, sociaux, et politiques de ce phénomène sont depuis longtemps synthétisés dans la prophétie religieuse que toutes confessions dominantes  annoncent comme avènement de l'Ante-Christ ou Dajjal : guerres oppressives, injustice, famine, épidémies, déchéance morale, signes révélateurs de cette ère présageant malheur et affliction pour l'humanité. 
La cause et l'origine de l'adversité affectant l'humanité en ce 21em siècle, réside dans le détournement par une élite dominante raciste des pouvoirs de la majorité en vue de monopoliser toutes les décisions affectant son devenir, selon le plan dressé dans le document authentique des " Protocoles des Sages de Sion".  Les sources publiant un historique de ce manuel de la subversion juive sont innombrables, une d'entre elles retient l'attention, disponible au lien (Anglais).
L'auteur, G.B.Winrod écrit dans "The truth about the Protocols" (Lien):

«Sur les étagères du British Museum, à Londres, il y a un livre en langue russe, par Serge A. Nilus, appelé les Protocoles des Sages de Sion. Il contient vingt-quatre documents qui affirment révéler les rouages ​​d'un complot instigué par certains dirigeants juifs internationaux en vue d'asservir le monde à travers une dictature basée sur la puissance de l'or.» 
«Après la Bible, ce volume, traduit en plusieurs langues, est sans doute le livre le plus lu de l'Histoire. Le directeur de la bibliothèque m'a déclaré qu'il reçoit constamment des demandes à ce sujet de toutes les régions du monde. Son numéro de catalogue de la bibliothèque est C 37.C.31.»
«Nilus avait publié les Protocoles en 1905, bien qu'ils étaient déjà en sa possession depuis quatre ans . Il considérait comme un devoir patriotique et religieux de leurs donner la plus large diffusion possible. Depuis le début du siècle, jusqu'à cet instant, le complot divulgué dans ces documents a été accompli, étape par étape. En eux, nous constatons le le développement authentique de l'histoire économique et politique des nations. Si les protocoles étaient des faux, comme certains Juifs l'affirment, alors le paradoxe est que tout ce qu'ils énoncent est perceptible et se déroule devant nos yeux.»
Les "Protocoles" sont une déduction condensée du Talmud et des enseignements rabbinicaux, Edith Starr Miller (Lady  Queenborough, essayiste Anglaise ) écrit dans son "Occult Theocrasy " (Lien Ici ) :
«Les obligations et les règles du rite pour les masses juives sont contenues dans le Talmud et le Schulchan Aruk, mais les enseignements ésotériques pour les plus initiés se trouvent dans la Cabbale. » 
Ces précisions servent à démontrer, comme illustration des objectifs assignés aux "Protocoles", l'assertion que les événements se déroulant devant nos yeux concernant la crise financière et économique ne sont en aucune façon le fruit d'activités ordinaires de différents acteurs présents sur les marchés, régis par les lois et règles du libre échange des biens et services, ou de la compétitivité des facteurs de production présents dans les économies locales, régionales ou globales (internationales), ou autre  "interaction de l'offre et de la demande".  Les théories et ceux qui excellent dans leur utilisation,  pour "expliquer", "remédier", "guérir",  "résoudre", "réglementer", "surmonter", ou "parer aux dis-fonctionnements" de la crise se leurrent de concepts utopiques, d'illusions et de chimères, pour la simple raison que les modèles qu'ils exploitent sont détachés de la réalité.
«Là se trouvent les rites mystérieux des évocations, les indications et les clés de pratiques pour la conjuration des forces surnaturelles, la science des nombres, l'astrologie, etc...»
«L'application pratique des connaissances Cabalistes se manifeste dans l'usage qu'en ont faites, à travers les âges, les Juifs afin de gagner en influence à la fois dans les hautes sphères de la société des "Gentiles" et sur les masses. Souverains et papes, à la fois, avaient habituellement un ou plusieurs Juifs parmi leurs astrologues et leurs conseillers, et ils ont souvent donné contrôle aux Juifs, sur leur vie même, en les employant en tant que médecins. Le pouvoir politique a donc été acquis par les Juifs dans presque tous les pays des gentiles doublé de la puissance financière, puisque les tribunaux juifs et les banquiers
manipulaient les fonds publics et les taxes. »
«Avec son Conseil suprême, le B'nai B'rith, la tête dirigeante de la secte, et ses membres infiltrés parmi toutes les nations, est devenue le pouvoir dirigeant et souverain dans les conseils de toutes les nations et régie leurs programmes politiques, économiques, religieux et éducatifs.»
De ce mélange occulte d'ésotérisme et de prédation sociale "des armes silencieuses", la réalité qui apparait est tout autre que celle que nos experts financiers décrivent dans leur majestueux pédantesques ouvrages et analyses savantes. Comment d'une perception fictive, subjective et erronée, de la réalité, la multitude de docteurs et professeurs émérites (sic) peut-elle s'aventurer à dresser un diagnostique réel des aléas du monde actuel, voir proposer des remèdes au malaise dont souffre l'humanité ? Le mal n'étant pas correctement perçu, le diagnostique s'égare dans des "hypothèses", des "peut être", des "estimations", des "spéculations", et les solutions proposées aggravent la crise, ne la dissipent pas !
Le constat de la faillite et de l'aliénation de cette pompeuse intelligentsia est amplifié sous l'effet conjugué de la complicité de certains intellectuels corrompus et de ceux dont l'allégeance au NOM est scellée par le sermon maçonnique, le contrat moral liant nos "chers frères" à la maison-mère du mercenariat juif !    
Les "Protocoles" sans détour ni bagatelle :
«Nous allons créer par tous les moyens détournés possibles par nous et avec l'aide de l'or, qui est entièrement entre nos mains, une crise économique universelle par laquelle nous jetterons dans les rues, simultanément dans tous les pays de l'Europe, des hordes entières de travailleurs. Ces foules vont se précipiter joyeusement et verser le sang de ceux qui, dans la simplicité de leur ignorance, ont été jalousés dès leur berceau, et dont les biens ils seront alors en mesure de saisir comme butin ».
«Le notre (sang) ils ne toucheront pas, parce que le moment de l'attaque sera connu de nous seuls, et nous prendrons des mesures pour le protéger.» 
Le comble de l'ironie et du sarcasme dont se désaltèrent les instigateurs du "complot", les maudits "enfants de Satan",
doit découler du paradoxe démontré par le comportement révérenciel et les convictions respectueuses de la gente Goy (gentile) envers les armes brandies par leur ennemi, qui les convie à l'auto-flagellation et l'auto-destruction.  
Explication : L'arme absolue détenue par l'autorité suprême talmude, les banquiers, est l'usure. Après l'invention de la monnaie de singe, le numéraire en papier, que les planches à billets aux mains des Shylock, produisent inlassablement dans l'antre du diable (les banques nationales centrales, toutes privées !) la fraude monumentale prodiguée par les Rothschild fut celle du prêt avec intérêt. Le catalyseur de l'endettement des individus et des nations menant à l'asservissement et à l'esclavage, via l'intérêt, est l'astuce diabolique inventée par les Shylock, aujourd'hui banalisée, étudiée, utilisée, canonisée, et pour beaucoup, érigée en divinité omnipotente. Tous les économistes, financiers, politiciens l'arborent fatalement dans leurs discours comme un outil de gestion incontournable, au lieu de le dénoncer comme le venin qui détruit sociétés et individus. D'une perception insensée et illusoire de l'affliction usurière, il est dérisoire de tenter de guérir le malade, l'économie et la finance mondiale, du fléau de la pauvreté, de la misère, de la faillite et du désespoir.
La loi talmude interdisant au juif de vulgariser la connaissance ou d'enseigner un métier aux goyim, est la source du développement d'un corps de savoir utopique stérile destiné à entretenir la myopie et le manque de discernement parmi les "serfs" goyim et leurs élites bien pensantes, perroquets intellectuels qui réverbèrent les idées fallacieuses répandues par l’appareil de propagande des média dominants. Toutes les théories économiques en "isme", Marxisme, communisme, capitalisme, libéralisme, etc..., sont comme des os lancés à la féroce concurrence du chenil dont les bêtes s'entredéchirent violemment, pendant que les maitres de l'intrigue se distraient par les jeux de manipulation des marchés financiers en actionnant  les leviers des taux d'intérêt, des cours, de l'information économique, du délit d'initié, du déclenchement de conflits "qui rapportent", des rumeurs (média) qui confondent l'observateur, etc...Non contents de l'extorsion massive de la richesse des Goyim grâce à l'usure, les banquiers gèrent les casinos financiers (la bourse) où les dés sont pipés, et les actionnaires (les joueurs) délestés de leurs avoirs. Situation sur-réelle, amplifiées par la complicité tacite des experts qui fondent leurs recommandations sur le précepte de l'adoption de l'usure comme canon de la finance et dans lequel ils tentent d’exceller en l'introduisant dans leurs analyses et les leçons qu'ils dispensent aux décideurs politiques. 
Comme illustration de cet exercice de déroutement par des imposteurs affublées de titres universitaires ou professionnels délusoires, citant la campagne médiatique entourant la question de la gestion optimale des réserves en devises détenues par l'Algérie et qui est le juste sujet de préoccupations, dans le contexte actuel de crise financière internationale, airées dans la querelle des "bons de trésor US".  Jamais un tel débat n'aura occupé autant de commentateurs et rempli autant d'espace médiatique, même dans les plus profanes des chroniques. Mêmes les blogs-conciergeries habituellement versés dans la tchatche se sont mis de la partie.   
Dans cette mêlée de conseilleurs, non- payeurs, accourus de tous les horizons imaginables pour instruire gracieusement le gouvernement des décisions à prendre, un personnage se distingue par l'agitation médiatique qui  lui est accordée et la fréquence de ses déclarations publiques : Abderrahmane Hadj Nacer, ex-Directeur de la Banque Nationale d'Algérie. Trait frappant du personnage : l'effronterie de l'émissaire de l'abomination et son ignorance de la gravité de la transgression des lois divines condamnant l'usurerie. 
"Ceux qui se nourrissent de l'usure...."
El Watan, le valet de chambre des Rothschild, se gargarise des mérites de cet usurier au service des shylock, et vante ses œuvres littéraires qu'il range dans les traités de finance, d'économie et de politique. Le quotidien lui réserve une couverture extensive, répartie sur un millier d'articles, tous de tendance alarmiste. Ce qui doit nécessairement éveiller notre suspicion au vu du travail traditionnel de "harki de la presse", ou "traitre parmi nous". L'utilisation du terme "martingale" par l'auteur est révélatrice de l'accoutumance du personnage au système des paris des casinos (bourse et usure): en jeux de hasard «Coup consistant à doubler la mise qu'on a perdue au coup précédent. Jouer la martingale à la roulette.» Un lapsus de langage, ou un "chassez le naturel, il revient au galop" ?
Un bref aperçu de la biographie de notre banquier d'affaire nous éclairera plus amplement sur le rôle de ce transfuge de la BNA et il suffit de remarquer qu'il fait partie du clan des réformateurs mené par M.Hamrouche : A.Benbitour, Ghazi Hidouci, A.Brahimi, pour confirmer la double allégeance de ces aventuriers au service du mercenariat de la finance internationale Kosher ! Après le coup de poker réussi des FMI-Banque Mondiale durant la gestion de la faillite due à l'endettement des années '90, qui a vu l'Algérie être livrée à ses créanciers et soumise aux conditions drastiques des shylock qui exaspérèrent la crise politique en tentant de basculer le pays vers le chaos et sa destruction en tant qu'état souverain, tous les complices de la mutilation de notre indépendance nationale ont été gratifiés, et généreusement récompensés par des nominations à des postes de responsabilité au sein d'organismes contrôlés par l'oligarchie talmude rothschildienne ! Voir biographie de Hadj Nacer (Lien); celle de Benbitour a déjà été exposée précédemment (Lien article); Ghazi Hidouci change de camp et rejoint la BM; Brahimi est à Londres à la London School of Economics, le couvoir des utopies talmudes. Le comble est l'effronterie qui caractérise ces chevaux de Troie de la finance Kosher, ils s'érigent en donneurs de leçons et jurent par tous les saints leur dévouement à l'Algérie et à son peuple. Le verbiage de notre banquier d'affaire--«gouverneur de la Banque centrale d’Algérie, conseiller pour le monde musulman à la Banque Lazard Frères et Compagnie (*), dirigeant auprès d’autres entités comme la Société marseillaise de crédit ou Natexis-banque populaire, à Paris. Initiateur de la loi sur la monnaie et le crédit d’avril 1990 (la porte de la cité ouverte à la prédation des banques étrangères), il est à l’origine de la création d’établissements financiers privés à Alger. Il dirige aujourd’hui, un holding à Paris (HBC), et est partenaire fondateur d’une banque d’affaires à Tunis (IM Banque). Abderrahmane Hadj-Nacer est par ailleurs membre de groupes de réflexion internationaux. Ainsi, il est président du comité de parrainage politique et dirige, avec l’économiste Christian de Boissieu, le conseil scientifique de l’Ipemed (Institut de prospective économique du monde méditerranéen)», est édifiant dans la mesure où sa vision de l'Algérie est prophétique, pénétrant jusqu'aux moindres coulisses de la période Rustimide durant laquelle l'Algérie était Ibadite (Sic et qu'Allah nous protège d'une telle calamité, lorsqu'on sait le nombre nul = zéro des chouhadas mozabites morts pour la patrie !), mais il omet de nous révéler les anicroches de l'usure destructrice des nations. "Ceux qui consomment l'usure, ne sont-ils pas sanctionnés d'une déclaration de guerre d'Allah Qui les maudit ? " 
Une maxime résume l'analyse de cette opération de subversion médiatique qui cible l'opinion en la couvrant de mensonges et d'entourloupettes : "science sans conscience n'est que ruine de l'âme". 
Mr le Docteur es sciences financières, soignez vous de votre cécité morale et religieuse, sauvez votre âme pendant qu'il est peut être encore temps, les portes du repentir restent ouvertes ! Quand à nous, nous prions Allah Qu'Il nous garde de l'influence de ces rabatteurs de Satan qui nous convient au feu de l'Enfer.  
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(*) Nature de la compromission de notre banquier :
Note-wikipedia: « La banque a été fondée aux États-Unis en 1876 par trois banquiers juifs ashkénazes émigrés aux États-Unis depuis leur ville natale de Phalsbourg en Lorraine : Alexandre, Elie et Simon Lazard, bientôt associés à leur beau-frère Alexandre Weill.»
«La banque d'affaires a clos l'année 2007 sur un résultat net record de 155 millions de dollars, en hausse de 67 % par rapport à 2006. La banque a récemment recruté, comme directeur exécutif senior de sa division banque d'investissement, l'ancien directeur général du Fonds Monétaire International, Rodrigo Rato.»

1 juil. 2011

Lorsqu'Un Juif Errant Rencontre Un Crypto-Juif. : Kamel DaÔud et Jorge Volpi, Deux Agents De La Désinformation Juive.

Deux scribouillards, dont les média judaïco-talmudes s'attachent à gonfler la réputation, cette fois dans un débat publique lors du 4e Festival international de la littérature et du livre jeunesse (Feliv) d’Alger, échangent des tapes dans le dos complices sur le thème du combat (orienté) contre les "utopies". 
David et Volpi  : des liens fraternels.........ancestraux.
 DaÔud apôtre de la laïcité et agent provocateur de la franco-filoutrerie, ne dissimule plus son reniement de l'Islam (1) , son dénigrement du patriotisme-nationalisme, ses outrages à la langue et culture arabes : «Nous sommes tous les enfants d’une utopie nationaliste algérienne. Au début, l’écriture était pour moi un amusement. Amusement devenu sérieux avec le temps. Écrire était une manière de démanteler l’univers qu’on m’a légué. Il y avait un discours triomphaliste que nous avons tous subi. J’ai grandi dans un univers où il y avait une propagande.»
Pour plus de témoignages sur le travail carrément subversif du dégénéré consultez les liens  Lien1, Lien2, Lien3Lien4. L'éclosion d'une telle souillure humaine, parfumée et drapée de l'intox des média laïques et les combines des "prix" organisés par les cercles narcissiques du Rotary Club (Prix M. Dib) était inconcevable durant 130 ans de colonisation. Les efforts du colonisateur pour aliéner les autochtones, ne furent couronnés de succès qu'après l'investiture des suppôts du "socialisme spécifique". Ces derniers contournant la résistance naturelle du peuple musulman et abusant de sa naiveté, en lui imposant dictature et culte de la personnalité, modelés sur ceux diffusés par les icônes du matérialisme marxiste talmude, Lénine et Staline. Utopie du nationalisme, dit-il, omettant de préciser son option idéologique du mondialisme laïc, oeuvrant à détruire tous les "nationalismes-patriotismes " et les particularismes régionaux, et à niveler les différences naturelles, même celle des genres.
De son coté, Jorge Volpi est un arriviste que la presse kosher internationale a encensé de prétendus miraculeux talents littéraires, dont le plus méritoire est sa promotion subtile du mythe de la Shoah et la diffamation du peuple allemand sur lequel il s'acharne, 65 ans après la 2em guerre mondiale, en le tenant collectivement responsable des supposés crimes nazis. Quand à l'utopie des révolutions populaires, sans renié les tenants du socialisme et ses idéologues (ses coreligionnaires), il préconise la fin de la "folie" de l'idéologie, car la tendance actuelle est à la mondialisation, selon les plans dictés par le Nouvel Ordre Mondial géré par le peuple " élu " (maudit par Allah et Ses Prophètes). L'enfant gâté du ministre des média du Mexique, pays présidé par une succession de Juifs  Sionistes (Portillo, Calderon, etc...Voir (2), ci-dessus).

Aborder l'utopie de la Shoah n'est pas à l'ordre du jour. Au contraire, sa promotion est un créneau porteur que nombre d'ambitieux scribes, à l'image de B. Sansal, investissent par calcul.Une citation du prédateur : « Y a-t-il péché plus vulgaire, plus sinistre, que de faire quelque chose, n'importe laquelle, pour mériter le paradis ? »
Les deux caractères, DaÔud et Volpi, sont en fait des jumeaux, enfantés par l'agenda du NOM et promus par quelque groupe occulte collaborant avec les maitres de l'intrigue pour l’avènement de l'ordre tyrannique des enfants de Satan, ordre dont la monstruosité, guerres et génocides, est flagrante depuis 2001, à l'échelle mondiale.

Une question, qui demeure sans réponse, se pose sur l'utilité de ces festivals littéraires et les critères de sélection par ses organisateurs (en mal d'inspiration), pour le choix des participants et les sujets de débat. La main mise des illuminés du rotary et des loges judéo-maçonniques sur ces opérations de pillage budgétaire est pratique courante. Les caisses remplies permettent de financer les campagnes de recrutement savamment dissimulées sous des actions charitables, dont la plus sournoise est la vaccination, outil de génocide mondialiste. (Lire article suivant à propos des dessous du vaccin contre la polio).
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Notes :
-(1) Lien, (Commentaire d'un lecteur avisé sur article publié  annonçant le lauréat du prix frauduleux M. Dib, par la fondation scélérate La grande Maison, usurpatrice des droits d'auteur de l'écrivain M.Dib. Voir autre Lien )
«Certes M. K. Daoud est une assez bonne plume (sic) qui sait écorner , écorcher tout ce qui a trait à l'Islam et l'arabité avec les chroniques , les seules que j'aie pu terminer de lire tant j'avais la nausée .En effet pour ce quidam se prend-il pour gueuler a tue tête que "l'arabité" est le tribut de "la colonisation horizontale" trouvaille lexicale qui semble le rendre assez fier , et "le Coran" ce recueil de textes épars glanés ça et la par le Prophète de l'Islam " 'Hachah" pour en faire un livre sacré. Qui peut être ce minus pour juger ainsi un texte sacré pour tout ce que l'Algérie et le monde musulman peut porter de croyants ? Certes vous avez le droit d'être incroyant mais aller jusqu'à se gausser ainsi de la foi des millions de lecteurs qui payent votre pitance au moment même ou vous prenez , bizarrement , la défense de l’église en souhaitant « un appel pour la collecte pour la construction d’églises en Algérie » (votre article du 22/09/09) voila ce qu’on ce qui s’appelle « aller trop loin » dans une société où la pudeur nous appelle les « âmes bien nées » , c’est " El asl " à la réserve. Quant à faire le beau , le museau plus bas que le paillasson devant la brute sioniste, il n'hésite pas un instant à implorer le sanguinaire bourreau de Ghaza en l'appelant "MON FRERE" (c.f chronique de janvier 2009). J'en suis persuadé, le fantasme de ces gens de cet acabit c'est donner l'automutilation , donner des coups canifs à la religion de leurs ancêtres , se renier et le faire savoir pour mériter les félicitations condescendantes de leurs maitres.»
-(2) Lien : " LES JUIFS DU MEXIQUE"   
«Quelques Conversos, ces juifs forcés de se convertir au Christianisme, firent partie des expéditions de conquête de l'Espagne. Ils émigrèrent en masse a Nueva Espagna, ancienne appellation du Mexique. Au milieu du 16eme siécles, les crypto-Juifs étaient plus nombreux que les Espagnols catholiques.» 
Aujourd'hui : «DE TURQUIE, DE RUSSIE. La seconde vague atteignit son apogée entre 1911 et 1913, après la chute de l'empire ottoman. Une grande partie de la communauté juive séfarade vint trouver refuge au Mexique et s'intégra facilement grâce à la similitude des langues celle du ladino et de l'espagnol.»
«La communauté juive mexicaine elle, est forte de près de 50 000 âmes (sic, chiffre exact près d'un 1/2 million !). Environ 37 000 vivent dans la ville de Mexico riche de 23 synagogues, de 12 écoles juives fréquentées par 80 % de la jeunesse et de plusieurs restaurants casher. De petites communautés résidant à Guadalajara, Monterrey, Tijuana, Cancun et San Miguel. Les familles juives mexicaines sont pratiquantes et seulement un mariage sur dix est mixte.»
«Des Mexicains qui occupent des positions importantes n’hésitent pas à affirmer qu'ils ont des origines juives. Les présidents, Portifirio Diaz, Francisco Madero et Jose Lopez Portillo ainsi que l'artiste Diego Rivera ont témoigné publiquement de leurs racines juives. En 1994, un groupe de Juifs mexicains baptisé Coulanou (Nous tous en hébreu), ont pendant plus de sept ans tenté de convaincre sans succès la communauté juive d'accepter les Conversos comme Juifs (Même problème pour Ferhat M'Henni et ses adeptes).
Cette dernière, composée de 50 000 membres, a rejeté la demande de “Coulanou” par la double crainte d’être accusée de Prosélytisme et de provoquer des attentats antisémites.»

28 juin 2011

HSBC de Londres Tente De S'Infiltrer En Algérie. Les Banksters Activent Leurs Cheval de Troie Rothschildien El Watan Pour " Ouvrir Les Portes De La Cité ".

Nordine Grim l'Oracle Du Malheur, Se Charge D'Ouvrir Les Portes Au Prédateur HSBC. 
Son Placard Publicitaire Mensonger Aurait Dû Être Pénalisé Par L'Inspection Du Contrôle Et De La Repression Des Fraudes. Voir Son Article Baveux " HSBC veut ratisser large "

L'auteur de " l'interminable transition ", un islamophobe
Il y a 2060 ans, Cicéron l'avait déjà dénoncé !


 réputé pour sa résonance des thèses "néo-conservatives" de l'oligarchie talmude, s'allonge aux pieds de ses maitres et nous récite la fable du "Renard et du corbeau". Avisé des filouteries de sa race, nous ne lâcherons pas l'objet de toutes les convoitises : notre indépendance.
A ce propos, combien révélatrice et pertinente est la citation du penseur et historien  Marcus Tillius Cicéron (Rome, 106-43 avant J-C), car d'actualité et offrant à l'esprit critique, aujourd'hui  surtout,  matière à discuter pour saisir les principes de la guerre psychologique et de l'ingénierie sociale. Les traits et caractéristiques du "harki" y sont magistralement détaillés. Précisons pour clarifier, que le renégat, le traitre, le "goumi", qui opère en secret, en silence, au service de pouvoirs subversifs ou de forces belligérantes brandie ni fusil, ni canon. La plume et le verbe sont la dague empoisonnée avec lesquels ce mercenaire détruit sa victime. Affirmations tirées par les cheveux  ? Accusations conséquentes au délire conspirationniste ? Prêtons attention à ce que Cicéron énonce pour répondre à ces questions :
« Une nation peut survivre à ses imbéciles, et même à ses ambitieux. Mais elle ne peut survivre à la trahison de l'intérieur.  Un ennemi aux portes est moins redoutable, parce qu'il est connu et il porte ses bannières ouvertement. Mais le traître se déplace parmi ceux dans l'enceinte, librement. Ses chuchotements astucieux bruissant par toutes les ruelles, entendues dans les halls mêmes du gouvernement. Parce que le traître n'apparaît pas traître, il parle dans des accents familiers à ses victimes, et il porte leur visage et leurs vêtements, et il fait appel à la bassesse qui se situe profondément aux cœurs de tous les hommes. Il décompose l'âme d'une nation, il travaille secrètement et en inconnu pendant la nuit pour miner les piliers de la cité, il infecte le corps politique de sorte qu'il ne puisse plus lui résister. Un meurtrier est moins à craindre que le traitre.» 
Pour mieux appréhender la pensée de Cicéron, tournons nous vers un cas illustrant la situation où se présentent deux forces potentiellement antagonistes et essayons d'y déceler les forces en action qui peuvent remplir le rôle joué par les partis mis en scène par l'avocat romain (qui embrassa ensuite la politique). Un pays, l'Algérie, d'un côté, et les banksters internationaux, représentés dans ce cas par BNP-Paribas, HSBC, etc..., de l'autre.  Deux camps opposés, aux intérêts divergents, comme l'a si bien démontré la crise financière qui ruina ce pays durant les années précédant l'élection de Bouteflika en 1999. Le piège de l'endettement est une trappe financière meurtrière, cause de destruction économique, sociale, et politique. Une calamité qui ruine toutes les nations qui succombent à la tentation infernale tendue par l'abomination de l'usurerie, fruit jugé  "kosher" par les Shylock depuis Babylone, et cause de leur malédiction par Dieu. Les FMI et Banque Mondiale,  hommes de main de la maffia juive de la finance dirigée par le Parrain Rothschild, interviennent pour achever la victime moribonde en dérobant son indépendance au nom de réajustements, renégociations, et autres artifices techniques et comptables illusoires.
D'une part donc, le pays enlisé dans la dette, terrain de conflit d'intérêts, et cible du pillage, représente un camp. L'autre camp est constitué des banquiers prédateurs, loups déguisés en chien de secours Saint Bernard, qui tentent de dépecer leur proie potentielle mais doivent avant tout s'introduire dans la bergerie. Quelqu'un doit ouvrir la porte, de préférence de l'intérieur.
Et c'est à  ce stade qu'intervient le traitre qui  "se déplace parmi ceux dans l'enceinte ".
El Watan dans sa livraison du 26.06.2011, de la plume envenimée de Nordinne Grim, s'évertue à introduire une bête de proie, la HSBC, une banque anglaise de la "City" de Londres en déclarant :
«Comptant tirer profit d’un marché local sous bancarisé mais en voie de modernisation, ses dirigeants ont d’emblée compris qu’il fallait surtout miser sur les techniques et outils de traitement des opérations bancaires les plus modernes et les plus efficaces. C’est pourquoi ils n’ont pas hésité à s’installer durablement en Algérie en acceptant les conditions draconiennes de capitalisation, l’environnement des affaires peu favorable et la forte concurrence existante.»
Et suit la publicité mensongère : «...la succursale HSBC Moyen Orient a vite fait de maîtriser ce qui se fait de mieux en la matière et d’en faire profiter ses clientèles constituées pour l’essentiel de multinationales clientes du groupe (une soixantaine) et de grosses PME purement algériennes (Rebrab ?) ou en partenariat avec des sociétés étrangères. Elle accompagne également de nombreuses sociétés de négoce (environ 1 milliard de dinars) ainsi que les entreprises de production (3 milliards de dinars), attirées par le sérieux, mais aussi et surtout, par la célérité de cette banque capable d’effectuer une ouverture de Credoc en, à peine, 24 heures en s’appuyant sur un réseau tentaculaire de banques, opérationnelles dans pratiquement tous les pays du monde.»
Faire profiter les clientèles ? Naïveté ou leurre ? Célérité du dépeçage?
En langage plein et sans détour  : le traitre qui nous déballe ces mensonges est à ma connaissance conscient du risque qu'encoure le pays lorsque ces institutions y pénètrent par effraction en se présentant en philanthropes ou bénévoles de la Croix Rouge accourus au secours des nécessiteux indigènes locaux. Faux !  Le sous développement et les carences du pays sont leur dernier soucis et ils n'apportent pas de
" l'aide " mais la guillotine qui servira à juguler le pays et le saigner mortellement. Une nouvelle fois, une oxymore, usurerie-bienfaisance est structurée et embaumée dans une logique perfide pour mystifier l'opinion.
Le profit est la seule motivation de ces institutions du Diable. Comment HSBC ou tout autre organisation servant la cupidité insatiable des vampires talmudes, peut-elle distribuer 36 Millions de £, soit environ 40 Millions d'Euros, 4018 Millions de DA (au taux officiel bancaire), 402 Milliards de centimes,  à son directeur général, Mr  Michael Geoghegan  ( en Décembre 2010, dans la presse internationale), comme compensation à sa non ré-élection à la présidence du groupe ! La banque a versé 9 Millions de £ , à chacun de ses trois "top responsables", en 2010 (Lien). Ceci prouve la gloutonnerie, la cupidité et l'abus de confiance pratiqués par ces groupes financiers, vraies démons et enfants de Satan, œuvrant sans scrupules à la destruction de l'humanité. Le préjudice qu'ils infligent à leurs "partenaires" n'est pas une le fruit de la discussion philosophique ou de spéculations métaphysiques, il est assommant par les dimensions de sa nocivité. Pour illustration, la faillite enregistrée par les pays occidentaux (USA, Grèce, Espagne, etc..., et le décompte continue) et l'instabilité sociale qui y règne, est symptomatique de la malveillance du système usurier, qui entre autre, lègue un fardeau accablant aux innocentes générations à venir, des dettes impossibles à rembourser, ceci jusqu'à la fin des temps. C'est uniquement pour la jouissance de la prédation qu'ils se déplacent et pour instaurer le désordre prélude du Nouvel Ordre Mondial. Il est connu que le loup une fois introduit dans la bergerie tue, pour le plaisir, autant de bêtes que les circonstances l'autorisent. 
La création d'emplois est un autre argument fallacieux présenté par le sinistre Grim pour nous faire avaler cette fraude. Il est l'Agent de la subversion, l'oracle du malheur (voir mon article Lien), l'ennemi parmi nous, et journaliste à El Watan, le "Blackwater" du mercenariat médiatique. Faux et pernicieux tout au long de son exercice d'intox au service de forces occultes talmudes, sa tentative de diversion est dévoilée au grand jour une fois confrontée à la politique réelle de cette banque qui, par le passé, a largué sans scrupules ni remords des milliers d'employés, ses consommables jetables, lorsque les conditions du marché étaient défavorables (Irlande, Egypte, etc..., Lien ). Selon lui « De 140 employés aujourd’hui l’effectif de la succursale devrait atteindre 350 collaborateurs à l’horizon 2014. »
Un dernier mot : Après les "Big Pharma" et leur manœuvres suspectes pour monter une "silicon valley" du médicament et de la génétique, nous constatons une nouvelle offensive de ces  NOM, cette fois des maitres de la subversion, les Banksters eux mêmes. Au premiers abords, ces manœuvres commerciales en apparence anodines signalent un déploiement coordonné de ressources et moyens multiples de la part de la nébuleuse mondialiste, ce qui devrait contraindre les autorités à beaucoup de prudence et de la circonspection devant l'exercice de charme de courtisans au profil détourné. Le "sinistre" joue l'ingénu en occultant la réalité du système bancaire qu'il vante, lui habituellement si pointilleux dans ses prêches pour dénigrer le " système ", surtout Bouteflika. Il se découvre une âme tolérante et pleine d'indulgence face à l'oligarchie financière. Attitude typique de celui qui " parle dans des accents familiers à ses victimes, et il porte leur visage et leurs vêtements, et il fait appel à la bassesse (l'appât du gain) qui se situe profondément aux cœurs de tous les hommes. ", à savoir, la démarche du ....traitre !
Méfions-nous des média complices-traitres et de leurs commanditaires !  Opposons-nous à leurs manigances sournoises, en les confrontant patriotiquement avec la force de la vérité : boycottons leurs produits et leurs activités commerciales illicites et malveillantes !
Pendant ce temps le pays des Martyrs cher à Allah, est protégé et le Tout Puissant veille à sa sérénité. Ses ennemis se bercent d'illusions.

5 mai 2011

Algérie En Marche Vers La Prospérité. Ou Dans Notre Jargon : "Djazair Al Izzati Oua el Karama". Zid Ya Abdellaziz !


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الّلّهمّ أحمي الجزائر و أنصرها بباركة أوليائك الصّالحين , آمين يا ربّ العالمين !

 Déclaration sur l'honneur de témoignage sincère et authentique.
Le visionnaire, traité péjorativement de "petit homme" (par sa taille), est un titan par son génie. Un virtuose de la politique, un phénomène de la diplomatie, un sage devant la discorde, un rassembleur d'hommes et un éducateur. 
-Sauveur du pays à un moment critique et au bord du désespoir (1999).
-Thérapeute de tous les maux qui accablaient la nation.
-Dette extérieure purgée et recouvrement de l'indépendance. 
-Hausse des prix des hydrocarbures, car production sous contrôle de l'OPEP grâce à son travail unificateur des membres de l'organisation et son statu de conseiller perspicace. 
-Réconciliation nationale et désamorçage des tensions  internes.
-Liquidation du terrorisme et éradication de ses sources.
-Auto suffisance en produits agricoles, stratégiques de par leur nature (céréales, pomme de terre), et plan ingénieux et éclairé de développement à long terme de la production alimentaire.
-accumulation de réserves monétaires,
-plans de développement gigantesques, infrastructures et investissement,
Etc, etc..., 
Et ceci dans un contexte national et international délicat, incertain, tendu, sévère, complexe, adverse et même dangereux.
  Quelques nouvelles annoncées par les média :
-«Forte hausse des productions oléicole, agrumicole et dattes en 2011» (Lien)
-«La Grande-Bretagne considère l’Algérie comme un marché émergent» (Lien)
-«Agriculture (et crédit social): Les modalités d’application du crédit bonifié finalisées. Ainsi, le créditeur ne paie aucun intérêt s’il rembourse son crédit pendant la période allant de 0 à 3 ans. Mais s’il ne le fait pas à partir de la troisième année jusqu’à cinq ans, il paie 1%. De 5 ans à 7 ans, l’investisseur va devoir payer 3% d’intérêts et au-delà il remboursera la totalité des intérêts au taux du marché. » (Lien)
-«Benaïssa : 100.000 nouvelles exploitations agricoles à moyen terme. (Lien)
-«Les Etats-Unis « encouragés » par les efforts de l’Algérie.» (Lien)
-«Le Tramway d’Alger inauguré dimanche prochain.» (Lien)
-«Deux Japonais préparent un livre sur l’Algérie. En effet Kodai Matsuoko et Masatako Otsuka comptent éditer un livre intitulé « Splendide Algérie » le 1 septembre prochain.» (Lien)
-« Hillary Clinton vante « l’excellente coopération » avec l’Algérie» (Lien).  Car la position de l'Algérie est claire et transparente, cohérente et soutenue.  Les forces obscures de l'empire du mal sont déroutées et s'enfuient devant le pouvoir de la lumière (A'nnour, un attribut d'Allah). L'ingérence et le paternalisme étasunien et de l'OTAN, les manigances de l'éternel conspirateur (sionisme talmudisme), les complicités des traitres néo-harkis et chevaux de Troie (laïques dépravés, "démocrates" dévergondés, ONG mercenaires perverties), se cognent la tête contre les murailles de " l'Ile " au magnétisme divin, sanctuaire sacré des Chorfa (les Sidi Abderahmane, Boumédienne, El Houari, Lakhdar Benkhlouf, Sahnoun, M'Hamed, Benyoucef, etc.. ) et bastion des martyrs de l'Islam.  
Longue vie au serviteur de ce pays béni, Boutéflika, 
et "échec et mat " à ses détracteurs et ennemis.